Articles de apifnielaubin
Le petit grégory, "pourquoi, tant de haine" ?
Un nouveau reportage, sur cette affaire, est sorti, il y a quelques jours.
La question, qui se pose, globalement, est la suivante.
Qu’est ce qui ait pu générer une haine aussi intense, au sein d’une famille, au point qu’un acte, aussi immonde, que d’intenter à la vie d’un enfant, ait pu être commis ?
On sait, qu’au sein des familles, se déroulent des faits, qui quand ils sont d’ordre sexuel, laissent des traces sur plusieurs générations.
Trois générations, pour être précises, traces, qui sont visibles sur le génome de la troisième génération.
Certes, l’ascension sociale, du père de Grégory, dans un milieu ouvrier, qui est devenu contremaître, là, où le reste de la famille n’est resté qu’au stade ouvrier…
Mais j’ai l’intime conviction, que ce fait se produit très souvent, au sein des familles, et que le plus souvent, même si ça peut générer quelques jalousies, en aucune façon, cette jalousie, ne peut prendre des proportions aussi démentielles, au point d’assassiner un enfant.
Il nous faut donc chercher ce qui aurait pu se produire, les générations d’avant, chez les Jacob, qui semble avoir été la source vive de cette haine, qui ait eu pour finalité, qu’on cherche à détruire, le clan Vuillemin.
La théorie, que je vais vous livrer là, ne résulte que d’une hypothèse, une simple hypothèse, une vulgaire hypothèse, et si ma démarche dérange ou choque, je la considère légitime, des lors qu’il s’agit d’une part, de tenter de comprendre la genèse de ce terrible drame, mais aussi, de réhabiliter l’honneur de certaines personnes, qui auraient été salies à l’époque, ayant fait le jeu, alors, des Jacob justement.
Le vieux Jacob, époux de la grand tante, qui vient d’être mise en examen pour complicité de meurtre, aurait été dans son jeune age, ou adolescent, un frère incestueux, vis à vis de sa sœur, qui est la grand-mère, du petit Gregory, assassiné.
Cette hypothèse m’est venue, en tentant de rétropédaler, dans la psychologie, d’une grand frère, abusif.
On sait, qu’au sein d’une famille, un fils aîné, quasiment toujours, se croit autorisé à se comporter, en substitut paternel, vis à vis de sa sœur cadette, ou ses sœurs cadettes.
Si le père joue son rôle les choses s’equilibrent, mais qu’il soit défaillant, absent, ou mort, quasiment à chaque fois, on peut observer que le frère aîné, s’octroie des droits de jugement, voir, de donner des ordres, ou de domination vis à vis de ses sœurs cadettes.
J’ai bien travaillé ce sujet, dans le cas, de familles recomposées ou dans mon travail sur la parentalité, et l’autorité (à paraître), aux éditions nombre7.
Imaginons, à présent, que ce grand frère ait été abusif, au point d’avoir été incestueux, que cet inceste, ait eu pour conséquence, la naissance de l’ainé, ou pas d’ailleurs…
Car qui était le père biologique de cet enfant qu’elle avait eu, et qui fût accueilli avec amour, par le grand père vuillemin, à l’époque ?
On ne sait pas.
Dans l’hypothèse, où cet inceste ait eu lieu, que cet enfant, en ait été le fruit, ou pas, change peu la donne, sur le psychologie du prédateur, à l’époque.
Un frère aîné, qui viole sa sœur ou ses sœur, pratique une prédation qui s’apparente, à une forme d’emprise psychologique.
« Je dispose de ton corps, tu es ma chose, mon objet sexuel, je fais de ce corps ce que je veux », ce qui est la position, soit dit en passant, de n’importe quel violeur, au moment des faits, et beaucoup plus largement encore, hélas, quand il s’agit d’inceste, c’est à dire, de viols caractérisés, y compris, en cas de simples attouchements, au sein d’une famille.
C’est bien pire encore, puisque par définition, c’est en vase clos, au sein de la famille, donc, en principe, bien moins « détectable », qu’un viol ors famille.
Donc, imaginons, à l’époque, ce frère aîné, tout puissant, prédateur sexuel, vis à vis de sa sœur, dominant entièrement cette dernière.
Et voilà, que cette femme, qui donc, est déjà mère d’un enfant, rencontre ce qui fût, je le soupçonne véritablement, l’amour de sa vie, et qui vient heurter l’hégémonie du prédateur, ils tombent amoureux, et lui l’aime, au point de prendre la mère et l’enfant, et de l’élever comme s’il fût le sien.
Imaginez donc, alors, ce que cela aurait induit, dans la psychologie du prédateur.
Alors certains, pourraient me répondre « pourquoi, alors son épouse, aujourd’hui mise en examen, aurait elle été le bras armé, de son mari prédateur ? »
Il est possible, que ce dernier n’ait toujours pas accepté de voir la famille Vuillemin, relever le défit, de tant de souffrance, dont lui seul, à l’époque, fût responsable, et que son profil, bien qu’incestueux, soit celui d’un fuyant, ou si vous préférez, suiveur, plus qu’instigateur, en d’ordre termes, « sa femme porte la culotte », et ça lui allait fort bien…
Pour peu qu’il ait été assez lucide pour rétrospectivement, se juger comme ayant été ignoble, dans l’hypothèse, où ma théorie serait la vérité, il aura laissé faire sa femme, dans son délire de vengeance.
Il n’ont eu qu’une seule fille, avec laquelle ils sont fâchés maintenant, fille qui témoigne contre ces parents, et qui irait dans la suspicion de l’hypothèse, que j’avance.
Les parents Vuillemin, étaient des parents admirables.
Le fait de toujours appeler, dans les lettres anonymes, le père de Gregory, « le chef », souligné deux fois, ce que je trouve assez dingue, qui sous entend la réussite sociale, de leur fils, (la face visible de l’iceberg en quelque sorte)en réalité, affectivement visait, plus encore le grand-père Vuillemin, qui aurait, dans mon hypothèse, infligé pire qu’une balafre au grand frère incestueux, un contre poids, d’amour et de tolérance, devant l’ignominie d’un inceste, qui aurait été plus insupportable encore, pour son épouse, matrone toxique, et ouvert une brèche, qui aurait ainsi, induit le crime, dont elle serait la principale instigatrice.
La leçon de sagesse des vaches folles.
Dans le cade de mon livre à paraitre, "sacré géranium", qui sera disponible aux editions nombre7, je lis cet extrait, qui est disponible, sur internet, en suivant ce lien:
Quand j'avais accompagné Marcelle.....
Commentaire, sur un post, sur FB.
Je cite, le groupe "le monde litteraire".
C'est un groupe sur FB.
http://www.facebook.com/photo?fbid=1339307438129760&set=a.456528989740947
Une femme atteinte du syndrome de Down passe ses après-midis à l’hôpital à bercer des bébés que personne ne vient voir.
Je m’appelle Laura, j’ai trente-deux ans.
Le matin, je travaille dans une librairie.
Mais les après-midis… les après-midis sont à moi.
Enfin, pas vraiment à moi.
Elles sont aux bébés.
Tout a commencé il y a trois ans, quand ma mère a été hospitalisée à l’Hôpital Central.
J’allais la voir chaque jour, et je passais toujours devant le troisième étage, celui de la néonatologie.
Un jour, j’ai vu une pancarte :
> « Recherchons des volontaires pour le programme de contact peau à peau. »
Je suis entrée et j’ai demandé :
— Je peux aider ?
L’infirmière m’a regardée de haut en bas.
Je connais ce regard.
Je le vois depuis que je suis petite.
— Mmm… attendez, je vais appeler la coordinatrice, a-t-elle dit avec un sourire qui ne touchait pas ses yeux.
La coordinatrice s’appelait Marta.
Grande, mince, des lunettes épaisses, une voix douce.
Elle m’a fait asseoir dans son bureau.
— Laura, ce programme demande beaucoup de responsabilité. Il faut se laver les mains correctement, suivre les protocoles, rester immobile longtemps…
— Je peux faire ça, l’ai-je interrompue. Je sais lire. Je sais suivre des instructions. Et j’aime beaucoup les bébés.
Elle est restée silencieuse un instant.
— Pourquoi veux-tu faire ça ?
— Parce que tout le monde a besoin qu’on le prenne dans ses bras, ai-je répondu.
Et s’il y a des bébés qui n’ont personne pour le faire, je peux être cette personne.
Elle m’a acceptée.
Je crois que ma réponse lui a plu.
Depuis, j’y vais tous les jours, de trois à six heures.
Je me lave les mains pendant deux minutes entières, j’enfile ma blouse bleue, et j’entre dans la salle.
Il y a huit couveuses.
Tous les bébés n’ont pas besoin d’être pris dans les bras — certains ont déjà leur maman ou leur papa.
Mais il y en a toujours deux ou trois qui sont seuls.
Des bébés de mamans qui travaillent et ne peuvent venir, ou d’autres issus de situations compliquées, en attente d’une famille d’accueil.
Mon préféré s’appelle Tomás.
Enfin… ils sont tous mes préférés, mais Tomás a quelque chose de spécial.
Il est né à six mois, pesait moins d’un kilo.
Aujourd’hui, il a deux mois et demi, et presque deux kilos.
C’est un petit guerrier.
— Coucou mon amour, je lui murmure en le prenant contre moi,
je suis revenue.
Je le pose contre ma poitrine, peau contre peau, comme Marta me l’a appris.
Sa respiration est d’abord irrégulière, puis, au bout de quelques minutes, elle s’accorde à la mienne.
Je ferme les yeux et je lui chante des chansons.
Des chansons que me chantait ma grand-mère.
Des chansons simples, peut-être pas très justes, mais pleines de cœur.
Les infirmières me connaissent maintenant.
Au début, certaines étaient méfiantes.
Mais elles ont vu que je faisais tout comme il faut : j’arrive à l’heure, je me lave bien les mains, je respecte les règles.
Elles me saluent avec tendresse.
— Laura, tu peux rester une heure de plus aujourd’hui ? m’a demandé Patricia, une des plus anciennes infirmières.
On a un nouveau bébé, il est très agité.
— Bien sûr.
Le nouveau s’appelait Elián.
Il pleurait sans arrêt, d’un pleur faible mais continu.
Je l’ai pris dans mes bras et lui ai parlé doucement :
— C’est fini, petit. Tu n’es pas seul. Je suis là.
Il s’est endormi après une demi-heure.
Mais le jour où tout a changé, c’était un mardi de juillet.
Il faisait froid dehors, et l’hôpital semblait plus silencieux que d’habitude.
J’étais avec Tomás, je fredonnais une chanson, quand j’ai entendu des voix agitées dans le couloir.
— S’il vous plaît, laissez-moi passer ! C’est mon fils !
Marta est sortie voir.
Je suis restée immobile, Tomás contre mon cœur.
Une jeune femme est entrée, pas plus de vingt-cinq ans.
Les cheveux sombres collés au visage, les yeux rouges d’avoir pleuré, les mains tremblantes.
— Où est-il ? Où est mon Felipe ? demanda-t-elle, à bout de souffle.
Marta la conduisit à une couveuse, au fond.
Je n’y voyais pas bien, mais j’écoutais.
— Madame Méndez, Felipe est stable, mais il ne réagit pas bien aux stimulations. Nous avons tout essayé…
— Qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’est-ce qu’il a ?
— Il est comme… plongé dans un sommeil profond. Ses signes vitaux sont bons, mais il n’ouvre pas les yeux, ne réagit pas au toucher. Comme s’il ne voulait pas se réveiller.
La jeune femme porta les mains à sa bouche.
— Je… je n’ai pas pu venir plus tôt. J’ai eu un accident. J’étais dans un autre hôpital. Il est né, et je n’étais pas là.
— Madame, vous avez subi un traumatisme grave. Personne ne vous en veut…
— Mais lui, si ! sanglota-t-elle. Il est né, il m’a cherchée, et je n’étais pas là. Et s’il a renoncé ? Et s’il ne veut plus m’attendre ?
Quelque chose s’est serré en moi.
J’ai reposé Tomás dans sa couveuse et je me suis approchée doucement.
La femme regardait son bébé à travers le plastique.
— Excusez-moi, ai-je dit tout bas, je m’appelle Laura.
Elle s’est tournée vers moi, les yeux pleins de fatigue.
— Vous travaillez ici ?
— Non. Je viens pour prendre les bébés dans mes bras.
Un éclat est passé dans son regard.
— Vous avez pris mon Felipe ?
— Non. Il est arrivé il y a seulement deux jours. Mais… je peux le faire, si vous voulez.
— À quoi bon ? dit-elle d’une voix brisée. Il ne réagit à rien.
— Parce que tout le monde a besoin qu’on le prenne dans ses bras, lui ai-je dit, reprenant mes propres mots d’autrefois. Même quand on ne le montre pas.
Marta s’est approchée.
— Madame Méndez, voulez-vous essayer le contact peau à peau avec Felipe ? Laura a raison. Parfois, les bébés répondent à des choses que les machines ne peuvent mesurer.
Elle a hésité.
— Et si ça ne marche pas ? Et s’il ne me reconnaît pas ?
— Alors au moins, il saura que sa maman est venue. Qu’elle est là.
Marta a tout préparé.
Elle lui a appris les gestes, la désinfection, la position.
On a sorti Felipe de la couveuse, avec les fils et les petits tubes encore attachés.
On l’a posé contre la poitrine de sa mère.
Le bébé ne bougeait pas.
Madame Méndez a commencé à pleurer en silence.
Des larmes tombaient sur la tête de son fils.
— Pardonne-moi, murmurait-elle. Pardonne-moi de ne pas avoir été là. Mais je suis ici maintenant. Ta maman est là.
Je ne savais pas quoi faire.
Mais quelque chose me disait de rester.
— Chante-lui quelque chose, ai-je dit doucement.
— Quoi ?
— Ce que tu veux. Une berceuse, une chanson que tu aimes. Il connaît ta voix. Il l’a entendue dans ton ventre.
— Je ne sais pas chanter.
— Moi non plus. Mais les bébés s’en fichent si tu chantes juste. Ce qu’ils veulent, c’est que ce soit toi.
Elle a fermé les yeux.
Et elle a chanté.
Une chanson douce, tremblante, dans une langue que je ne connaissais pas — du quechua, m’a-t-elle dit plus tard. Une chanson de son grand-mère.
Cinq minutes. Dix.
Et soudain… un tout petit mouvement.
Les doigts de Felipe se sont refermés sur la blouse de sa mère.
— Marta ! ai-je chuchoté fort. Regarde !
Marta s’est approchée avec sa lampe, a vérifié le bébé sans le séparer.
Et puis, il a ouvert les yeux.
Deux grands yeux sombres, qui ont cherché le visage de sa mère.
Elle s’est figée.
— Bonjour… murmura-t-elle. Bonjour, mon amour. C’est moi. C’est ta maman.
Felipe ne la quittait pas des yeux.
Marta regardait les moniteurs.
— Son rythme cardiaque s’est stabilisé. La respiration aussi, dit-elle avec un sourire.
— Qu’est-ce que ça veut dire ?
— Ça veut dire qu’il t’attendait, ai-je soufflé, la voix tremblante. Il t’attendait, toi.
Madame Méndez m’a regardée, les yeux pleins de larmes.
— Merci, a-t-elle dit. Merci de m’avoir dit de chanter.
— Je ne fais qu’un truc : je berce des bébés, ai-je répondu avec un sourire. Toi, tu as fait le plus difficile : tu es venue le chercher.
Avant de partir, je me suis approchée une dernière fois.
— Felipe est un bébé chanceux, lui ai-je dit. Il a une maman qui chante les chansons de son enfance, et qui l’a retrouvé malgré la douleur. C’est ça, l’amour pur.
Elle a hoché la tête, incapable de parler.
Ce soir-là, dans le bus du retour, j’ai regardé le ciel par la fenêtre et j’ai souri.
Les gens pensent toujours que je donne des câlins parce que j’ai beaucoup d’amour à offrir.
C’est vrai.
Mais j’en reçois aussi beaucoup.
Chaque fois qu’un bébé se calme contre ma poitrine,
chaque fois qu’une maman retrouve son enfant,
je guéris un peu plus, moi aussi.
Parce qu’au fond, peu importe comment on est né,
ni ce que les autres disent qu’on peut ou qu’on ne peut pas faire.
Ce qui compte, c’est d’être là quand quelqu’un a besoin de nous.
D’embrasser.
De chanter.
De rester.
Et ça,
je sais très bien le faire.
Le travail de Laetitia Vitaud, sur le monde de l'entreprise.
Je trouve ces réflexions tres pertinantes, le fait à chaque fois curieusement, de "ne pas avoir le bon âge".
Je trouve que l'idée des CV "à l'aveugle", comme ça se pratique désormais, dans certains grands orchestres, est une excellente idée, comme la pratique des CV anonymes, pour lutter contre le racisme non assumé en entreprise.
Cette méthode devrait aussi être appliquée, quand on recherche un logement, soit dit en passant, pour ne pas subir de discrimination, à cause d'un nom à consonnance, "insuffisemment français".
Oui, je sais, il parait, que ça n'existe pas....
Etre proprétaire foncier, que je sache, n'a jamais protégé ni contre la connerie, ni contre le racisme, et si certaines agences immobilières trouvent légitime de s'en rendre complices, ils doivent être poursuivis.
Mais revenons en au monde du travail.
Parce que certains chefs d'entreprises, prétendent qu'ils ne trouvent jamais "le candidats à leurs pied", d'une certaine façon, mais quels sont leurs critères de recrutement, exactement ?
On est en droit de se demander, si tout est vraiment fait, pour trouver la bonne personne, ou si au contraire, ils ne cherchent pas, quelquefois, à faire entrer au chausse pied, le candidat idéal, qui en realité, n'existe pas...
C'est comme l'homme idéal, ou la femme idéale, elle n'existe pas !
La solitude.
La solitude, c'est comme la pauvreté, elle ne peut êre source d'enrichissement, que si elle est induite pas soi même, et certainement quand on la subit involontairement.
Oui, alors, on doit d'adapter, comme pour le reste, qu'on soit homme ou qu'on soit femme, ou enfant aussi, nous passons notre vie à nous adapter, à ce qui s'impose à nous.
Mais revenons en à cette solitude des femmes, cette situation que l'on subit, est d'autant plus insupportable, qu'elle est imposée par un homme, pire, encore, cautionnée, par certaines femmes. Oui, on peut dire, sans sexageration, qu'elle n'est rien de moins alors, qu'une forme de masculnisme perversement bien dissimulée.
Octobre rose, BISOUNOURS ?
Oui, comme tout le monde, j'ai perdu, des femmes, tres proches, d'un cancer du sein, comme tut le monde, j'ai entre 5 et 10 personnes, qui en sont touchées, autour de moi, de façon plus ou moins sévères.
Comme tout le monde, j'y pense, et quand je passe mes mammographies, je me demande, si ce truc, va me tomber, sur le coin de la gueule.
FAITE VOUS DIAGNOSTIQUER, je vous en prie, pour vos proches, FAITE LE.
Si ça n'est ps tres agreable à faire, je le reconnais, ça n'est pas douloureux, et la peur n'évite pas le danger, moins encore, quand elle n'est pas justifiée.
Les années passées, deja, j'avais dénoncé le côté marketting de cette campagne, où tout le monde y va de ses bons sentiments, et se fait de la pub mine de rien, pour redorer son image.
Loin de moi, le fait de dénigrer cette démarche, des lors qu'elle vient du milieu associatif, ou d'entreprises à la rigueur, qui sont éthiques, ou qui n'ont rien à se reprocher, au minimum...
Mais le coup du labo pharmaceutique, qui fabrique le poison, (glyphosate), et qui, fabrique l'antidot par sa filiale pharmaceutique, et qui plus est, LE REVEND A PRIX D'OR, A LA SECU, pour soigner nos cancers, non, merci bien, ces gens là sont des truands, qui arborent le rose en en octobre, aussi sûrement que le feuillage des arbres, lui, se teinte de couleurs mordorées à cette époque....
Cette multinationale de merde, s'appelle Bayer.
Je cite:
6 milliards d’euros versés par l’Assurance maladie
En 2021, près de 6 milliards d’euros ont été versés par l’Assurance maladie aux sociétés privées fabriquant des médicaments contre le cancer — et bien souvent, en parallèle, des pesticides et produits chimiques. C’est le cas de Bayer qui commercialise des substances comme le Larotrectinib — une molécule utilisée dans le traitement contre le cancer de la thyroïde par exemple — et dont la filiale Monsanto produit du Round-up, contenant du glyphosate.
« Ce coût [déboursé par l’Assurance maladie] a doublé en quatre ans et augmente de 20 % chaque année, détaille le tract que Thérèse brandit aux passants. L’épidémie explose et les laboratoires imposent des prix exorbitants pour leurs anticancéreux. »
« Les laboratoires imposent des prix exorbitants pour leurs anticancéreux ».
Moi, qui suis en train de terminer mon livre sur l'agriculture, qui va s'appeler, "sacré géranium", je suis particulierement sensible, à l'histoire de cette fille d'agriculteurs.
Je cite :
« Le cancer ? Oui, je ne le connais que trop bien malheureusement », lui rétorque cette dénommée Brigitte. Fille d’un éleveur de vaches de Bourgogne, elle énumère ses proches emportés par la maladie. Son père et son grand-père ont succombé au cancer de la prostate. Son cousin céréalier, au cancer du rectum. « Je le vois encore survoler ses champs en hélicoptère pour balancer des cochonneries. L’épandage n’avait aucune limite, regrette cette infirmière retraitée. C’était hallucinant. »
Sa sœur et elle ont aussi eu un cancer du sein. « J’avais 35 ans et venais d’accoucher de mon troisième enfant, poursuit Brigitte. J’ai dû arrêter mon travail. » Une fois achevée la mastectomie, elle a dû changer à plusieurs reprises de prothèse. Traité en 1982, son cancer la poursuit encore aujourd’hui".
Concernant le cancer, nous assistons à une véritable épidémie, et il faut que ça se sache.
De plus en plus jeunes, aujourd'hui, les chiffres sont clairs, de plus en plus jeunes, on diagnostique des cancers.
Il est bien précisé que de s'alimenter en BIO, diminue les risques, là aussi, ce sont les chiffres qui le démontrent.
Je reviendrais sur ce point précis, dans un autre contexte.
Le petit garçon qui ne parle pas.
"Bonjour, madame.
Je me permets de vous écrire, parce que j’ai eu à plusieurs occasions, la possibilité d’observer votre petit garçon.
Si je ne cite pas son prénom, n’y voyez rien de mal, je vous prie, je suis dyslexique, et j’ai toujours beaucoup de mal, à me souvenir des prénoms, et des noms de qui que ce soit, et donc, de vous et de votre fils, tout autant.
Votre petit garçon ne parle pas.
Il y a plusieurs années, enfin, assez longtemps, j’avais peint un calligramme, qui disait, « hurle par ton silence ».
Si je vous dis que votre petit garçon cherche à vous dire quelque chose, quand il refuse de communiquer, j’ai parfaitement conscience du fait que je ne dois pas vous apprendre grand-chose.
Je sais par Julie, que vous avez des problèmes de couple, comme nous en traversons tous, des lors qu’on choisit de faire un bout de chemin avec un homme, quelque soit notre situation.
Elle ne m’a dit ça, que parce que je lui avais posé des questions, et rien de plus, elle est restée très évasive sur le sujet.
Je ne connais rien de votre situation, madame, et je me garderai bien de porter un jugement, ni sur vous, ni sur votre situation.
Les problèmes que nous traversons, nous, les femmes, quelle que soit notre couleur de peau, notre situation sociale, nos origines, ou notre niveau de vie, nous empêchent quelquefois d’observer les relations que nous avons avec nos enfants, et un regard extérieur quelquefois peut s’avérer être utile, pour simplement donner à réfléchir.
Oui, vous pensez je suppose, et je le comprends, que c’est plus difficile encore, quand on est sans logis, et sans papier ou en cas de précarité extrême, c’est plus difficile encore, et vous avez raison.
Malgré tout, vous devez savoir que d‘avoir de l’argent sur son compte en banque et un toit, sur sa tête, ne résout pas tout.
Ainsi, si l’on observe les violences conjugales, et les féminicides par exemple, il apparaît qu’elles sont présentes dans toutes les couches de la société, quel que soit le niveau social, et j’ose l’affirmer, quelque soit l’endroit ou le pays sur cette terre.
Mais revenons en à vous, et à votre petit garçon.
Le peu de fois, où je vous avais vue chez Julie, vous m’êtes apparue tellement occupée sur votre ordinateur, que votre petit garçon, ne vous semblait que comme une charge.
Je ne connais pas votre histoire.
Mais lui, quand il s’accroche comme il le fait à votre jambe, pour vous interpeller, et vous contraindre, à vous occuper de lui, il vous dit à quel point il est inquiet, et à quel point il a besoin d’être rassuré.
Si vous avez rompu avec son père, vous devez lui en parler, et lui en expliquer les raisons.
Si vous avez subi des violences physiques ou psychologiques qui auraient induit votre décision de séparation, (c’est une hypothèse), il est en age de l’entendre, et vous pouvez même vous permettre de commenter en lui expliquant que c’est interdit par la loi, et que ce que son père vous à fait, est grave, parce que C’EST INTERDIT….
Votre fils, si petit soit-il, peut entendre ça si c’est la vérité.
Ne lui mentez surtout pas, et si certaines choses que vous avez subies vous semblent trop graves, pour pouvoir le lui dire, restez évasive et n’entrez pas dans les détails, mais ne le laissez pas comme vous le faites dans l’ignorance, face à son inquiétude qui semble grande.
Ce petit souffre d’une grande insécurité, et elle est légitime.
Les enfants, y compris dès leur plus jeune age, voient toujours plus ou devinent des choses que ne le soupçonnent ses parents. Je le sais, parce que j’ai surpris à l’age de 5 ans, une scène de ménage, entre mon père et ma mère, il l'a trompée, et cette scene de menage m’a traumatisée à vie, alors je connais mon sujet.
Je ne veux pas dire, que c’est ce qui s’est produit, pour votre fils madame.
Je prétends juste, qu’il en sait assez sur votre histoire, pour être terriblement inquiet, ce qui justifie son mode de communication qu’est son silence, parce que ce silence qu’il vous impose est bien sensé vous dire quelque chose.
J’espère par les propos qui sont les miens, ne pas vous avoir blessée, madame, parce que ça n’est pas dans mon intention.
Je vois juste, un petit garçon qui n’a besoin que d’une chose, être rassuré sur l’amour que vous lui portez, et qui mérite de le lui être dit, parce que c’est ce qu’il attend de vous.
Christiane K, quintuple infanticide.
Je ne connaissais pas cette histoire, qui est récente.
II me semble que cette affaire, devrait être rejugée, parce que durant son procès, nulle part il n'a été mentionné ce qu'elle a subi, enfant, et ça n'est pas normal.
Pour ceux, qui aujourd'hui, douteraient (parce que ça existe !) de l'impact que le viol, l'inceste ou la pédophilie, peuvent induire dans la psychologie de la victime, cet exemple est particulierement éloquent.
Balance ton église évangéliste.
https://www.france.tv/france-5/vu/7579814-eglises-evangeliques-derriere-la-facade-l-enquete.html
26 septembre 2025. Les évangélistes.
Suite à un reportage sur France 2, je vois confirmé ce que j’ai déjà expliqué sur ce mouvement.
https://librairie.nombre7.fr/essai/8739-toxicite-des-livres-sacres-9791042707880.html
Je veux dire par là, que nulle part, je n’ai vu émerger quoi que ce soit, qui me ferait les observer sous un angle différent.
Certains penseront, qu’il aurait été plus judicieux, peut être ? D’énoncer les argument, pour conclure, « rien de nouveau sous le soleil ».
Je dirai que « l’un n’empêche pas l’autre ».
Il s’agit là, d’un phénomène d’emprise psychologique.
Nous sommes très exactement, dans le même processus que pratique les djihadistes, quand ils recrutent, sur internet.
On leur dit, " Vous êtes des instruments, que Dieu lui même à choisis, et par votre intermédiaire, il peut changer les choses, et agir sur les choses qui vous font souffrir", ce qui justifie hélas, que toujours, quand des personnes tombent gravement malades, certains renoncent à suivre certains protocoles thérapeutiques, proposés par leurs médecins, ce qui les mènent à la mort.
Le parallèle avec les djihadistes ?
Aux femmes "Tu es spéciale tu es pure, tu n’es pas comme les autres femmes, tout ce qui n’est pas de notre mouvement, c’est le diable ".
Ou ben: "Dieu te voit, Dieu te juge, si tu ne fais pas, tu es instrumentalisé, par le Diable, etc, etc".
N’en déplaise à ceux qui en sont adeptes, nous sommes très exactement dans le même contexte psychologique.
La position face aux différentes orientations sexuelles, notamment, pose un vrai problème.
Il s’agit « purement », de ce qu’on appelle « des thérapies de conversion », qui sont interdites par la loi.
Ces gens là se prennent, pour des représentants de Dieu sur terre et ils prétendent parler en son nom.
Et c’est une croyante, qui vous parle, faut il le rappeler…
« Ca n’est pas ce que Dieu veut »….
Pour qui se prennent-ils ? Je suis mère d’une fille homosexuelle, pour ceux qui l’ignoreraient encore….
Et je suis absolument révoltée, de voir que certains se croyant, « des représentants de Dieu sur terre », sous ce prétexte, se croient autorisés à porter un jugement sur un être humain, au seul prétexte qu’il refuse de jouer la comédie, et de faire « comme s’il étaient attirés par l’autre sexe », alors, que leur cœur, lui, dit le contraire, ou dit autre chose…
Il promeuvent alors le mensonge, vis à vis de soi même, et le mensonge vis à vis d’autrui.
« Fabriquant de malades mentaux », là encore, ne leur en déplaise.
Quiconque suivant leur précepte, accepte l’idée que tout est régi, par l’un côté le Bien, leur côté, toujours, et tout, ce qui est contraire à leurs préceptes, est une manifestation du Mal…
L’ensemble des différents secteurs de la société, quel qu’il soit n’est observé strictement, que sous cet angle.
Il en résulte alors, une déformation de la perception du monde, qui se réduit à l’observer comme par le trou d’une serrure…
En quoi ça pose problème ?
La déresponsabilité, selon l’église évangélique dont il est question, le processus est plus ou moins accentué.
Le citoyen alors, n’est plus que l’instrumentalisé par Dieu, comme ils le prétendent, mais du politique qui se revendique comme étant l’un des leurs, et qui, à ce titre, se considère comme chef du troupeau, avec, aux USA, une casquette, « Maque América Great Again »…. Pour ne citer, que cela…
Posez leur la question, de ce qu’il advient du réchauffement climatique ?
Ils vous répondront qu’il n’existe pas...C’est ce que fait Trump.
Mais soyez sans crainte, si Trump tombe gravement malade, ça n’est pas par des prières, qu’il cherchera à se guérir, mais bien dans une clinique privée, avec sa carte gold...Trump, ne risque pas de prier, et s’il le fait il ne le fera, qu’à des fins de propagandes, pour son ambition personnelle, en mentant, comme il l’a toujours fait.
Parce que la vraie prière, quand on parle à Dieu, la vraie, la pure, elle ne se fait que dans l’intimité, strictement, au bénéfice d’autrui, et pas pour son bénéfice personnel, elle ne se fait pas en grandes messes, qui amènent le troupeau dans un état de transe, comme décrit dans le reportage, mais dans l’intimité de son cœur...
Donner, une image simpliste et bipolaire du monde dans lequel nous vivons, est une attitude criminelle, je dis bien criminelle, parce qu’elle déforme la perception du monde dans son ensemble.
Je ne prétends pas, pour autant, que le diable ou que le mal n’existe pas, je prétends juste qu’il importe d’avoir conscience que quelqu’un de mauvais ou de toxique à 100 % n’existe pas, comme quelqu’un de bon et de bienveillant à 100 % n’existe pas non plus, que le plus grand crime des évangélistes, et de tous ceux qui comme eux, pratiquent le phénomène d’emprise psychologique, c’est d’interdire la nuance en tout, et interdisant la nuance, ils interdisent par ce fait le dialogue, le vrai, empreint de tolérance et d’ouverture, et la communication…
Oui, j’ai bien dit, « criminel », parce que c’est en vérité, une incroyable propagande pour la lâcheté, la plus ignoble...
Expliquer, enseigner, encourager, et démontrer la complexité des choses, quelque soit le domaine dont il est question, c’est là, et là uniquement que se trouve le courage véritable, (tant qu’on est pas en état de guerre, ou migrant, quelque sot la raison, ça va sans dire)d’assumer sa véritable nature humaine, et ceci dès l’enfance, avec évidemment une adaptation, je pense à l’éducation évidemment, ou à la parentalité.
Là, où leur préceptes au contraire, par la prétendue existence de Dieu, (il n’existe aucune preuve en tout cas), qui serait la solution à tous les problèmes, déresponsabilisent entièrement le citoyen, qui n’est plus qu’un mouton, qui suit sans oser penser par lui même, et moi, ça, ça me révolte au plus haut point.
Vous doutez, de ce que je prétends là ?
Regardez bien ce reportage, et les cas, qui sont cités…
Une jeune femme, victime d’une agression sexuelle, ou d’un viol...La psychologue a échoué, (elle ne se prenait pas pour Dieu, elle, en tout cas), la victime ne porte plus plainte, évitant ainsi, d’affronter le tribunal et le pédophile ou le violeur, qui eux, rigolent bien, et peuvent continuer sans le moindre problème.
Quand on est victime de tel crimes, ça n’est pas tant pour soi même uniquement, que Justice doit être rendue, mais bien pour que d’une part, « ça se sache », parce que pour se reconstruire, passer de façon temporaire, par le statut de victime reconnue, OFFICIELLEMENT est une étape nécessaire, mais bien plus encore, pour poser juridiquement le coupable, comme l’étant, est sur le plan sociétal, une nécessité pour qu’il lui soit signifié, qu’il l’est, et qu’il lui soit signifié, qu’il lui est interdit de récidiver…
Là, le mec, aucun souci, les évangélistes ainsi, cautionnent à 100 % le crime commis, et ils peuvent continuer à violer femmes et enfants, ILS DISENT AMEN…
Avez vous vu quelque part, qu’on lui ai ait conseillé de déposer plainte ? Et que pour y parvenir, ils la soutiendraient ?
Que nenni, surtout pas, pensez donc, ils lui ponctionnent déja 100€ par mois, pour bâtir une nouvelle église, c’est pas pour les utiliser, pou payer un bon avocat, fait, de chair et de sang.
Dans un tel contexte, imaginez donc, ce qu’il doit en être, au sujet des pédophiles, au sein des évangélistes….
Quand aux homosexuels, aucun soucis, on cultive sans problème, la culpabilisation à mort, en faisant miroiter les flammes de l’enfer, et on les fait rentrer dans le moule « famille hétéro », au chausse pied spirituel s’il le faut….
Quand la souffrance est telle, qu'elle peut relever de la psychiatrie, face aux dommages psychologiques.
Le 24 septembre 2025, France Inter consacre une journée entière à la maladie psychiatrique, ou plus précisément, aux solutions qui peuvent être mises sur pied pour les prévenir, ou pour les gérer ou les traiter.
A cette occasion, j'ai décidé de vous faire la lecture d'un des chapitres de mon livre, "peintre du dimanche", où j'explique comment j'ai procédé, par pur instinct, à la gestion de ma souffrance, générée par un acte de pédophilie, dont j'avais été victime, quand je n'avais que neuf ans.
Vous pouvez vous procurer cet ouvrage, en suivant ce lien:
https://librairie.nombre7.fr/essai/8094-peintres-du-dimanche-9791042703585.html
"Je suis Charlie", est tombé dans le caniveau, à moins que ça ne soit "je suis Robinson" ?
Il y a quelques jours, un influenceur "charismatique", au sens premier du mot, c'est à dire, "qui sait se faire remarquer", a été abattu, pendant qu'il faisait un meeting, aux USA.
J'aurai pu poser comme titre, "qui sème le vent, récolte la tempête", quand on observe que son activité politique principale, n'ait été autre que de monter les communautés les unes contre les autres, et que de critiquer, mépriser, telle communauté ou telle autre, ne peut qu'entretenir la haine...Et pousser aux extrèmes.
Je condamne évidemment, sans le moindre doute, le crime qui ait été commis, parce que si cet homme représentait tout ce que je déteste politiquement, attachée au debat politique au sens large, le seul moyen de combatre une ideologie, ne residera jamais que dans la dialogue et la confrontation verbale.
Quand un pays s'enorgueillit de porter le port d'arme, comme une valeur intrincèque de son identité, il ne faut pas s'etonner d'observer que les plus ultras, tous courants politiques confondus revendiquent à la moindre occasion, en cas de crise, de trouver légitime, de "tirer dans le tas", quand il s'agit de tueries de masse, ou de s'en prendre individuellement, à telle personnalité, ou telle autre.
Et sur ce point, il n'y a pas un courant politique aux USA, qui soit en mesure de revendiquer de ne pas en avoir été victime.
Mais revenons en à Charlie Kirk.
On apprenait, hier, que sur les réseaux sociaux sa communauté récupére le slogan français, "je suis Charlie", pour faire de lui, ce qu'on apppelle, "un martyre".
JE SUIS, JE SUIS, JE SUIS.....
Tout et n'importe quoi, visiblement, si l'on observe à quel point, certains prénoms, ont ainsi devoyé, litteralement, l'image de ceux qui les ont précédés.
Pour moi, Donald c'était la bande à Picsou, et le vieux grincheux, gripesou, et Donald son neveux, inconséquent, qui faisait des bêtises, et ses trois neveux, Riri, Fifi et Loulou, depuis que Donald Trump est arrivé dans la sphère politique américaine, le prénom Donald en à pris pour son grade au détriment, du heros du dessin animé.
Ainsi, on observe qu'au moment où cet assassinat, ait été commis, le présumé coupable s'appellerait Robinson, alors qu'au même moment, Donald Trump, tressait des couronnes de laurier, à un autre Robinson, au Royaume Uni, il y a quelques jours, ce dernier etant, un politique, d'extrème droite....
Personnellement, toujours, attachée visceralement, à la liberté d'expression, de dessiner et de caricaturer, je me contente d'être Françoise, ce qui me semble largement suffisant.
Patriote de gauche ? Et pourquoi pas "matriote" ?
On entend à intervalles réguliers, que la notion de patriotisme ne serait que l'apanage de l'extrême droite, ce qui semble n'être vérifiable que dans le discours.
En effet, seule l'extrême droite revendique un tel vocabulaire, au point d'user de ce mot, dans le nom de son parti, en l'occurrence, plus à droite encore que ne l'est le RN.
Vu de l'extérieur, il ne fait aucun doute pourtant, que certains politiques et certains électeurs, observant les actes et discours de ce parti qui se dit patriote, concède alors de façon plus ostentatoire que Marine le Pen et le RN, jouiraient d'une fréquentabilité qui les feraient passer alors, pour des enfants de cœur.
Ce qui m'incite à penser alors, qu'ils sont bien mon cul m'a chemise, avec comme on dit vulgairement.
Les patriotes dont je vous parle là servent, intentionnellement de véritables faire valoir au RN.
Un peu comme si Marine le Pen et Jordan Bardella étaient de braves petits fachos, disons le, fréquentables.
Et plus ceux qui se revendiquent du parti patriote (reconquête, pour la France)sont infréquentables en étant agressifs dans le discours voir dans les actes, plus leur rôle de faire valoir vis-à-vis du RN se trouve conforté.
Qu'on ne s'y trompe pas, pourtant, ce ne sont pas les patriotes (reconquête, pour la France) qui sont invités aux grandes messes des extrêmes droites européennes, mais bien Marine le Pen.
Il est étonnant d'observer que les difficultés financières qu'à rencontrées le RN, ces dernières décennies, n'aient pas trouvé de bonnes âmes "bien nées", pour combler ce déficit, comme les de Villiers, pour ne citer que ceux-là. Ça aurait permis à Marine le Pen, de ne pas aller chercher du financement en Russie, à l'époque, et d'ainsi de s'en trouver, quoi qu'elle en dise, psychologiquement redevable.
Patriote, disais-je....
Certains se demandent à quel titre, la gauche leur laisse le monopole de ce vocabulaire.
La raison, c'est dans la racine du mot, qui est " pater", qui signifie " père ".
Autant dire que le mot patriote passerait pour une forme de nationalisme masculiniste, ou plutôt, viriliste, et donc, anti féministe.
Voilà, qu'elle en serait la raison véritable, et inconsciente, peut-être..
Et bien, moi, "je m'appelle Francoise", ce qui ethimologiquement signifie " française", je suis féministe, anti viriliste, et patriote de gauche, et j'emmèrde toujours Zemmour, qu'il fasse son discours à Londres, si ça lui chante.
Nul part, il est écrit, qu'une forme humanisme serait incompatible avec le fait d'aimer son pays.
Nous disons bien accessoirement "matrimoine", alors, pourquoi pas "matriote" ?
Le BIO, en agriculture.
Mon livre sur l'agriculture, qui va s'appeler, "sacré géranium", édité par nombre7, en est à la relecture. j'aborde le sujet du BIO, bien sûr, dans plusieurs de mes chapitres.
Fouillant sur internet à ce sujet, je viens de découvrir un site tres bien fichu, qui permet de découvrir où en est le BIO, aujourd'hui, dans chaque departement ou chaque region, en ce qui concerne le nombre d'entreprises agricoles déclarées comme telles, ou les surfaces agricoles, qui sont concernées.
https://www.agencebio.org/observatoire-de-la-production-bio-sur-votre-territoire/
Pour ce qui concerne leur viabilité, et leur chiffre d'affaire, par contre, c'est une autre affaire.
C'est sur ce point précis, pourtant, que je cherche l'info ce matin, sachant qu'il faudrait se méfier de toute forme d'intox sur le sujet, sachant que d'autre part, c'est ce qui est observé et vehiculé comme info, qui serait susceptible, d'encourager ou de decourager, untel ou une telle, de s'installer en BIO, aujourd'hui.
Un indice pourtant, devrait permettre d'y voir plus clair, quand on voit l'organisation, "Prince de Bretagne BIO", faire une campagne de pub à la télévision, ce qui ne doit pas être au goût de tout le monde en Bretagne, quand on observe le côté mafieux, d'un certain syndicat agricole. Oui, j'ai bien dit, et je le repète, "le côté mafieux d'un certain syndicat agricole".
Gérard Miller, anatomie d'un prédateur. (Alors, le catalogue...)
Personnellement, j'ai réagi comme Sandrine Rousseau, j'avais beaucoup d'admiration pour lui, et je suis tombée de ma chaise en apprenant une chose pareille.
Je me souviens, avoir été présente dans le public d'une émission de télé, mais je ne sais plus laquelle, il y a longtemps, où je l'avais observé faire le paon, avec certaines belles jeunes filles, au premier rang, version anecdotes, à plusieurs moments, et avoir compris à l'époque, que ça n'était pas très déonthologique, face au statut qu'il avait, comme psychanaliste... Rien qu'une fois.
Mon ex le détestait au plus haut point, parce que comme c'était un taiseux comme on dit, il était des plus méfiants, vis à vis de ceux, qui jouissaient d'une telle faconde.
Difficile de déterminer aujourd'hui, si la cause, aurait été parce qu'il y lisait le danger de la prédation potentielle et véritable, vis à vis de ces jeunes filles, ou si c'était lié uniquement, à l'aspect de la communication, mais les faits sont là...
Moi, par contre (j'étais venue seule, dans le public), j'avais vraiment senti le danger potentiel.
Je rappelle la définition du mot viol, aujourd'hui.
https://violences-sexuelles.info/definition-legale-du-viol/
On sait que toute personne qui est en situation, de suppériorité hierarchique, qui commait un acte de ce type, parent, oncle, grand père, enseignant, maitre, animateur, animateur sportif, supperieur, etc, pratique, ce qu'on appelle, "un abus de pouvoir", quand il subit une telle accusation.
Cet aspect il me semble, de façon générale est largement sous estimé par la Justice.
J'ai environ une dizaine d'années, de psychothérapie derriere moi, aussi, je suis en droit de prétendre que dans le cas, d'un psy, qu'il soit psychiatre, ou autre, que cette caution justement, aggrave le crime, beaucoup plus encore, que s'il s'agissait d'une suppériorité plus classique...
A son sujet, je dirais qu'on a affaire, à ce que l'on nomme un pervers manipulateur, d'une perversion sur dimessionnée, qu'il serait bon de mettre dans un bocal, pour servir d'enseignement dans les cours d'histoire naturelle, comme on observait jadis, les anomalies de la nature, que l'on garde encore, dans les cabinets de curiosité, dans du formol, pour peu que la perversion, à un tel degré, puisse avoir pris une forme physique et palpable.
En effet, entendre qu'il se refuse au moindre commentaire, apres la sortie du livre, se réservant pour la Justice, alors, qu'il sait à quel point elle est clémente (plus encore, quand ce sont des inconnus, qui sont accusés), plus par manque de moyen qu'autre chose, en dit assez long.
Mais je viens de remarquer un truc curieux.
Alors qu'il m'arrive souvent, quand je veux parler d'un livre, d'aller chercher la couverture, sur google image, je vois que ce visuel n'est quasiment pas repris.... Et que j'ai eu du mal à le trouver, pour en faire, une capture d'image, comme j'en ai l'habitude.
Je trouve ça assez interpellant, quand on observe qu'au moment où j'écris ces lignes, l'Europe ayant décidé d'un certain nombre de lois, pour entraver le plus possible, la toxicité d'internet, et donc de google, qui en est l'un des symboles, en position de monopole absolu...
Q'un certain Donald Trump menace l'Europe, pour que cette toxcité perdure...
Et voilà cet ouvrage, alors, plus difficilement trouvable par google image...
Et oui, la trumpisation des esprits, irait elle jusqu'à prendre la défense d'un certain Gérard Miller, accusé de prédation sexuelle ? La question mérite d'être posée.
Ha ça lira .
Tout y est !
Coupes budgétaires, vers le social ? C'est une trumpisation de notre politique.
Tout est dans le titre.
Il nous faut compenser, alors, par l'augmentation des dons, en plus, de le denoncer, politiquement.
Oui, je sais, c'est pareil, pour tous les secteurs associatifs, sauf qu'en ce qui concerne les associations d'aide contre les violences faites aux femmes, par effet de dominos, c'est le reste de la cellule familiale qui en subit les conséquences, et donc, les enfants.
Dans le cas d'une femme au foyer, par exemple, cas que je connais mieux que quiconque, les associations pour les accueillir, auront plus de difficultés encore à les soutenir,à leur proposer un hébergment, ou à leur proposer de l'aide, sous toute les formes qui existe deja, aide juridique, permammance, etc, etc.
Comment avoir de l'eau vraiment filtrée au robinet ?
https://meilleurtest.fr/comparatif-osmoseur/
L'osmoseur, c'est le moyen utilisé dans l'espace, pour que les atronautes, puissent boire de l'eau propre.
Contrairement à une eau imparfaitement filtrée en amont, dans un systeme d'épuation, entre autre, quand votre eau arrive dans votre circuit à votre domicile, où cette eau flitre selon les mêmes critéres cette eau, pour alimenter vos toilettes, l'eau du lave linge, ou du lave vaisselle, le système d'osmose inverse est installé sous votre évier, dans la cuisine avec un robinet à part, de telle sorte que ce dernier et ce système de filtre ne serve, que pour la consommation humaine, c'est donc, le systeme le plus coherent surtout, face à la problématique de l'eau dans notre consommation, en général.
Le petit Emile et son grand père.....
Je reviens sur cette affaire, parce que quelqu'un m'en a reparlé il y a quelques jours, alors, je suis retournée voir la vidéo, que j'avais tournée sur ce sujet.
Je vous recommande, d'autre part, d'aller lire les commentaires, mais aussi, mes réponses à certains d'entre eux, qui en disent long d'une part sur certains catholiques intégristes, mais aussi, sur le châtiment corporel, tel qu'il est perçu par certains, encore aujourd'hui.
https://www.youtube.com/watch?v=aGrYGaUpEJo
Je reprends un commentaire, en particulier.
Je cite : "Ce qui est bizarre, est que les gens du village, d'après un journaliste, ne croient pas que c'est le grand-père, mais ils penchent plutôt pour un accident.
ça ne prouve rien, il est courant d'observer qu'un criminel en puissance jouisse, d'une véritable popularité au sein d'une communauté, le village, souvent, qui le voit comme ors de tout soupçon.
Les criminels sont, tres souvent, des pervers manipulateurs, en puissance, et à ce titre, savent parfaitement cacher leur jeu.
Quand un homme mariè, et pere de famille est accusé, de viol, il se trouve toujours, une âme charitable, pour pretrendre que ça ne peut âs être lui, au seul pretexte que c'est je cite, "un bon père de famille".
Et puis, il est quand même père d'une grande famille.
Ha nous y voilà, et ça prouve quoi ?
Dans 80 % des agressions sexuelles que subissent les enfants, ça se deroule dans la sphère familiale, ou amicale de la famille, et ça n'est pas là une opération du saint Esprit, que je sache.
Bfm poubelle fait passer ce grand-père pour un homme violent, (pour une fois qu'ils font leur job correctement, vous n'allez tout de mê pas les blamer...Il me semble, que ces accusations relevent, de tloignages precis, et non, de propos, calomnieux, non ?
Mais j'ai 72 ans et à l'école on s'est tous pris des torgnoles par les bonnes soeurs et on en est pas morts !
Non, mais visiblement, on ne peut pas dire, qu'il semble, que ça vous ait apporté beaucoup de clairvoyance, sur le phénomène châtiments corporel, si j'en crois vos propos. Bien au contraire, vous confirmez, preciseent, qu'on trouve souvent legitime, de battre un enfant, parce qu'on reproduit, ce shemas toxique.
Pourtant, depuis des decennies, les faits, sont demontrés de façon incontestable, toute forme de châtiment corpoel, est toxique pour un enfant, y compris ensuite, quand il est ado, puis adulte, et si la loi française l'interdit, ça n'est pas pour culpabiliser, ceux qui y croient encore, et qui sombrent dans une forme d'obscuantisme sur le sujet, dont visiblement, vous faites encore partie.
Et quelquefois on le méritait !
Un enfant ne mérite jamais de prendre des claques., JAMAIS, si tel est votre sentiment, c'est que vous n'avez même pas conscience que les régles qu'on vous imposait, ne vous étaient pas expliquées, et qu'il n'existait aucun respect, entre ces religieuses, devant qui vous n'étiez que des "broutilles d'enfants", qu'on trouvait normal de chosifier, comme le font les prédateurs sexuels, devant des enfants, à qui ils font subir des sévices.
Honte à vous, qui cautionnez, par vos propos, de telles, pratiques.
Ce qui me choquait le plus est quand la supérieure m'enfermait dans le cagibi dessous l'escalier dans le noir, car souvent je n'arrivais pas à finir les repas à la cantine. Mais de mon temps, dans les écoles, ils étaient très durs, mais on en pensait rien, c'était partout pareil.
Enfin, un soupçon de lucidité, il etait temps, je commenais à m'impatienter, vous êtes peut être récupérable, tout compte fait ! sans rancune....
Vous ne devez jamais avoir, honte, des sevices, que quiconque, ait pu vous faire, subir, quelque soit le moment de votre vien, où ça vous serait arriver parce que c'est le seul moyen de vous en libérer.
Merci, pour votre témoignage.