Françoise Niel Aubin, artiste.

Articles de apifnielaubin

Nicolas Hulot, et les accusations de viol et comportements inappropriés.

Par Le 27/11/2021

 Comme beaucoup, je tombe des nues, et je suis profondément déçue par l’homme.

 J’ai beaucoup de choses à dire sur ce sujet complexe, et plus encore, relativement à son cas, qui ose l’index sur l’idée qu’on peut comprendre, qui voudrait que ça ne soit ni aux médias, ni aux réseaux sociaux, de se substituer à la Justice, ce que je suis la première personne à le revendiquer.

 Je glane sur les réseaux sociaux des commentaires, auxquels je réponds, et que je transcris ensuite ici.

PPDA : tout le monde était au courant à TF1. Hulot : tout son entourage prévenait les femmes de ne jamais se retrouver seules avec lui. A quel moment vous finirez par ne plus vous contenter de prévenir et à enfin agir pour protéger les femmes de ces détraqués ?

Attention, à ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain, ça n'est pas si facile, ce qu'on nomme "la zone grise", n'est pas un prétexte qui tend à couvrir le ou les agresseurs, mais traduit une zone grise, qui existe bel et bien, et qui est complexe.

 Il faut faire attention, à ne pas mélanger les cas, ou à faire trop facilement des généralités.

 Il existe cependant des troncs communs, notamment en ce qui concerne le temps, ou plus précisément l’époque.

 Aujourd’hui, en 2021, déjà, la Justice est complètement submergée par les dossiers, quelque soit le type de criminalité dont il serait question, voir la crise des magistrats dont on parlait hier, suite au suicide de l’une d’entre elles.

Oui, le ministère de la Justice, a fait des efforts, et ces efforts, sont complétement insuffisants.

 Nier cette souffrance, serait déraisonnable, et nier qu’elle ait une répercussion, aussi, sur la Justice relative à la criminalité d’ordre sexuelle, serait irresponsable….

 En effet, comme pour les prud’homme, vis-à-vis d’un patron, quand vous demandez justice, et que vous entamez, une procédure, c’est que vous êtes en grande souffrance, si vous apprenez, qu’entamant, cette procédure, vous allez, vous en tirer, pour des années, à devoir attendre, que la Justice soit rendue, c’est encourager, alors, le coupable, au détriment, de la victime…

Le problème est bien de cet ordre, le pourrissement perçu de la part des victimes, tourne toujours au privilège de l’accusé.

 Certes, il est bien des affaires, où, le temps, est nécessaire, à ce qu’une forme d’apaisement, permette que la Justice, soit rendue, plus sereine…

 Mais le temps, est relatif, et ceux, qui souffrent le martyre, parce que leurs dossiers, prennent la poussière, en ont une perception, probablement bien différente, que n’en ont les accusés.

 Ce qui en résulte, de la part des victimes, alors, comme pour les prud’homme, c’est « a quoi bon » ?.....

 Pour elle, alors, psychologiquement, elle est moins encline, à se tourner vers la Justice.

 Ainsi, en 2021, statistiquement, une femme, vivant dans un milieu professionnel, où il est notoire qu’untel ou untel « ne doit pas être laissé seul en présence d’une femme, et que celle-ci, doit en être avisée », est ce que dans le contexte juridique, aujourd’hui, ça se produit, encore, ou pas ?

 J’aimerai bien avoir la certitude, que ça n’est plus envisageable…

 A cette époque, celle de PPDA, et Nicolas, Hulot, sur TF1, quelle chance, y aurait-il eu, que ça mène quelque part ?

 Aucune plainte déposée, la notion même de harcèlement, qu’il soit sexuel ou qu’il ne n le soit pas, n’était même pas encore de mise, personne jamais n’en parlait….

 Une femme qui se prenait des blagues salaces, ou une main baladeuse, ça faisait marrer tout le monde, et elle passait, pour une « mal baisée », ou on disait d’elle, que de toute façon, elle n’avait aucun humour.

 Soyons réalistes…

Ensuite.

Je crois, que je vais travailler, sur la notion de zone grise, dans le domaine du harcèlement, et des comportements sexuels inappropriés, y compris jusqu’au viol, évidemment.

 Car s’il est une chose que beaucoup sous estiment, c’est la complexité du problème sur ce sujet.

 Il ne faut jamais oublier, que ce qui es le plus criminel, réside dans le fait de laisser penser qu’un problème serait simple, là, où il est en vérité complexe.

 Un travers, lié, à l’extrême droite, quelque soit le sujet politique, dont il est question, et revendiquer, alors, que la ou les solutions le seraient tout autant, ce qui n’est jamais vrai….

 La complexité, est de mise et le nier est toujours criminel.

 Ce que je ne comprends pas, de la part de Nicolas Hulot, alors, qu’il était parfaitement conscient, qu’il avait commis, ces actes, c’est qu’il ait eu l’inconscience, d’entrer, dans ce gouvernement… Je veux dire, « avec ces valises », je ne pige pas….

 J’ai vu, hier, la vidéo,  qui n’est pas l’explication, mais carrément, l’entretien, qui a eu lieu, au sein du gouvernement, pour orchestrer, avec la complicité de Marlène Chiappa, pour le couvrir, quand ces accusations, sont apparues, et je dois avouer que j’ai halluciné…..

 Ensuite, au sujet du reportage, d’envoyé spécial, personne, je pense, ne peut remettre en doute une seule seconde, la bonne foi, de ces femmes….

 J’y vois, personnellement, en dehors, du cas de l’accusé, une incroyable vertu, qui réside dans l’explication, du processus psychologique, qu’est l’admiration, et donc, l’ascendant psychologique, qu’ont ces hommes, sur les victimes, et qui en abusent…

 Pourquoi, les victimes, ne parlent pas ?

 Pourquoi, n hurlent, elles pas ?

 Pourquoi, ce silence ?

 Pourquoi, rétrospectivement, sur les photos, rien d  ne parait, et qu’au contraire, précisément, elles, tiennent à tous prix, à faire « bonne figure » ?

 Processus, que je connais, mieux que personne (chaque cas, est particulier, attention), mais « ne rien dire », pourquoi ?

 Sous cet angle, cette émission est extrêmement riche d’enseignement, parce qu’elle détricote, de façon extrêmement lucide, l’ensemble du processus qui induit le fait de se taire…..

 En cours de rédaction.

Pourquoi, la Justice ouvre une enquête, alors, que ça ne peut induire, qu’un non lieu ?

Dans Autrice.

Ahmed Nasser Al Raisi poursuivi pour torture, élu, à la tête d'INTERPOL.

Par Le 27/11/2021

 J'ai appris ça, avant hier, du fait, qu'il y était pressenti.

 Je vous donne le lien, je trouve ça, absolument hallucinant.

 Plus on observe n'importe quel probleme, sur un plan global, plus on voir que c'est l'argent, qui corrompt tout, mais dans une telle poportion, je suis sur le cul.

https://www.la-croix.com/Monde/Interpol-general-emirien-accuse-torture-favori-diriger-lorganisation-2021-11-24-1201186703

 En effet, l'objectif de lutter contre la criminalité, doit resider dan le fait de prendre la défense des plus pauvres, des plus démunis, et des laissés pour compte, qui se retrouvent toujours être les victimes, de tous les traffiquants, quel que soit le type de criminalité qu'on observe...

 Ha, c'est sûr, que dans l'intranet, et tous les milieux criminels, là, depuis deux jours, putain de bordel de merde, mais qu'est ce qu'ils doivent rigoler, vraiment...

 Ainsi, face à un passeur, aujourd'hui, qui abuse de populations desespérées, à qui ils vont soutirer les économies de toute une vie, our les faire traverser les mers, qu'il s'agisse de la Méditerrannée, ou qu'il s'agisse de la Manche, quel discours tenir, des lors, que l'organisation internationale, dont il est question, INTERPOL, et que je cite toujours, comme référence (quelle erreur de ma part...), met à sa tête, un homme à côté duquel, un "vulgaire passeur", passerait, pour un bienfaiteur de l'humanité....

 Sinon, dans la même veine, on pourrait nommer Marc Dutrou, à la lutte contre la pédophilie, aussi, non ?

 Alors, je sais, on pourra le répondre EUROPOL.....C'est que je n'ose imaginer, personnellement, ce qui s'y traffique, pour le coup.....

 Quand aux rafales, produits par l'industrie de l'armement français, excuse moi, j'ai une petite larme, qui coule, vraiment.....

 Quelle honte...... Quelle honte... Quelle honte... Quelle honte.

 Au fait, pour la super java, sans masque, hein, et sans geste barriere, pour le coup, tant qu'à faire, dans toutes les formes de criminalités, qui existe, je vous dispense de la liste, hein, le champagne, bien sûr, un bon petit champagne, BIEN FRANCAIS !

Vincent Bolloré, le taliban du christianisme à la française.

Par Le 26/11/2021

Hier matin, tres tôt, comme à mon habitude, j'ai travaillé sur son cas.

 Le pourquoi de m'en prendre à un homme aussi puissant (sic!), réside dans un article, que j'ai trouvé dans le journal, "la CROIX", absolument passionnant, que je pourrai qualifier cependant, par certains aspect, comme lui étant visiblement, quelque peu favorable.....

 Quoi, qu'il en soit, si ce jugement est pour le moins subjectif, il n'en demeure pas moins, qu'il est si "riche", de détails, de données, et de renseignements, sur le bonhomme, qu'il m'a semblé parfaitement digne d'être lu, par une population, allant bien au delà, des cathos, si avertis soient ils, par le journal "la CROIX".

 Une fois enregistré mon travail, trois heures au bas mot, j'étais super fière de mon oeuvre, bien que relevant d'aventage du sentiment d'avoir fait mon devoir, que d'y avoir trouvé du plaisir.

 Soit, c'était fait....

 Quelle ne fût pas ma surprise hier soir, d'observer, que mon article, avait mysterieusement disparu de mon ordinateur....

 Je pourrai m'en plaidre, c'est vrai. mais les voies d'internet sont impénétrables, aussi, n'ai je aucun doute sur le fait, que celui qui l'a récupéré, en aura fait le meilleurs usage, et c'est bien là l'essentiel...

Cette "disparition", sur mon ordinateur, malgré la gravité du sujet, étant à mes yeux, tellement moins grave, que s'il avait été question du même processus purement artistique !

 J'en garde assez en mémoire, pour ce qui concerne les formules les plus essentielles, pour les recycler en calligramme, ce qui ne manquera aucunement de piquant, si picturales soient elles.

 Quoi qu'il en soit, lisez bien cet article, et jugez par vous même à présent, je crois qu'on peut commencer à en rire..... Parce que Vincent Bolloré qui collectionne dans son petit porte feuille (trop mignon, le milliardaire...), des images pieuses, comme un gamin mordu de foot, collectionne les images Pannini, franchement, j'ai beaucoup ri !

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L’industriel aux origines bretonnes est un catholique affirmé. Dans les médias qu’il rachète, quelques programmes, discrets, rappellent « les fondamentaux de la foi », tandis que, depuis 2016, sa chaîne d’info CNews promeut de manière intensive les vertus d’une France chrétienne. Pour quelle vision ?

La scène se passe en novembre 2012. Un prêtre, le père Vincent Grodziski, est en pleine réflexion quant au transport à Paris de quelques os de la main droite de saint Jean Bosco lorsqu’il reçoit l’appel d’un certain Vincent Bolloré, dont il n’a jamais entendu parler. Le grand patron français rêve que les reliques fassent étape au Foyer Jean-Bosco, un ancien couvent du 16e arrondissement parisien dont il vient de financer la rénovation à grands frais. « Ce serait formidable, un signe extraordinaire !, s’enthousiasme l’industriel au téléphone. Si cela coûte de l’argent, ce n’est pas un problème. Je finance tout. » « Monsieur, c’est impossible, le parcours des reliques est millimétré »,lui répond le prêtre. « Alors je vais être très franc. J’ai vraiment beaucoup d’argent »,reprend l’homme dont la fortune est estimée à plus de 8 milliards d’euros. Les reliques finiront par lui être livrées. Gratuitement.

Il est comme cela, le catholicisme de Vincent Bolloré, un peu rétro. L’industriel, qui aura 70 ans le 1er avril 2022, n’a pas répondu aux sollicitations de La Croix L’Hebdo.Mais iln’a jamais fait mystère de sa foi « un peu enfantine », comme il a pu lui-même la qualifier. Il aime les reliques. Les images de saints qui épaississent son portefeuille (son préféré serait Antoine de Padoue). Les médailles miraculeuses – celle qu’il porte au cou, celles qu’il peut offrir à des collaborateurs en marge d’un conseil d’administration. Et cette statuette de la Vierge de Lourdes qu’il montre aux visiteurs de passage dans son bureau. « La première fois que j’ai rencontré Vincent Bolloré, il m’a tout de suite parlé de la foi du “charbonnier”, je crois que c’est le mot qu’il a utilisé, confirme un bon connaisseur de son mécénat. Il m’a dit : “Je crois à tout ce qu’il y a dans les Écritures”. Y compris à ce passage de l’Évangile selon Matthieu : “Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche de rentrer dans le royaume de Dieu.” » Vincent Bolloré s’inquiéterait-il du salut de son âme ?

Le grand patron est surtout « sincèrement inquiet » pour la France, selon plusieurs sources qui le disent soucieux d’en freiner la déchristianisation. « Pour lui, une certaine vision de l’homme est aujourd’hui menacée », croit savoir Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, qui le voit régulièrement (Vincent Bolloré possède un pied-à-terre à Saint-Tropez). Est-ce pour cela qu’il étend, depuis la fin des années 2000 son contrôle sur les médias (lire p. 27) ? C’est en tout cas ce qu’espère une partie de la droite catholique. « Vincent Bolloré a créé un contexte où il est redevenu possible d’exprimer et même de promouvoir des convictions et des références chrétiennes à la télévision, poursuit avec bienveillance l’évêque de Toulon. Il permet de remettre de la transcendance là où elle avait disparu. »

De la transcendance, il en est certes question chaque fin de semaine sur CNews, la chaîne d’information en continu modelée par Vincent Bolloré, mais cela n’irrigue guère la programmation. « Vous regardez la grille de la chaîne et vous voyez bien où c’est positionné. Le dimanche, voilà, à sa place », commente le journaliste Philippe Labro, conseil de Vincent Bolloré lors de son lancement dans les médias en 2005. Le reste de la semaine, place aux « convictions ». Les journalistes et chroniqueurs de CNews ne sont pas tous croyants mais partagent l’idée que la France doit « réaffirmer ses racines chrétiennes ». Vincent Bolloré n’a toutefois pas voulu créer une chaîne explicitement catholique. « Non, pour moi, l’impulsion est plus civilisationnelle, confirme la journaliste Charlotte d’Ornellas (CNews, Valeurs actuelles). Le trait commun sur CNews c’est : Quelle est notre identité ? Qui sommes-nous ? » Le christianisme est essentiellement utilisé comme un repère identitaire. Illustration : le 15 août dernier, CNews organisait un direct de Lourdes pour l’Assomption, un « moment d’unité nationale », selon le présentateur de cette édition spéciale, Aymeric Pourbaix, qui parlait également d’une fête « fédératrice », pour « les croyants et les non-croyants ».

Le milliardaire a fortement encouragé cette ligne, qui pourrait aujourd’hui s’étendre à d’autres médias, en recrutant personnellement, en juin 2019, la future star de CNews, Éric Zemmour (les deux hommes se sont encore vus en octobre). Le christianisme est plus qu’un repère pour ce dernier. Il est une arme : « Pour contenir l’offensive islamique, il faut un vrai renouveau de la religion chrétienne, qui incarne l’identité de la France », affirmait le polémiste de 63 ans le 14 mai dernier sur CNews. Le probable candidat à la présidentielle et son ancien patron (1) sont-ils pour autant alignés idéologiquement ? Certains proches de Vincent Bolloré doutent de son adhésion à toutes les thèses de l’essayiste, et mettent plutôt en avant son goût pour la provocation et son horreur du « politiquement correct ».

« Notre ligne droitière, tendance revanche de la chrétienté, c’est d’abord un projet marketing »,jure une source à la rédaction de CNews, qui rappelle que la chaîne avait d’abord voulu faire de l’information positive (sur C8, une autre chaîne de Vincent Bolloré, une grande place est d’ailleurs laissée au divertissement, avec l’animateur Cyril Hanouna). « Au départ, sur CNews, le projet était de faire du feel good, d’éviter les informations anxiogènes, ajoute cette source. Mais Vincent Bolloré s’est aperçu que ça ne marchait pas, alors il a laissé les rênes à Pascal Praud. » L’ancien journaliste sportif de 57 ans, devenu animateur de débats d’actualité, aurait lui-même recruté la plupart des chroniqueurs de la chaîne.

Parfois, des téléspectateurs trouvent que la ligne droitière va trop loin. Le catholicisme est alors à nouveau utilisé pour les reconquérir. C’est ce qui permet de comprendre le projet de CNews, plutôt inattendu, de retransmettre la messe de Noël 2021 depuis Trappes (Yvelines). Au départ de cette idée, un coup de fil récemment passé par le préfet des Yvelines Jean-Jacques Brot à Vincent Bolloré. Le haut fonctionnaire se serait agacé auprès du grand patron que Pascal Praud et ses chroniqueurs parlent sans cesse des problèmes d’insécurité et d’islamisme à Trappes. Vincent Bolloré aurait alors demandé à son présentateur vedette de calmer le jeu. Et quelques semaines plus tard, la chaîne recontactait la préfecture avec comme projet de mettre en valeur des « initiatives positives » du territoire, si possible chrétiennes, et de retransmettre la messe de Noël. Un projet validé par le diocèse de Versailles.

Mais Vincent Bolloré ne peut pas tout gérer en direct. Pour le seconder sur certains sujets, il s’est adjoint les services d’un chapelain : l’abbé Gabriel Grimaud. Ce prêtre atypique, ordonné en1977, est d’abord passé par plusieurs paroisses parisiennes avant de devenir aumônier dans l’enseignement scolaire, notamment à la Maison d’éducation de la Légion d’Honneur à Saint-Denis(2000-2021). Réputé bon prêcheur, il cultive la discrétion. Il n’a pas répondu à La Croix L’Hebdo etrefuse toute interview, mais laisse courir sa plume sous divers pseudonymes (Défendente Génolini, Alexamenos…) dans plusieurs titres catholiques, dont ceux de Vincent Bolloré. « Oh la vache, faut pas qu’on parle de moi ! », se serait exclamé l’abbé Grimaud à la mi-septembre en découvrant le petit chapitre qu’Éric Zemmour lui a consacré dans son dernier livre (2). L’essayiste y évoque « les relations ambivalentes » qui lient ce prêtre, fils de pied noir algérien, au grand patron. « C’est Don Camillo, écrit Éric Zemmour. Il en a l’accent, la faconde, le goût de la castagne. Ce n’est pas le communisme qu’il craint, mais l’islam. (…) Une complicité entre nous naît spontanément d’un combat commun. Nous sommes engagés dans une lutte pour la survie de la France telle que nous la connaissons. »

Le milliardaire et son abbé

On dit l’abbé Grimaud confesseur et directeur de conscience de Vincent Bolloré. Le prêtre, grand collectionneur de barrettes ecclésiastiques, le laisserait volontiers entendre. « Grimaud est un abbé de cour, un peu caractériel, qui se rêve en père Coton (le confesseur d’Henri IV et de Louis XIII, NDLR), en conseiller du prince », grince une source qui l’a fréquenté plusieurs années. « En vingt-cinq ans d’amitié, il ne m’a jamais confessé », a récemment corrigé Vincent Bolloré, selon plusieurs sources. Le prêtre est en revanche un intime de la famille. En 2009, c’est lui qui célébra les funérailles de Monique Follot, la mère de l’homme d’affaires.

L’abbé Grimaud gravite depuis longtemps dans l’ombre du grand patron, qui l’a installé comme directeur du Foyer Jean-Bosco (qui accueille aussi 160 lits destinés à des étudiants). Le prêtre est aujourd’hui le grand ordonnateur de ses œuvres catholiques. C’est notamment lui qui flèche une partie de ses dons, l’aidant à s’y retrouver dans la masse des demandes. « Si vous saviez comme je suis sollicité, j’en perds la tête », écrivait-il y a quelques années Vincent Bolloré à une religieuse en mission à Yaoundé (Cameroun).

Surtout, le prêtre pilote en sous-main l’intégralité de ses émissions de spiritualité. Quand Vincent Bolloré lance le programme « Dieu merci ! » sur Direct 8 en 2005, le nom de l’abbé Grimaud n’apparaît nulle part au générique. En coulisse, c’est pourtant lui qui est aux commandes. La ligne Grimaud est pieuse, conservatrice : les grands saints, les grandes fêtes… Surtout, il faut mettre à l’antenne ce dont l’Église d’aujourd’hui « n’ose plus parler » : les anges, le péché, l’Enfer, le Paradis… Du choix des invités à celui des journalistes, cet ancien aspirant à la vie monastique maîtrise tout. À l’époque, les conférences de rédaction se déroulent le lundi matin dans son petit appartement de la rue Dante (Paris 5e). Un ancien collaborateur raconte les coulisses des choix éditoriaux : « Un lundi, l’abbé Grimaud m’a dit : “On ne parle plus du diable”. Alors on a fait une émission sur le diable. » Un autre journaliste ajoute : « Il fallait aller chercher des intervenants toujours plus tradis. C’est sur notre plateau que le père-abbé du Barroux (communauté traditionaliste du Vaucluse, NDLR) a fait sa première télé ! »

L’abbé Grimaud a choisi ses hommes de confianceau foyer pour étudiants des Francs-Bourgeois, qu’il a dirigé entre 1989 et 2001. C’est là qu’il rencontre la petite garde rapprochée qu’il enverra plus tard dans les médias de Vincent Bolloré pour « évangéliser » et « rappeler les fondamentaux de la foi ». Parmi eux, Guillaume Zeller (ancien directeur de Direct 8 et d’iTélé, aujourd’hui à Vivendi), Hadrien Lecœur (« Dieu merci ! ») et Aymeric Pourbaix. Ce dernier a été placé à la tête du dernier programme du genre, « En quête d’Esprit », lancé à la toute fin du premier confinement, en mai 2020, à la demande de Vincent Bolloré. « À cause du Covid, on ne parle que de souffrance, de mort. Il faut parler de Dieu », aurait dit le grand patron. « Le cahier des charges que j’ai reçu de Vincent Bolloré, c’est de redonner une place à la spiritualité dans le PAF, raconte Aymeric Pourbaix. Mais la ligne se construit émission après émission. J’ai une grande liberté. » Sans doute. Mais Aymeric Pourbaix partage avec l’abbé Grimaud, qui le conseille et dont il est très proche, le souci de porter à l’écran un catholicisme bien particulier.

Le 4 juillet dernier, son émission consacre ainsi quarante-cinq minutes à Yvonne-Aimée de Malestroit, « un personnage fascinant, un monument de charité dont on célèbre cette année le 70e anniversaire de la mort ». Pourquoi donner une telle visibilité à cette mystique, dont le procès en béatification est en panne au Vatican ? Les témoignages de sa « bilocation », son don de se dédoubler, ont toujours suscité la méfiance du Saint-Siège, qui avait un temps interdit la publication de tout livre la concernant. Aymeric Pourbaix ne le dit pas à l’antenne, mais cette religieuse assista dans son agonie le grand-père de Vincent Bolloré, mort le 16 janvier 1935, dans son appartement parisien de l’avenue Foch (3).

De temps à autre, les émissions de Vincent Bolloré et son hebdomadaire France catholique (il le rachète en 2018, et place à sa tête Aymeric Pourbaix) mettent en avant le catholicisme qu’il aime. Et qui scande depuis toujours sa vie personnelle et industrielle, de célébration en célébration. La messe qu’il fait donner en l’honneur des défunts de sa famille chaque 16 janvier, jour de la mort de son grand-père René. Celle à laquelle il se rend en 2013 pour les 100 ans de l’équipe de football d’Ergué- Gabéric (Finistère), le village natal des usines et du patronage Bolloré. Cette messe d’action de grâce célébrée en 2017 pour les 195 ans du groupe, où le grand patron fit dire cette prière à Notre-Dame de Kerdévot : « Nous te prenons pour protectrice spéciale et te consacrons particulièrement nos personnes, notre groupe et tous nos biens matériels. » Celle, encore, pour laquelle il eut du mal à trouver un prêtre disponible l’été dernier, célébrée dans la chapelle en ruines de son île privée des Glénan. « Son attachement aux saints, aux chapelles qui leur sont dédiées a souvent été confondu avec du traditionalisme. Mais sa dévotion est simplement bretonne », estime l’évêque de Quimper, Mgr Laurent Dognin, qui a plusieurs fois rencontré l’homme d’affaire.

À l’heure de la retraite

Ce goût pour la piété apparaît parfois loin de l’actualité. La liste des dernières émissions d’« En quête d’Esprit » en dit quelque chose. 19 septembre : « Comment sauver les églises de France. » 29 septembre : « Les anges sont-ils de retour ? » 10 octobre, cinq jours après la publication du rapport sur la pédocriminalité dans l’Église, l’émission est intégralement consacrée au film Fatima. Aucune mention de ce qui secoue alors les catholiques français. « Notre silence est-il un déni ?,s’interroge dix jours plus tard le présentateur Aymeric Pourbaix, dans un édito de France catholique intitulé « Se taire ou parler ? ». Non, bien sûr. (…) Parfois même, le silence est une indication à demeurer prudents. Et il est aussi permis de se poser la question, sans pour autant tomber dans le complotisme : quand toutes les ondes tiennent le même discours, qui leur a appris cet hymne à l’unisson ? Ne peut-il y avoir un chef d’orchestre caché, et à quelles fins ? » Et l’émission de spiritualité, tout à la piété, apporte ainsi, et par omission, sa contribution au combat contre-culturel, anti-« politiquement correct », mené plus largement sur CNews.

Ainsi va Bolloré, pétri de convictions, de contradictions et d’intérêts multiples. À six mois de l’élection présidentielle, ce qu’il produit a un véritable impact sur la campagne, tant ses chaînes ont la capacité d’imposer leurs thèmes au débat public. L’industriel poursuit l’extension de son empire médiatique, tout en répétant qu’il quittera les affaires le 17 février 2022. Son ami socialiste Bernard Poignant en doute, sans savoir exactement de quoi sera faite sa retraite, qu’il imagine plutôt active : « Je le vois bien monter une grosse fondation un peu à la Bill Gates. » Du caritatif, de l’aide au développement… L’hypothèse s’appuie sur cette confidence que l’industriel fit un jour à l’ancien maire à l’occasion d’un vol Paris-Quimper : « Tu as de la chance toi, quand tu seras devant Dieu, tu auras moins de problèmes que moi. »

Le mécénat catholique de Vincent Bolloré (lire p. 25), peu institutionnel et très émietté, est pour l’instant dur à interpréter. Le milliardaire donne, ou a donné, à de très nombreux monastères, souvent féminins (Petites Sœurs des pauvres, augustines, branche contemplative des dominicaines…). Rien, en revanche, pour la reconstruction de Notre-Dame. Difficile de passer après les centaines de millions d’euros vite dégainés par Bernard Arnault et François Pinault. Que faire, renchérir ? « Vincent Bolloré a trouvé qu’il ne fallait pas en rajouter. Cela risquait d’écraser tous les autres dons, ceux des gens plus humbles », plaide Bernard Poignant.

Non, décidément, le patrimoine n’est pas sa priorité. L’œuvre à laquelle réfléchit Vincent Bolloré serait avant tout spirituelle, et « dans le domaine de la fin de vie », selon deux sources qui en ont parlé avec lui. Les contours du projet seraient encore, et de son propre aveu, à préciser. Le milliardaire voudrait que chacun puisse « rencontrer le Christ » avant de mourir.

(1) Éric Zemmour a quitté la chaîne en septembre après la décision du CSA de comptabiliser son temps de parole.

(2) La France n’a pas dit son dernier mot, Rubempre, 352 p., 21,90 €

(3) Cette histoire est relatée par le journaliste Jean Bothorel dans Vincent Bolloré. Une histoire de famille (2007).

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 Comme il faut toujours une bonne chute à un sketch, je vous offre gratis (pléonasme), la chronique d'Aymeric Lompret, que j'ai vu à l'espace Beaumarchais, il y a quelques semaines,  oui, je sais, j'en a vais pas parlé, parce que j'en avais pas trouvé le temps.

 Excellente soirée, qui m'a incité à reprendre mon trail, sur l'humour, dont le titre, va vous en dire bien long et qui est le suivant: "Ils ne respectent rien".

 A consommer sans modération, ça va sans dire.

https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-d-aymeric-lompret/la-chronique-d-aymeric-lompret-du-jeudi-25-novembre-2021

https://www.la-croix.com

 

Madagascar, première famine due exclusivement, au réchauffement climatique.

Par Le 23/11/2021

Celle qui est la plus médiatisée en tout cas , et ça n'est, helas, que le commencement de ce qui attend l'humanité, dans différentes parties du monde, à cause du réchauffement climatique.

 En cours de commentaire.

Chasse ? La tradichion, cha a du bon !

Par Le 23/11/2021

A l’occasion des présidentielles qui approchent, les écologistes sont accusés d’instrumentaliser la chasse.

 Alors chacun, y va de son refrain, avec comme bouclier, une relative mauvaises foi, qui est n’en déplaise au président de la fédération des chasseurs, beaucoup plus de leur côté, que du côté des écologiques.

  Je suis fille de chasseur, et je connais assez bien ce milieu-là….

 Le coup du protecteur de la biodiversité, objectivement, c’est amusant.

mais « il en existe »…

Bien moins, que ce que ces messieurs, aimeraient nous le faire croire.

 Pour commencer, la biodiversité ne concerne pas uniquement la faune, mais aussi la flore, puisqu’une faune donnée, est rigoureusement indissociable d’un biotope, qui lui correspond.

 Ors, jusqu’à preuve du contraire, j’ai de gros doutes sur le fait, que les chasseurs connaissent effectivement la flore, qui correspond à la faune sauvage, sur laquelle ils assouvissent, ne leur en déplaise, leurs instincts mortifères.

 Certains chasseurs effectivement, entretiennent une flore, qui est sensée favoriser la vie et la reproduction de la faune sauvage, mais j’aimerai bien qu’on nous avance des chiffres, parce qu’objectivement, on sait tous, qu’ils sont très minoritaires.

 Du côté des ecolos, par contre, ils sont plus nombreux, je le soupçonne.

 Car oui, on peut aimer la chasse, et être écologiquement « fréquentable », contrairement à ce que croient certains écologistes, qui ne sont pas nécessairement des ultras ou des citadins, en mal de verdure.

 Yannick Jadot, propose que certains jours, ou certains moments, soient interdits à la chasse, comme les vacances scolaires, pour que les enfants, puissent en jouir, en toute sécurité…

 Si chacun était assez sage, pour faire un morceau de chemin, une alternative est parfaitement envisageable….

 Il n’y a de chasse, qui tienne la route, que le matin…

Pour moi, à partir de midi, on ne devrait plus entendre, le moindre coup de fusil, les choses seraient claires, et chacun y trouverait son compte.

 On vient de nous dire, qu’en tant que propriétaire de bois, (dont j’ai l’honneur de faire partie) il n’est pas cohérent, que le simple citoyen revendique, de jouir des bois, qui ne lui appartiennent pas….

 Prendre les citoyens pour des cons, ne plaide pas en leur faveur…

 En effet, une forêt d’état, est une forêt d’état, et donc, d’une certaine façon appartient au citoyen en question, dans une très faible mesure…

 Il peut arriver que pour certaines raisons précises, qui ne sont pas liées à l’activité de chasse, entretien, abattage, risque de tempête, sécheresse, et risque incendie etc, l’accès en soit interdit de façon ponctuelle, auquel cas c’est précisé, à l’entrée des routes et des chemins.

 Quand aux bois privés, parlons-en…

 Dans chaque bois privé, il existe ce que l’on nomme, « des chemins dus »,  sur lesquels, le citoyen à pied et NON MOTORISE est autorisé à circuler…

S’il s’écarte de ces chemins, qui lui sont dus, au même titre que certains chemins de randonnées, il est ors la loi.

 Le propriétaire généralement, des lors, qu’il n’y a aucune dégradation, fait preuve de tolérance sur ce sujet, des lors que les lieux sont respectés .

 Les chemins dus, sont consignés en marie, et chacun peut en prendre connaissance.

 Quand à la faune qui y vit, désolée, là encore, mais je considère que les animaux sauvages n’appartiennent à personne, je dis bien, PERSONNE, ils sont sensés aller et venir,  d’une propriété à une autre, sans que quiconque en principe, ne soit autorisé à ériger des grillages, clôtures, ou quoi que ce soit, entravant leur libre circulation…

 Je donne cette précision, parce que je sais, qu’il existe des gens, pleins au as, qui achètent des domaines, et qui se croient autorisés à les clôturer, ce qui devrait être interdit par la loi.

  Le propriétaire d’un bois privé, donc, n’a aucunement le droit de revendiquer d’être propriétaire des animaux qui vivent dans son bois et donc pas d’avantage, d’y faire sa loi, en matière de chasse, comme on le laisse entendre.

 Il est un point important, par contre, qui est soulevé, qui concerne le côté strictement financier.

 En effet, certains chasseurs, loues des sommes astronomiques, pour avoir le droit de chasser, dans des forêts domaniales…

Sans ces rentrées d’argent, il y aurait un manque à gagner non négligeable, mais je n’ai aucun chiffre.

 Il est un point, qui me semble fondamental, qui n’est jamais abordé, qui réside dans le fait, que certains chasseurs, nourrissent les sangliers, l’hiver, ce qui devrait être formellement interdit, et entrainer des poursuites…

 En effet, dans beaucoup d’endroits, on se plaint désormais, d’une augmentation inquiétante de leurs nombre, ce qui coûte cher aux agriculteurs, (qui représentent désormais, une part très faible des chasseurs, contrairement, à il y a 30 ans), au point que la FNSEA réclame dommages et intérêts, aux fédérations, de chasseurs….

 De façon générale, le fait d’élever des animaux, dans le seul et unique objectif d’organiser des lâchers, pour permettre à des chasseurs, d’assouvir leur instinct sadique, devrait être purement et simplement interdit par la loi.

 Et qu’on ne vienne pas nous raconter, que ça mettrait en difficulté, les éleveurs amateurs, qui en vivent, « un tant soit peu, SVP…

 En inde, vous avez les agriculteurs qui se font des couilles en or avec la culture du pavot somnifère, qui alimentent le traffic de drogue, partout dans le monde, on ne va pas se mettre à cautionner l’opium, sous ce seul prétexte, non ?

 Et bien l’élevage des animaux à des fins, de lâchers au bénéfice des chasseurs, c’est exactement pareil.

J'ai encore un truc à rajouter,  au sujet du fait que certains se sentent mal aimés, au seul pretexte, qu'ils sont chasseurs, et je dis ça, "sans rire".

 Une des raisons profondes qui explique, cette sorte de fixation qu'on fait sur les chasseurs, et vous m'en voyez vraiment désolée, repose sur le fait que de façon inconsciente, ils sont inclus dans le lobby des armes à feu, et qu'en cas d'une conversation qui  tourne mal, il est bien difficile d'imaginer qu'un mec qui porte un fusil, y compris s'il n'est pas un con ou ce qu'on appelle un "viandart", présente un danger potentiel, pour peu qu'il soit simplement énervé, ou contrarié...

 C'est d'inconscient, dont je parle là....

Moi, qui communique facilement, pourtant,  fille de chasseur, je n'ai jamais eu le moindre problème de quelque nature que ce soit, avec quiconque aurait porté une arme....

 De façon, inconsciente, si je vois un mec, qui porte une arme, quelle qu'elle soit, par reflexe je pense, "j'espère, qu'il est assez intelligent pour ça"....

 Vous comprenez, ce que je veux dire ?

 En ce moment, on parle des violences faites aux femmes, ces jours ci particulièrement.

 A chaque fois qu'une femme est menacée de mort, et dépose plainte, etc, la première chose que fait la police c'est de perquisition, pour vérifier si au domicile, il y a des armes à feu, parce que c'es ainsi, dans la très grande majorité des cas, que les femmes se font tuer...

 Je ne prétends pas, qu'il existerait un lien direct, entre le phénomène de chasse et la violence faite aux femme, je précise.

 J'explique simplement, que de façon inconsciente, si beaucup n'aiment pas les chasseurs, il ou elle fait le lien entre les deux...

 D'ailleurs, c'est assez simple...

 Vous allez assister à un concours d'éloquence, et regardez bien...  Je puis vous certifier, qu'absolument aucun d'eux, n'éprouvent le besoin, de venir armé, ni avec n'importe quelle arme, et pas d'aventage, avec un fusil de chasse !

 Il doit bien y avoir une raison, tout de même, non ?

 Ce que je veux dire, c'est que de façon inconsciente, le fait de revendiquer un lien avec les armes à feu, traduit une predisposition, à l'incommunicabilité. Et là, pour le coup, c'est pas de doute, dont il est question, mais bien de certitude.

 Et toc ! 

 

 Petite précision, en y repensant...

 "Est ce que si je croise un militaire, ou la police armée, comme on a pu en voir dans des lieux publics, gares, etc, relativement au risque attentat, ça me fait peur aussi ?

 Non, parce que sur le sol français, je sais qu'il ont reçu une formation adaptée, et qu'on n'autorise pas n'importe qui, à porter des armes...

 Mais en dehors du sol, européen, ou aux USA, claiement, OUI.

la drogue, en banlieue, banale, ordinaire, au quotidien.....

Par Le 22/11/2021

https://www.franceinter.fr/emissions/interception/interception-du-dimanche-07-novembre-2021

https://editions-sydney-laurent.fr/livre/addictions-prendre-le-mal-a-la-racine/

 Je vous signale d'autre part, que l'émission "grand bien vous fasse", commence un cycle consacré aux addictions, qui risquent de voir leur progression augmenter plus encore, avec le retour du covid.

https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-lundi-22-novembre-2021

 peut être que certains, se disent, "à quoi bon, qu'est ce qu'il y aurit de nouveau, sur ce sujet " ?

 Et bien precisement, les choses bougent, un peu, sur le plan medical, aussi, il n'est pas inutile, d'aller le verifier.

 Plusieurs astuces sont proposées, par exemple, pour déterminer pour soi, de façon objective, si l'on est addict vraiment, ou si c'est un point de vue subjectif, qu'on vous renvoie, ou que vous pensez de vous même.

 Il est bon aussi de noter, qu'une mise au point est faite sur le notion de volonté, qui, aux yeux de certains, serait la seule et unique condition pour s'en sortir, ce qui est clairement faux.

 Un point, m'a interpellé, aussi, au sujet du CBD.....

 Visiblement, avoir pris, du CBD, rend un contrôle contre le cannabis positif, et donc, expose à une amende, ce qui ne devrait pas, en théorie... Je n'ai pas la solution à ce problème.

https://www.drogues.gouv.fr/actualites/cannabidiol-cbd-point-legislation

 

 

Cathos, le nouveau missel est arrivé !

Par Le 21/11/2021

Pourquoi, c'est iportant ?

 Parce que le pape François, ainsi que ses conseillers, ont éprouvé le besoin de faire du ménage, dans le missel qui etait utilisé jusqu'à maintenant.

 Quelque chose me dit, qu les autres cultes, seraient eut être bien inspiré, d'en faire autant...

 Sinon, "nouveau missel, nouveau vin de messe", à partir de maintenant, ça va être du Beaujolais nouveau au moment de la communion ! (désolée, j'ai pas resisté).

 Bon, certains vont pretendre, que pour quelqu'un, qui a écrit un livre sur les addictions, ça ne serait pas tres raisonnable...

https://editions-sydney-laurent.fr/livre/addictions-prendre-le-mal-a-la-racine/

 De toute façon, moi, j'ai un copain de boisson, à nous deux, on est pilliers de bistrot, il s'appelle "Modération", c'est son p'tit nom, et puis quand la fin justifie les moyens....

https://www.la-croix.com/nouvelle-traduction-Missel-2021-11-19-1101185898

Vous croyez en Dieu ? Les évangélistes, fuyez les à toute jambes...!

Par Le 20/11/2021

Je viens de tomber, sur leur pub, sur FB....Comme ils ne risquent pas d'autoriser mon post sur leur groupe, pensez donc, je pose ici, CHEZ MOI.

  Je suis tellement triste, de voir à quel point certains humains, sont absolument prêts à tout, et n'importe quoi, pour semer non seulement la zizanie, mais aussi la haine, entre croyants, pour mieux en faire leur beurre et s'enrichir....

Je suis personnellement pour une approche philosophique, du fait religieux, qui restitue à l'être humain, sa capacité à juger quiconque, tente de l'instrumentaliser, ce qui n'exclue en rien, je le précise, le fait de croire en Dieu.

Ressaisissez vous, je vous prie, et ne suivez pas ces manipulateurs qui vous invitent à laisser vos neurones ainsi que votre cœur au vestiaire...

Les évangélistes, qui sont une ramification du protestantisme (lui, n'étant pas toxique à la base), n'en veulent qu'à votre argent, ils pratiquent, comme le font les musulmans intégristes, ce qu'on appelle en psychologie, "le lavage de cerveau", leur idéologie relève de pratiques sectaires, et cautionnent, c'est vous dire, ce qu'on appelle sociétalement, "l'enrichissement personnel", et le carriérisme, c'est ce qui explique, précisément, qu'ils ont été responsables, aux USA, de l'élection, de donald trump...

Les évangélistes sont à fuir à toute jambes, si tant est que vous ayez encore, ce qu'on peut appeler, "une conscience" morale.

 

 

Vers une chronicité des différents covids, vaccination, made in France, et les seringues, on fait quoi ?

Par Le 12/11/2021

 Alors que se tient à Paris, ces jours ci, le salon du "made in france", qui, vu le covid et ses repercussions, prend de plus en plus de place, on nous vante ls merites de tout ce qui est fabriqué en France, à juste titre, quand on cherche à consommer plus locavore, l'OMS vient d'emetttre un bulletin, d'alerte général, sur le fait, qu'on risque de manquer d'aiguilles, pour faire les vacccins...

 Je parle, là, dans le titre, de chronicité, du covid, qui nous incite à penser, qu'il va peut être devenir necessaire, de se faire vacciner, les années à venir, tous les 6 mois, éventuellement.

 Personnellement, j'ai fait mon rappel il y a quelques jours,  et je recommande à chacun de le faire, dès qu'il correspondra, à l'âge requis....

 Alors, qu'au lieu d'aller caresser le cul des vaches au salon de l'agriculture,  chaque suposé, potentiel, ou véré candidat, cherche à s'accapparer, le made in France, personne ne parle de cette histoire d'aiguilles, au sujet de la politique de prévention du covid par la vaccination, alors que cette alerte, emanant de l'OMS, est bel et bien parfaitement vérifiable, puisque les différentes mutations du covid vont nous obliger à nous faire vacciner, et qu'on sait, que ces seringues, sont produites, ors exagone.

https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccin-covid-qui-fabrique-les-aiguilles-qui-nous-vaccinent-f9040bae-f079-11eb-b6b9-482c631f8039

26 decembre 2021.

 Sur FB, on parle du vaccin, la troisième dose.

Personnellement, jamais eu le moindre effet secondaire.

   D'autre part, au sujet du fait d'aller vers une forme de chronicité du covid, et le fait de devoir se faire vacciner à intervalles réguliers ne me pose aucun souci.

   En effet, nous somme fort nombreux à être contraints de prendre un comprimé, chaque matin, parce qu'on n'a pa le choix, pour des pathologies chroniques, comme c'est mon cas, (hypothyroïdie).

  Et on n'en meurt pas pour autant.

  Les aiguilles utilisées à présent pour les vaccins, sont vraiment très fines, et on ne sent rien quasiment. Pour ce qui concerne le lobby des laboratoires pharmaceutiques, et leur enrichissement, au sujet du covid, gratuité des brevets, etc, c'est une autre histoire, je pense qu'il ne faut pas tout mélanger.

  D'un côté sauver nos vies, et celles des autres, accessoirement, d'abord, et d'autre part, militer politiquement, au sujet du système de santé, l'un n'empêche pas l'autre.

  Pour prétendre militer il faut juste veiller auparavent, à ne pas terminer entre quatres planches de sapin, en amont du problème.

 

Face aux arnaques, et prélèvements injustifiés, sur votre compte en banque, qui fait quoi ?

Par Le 10/11/2021

Je vous copie colle, ici, un courrier que je viens d'envoyer à mon assureur,  qui vient de m'informer que depuis le 10 octobre,  le prélèvement, pour régler une facture, n'a pas pu se faire.

Bonjour.

 Je vous  décris la situation...

 Suite à des prélèvements abusifs et anormaux sur mon compte en banque de la Caisse d'Epargne, j'ai du faire opposition à ma CB...

C'est pour cette raison, que vous ne parvenez pas à opérer le prélèvement, ça n'est pas une histoire de provision, sur mon compte, et quand bien même, je dispose de fonds, autre, sur un autre compte..

Comme vous devez le savoir,  je suis sous curatelle renforcée.

 J'ai informé de cette situation, ma curatelle (XXXXXXXXX), à l'UDAF, afin, qu'elle fasse le nécessaire, (aupres de ma banque), pour que tout rentre dans l'ordre,  que j'ai de nouveau, une CB, et que les prélèvements reprennent, comme pour les autres prévus, au sujet des charges, autres que les votres.

 La curatelle ne bouge pas d'un poil, et ne fait rien...

 Je suis contrainte personnellement,  d'aller chercher du liquide à la banque, pour ne faire mes courses, qu'en liquide pour cette raison....

 J'ai une question, en fait, est ce que je peux, moi, prendre la somme en liquide, à la banque, et passer dans une agence, pour régler cette facture ?

Merci de m'informer de la suite des opérations.

Cordialement.

Françoise Niel Aubin.

 Ma question, est donc, la suivante, quand on voit l'incroyable merdier dans lequel on se trouve, quand on choisit le prélèvement automatique, la lourdeur administrative, et en ce qui me concerne, plus encore, avec l'UDAF, qui constitue, sur ce point, une etape supllementaire, les auteurs des anaques, ont decidement, de beauc jours devant eux...

 En effet, les banques, elle, se foutent perdument, de sa voir, que ces quelques dizaines d'Euros, s'envolent, dans la nature, vous facture les aggios,  et ce sont toujours, les mêmes qui trinquent, et qui plus est lisant ces lignes, choisiront de s'écraser, ne pas faire opposition et continuer à se faire arnaquer, de eut d'être completement empétrés, dan ces histoires de preflevements automatiques.

 En resumé, s'il y a quelqu'un, qui n'a surtout pas à se plaindre, des arnaques, sur internet, ça n'est certainement pas les banques....

https://www.lille.fr/Vivre-a-Lille/Mes-aides/Aide-juridique/Partenaires-associatifs/Association-francaise-des-usagers-de-banques-AFUB

 

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"Je m'appelle Françoise", et j'emmerde zemmour.

Par Le 06/11/2021

Cl'in d'oeil, à une chanson, d'il y a quelques années, ça ne nous rajeunit pas, tout ça......

https://www.youtube.com/watch?v=qxaQ1NrNML4

 Je ne mets que le lien, pour que  vus puissiez a voir les commentaires, en dessous, ainsi que les paroles.

 Bon, de mes deux grand mères,  aucune ne s'appelait Françoise sinon, rien à redire.

 Il y a quelques jours, un documentaire sur zemmour, assez objectif, plus que lui, ne l'a jamais été, ce qui n'est pas s compliqué, je dois dire, montrait, la face cachée, de zemmour.

https://www.youtube.com/watch?v=MfXuftlJYb4

 Il ne s'agit que d'un extrait, personnellement, j'ai épluché tout le documentaire.

Le père le pen, « quand il parle comme moi, je l’approuve »., c’est sûr, c’est à ça qu’on reconnait les intolérants, et les psychorigides, ils ne sont capables de prêter attention, qu’à ceux qui partagent les mêmes idées, et donc, sont incapables de débattre démocratiquement, comme sur un plateau télé, par exemple, sans jouer les orateurs et user de méthodes peu recommandables.

 « Pour ses fans, une mélodie apaisante »…

 Un peu comme dans une moquée, donc, où la prière ressassée en boucle, dans un effet parfaitement anesthésiant, répète toujours la même chose.

Je n’aime pas, ce qui anesthésie la faculté de penser, quelque soit la religion dont il serait question.

 Je parle de mosquée, par provocation face à leur islamophobie, bien sûr, mais plus largement, c’est exactement selon ce processus que fonctionnent, tous les mentors toxiques, qu’ils soient djihadistes ou pas, n’oublions pas que Hitler a été élu démocratiquement, ce qui en dit long.

 Quand je parle d’anesthésie du cerveau, je pèse mes mots, on parle d’apaisement, donc, du côté soporifique, au point que dans le commentaire, le père le pen, s’endort.

« Il ose tout, c’est à ça, qu’on le reconnait »… C’est ce que Audiart disait des cons, justement…

 C’est quoi, un con ? En dehors d’un contexte spontané, où on l’est tous, aux yeux de certains, le vrai connard, ou la vraie connasse, se reconnait dans ce qu’il ou elle insiste et perdure dans sa position, en dehors de toute spontanéité, et après réflexion, c’est quasiment révélateur, d’une absence totale de ce qu’on appelle, « la conscience », notamment, celle de discerner, le bien du mal .

Sur le plan psychologique, il apparait nettement comme un profil parfaitement psychorigide, incapable de supporter ceux et surtout celles, qui revendiquent de le contrer, ou d’argumenter solidement, contre ses théories qui sont en très grande majorité, considérées comme mensongères.

 Ecrivain, puis par le biais au fur et à mesure, de sa « popularité » dans les médias, devenu millionnaire.

 Pour ceux, qui douteraient de son côté psychorigide, j’en tiens pour preuve, ce qui est décrit par ses collègues de travail, au début de sa carrière, en tant que prétendu, journaliste…

 Il fût très mauvais, déjà, précisément, à cause de cette psychorigidité.

 Je suis toujours, admirative, quand j’observe des présentateurs, des chroniqueurs, qui, parlant de quelqu’un, qui ne partage pas leurs idées, par déontologie professionnelle, les laissent s’exprimer, sans se mettre en colère….

 Aux antipodes de zemmour.

 Pourquoi, est ce si important ? Parce que quand on ambitionne de diriger un pays, il faut savoir s’entourer,  de personnes plus spécialistes, dans chaque secteur, et plus compétentes que soit, ce dont il est incapable.

 20 ans d’outrance.

 Par bien des côtés, il se rapproche, d’un donald trump, sur ce point, le parallèle d’ailleurs est loin d’être déplacé, aussi trump a-t-il agi, en surfant sur un laps de temps plus court, avec l’entière complicité de la Russie, par hackers interposés, et avec la complicité de son gendre…

 Manipulations par internet de l’électorat américain, par usines de fake news interposée.

 Zemmour, n’en est pas encore là, et si ce parallèle doit nous donner à réfléchir,  il faut se garder d’observer ce parallèle, de façon obsessionnelle.

 Ensuite, on parle de son meeting, à Toulon, ville acquise à l’extrême droite.

 On peut voir que par ce biais, sur le plan stratégique, il est incapable d’aller faire son exercice prétendu littéraire, alors, qu’il n’est que politique, ailleurs que dans un fief, acquis à sa cause…

 Ce qui démontre une fois de plus, la psychorigidité.

« Cette guerre, nous coûte très cher », il dénature complètement, l’origine de la guerre dont il est question.

 Puis que la guerre, contre la délinquance, la criminalité, et tout ce que la justice doit assumer, n’est pas de nature ethnique ou culturelle, comme il le prétend, le véritable problème réside dans le fait qu’il est incapable, d’observer les maux de notre société, sous un angle, qui serait autre qu’islamophobe…

 Des lors, son propos est complétement biaisé, et politiquement mensonger.

 Si vous prenez par exemple, le phénomène de délinquance sur internet, en aucune façon ce problème ne doit être « coloré », d’une quelconque islamophobie, qu’elle soit culturelle, ou religieuse….

 Et pourtant, cette guerre-là, qui est omniprésente, nous coûte très cher, et n’est absolument jamais abordée par  zemmour….

 C’est en ce sens, que ce qu’il prétend là est politiquement, entièrement mensonger.

La référence à de Gaulles….

 C’est sûr, il peut difficilement faire autrement.

 Et pourtant, quand il prétend que Pétain aurait sauvé des juifs français, on est en droit de se demander à quel endroit, il situe la légitimité de son admiration pour de Gaulles.

 Je veux dire, qu’on ne peut pas, à la fois, respecter et vénérer Pétain, et en même temps de Gaulles.

Ensuite, nous passons, à Cnews….

 Gros dossier. Interrogé, il prétend, que lui, comparativement aux autres chroniqueurs, fait de la politique et l’assume.

 Et bien non, justement, il ne l’assume pas, puisqu’à Toulon, il revendique de venir faire la promo de son livre, alors que c’est un meeting politique.

 Là, encore, il ment.

CNews, refuse les demandes d’interview. Sur le trottoir, devant, une pancarte avec écrit dessus, « sol glissant »… Effectivement, en démocratie je confirme.

« Face  l’info devrait s’appeler  face à zemmour ».

 Je serai tentée de dire, « le mal est fait » .

 En effet, l’embrigadement dont il est coupable, déjà a fait des dégâts, dans l’opinion public.

 Oui, je parle bien là, d’embrigadement, puisque depuis pas mal de temps, déjà, les dirigeants de la chaine, étaient présent, en plateau, à la moindre de ses chroniques, lui déroulant le tapis rouge, comme jamais aucun politique sur le sol français, jamais n’a pas en bénéficier.

 C’était clairement alors, d’une dictature médiatique, dont il était question, exactement comme ça s’était produit au moment de la campagne présidentielle, qui avait amené donald trump au pouvoir, aux USA.

 Je parle, au passsé, parce que le CSA y a mis bon ordre, et la chaine a été contrainte, de se séparer de lui.

 C’est pour cette raison, que je dis « le mal est fait ».

 Pour ceux, qui seraient en doute, quand à cet aspect exclusivement « pro zemmour », je précise que dans le reportage, des chroniqueurs et des personnels de la chaine, décrivent bien la situation, le moindre chroniqueur, qui aurait face à zemmour, osé le contrer, et démonter ses théories,  était clairement recadré, ce qui signifie donc que « sous pression », il n’y avait jamais, face à lui la moindre possibilité, d’avoir un débat démocratique, ce qui est d’une extrême gravité, sur le plan démocratique.

 Et pour ceux qui en doutent, demandez vous, pour quelle raison, certains, justement encore en poste, aujourd’hui, sur cette chaine, apparaissent floutés, c’est bien, pour précisément, se protéger, d’un éventuel licenciement.

Zemmour était à l’époque, intouchable.

On voit ensuite, des extraits du manifeste, de la chaine, une fois attaquée, sur ce sujet, qui dit la chose suivante :

« le groupe agit en responsabilité, en contribuant au débat d’idées, et en défendant la liberté d’expression »….

Rien que cette déclaration là, croisée avec les témoignages qui précèdent, au point que les témoins ont demandé à ce que leurs voix soit maquillées, justifie des poursuites.

Ensuite, je cite : « il est impossible d’ignorer une voix, qui compte autant, le record d’audience, en témoigne ».

 Ces propos, là, sont particulièrement mensongers.

 En effet, la seule, et unique justification, qui est bien réelle, ne réside que dans le fait, que de faire de l’audience, a pour conséquence, que les annonceurs, publicitaires, paient les minutes de pub, qui encadrent l’émission, beaucoup plus cher, que si l’audience était moins bonne.

 Ce système, est celui, qui vaut, partout, dans les médias, et Cnews, ne fait pas abstraction.

Prétendre, que c’est l’audience, à celle seule, qui ait justifié leur posture, préméditée par la chaine, en interdisant le débat d’idées, c’est la vérité, et constitue une preuve que la justification démocratique, à leurs yeux ont passé largement au second plan.

Il a d’ailleurs été expliqué ensuite, que c’est bien Bolloré qui est allée chercher zemmour, uniquement dans l’objectif de regonfler son chiffre d’affaire, uniquement dans cet objectif, aux antipodes de la moindre intention de respecter la déontologie exigée, par le processus démocratique, qui veut qu’un chroniqueur trouve face à lui, un  ou des contradicteurs, seuls garants d’un vrai débat.

Son histoire.

Il apparait, dans un premier temps, dans le milieu de la pub, où il ne fait pas d’étincelles.

 On apprend par la suite, qu’il a tenté l’ENA, à deux reprises, et y a été recalé parce que « pas assez dans la case ».

Il cherche sa voie.

Je serai plutôt tentée de dire, « il cherchait à faire son trou » si l’on considère, quel a été son parcours ensuite, ce qui est diffèrent.

 Chercher, ce pour quoi l’on est fait, signifie qu’on est en quête d’une forme d’épanouissement, alors que chercher à faire son trou, ne consiste qu’à chercher à briller, dan l’objectif de s’enrichir, pour peser financièrement, parce qu’on est persuadé que ça serait une fin en soi, ce qui est bien diffèrent.

Pistonné, il découvre le journalisme….

 Décidément, au lieu de jouer du piston, certains, seraient bien inspirés de se demander si la personne, en vaut vraiment le coup…

 Et oui, être un bon orateur, c’est une chose, et sur ce point, « il sait y faire », mais ça n’apporte aucune garantie, sur la moralité de l’individu, si ambitieux soit-il, à plus forte raison, quand il a rayé le parquet de l’ENA, au point, d’un défoncer le plancher, et de s’y voir interdit d’accès.

Journaliste, donc, à cette époque, où là non plus, il n’a pas brillé…

 Et pour cause, son égo démesuré lui interdisait d’enquêter, parce que pour être journaliste, il faut aimer les gens, ceux à qui l’on donne le micro, et n’être, qu’un passeur… C’est le sujet et la personne qui le porte, qui doit briller, et pas le journaliste.

Interrogé sur ce sujet, il a répondu, qu’oser des questions, en tant que journaliste, ne l’intéressait pas.

 En commentaire, « ça dit, qu’il ne s’intéresse pas au réel », je suis d’accord, sur ce point. Je rajouterai, qu’il ne s’intéresse pas, d’avantage aux personnes.

 En somme, ça dit, surtout qu’il est déconnecté du monde réel, et « dans son monde »…..En somme, les problèmes des gens, des citoyens, et bien il s’en moque, c’est aux antipodes de ses préoccupations, la preuve, alors que certains l’envisageraient comme président de la république, il n’a absolument aucun programme, nulle part,  sur quelque sujet que ce soit, en dehors de sa marotte, « immigration », à laquelle il s’accroche, comme tout militant d’extrême droite, comme un jeune enfant à son doudou.

Culture du clash…

 Bolloré n’est pas le premier, à avoir exploité ce filon, pour faire monter l’audience….

 Le problème réside dans le fait que de jouer à ce petit jeu, s’avère particulièrement dangereux, quand il s’agit d’un chroniqueur ou invité, version « bon client »,  qui revendiquent une coloration politique, et serait, il faut le préciser, tout aussi dangereux, s’il s’agissait d’un positionnement à l’extrême gauche…

 La vraie question à se poser alors, peut-être la suivante :

 « Pourquoi donc, n’affleure-t-il pas, de chroniqueur ou de polémiste d’extrême gauche, y compris dans ce qu’elle pourrait sembler outrancière, et donc, « assurer le spectacle » ?

 J’ai la réponse…

 C’est précisément, parce qu’à l’extrême gauche, n’en déplaise à certains, ce sont d’abord les idées qui priment, et qui justifient qu’on accepte de se donner en spectacle, et pas d’entrer dans le jeu d’un patron de chaine, avec qui, en parfaite adéquation sur les valeurs mercantiles, on ne fait le spectacle que pour se remplir les poches, voilà la raison pour laquelle à l’extrême gauche ou à gauche, plus humblement, on refuse d’être le clown de service….

Quand au mépris des citoyens, parlons-en…

 Dire, à une chanteuse, « c’est nul, c’est de la merde, c’est mal écrit »….

 Là encore, ça en dit long…Incapable, d’apporter une critique positive, parce que simplement, incapable d’empathie, vis-à-vis d’un artiste, quel qu’il soit.

 Donc, incompatible avec tout ce qui est artistique, en général, ce qui, pour le coup, est plutôt conformes aux extrêmes droites en général.

Dire à un cinéaste, « ça mériterait, d’être dans les dernières pages, d’un magazine féminin », je dois reconnaitre, m’a fait marrer, tellement c’est symptomatique d’un tocard, indigne de faire la critique de quoi que ce soit d’artistique…

Personnellement, je veux bien, avoir ma place dans ces dernières pages, pour parler de mon travail, ça ne serait pas si mal, et pour rien au monde, je ne m’en verrai offusquée.

Mais si pour cela, quelqu’un, veut bien se charger d’aller foutre à zemmour, ma main dans sa gueule, ça n’en sera que plus justifié, et peu importe si cette critique ne serait pas excellente.

 Quant à moi, qui n’ai aucune obligation de neutralité, pour information, je lui réserverai plutôt, la rubrique des chiens écrasés, comme on dit vulgairement.

RTL, un jour, a fini par prendre ses distances.

« Les médias, n’en sont pas responsables »…

 Ok, mais quand même, donner la parole dans une telle proportion, bien avant qu’il ne soit question de présidentielles, uniquement pour des raisons d’audience et de parts de marché, on sait à quoi l’on s’engage, non ?

 Je veux dire, que sa toxicité, elle ne date pas d’hier, je le sais, parce que ça fait des années qu’elle était déjà perceptible, et que je l’avais dénoncée.

 Au sujet d’Hapsatou Sy.

Incroyable que la chaine à l’époque, ait fait son montage, sans montrer la suite.

 Entendre, « elle était bien venue le chercher, elle savait donc bien à quoi s’attendre »….

 Précisément, c’est bien ce qui est grave, il me semble….

 Au prétexte que c’est un bon orateur, et qu’il ait de la repartie, il ne fallait pas envisager de lui opposer qui que ce soit, qui puisse le mettre en cause.

 Si c’est vrai, alors, quel courage elle ait eu, dites-moi…

 Si c’est faux, ce que je crois, je compatis pour elle, et trouve particulièrement lâche de la part de la chaine,  de ne pas avoir saisi l’opportunité ce jour là, de monter un vrai clash, « qui aurait fait le buzz », comme on dit, pour des raisons qui auraient été plus que recevables, précisément, et k j’ose l’affirmer, plus nobles.

 Il est vrai que pour prendre la suite  de « droit de réponse », il faut du courage, et ça n’est pas nécessairement en pratiquant ainsi, qu’on risque d’y parvenir.

L’obsession de zemmour, sur les saints du calendrier….

 Je connais plus qu’un évêque, aujourd’hui, qui doit être plus que pensif, de voir qu’on puisse ainsi, instrumentaliser les saints du calendrier, à des fins aussi méprisables politiquement.

 Pour commencer, n’en déplaise à zemmour, il existe aujourd’hui bien des prénoms qui ne sont pas sur le calendrier, et qui sont couramment donnés à des enfants, dans l’état civil…

 D’autre part, beaucoup de saint du calendrier, trouvent leurs racines étymologiques, dans des cultures autres que la nôtre, sans que ça ne soit intentionnel, de la part des parents.…

 Et oui, Maurice…. Le prénom, de mon grand père, vient de « maures »… Qui signifie « arabe »….

 Je pense que les arrière grands parents, quand ils ont choisi ce prénom, se foutaient éperdument du fait qu’il en soit ainsi, et d’ailleurs, n’en savaient rien….

 Je pourrai aller fouiller dans le calendrier, pour vérifier bien d’autres prénom, et qui ont des origines étrangères à notre culture…

 Mais je trouve ce débat, d’une connerie tellement affligeante, que je n’y perdrai pas mon temps.

 Il parait cependant, personnellement, j’y crois, que le choix d’un  prénom, non pas quand on baptise l’enfant, mais quand on va le déclarer en mairie, relève plus de l’inconscient, qu’on ne le suspecte…..

  Il ne viendrait à l’idée de personne, je crois de donner à son enfant, le prénom, de quelqu’un qui vous ait harcelé, agressé, ou que vous ayez croisé dans votre vie, comme étant quelqu’un de toxique, ou de dangereux….

 Il semble par contre, particulièrement logique et cohérent de choisir pour son enfant, un prénom qui puisse lui rappeler d’où il vient, d’où sont ses racines, si lointaines soient elles, ou si dérangeantes, puissent elles, sembler, quand une génération entière dans une famille, est contrainte l’exil, quasiment toujours dans des conditions traumatisantes à bien des égards, quand ça n’est pas, pour à cette occasion, avoir risqué de périr, corps et âmes, au fond de la méditerranée ….

 Car en somme, tous ces désespérés, qui cherchent à rejoindre une terre ferme, où on ne les chassera pas comme du bétail, avec leur baluchon et leurs économies de toute une vie, avec femmes et enfants, et un baluchon, qui prend l’eau, au moins le simple souvenir d’un prénom, ça n’est pas un bien périssable, biodégradable, qui servirait potentiellement, à nourrir les poissons après la noyade….

 Que je sache….

 Je crois que de toutes les saloperies que zemmour ait pu sortir sur l’immigration, depuis toutes ces années, il me semble que cette histoire de prénom, symboliquement est l’un des arguments les plus pourris, et les plus méprisants, qu’il ait pu sortir sur le sujet.

 Sinon, ma fille ainée, comme second prénom, s’appelle, Ksenia… C’est un prénom polonais, celui de sa grand-mère paternelle, qui était immigrée polonaise, qui a torché le cul des vaches, dans les fermes normandes, elle était analphabète, puis a fini sa vie, rongée par Alzheimer, après des décennies à avoir fait femme des ménages, chez les plus riches qu’elle. C’est un prénom polonais d’origine grecque.

Pourquoi, ne pas avoir poussé le bouchon, jusqu’à lui donner ce prénom, en premier ?

 Parce que j’ai pour principe, de ne pas donner le prénom, d’une grand-mère ou d’un grand père, à un bébé qui nait, simplement, ce qui me semble cohérent.

 Jamais, au grand jamais, je crois, ma fille ainée n’a eu honte, d’avoir un quart  de sang étranger, ni de porter que je sache, en deuxième prénom, le prénom de sa grand-mère, pas plus que de l’avoir sue analphabète, ou qu’elle ait été femme de ménage.

Je suis une Greta Thumberg ménaupausée !

Par Le 05/11/2021

https://secure.avaaz.org/campaign/fr/climate_action_now_loc/?bPidSob&signup=1&cl=18764517767&v=136380&_checksum=7800ea65236dd5b7ac44fa4c18ab592c6db08eaf0cfaf287455444fb06ca72fb

  J'ai du mal le matin quelquefois, devant  mes deux oeufs au plat, mon bol de flocon d'avoine, infusion ayurvénique, baies de cogi, etc, etc, à avoir les yeux en face des trous, à 6h du matin ma foi, c'est un peu normal... Une légère migraine, pour commencer la journée, c'est clair, c'est pas idéal.

  Puis réécoutant la chronique de Guillaume Meurice, qui est la connerie humaine, ce que le luminol est en criminologie pour détecter les traces de sang, je suis tombée sur le cul...

 Voyez plutôt.

https://www.franceinter.fr/emissions/le-moment-meurice/le-moment-meurice-du-jeudi-04-novembre-2021

 Ainsi, je suis partie, à rire en tant que Greta Thumberg ménaupausée, comme rarement j'ai pu rigoler ces derniers temps.... Merci, Guillaume, vraiment, merci... (il passe bientôt au Havre, lui, tiens...) Et j'ai un vrai appareil photo, maintenant, "espèce de petit con", je t'en foutrai moi, des Greta Thumberg ménaupausée !

 

La vache à lait, au bénéfice de mon opérateur ORANGE, par forfait téléphonique interposé, c'est terminé !

Par Le 03/11/2021

   Depuis des mois et des mois, je demande à ma mandataire judiciaire de me prendre un forfait internet, qui comprend mon abonnement téléphonique, pour que ça me revienne moins cher, et cette dernière ne trouve rien de mieux,  que de ne surtout rien changer, m'obligeant ainsi à prendre un forfait indépendant, qui me coûte les yeux de la tête.

 Petite précision, je maitrise fort bien à présent, le fait que telle case soit cochée ou ne le soit pas, aussi j'apprécie particulièrement mal, de voir que par mon portable, on se permette de décocher ou cocher cette fameuse case, sans que ça ne vienne de mon fait...

 Alors, la vache à lait, elle dit STOP.

  Toujours interdite de fixe à mon domicile, la fibre disponible, mais on me l'interdit, alors, dorénavant, je ne serai plus joignable, que par mail, à l'adresse suivante: nielaubinfrancoise@gmail.com, ou pa courrier.

Dans Autrice.

Edition, imprimerie, et pénurie de papier.

Par Le 03/11/2021

Depuis le printemps 2021, mes livres, progressivement, finissent enfin par être édités.

 Le prochain à paraitre, d’ici, quelques jours ou semaines, s’appelle, « la poule aux œufs ne dort que d’un œil », toujours, aux éditions Sydney Laurent.

https://editions-sydney-laurent.fr/brand/francoise-niel-aubin/

 Pour quelle raison fais je le rapprochement, précisément entre mes livres et ce problème, que certains doivent qualifier, je le suspecte, comme étant purement commercial ?

 Et bien, parce que chaque mois environ, je fais désormais un salon du livre en région (dimanche 7 novembre, à Doudeville, en Haute Normandie, pas loin de chez moi), et qu’à chaque salon, j’ai des conversations passionnantes, avec d’autres auteurs, de petites maisons d’éditions, qui font un travail remarquable, auxquelles on ne risque certainement pas de reprocher de manquer de foi en leur mission.

 Et ce qu’ils me racontent, je dois dire, éclaire la filière du livre, sous un angle, que pour tout dire, je n’aurai que peu suspecté…

 Je dis que « que peu suspecté », parce que malgré tout, sur France inter, dans « la grande librairie », notamment, j’en avais déjà eu vent, et pas uniquement au sujet de l’énergie déployée par les librairies, quand le covid, nous était tombé dessus.

 Pour commencer, plusieurs personnes ayant des rôles différents dans la filière, je veux dire auteurs et éditeurs, m’ont expliqué que certaines librairies, subissaient un véritable harcèlement, ou étaient dépendants, des plus gros éditeurs, pour dire plus clairement, HACHETTE, qui fait partie du groupe Lagardère, certains libraires pour des raisons de survie, se retrouvant pieds et poings liés je suppose, avec le groupe, recevant des cartons et des cartons de livres à mettre en premier plan sans même avoir eu le droit de regard sur les auteurs, qu’ils auraient pourtant, préféré mettre en avant, alors, qu’on leur en impose d’autres, « plus vendeurs »….

 Ce qui en résulte réside dans le fait que les auteurs édités par des éditeurs « moindres », quant à ce qu’ils pèsent commercialement, ne peuvent donc pas prétendre faire leur trou, comme on dit…

 En somme, les petites maisons d’édition ont toutes les peines du monde, à se voir mises en avant, alors que leur travail est de tout premier ordre, face au mastodonte HACHETTE.

 Un mastodonte, qui s’appelle HACHETTE,  hache, tronçonneuse, scie égoïne, scie sauteuse, comme il vous paira, décidément, ça ne s’invente pas, quand on parle d’industrie du bois et de la filière livre.

 Ensuite, il m’a été rapporté aussi que certaines librairies, qui font faillite, ferment du jour au lendemain, sans que les éditeurs n’en soient avisés, sans que le stock de livres, ait pu avoir été réacheminé, chez les éditeurs, arrivant donc, je suppose, au pilon comme pâte à papier, ce processus n’arrivant pas de façon systématique cependant, mais se produisant encore, cependant.

 Sur ce point, le pense que le ministère de la culture, devrait intervenir, pour qu’au minimum, le prix de l’impression soit assuré, et que les créanciers soient payés, les livres non détruits, en tout cas, alors, que parallèlement, tout le monde s’accorde à reconnaitre, que le milieu associatif est demandeur, d’offrir une palette d’auteurs et d’ouvrages les plus larges possible, au bénéfice de ceux qui ne peuvent pas s’en acheter, quelquefois…

 Je veux dire, que dans l’ensemble de la filière livre là, il y a un vrai problème de perméabilité, entre l’industrie du livre et le milieu associatif, au point que je considère qu’une structure devrait être crée, qui fasse la jonction, entre les deux sans que le commercial, n’ait la main mise sur le processus, et voir ces livres arriver au pilon….

 Il y a là, quelque chose d’absolument révoltant, dans un pays comme la France qui se gargarise d’être la patrie des droits de l’homme et de la liberté d’expression, alors qu’on stigmatise, à juste titre, des dictatures où l’on brûle les livres, mais où, pour des raisons purement commerciales, ici, en France, on envoie des cartons de livres neufs au pilon, sous le seul prétexte purement commercial. Désolée, mais cette logique m’échappe complètement.

 Ensuite, il y a désormais, le problème de la pâte à papier, qui manque désormais, et où l’on observe que là encore, ce sont les gros groupes, qui ont la priorité, puisque pour des raisons, de trésorerie, ils ont été les seuls, à avoir pu anticiper les achats de bobines de papier, en prévision de la pénurie…. !

 Ma parole, ou se croirait en Manche, dans le conflit au sujet de pêche artisanale, entre Royaume Uni et France, actuellement…

 Pourquoi, au moindre problème, c’est toujours ceux qui ont les reins les moins solides qui trinquent ?

Pour ce qui concerne la difficulté qui va s’accentuer, de plus en plus, au sujet de la filière bois, entre la demande de pâte à papier, et l’industrie du bois, je pense qu’il faut envisager désormais, de fabriquer du papier, avec  d’autres sources.

 Certains diront, « c’est passager »… Que nenni, ce problème va aller en croissant proportionnellement, alors que le bois est sollicité, à juste titre dans le bâtiment, ainsi que dans l’industrie de l’emballage.

 Comment faire ?

 Une filière à étudier, peaufiner, et installer, réside dans le recyclage du textile, et plus précisément du coton…. Je suis incapable de vous préciser, si le fait que des matériaux synthétiques, entrant dans la composition, de certains tissus, sont un obstacle ou pas, au fait d’en faire du papier.

 Mais du coton, seul, pour moi, ça ne fait aucun doute.

 Je sais que certains textiles sont recyclés pour l’isolation, dans le bâtiment.

 Il faut n’utiliser si possible, que du coton blanc et recyclé, pour ne pas avoir à la blanchir.

 Je sais, que sur le plan artisanal, ça existe depuis longtemps, mais de là, à prétendre que ça puisse être envisagé, à plus grand échelle, je n’en sais rien.

 Alors, je sais, certains me diront, « et le numérique », lire, sur une tablette », etc…

 Je viens de sortir un livre, qui s’appelle, « addictions, prendre le mal, à la racine », et si l’addiction aux écrans, est un problème croissant, il faut bien reconnaitre que l’objet livre, représente une des parades les plus sûres, pour y faire face…

 Pour information, quand je discute avec des lecteurs, bien peu sont adeptes du livre numérique, excepté peut être, quand ils voyagent.

 Prendre un livre, fermer son portable, et rester dans le silence, pour faire une pause, reste un des moyens les plus sûrs, pour ne pas perdre la boule…

 Pour ce qui concerne la mainmise de l’industrie du papier, par l’industrie de l’emballage, pour fabriquer les cartons, c’est uniquement une question de volonté politique, et pas d’innovation, dont il est question.

 En effet, de véritables petits génies aujourd’hui, ont mis au point certains emballages postaux, parfaitement réutilisables, il suffit alors de légiférer pour les rendre obligatoires.

 Un arbre, ça ne pousse pas du jour au lendemain, je le rappelle, le risque sur le plan écologique, qui plus est, réside dans le fait que certains propriétaires de bois, soient tentés d’intensifier plus encore, l’industrialisation de la forêt en monoculture, ce qui sur le plan écologique, est un non-sens évident, parce que seule la polyculture, ou l’agroforesterie sont dignes de soutenir une faune diversifiée, par une biodiversité, respectée.

Dans Autrice.

Edition, imprimerie, et pénurie de papier.

Par Le 03/11/2021

Depuis le printemps 2021, mes livres, progressivement, finissent enfin par être édités.

 Le prochain à paraitre, d’ici, quelques jours ou semaines, s’appelle, « la poule aux œufs ne dort que d’un œil », toujours, aux éditions Sydney Laurent.

https://editions-sydney-laurent.fr/brand/francoise-niel-aubin/

 Pour quelle raison fais je le rapprochement, précisément entre mes livres et ce problème, que certains doivent qualifier, je le suspecte, comme étant purement commercial ?

 Et bien, parce que chaque mois environ, je fais désormais un salon du livre en région (dimanche 7 novembre, à Doudeville, en Haute Normandie, pas loin de chez moi), et qu’à chaque salon, j’ai des conversations passionnantes, avec d’autres auteurs, de petites maisons d’éditions, qui font un travail remarquable, auxquelles on ne risque certainement pas de reprocher de manquer de foi en leur mission.

 Et ce qu’ils me racontent, je dois dire, éclaire la filière du livre, sous un angle, que pour tout dire, je n’aurai que peu suspecté…

 Je dis que « que peu suspecté », parce que malgré tout, sur France inter, dans « la grande librairie », notamment, j’en avais déjà eu vent, et pas uniquement au sujet de l’énergie déployée par les librairies, quand le covid, nous était tombé dessus.

 Pour commencer, plusieurs personnes ayant des rôles différents dans la filière, je veux dire auteurs et éditeurs, m’ont expliqué que certaines librairies, subissaient un véritable harcèlement, ou étaient dépendants, des plus gros éditeurs, pour dire plus clairement, HACHETTE, qui fait partie du groupe Lagardère, certains libraires pour des raisons de survie, se retrouvant pieds et poings liés je suppose, avec le groupe, recevant des cartons et des cartons de livres à mettre en premier plan sans même avoir eu le droit de regard sur les auteurs, qu’ils auraient pourtant, préféré mettre en avant, alors, qu’on leur en impose d’autres, « plus vendeurs »….

 Ce qui en résulte réside dans le fait que les auteurs édités par des éditeurs « moindres », quant à ce qu’ils pèsent commercialement, ne peuvent donc pas prétendre faire leur trou, comme on dit…

 En somme, les petites maisons d’édition ont toutes les peines du monde, à se voir mises en avant, alors que leur travail est de tout premier ordre, face au mastodonte HACHETTE.

 Un mastodonte, qui s’appelle HACHETTE,  hache, tronçonneuse, scie égoïne, scie sauteuse, comme il vous paira, décidément, ça ne s’invente pas, quand on parle d’industrie du bois et de la filière livre.

 Ensuite, il m’a été rapporté aussi que certaines librairies, qui font faillite, ferment du jour au lendemain, sans que les éditeurs n’en soient avisés, sans que le stock de livres, ait pu avoir été réacheminé, chez les éditeurs, arrivant donc, je suppose, au pilon comme pâte à papier, ce processus n’arrivant pas de façon systématique cependant, mais se produisant encore, cependant.

 Sur ce point, le pense que le ministère de la culture, devrait intervenir, pour qu’au minimum, le prix de l’impression soit assuré, et que les créanciers soient payés, les livres non détruits, en tout cas, alors, que parallèlement, tout le monde s’accorde à reconnaitre, que le milieu associatif est demandeur, d’offrir une palette d’auteurs et d’ouvrages les plus larges possible, au bénéfice de ceux qui ne peuvent pas s’en acheter, quelquefois…

 Je veux dire, que dans l’ensemble de la filière livre là, il y a un vrai problème de perméabilité, entre l’industrie du livre et le milieu associatif, au point que je considère qu’une structure devrait être crée, qui fasse la jonction, entre les deux sans que le commercial, n’ait la main mise sur le processus, et voir ces livres arriver au pilon….

 Il y a là, quelque chose d’absolument révoltant, dans un pays comme la France qui se gargarise d’être la patrie des droits de l’homme et de la liberté d’expression, alors qu’on stigmatise, à juste titre, des dictatures où l’on brûle les livres, mais où, pour des raisons purement commerciales, ici, en France, on envoie des cartons de livres neufs au pilon, sous le seul prétexte purement commercial. Désolée, mais cette logique m’échappe complètement.

 Ensuite, il y a désormais, le problème de la pâte à papier, qui manque désormais, et où l’on observe que là encore, ce sont les gros groupes, qui ont la priorité, puisque pour des raisons, de trésorerie, ils ont été les seuls, à avoir pu anticiper les achats de bobines de papier, en prévision de la pénurie…. !

 Ma parole, ou se croirait en Manche, dans le conflit au sujet de pêche artisanale, entre Royaume Uni et France, actuellement…

 Pourquoi, au moindre problème, c’est toujours ceux qui ont les reins les moins solides qui trinquent ?

Pour ce qui concerne la difficulté qui va s’accentuer, de plus en plus, au sujet de la filière bois, entre la demande de pâte à papier, et l’industrie du bois, je pense qu’il faut envisager désormais, de fabriquer du papier, avec  d’autres sources.

 Certains diront, « c’est passager »… Que nenni, ce problème va aller en croissant proportionnellement, alors que le bois est sollicité, à juste titre dans le bâtiment, ainsi que dans l’industrie de l’emballage.

 Comment faire ?

 Une filière à étudier, peaufiner, et installer, réside dans le recyclage du textile, et plus précisément du coton…. Je suis incapable de vous préciser, si le fait que des matériaux synthétiques, entrant dans la composition, de certains tissus, sont un obstacle ou pas, au fait d’en faire du papier.

 Mais du coton, seul, pour moi, ça ne fait aucun doute.

 Je sais que certains textiles sont recyclés pour l’isolation, dans le bâtiment.

 Il faut n’utiliser si possible, que du coton blanc et recyclé, pour ne pas avoir à la blanchir.

 Je sais, que sur le plan artisanal, ça existe depuis longtemps, mais de là, à prétendre que ça puisse être envisagé, à plus grand échelle, je n’en sais rien.

 Alors, je sais, certains me diront, « et le numérique », lire, sur une tablette », etc…

 Je viens de sortir un livre, qui s’appelle, « addictions, prendre le mal, à la racine », et si l’addiction aux écrans, est un problème croissant, il faut bien reconnaitre que l’objet livre, représente une des parades les plus sûres, pour y faire face…

 Pour information, quand je discute avec des lecteurs, bien peu sont adeptes du livre numérique, excepté peut être, quand ils voyagent.

 Prendre un livre, fermer son portable, et rester dans le silence, pour faire une pause, reste un des moyens les plus sûrs, pour ne pas perdre la boule…

 Pour ce qui concerne la mainmise de l’industrie du papier, par l’industrie de l’emballage, pour fabriquer les cartons, c’est uniquement une question de volonté politique, et pas d’innovation, dont il est question.

 En effet, de véritables petits génies aujourd’hui, ont mis au point certains emballages postaux, parfaitement réutilisables, il suffit alors de légiférer pour les rendre obligatoires.

 Un arbre, ça ne pousse pas du jour au lendemain, je le rappelle, le risque sur le plan écologique, qui plus est, réside dans le fait que certains propriétaires de bois, soient tentés d’intensifier plus encore, l’industrialisation de la forêt en monoculture, ce qui sur le plan écologique, est un non-sens évident, parce que seule la polyculture, ou l’agroforesterie sont dignes de soutenir une faune diversifiée, par une biodiversité, respectée.

Dans Autrice.

Travailleur bossant à étranger, gagnant gros, recherche porteuse de valises !

Par Le 01/11/2021

Peu importe chéri, je peux t'aider avec n'importe quel défi financier

Moi : on sait de quoi, il est question.

Chérie qu'as-tu dit à propos des bagages

nous avons beaucoup d'argent là-bas à utiliser est juste pour moi et vous

Je veux que vous m'aidiez et j'ai reçu le colis

Moi :oui oui

29 oct. 19:31

Ok merci beaucoup mon amour j'apprécie

Moi : Je fais du ménage, autour du frigo, et l'étagère.

wow, c'est gentil chéri 

Moi :j'ai mis dégeler une soupe.

 je prends un bol, de céréales, en attendant.

29 oct. 20:11

Ok chérie prends toujours et ne te stresse pas beaucoup chérie

Je suis toujours heureuse de t'avoir chérie 

La chose la plus heureuse maintenant est que nous allons bientôt nous rencontrer

Chérie, tout ce dont tu as besoin c'est de m'envoyer,,, ton nom complet : ................. Adresse personnelle : ............... .................. Adresse e-mail : ........................ Numéro de téléphone.... ....

Moi : non, monsieur, merci bien, passez votre chemin.

"Galeries d'Art sur internet", c'est le démocratiser.

Par Le 01/11/2021

Je viens de tomber, sur cette video, qui m'interpelle.

https://www.facebook.com/Artmajeur/videos/10155717836109902/

"Artmajeur", c'est le nom de cette galerie.

https://www.artmajeur.com/fr/

 Au début de l’ère internet, j’avais participé à une galerie virtuelle, qui ne m’ont jamais rien apporté…Quand je dis « rien », je ne parle pas d’éventuelles retombées pécuniaires, mais plus largement, d’un autre ordre, comme des contacts pour décrocher des concours, des expositions, des collaborations avec d’autres artistes, ou plus simplement, des commentaires, la base, en somme, quand on est artiste…

 Rien, vous dis je…

 Aussi, n’ayant jamais eu vent que quiconque y trouvait quelque chose, pendant des années, je n’avais pas éprouvé le besoin d’approfondir le sujet.

 En dehors de mon cas personnel, « si particulier », cependant, je n’y ai jamais vraiment cru…Non pas à ces galeries, mais plutôt au fait que ce soit stérile, sur les retombées.

 Je passais donc mon chemin, et restais conventionnelle, sur ma façon de promouvoir ma production, uniquement sur les réseaux sociaux.

 Regardant cette vidéo, j’apprends que certains, précisément, y trouvent justement leur compte, que ce soit pour certains artistes, ou que ce soit pour des amateurs, au point, de se faire sa collection….

 Alors, quoi ? Pourquoi, dites-moi, s’en priver ?

 Alors que j’écrivais il y a quelques mois, sur les retombées qu’avait provoqué internet, dans le monde de l’édition, ainsi que sur les écrivains, à plus forte raison, s’il n’arrivent pas à trouver un éditeur, ou qu’ils y parviennent, mais ne parviennent pas à émerger un tant soit peu, comme c’est hélas le plus souvent le cas, il me semble parfaitement opportun, de se poser la question suivante…

 Est-ce que les répercussions qui sont observables dans le milieu de l’édition en littérature, sont assimilables à celles observées dans le monde de l’Art ?

 Personnellement, je serai tentée de faire le parallèle, plutôt avec le spectacle vivant….

 En effet…

 Vous entrez dans une exposition, qu’elle soit organisée par une galerie, ou qu’elle le soit par le service culturel d’une ville, vous faites la démarche d’y consacrer un laps de temps, qui vous coupe de vos odeurs, de votre domicile, de votre confort personnel, et de votre « entre soi »…

Certes, chez vous, vous prendrez le temps, que vous aurez décidé pour lorgner, ce qui vous parle…

Mais vous n’aurez jamais, « l’éclairage », au sens propre, comme au figuré, que la galeriste, l’artiste, ou l’organisateur de l’exposition, aura pris le soin ainsi que le temps, d’y consacrer…

 Et pour moi, c’est juste, une nuance absolument fondamentale…

 Pour ceux qui vont visiter ces expos virtuelles, et qui peut-être, achètent là bas, persévérez, certes, je ne dis pas, il faut toujours persévérer…

 Mais si je flashe sur un tableau, n’importe où, en dehors de mon domicile…

 Vous pourrez retourner le problème en tous sens, jamais, au grand jamais, ce trouble, cet intérêt, ce questionnement, n’aurait été exactement le même, que si cette « rencontre » se serait faite sur internet, quelque soit la qualité de la galerie virtuelle, dont il serait question….

  Je crois que le vrai problème, résiderait alors dans le fait que certains ne voient pas ces galeries virtuelles, que comme une forme de tremplin, vers la vie réelle, ce qu'elles devraient être en vérité, et en quelque sorte, « s'en contentent »…

 C’est là alors, qu’il faut se poser les bonnes questions…

 « Pourquoi, quand il y a une expo, je ne vais pas oser franchir la porte »… POURQUOI ?

 Chacun, individuellement, peut se poser cette question.

 Personne n’a, ou ne devrait se sentir coupable de ne pas oser franchir le seuil d’une galerie, et pourtant, si je suis certaine d’une chose, c’est bien de cela, dont il est question…Venant moi-même d’un milieu où culturellement, « ça ne se faisait pas », je connais mieux que personne.

 Pourquoi, serait ce alors un problème ?

 Tout simplement, parce que si modeste, si humble soit votre relation à ce qui est artistique, qu’il s’agisse de tableaux de maitres, ou qu’il s’agisse d’un tableau d’un parfait inconnu, dans une exposition de village, vos enfants vous regardent, et s’imprègnent de vos comportements….

 Si, dans une expo de village, votre enfant vous voit discuter avec quelqu’un d’un tableau, qu’il ou elle a peint, et que c’est là quelque chose de naturel, alors, pour lui, plus tard, ça le sera alors pour lui aussi, tout autant…

 En somme, si je synthétise, le fait  de vous interdire une relation réelle à l’Art, a pour conséquence de renforcer le plafond de verre qui existe entre votre milieu et le milieu de l’Art, si modeste soit il…..

 C’est pour ça, que c’est si important….

 Ce que je prétends là, est valable aussi pour n’importe quel autre spectacle vivant je précise, alors qu’on nous explique ces temps ci, que tout le monde se rue littéralement, sur les films sur internet, les plateformes de streaming, etc…..

 Ma position, je précise, n’est pas « politique », face à internet, et aux gafams… Non, « même pas »… Juste, ça me fait chier de  devoir payer un abonnement sur telle plateforme, ou telle autre, parce que untel désormais, n’est pas plus payé que par lui….

 Ben, tant pis pour lui, alors….

 On est là, à se débattre, au sujet des plus grands accord de commerce internationaux,  où on nous raconte outre Atlantique, que notre Roquefort est un fromage extraordinaire,  qu’on le crie, surtout bien fort, pour mieux se faire empapaouter, sur d’autres petites lignes dans le contrat… En somme, ces grands accords commerciaux, ne sont que des « kas dans des poucs », comme j’ai coutume de dire…

 Et ce qui se produit sur internet, au sujet de NETFLIX, et autres, et bien c’est exactement la même chose, en fait, mais uniquement sur le plan culturel…

 Et bien je les emmerde, et je les emmerde d’autant plus, d’ailleurs, que j’en ai marre d’être prise pour une vache à lait, qui voit fondre comme neige au soleil, mon  pognon sur mon compte en banque….

 Voilà…

 Certains vont trouver que j’exagère ?

 Que nenni…

 Regardez bien, vos relevés de compte, je vous prie…

 Beaucoup, de plus en plus, s’en sortent de moins, en moins, et regardez quel part vos dépenses sur internet représentent, et vous comprendrez…

 Observez bien, surtout, « les trous dans la raquette »….Les petites sommes, qui cumulées les une aux autres, vous font plusieurs dizaines d’euros, chaque mois, sans que chacun, bien sûr, ne justifie que vous alertiez, qui que ce soit…

 Ce pognon, là, quand vous êtes à découvert, pourtant, ça serait bien que vous l’ayez, le 20 du mois, non ?

 Et bien moi, je dis STOP, et j’emmerde NETFLIX, je vais voir les films que je veux, et quand je veux… Enfin, dès que je pourrai.

 

 

Mes calligrammes en retard.....

Par Le 31/10/2021

 Il est est ainsi, en effet, que des textes de calligrammes, attendent que je veuille bien trouver le temps, de les traduire en calligrammes, mais je n'arrive pas à être au four et au moulin, en même temps.

 Alors, pour les faire patienter, je vais les poser ici.

"Les métiers de service, ne sont pas des métiers de servitude".

Entendu par un serveur, dans un bistrot, à Veules les roses, en bord de plage....

 Qui attend désespérément, d'ailleurs (pas lui, mais son patron), que l'administration veuille bien lui accorder de transformer sa terrasse en veranda, pour pouvoir être ouvert à coeur d'année, alors que la demande est là, et que la clientèle, est présente. c'est à n'y rien comprendre.

"Brassens à 100 ans.

 Brassens, ça s'entend.

 Ha, non, Brassens, ça s'écoute !".

Coronavirus, variants, et naturopathie.

Par Le 29/10/2021

 Je vous donne un lien, pour  permettre de mieux connaitre, ce dont nous parlons.

https://www.ifsh.fr/actualites/le-blog-ifsh/245-naturopathie-et-covid19

 J'englobe personnellement sous le terme "naturopathie", l'ensemble des pratiques, qu'on apelle aussi, "médecines alternatives".

 Depuis des années, j'ai émis l'hypothèse, selon laquelle la naturopathie, devrait être enseignée, en premiere année de médecine...

 Si j'ai cette position, c'est parce que je sais par experience, et pour l'avoir appris, et lu, dans un article de la revue "prescrire", d'autre part, que des la première année d'étude, les lobby pharmaceutiques de façon assez perverse, je dois dire, prédipose les étudiants, à l'allopathie....

 C'est un non sens, puisque dès le départ, quand quiconque tombe malade, quelque soit la gravité de son mal ou de sa maladie, il doit être pris en considération, dans son ensemble, en tant que patient, avec son histoire, son environnement, sa famille, et donc, dans un contexte, que je qualifierai, de "naturel"...

 Ensuite, et de plus en plus, bien sûr, les médecins y reviennent, pour dire simple, mais il me semble toxique, de ne pas percevoir ce focus, d'emblée, en tout premier lieu.

 Dans l'article que je viens de vous donner en lien, il est bien précisé que le naturopathe, n'est pas médecin.

 Je comprends celà, je le comprends d'autant plus, qu'au moment où je vous parle, certains naturopathes, jouent les filles de l'air, pour remettre en cause le discours officiel, sur la vaccination, contre le covid...

 Ce qui n'est pas le cas dans le lien que je viens de n vous donner.

 Judidiquement, un naturopathe, n'est pas medecin, ce qui est vrai.

 Le véritable problème, en vérité, est d'un autre ordre.

 Il réside dans le fait que les médecines dites alternatives, dont la naturopathie, sont en grande majorité, des médecines de prévention.

 Le problème alors est le suivant, est ce qu'au prétexte qu'une médecine alternative, dite de prévention, à cause de cette notion préventive, mérite ou ne mérite pas, d'être considérée, comme une des formes de la médecine ?

"Nous sommes, ce que nous mangeons"...

 Oui, j'y crois, effectivement...

 Est ce que quand vous cuisinez, vous avez l'impression, de vous "automédicaliser" ?

 Est ce que quand vous faite votre heure de marche, par jour, vous avez le sentiment, de vous "automédicaliser"  ?

 Non, et pourtant, vous l'avez entendu, vu, à la télé, vous suivez ces recommandations, parce que vous  tentez ce qui, est altruite, d'être autant que possible, acteurs de votre bien être, ou de votre guérison....

 En somme, vous êtes d'une certaine façon, votre propre naturopathe, enfin en partie. 

 Si je pinaille, ainsi, au sujet de la naturopathie, c'est qu'actuellement, certains naturopathes sont poursuivis, ou vont l'être, au sujet du complotisme antivax...

 Mais je ne connais pas le chef d'inculpation.

Personnellement,  j'ai pris mon RV pour mon second vaccin, puisque j'ai eu le covid, à l'automne...

 Je recommence, une cure, d'echinacea, comme je le fais chaque automne, pour faire face, aux germes de l'hiver.

 Ce qui me peine, réside dans le fait, qu'à cause de quelques individus plus soucieux de jouer les gouroux toxiques, version pervers manipulateurs, c'est la naturopathie toute entière, qui est souillée, et moi, ça me pose problème.