Lubrizol est de nouveau mis en examen, si j'ai bien compris, pour sa mauvaise gestion de l'incendie, relativement aux eaux d'écoulement d'extinction de la catastrophe, qui ont vu la faune aquatiques détruite, suite à ces écoulements.
Il s'agit donc, d'une forme d'écocide, de la faune fluviale de la Seine, d'une certaine façon.
Dans la vidéo, de Public Senat, il est question des répercussions sur le long terme, en ce qui concerne la santé publique, en matière de cancers.
Je vais pour ma part, observer cette catastrophe, sous un autre angle, c'est à dire, sous le prisme législatif, relatif au classement SEVESO.
La dernière actualisation, du Plan SEVESO, s'appelle SEVESO3, et elle date du 4 juillet 2012.
https://www.ecologie.gouv.fr/risques-technologiques-directive-seveso-et-loi-risques
Le vrai problème réside dans le fait, que l'entreprise Lubrizol, devait respecter certaines normes, pour être conforme à ces directives.
Ors, ce dernier plan n'aborde pas l'hypothèse, selon laquelle l'entreprise en question, stoke une partie des substances qui justifie qu'elle soient classées, comme telles, dans des zones voisines, ne lui apparatenant pas, comme ce fût le cas, pour Lubrizol....
La preuve, dans le dernier communiqué transmis par Lubrizo, rendu public (dans le seul et unique objectif de rassurer les actionnaires, là, om parallèlelement, les dessous de l'enquête, destinés aux victimes, sont aussi embués et irrespirable, que la fumée de l'incendie en question, il est précisé ceci:
https://www.lubrizol.com/fr-fr/Rouen/
Je cite:
"Nous avons investi continuellement dans la modernisation de notre outil de production et pour la sécurité, tant en prévention qu’en protection. Nous continuons à nous mobiliser pour automatiser nos équipements ou les remplacer par des technologies plus récentes : sprinklers supplémentaires, moyens de détection renforcés, murs de rétention additionnels et procédures de réponse en cas d’alarme plus performantes. Nous avons également réduit de 80 % notre stockage de produits en fûts et maintenu ce niveau d’inventaire bas dans la durée, créé des zones tampon en limite de propriété et mis en place de nouvelles mesures de sûreté".
On ne sait pas si la fée CAC40, s'est satisfait de ce menu frettin, mais dans le style, "nous plaidons coupable", on peut difficilement faire mieux.
Le problème, aujourd'hui, pour l'avenir, est le suivant.
Pour commencer, comment se fait il, qu'une industrie, classée SEVESO, se soit trouvée autorisée, ainsi, en pleine ville, d'une part, mais aussi, aussi proche de la Seine ?
Ensuite, au sujet de la norme SEVESO, elle doit être revue, afin de s'assurer qu'aucune industrie, qui soit classée comme telle, n'aille pas, comme eux l'ont fait, ranger, leurs stok chez le voisin, se delestant ainsi, de façon criminelle, des obligations de sécurité exigées, par la norme SEVESO...
Parce que la question, que moi, je me pose, est la suivante.
Combien existe il d'industrie, qui sont classées SEVESO, qui se permettent, ainsi, d'aller stoker des matièrs dansgereuses en dehors de leurs murs, et donc, échappant, aux normes de sécurité, exigée par le classement SEVESO ?
COMBIEN ? COMBIEN ?
