Françoise Niel Aubin, artiste.

éducation

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Adieu twitter, vive BLUESKY.

Par Le 18/12/2025

https://bsky.app/

 Bon, je sais, mon me dira, "mais enfin, quelle mouche te pique ?"

 Aucune en vérité, depuis bien longtemps, dès lors que twitter, avait réintegré donald trump, alors, que parallement, elon musk à l'époque se prenait deja, pour un roi sur son trône, je veux parler de twitter, j'ai tenté, à plusieurs reprises, de quitter, twitter, mais un probbleme technique, rendait, la chose impossible.

 Mais cette fois, c'est fait.

 J'ai juste, un petit souci, c'est que les comptes qu'on me propose de suivre, sont presque tous en anglais, alors que je le parle comme une vache espagnole, mais enfin, tant que la vache iberque, n'a pas la dermatose nudulaire, ça ne me semble pas si grave.

 A présent, c'ets chose faite, et je supprime mon compte twitter.

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Françoise Niel Aubin, artiviste.

Par Le 29/11/2025

(début novembre ?)Paru dans le Reveil de l'Eure, par Marine SORIEUL.

https://actu.fr/auteur/marine-sorieul-actu-fr

Journaliste.

installée à Bois-Normand-près-Lyre (Eure), Françoise Niel Aubin a trouvé dans ce havre de verdure le cadre idéal pour laisser s’épanouir sa créativité. Originaire de la région de Rouen, l’artiste peintre, auteure et chroniqueuse revendique haut et fort son statut « d’artiviste ».

« Je fais feu de tout bois »

À travers ses peintures, ses livres et ses vidéos, elle observe, questionne et interpelle le monde qui l’entoure. Elle y exprime ses émotions et ses révoltes. « Je fais feu de tout bois », sourit-elle. Une phrase entendue à la radio, une conversation dans la rue, une émotion… tout peut devenir matière à création.

Ses trois activités – écriture, peinture et chronique – se nourrissent mutuellement. L’écriture alimente ses réflexions, tandis que ses tableaux, mêlant calligraphie et dessin, prolongent souvent ses mots. Pour Françoise, créer n’est jamais un geste anodin, c’est une manière de dire ce qu’elle ne saurait taire.

L’art, une espace de liberté.

Toujours en quête d’expérimentations, elle explore des techniques et des gestes nouveaux.

Quand je peins, il me faut l’impression de faire quelque chose de différent, que je n’ai jamais fait.

L’art, pour elle, est un espace de liberté totale, un lieu où tout peut se transformer.

Ses œuvres portent un regard lucide, parfois provocateur, sur notre époque. Elle n’a pas peur d’aborder les sujets sensibles. « Toxicité des livres sacrés » ou « Addictions, prendre le mal à la racine » en sont des exemples marquants.

« Je m’en suis sortie au travers du dessin »

Mais derrière cet engagement se cache aussi un besoin plus intime.

Celui de s’échapper, de se libérer, de se reconstruire. « Je revendique très clairement mon statut d’artiviste », affirme-t-elle, mais avant tout « l’art m’a sauvée ».

Depuis l’adolescence, en effet, l’art est pour elle une bouée, un refuge. « Plus jeune, j’ai porté seule des traumatismes. Je m’en suis sortie au travers du dessin », confie-t-elle. « Et en écrivant beaucoup à Thomas Fersen », plaisante-t-elle. Créer, pour Françoise, n’est pas seulement une démarche artistique mais aussi une bouffée d’oxygène.

La nature, sa muse

Aujourd’hui, dans ce nouveau décor de verdure, elle cultive aussi une autre passion, le jardinage, qu’elle considère comme une forme d’art à part entière. La nature, apaisante et vivante, nourrit son inspiration.

Cette sensibilité se retrouve jusque dans son prochain livre, actuellement en phase finale de relecture, intitulé « Sacrée Géranium ». Un ouvrage consacré à l’agriculture, mais aussi un hommage tendre à son grand-père, passionné de bouturage.

Il aimait bouturer les géraniums. L’odeur qu’ils dégageaient, c’est ma madeleine de Proust

Curieuse, créative et audacieuse, Françoise Niel Aubin avance, guidée par ce besoin vital de créer. Entre les mots, les pigments et la terre, elle cherche avant tout à réparer le monde, et à se réparer un peu elle aussi.

Actualisation, Parentalité, chez nombre7.

Par Le 26/11/2025

L’humanisme et la solidarité sont des formes de parentalité.

Petit retour, au sujet du covid.
Certaines professions concernées plus particulièrement par l’aide à la personne et tout ce qui touche à l’humain de façon plus large, ce qu’on appelle « le care », ont au début été applaudies par la population, louées par le gouvernement, pour finalement ne se voir octroyer que des primes, là où une véritable revalorisation des salaires eût été infiniment plus forte symboliquement.

Certains se demandent en quoi ce fait serait lié au phénomène de parentalité.
Mon sentiment, c’est que dans le désir de devenir parents, il existe une palette de raisons qu’on ne soupçonne pas. Plus que jamais, quand on se trouve en échec vis-à-vis de ce désir, il me semble opportun d’en observer ces nuances.

La raison, c’est que c’est justement dans ces nuances que se trouvent les stratégies à mettre sur pied, pour en souffrir le moins possible.
Ce qui importe dans l’existence, comme le dit si bien Julien Clerc dans son texte « Utile » en parlant d’une chanson, peut parfaitement être vérifié tout autant dans la psychologie de l’être humain, surtout quand il est adulte.

Se sentir utile aux autres, en tant qu’humain, c’est démontrer par son désir la nécessité d’être en corrélation ou en
relation, je dirai même en symbiose avec ses semblables, et par voie de conséquence d’être nécessaire aux autres et plus précisément, à quelqu’un en particulier.

Vous me direz qu’au sein d’un couple, ça se produit déjà…Ce qui n’est vrai que dans la mesure où les deux, précisément,
s’aiment véritablement et sont animés par la bienveillance qui devrait être omniprésente.
De la même façon que la notion de famille peut trouver son équivalence quelquefois dans un groupe d’amis ou une
association, la notion de parentalité peut parfaitement trouver une similitude dans une relation de bienveillance vis-à-vis d’un enfant, d’un ado, ou de qui que ce soit qui en est demandeur.
Le vrai problème, en fin de compte, ne se pose que dans  le cas de couples rétrogrades, qui sont incapables de se détacher de la vision idéalisée de la famille et de l’enfant.
Il existe encore bien des cultures où il en est ainsi.

En effet, plus souvent qu’on ne le soupçonne aujourd’hui, le fait d’avoir des enfants n’est perçu, quand il existe une grande pauvreté, par exemple, qu’en tant que l’occasion d’avoir d’une part des bras pour travailler aux champs ou à la mine (eh non, nous ne sommes pas toujours partout dans le monde sortis de cette réalité !), pour subvenir aux besoins de la famille, ramener de l’argent.

En fin de compte, l’enfant n’aurait le droit d’exister que pour satisfaire les désirs des parents, qui projettent sur lui leurs frustrations, leurs désirs, leurs souffrances, et lui créent les plus grandes difficultés, l’empêchant d’espérer faire de sa vie ce qu’il aimerait vraiment.

Sur ce point, à l’échelle mondiale, et internet y est pour quelque chose, les mentalités évoluent favorablement.
Je sais, on me dira que ce que je décris là est bien loin des préoccupations des parents dans le monde occidental, ce qui est vrai en grande partie, mais qui n’est pas vérifiable à cent pour cent.
En effet, il y a quelques jours, j’entendais à la radio une pédiatre expliquer qu’ici, en France, « encore », beaucoup
d’enfants et d’ados sont en difficulté psychologiquement en raison des exigences non dites des parents. Ces derniers
souhaitent, plus de façon inconsciente que consciente, je l’espère, les voir réussir ce qu’eux n’ont pas réussi à faire de
leur vie…
Ce processus est très bien connu, et j’en ai été victime, moi aussi, comme nous le sommes tous, mais il serait naïf de penser qu’on en est sorti, comme certains aimeraient le croire. 

Pour ce qui concerne la similitude entre parentalité et humanisme ou solidarité, je soupçonne que certains, concernés
au premier chef, ne me prennent le doigt dans le pot de confiture, ou disons, me taxent d’un opportunisme qu’ils
perçoivent comme déplacé, je veux parler de mon militantisme politique. Eh oui, je l’avoue humblement, je suis de gauche. Il faut bien sourire, aussi, non ?

Ne pas parvenir à avoir d’enfant, et s’en arranger.
Révoltant, et pourtant nécessaire.
Balayer d’un revers de manche la moindre chance, justement, de proposer des stratégies pour augmenter les chances de parvenir à atteindre un objectif, dans notre cas, celui de devenir parents.

C’est d’ailleurs souvent ainsi que travaillent les psys, et ils ont bien raison. Ils ont, je dirais, d’autant plus raison que,
visant cet objectif, en aucune façon ils ne se risqueraient à s’en contenter, « croyez en mon expérience ».

Je ne prétends aucunement qu’il faille renoncer à chercher à devenir parents « physiquement », mais plutôt qu’en
envisageant qu’éventuellement ça ne se solde que par des échecs successifs, les stratégies mises sur pied pour s’y
préparer évitent d’en faire une fixation, et donc, abondent dans un sens qui serait favorable à l’aboutissement d’un projet de parentalité.
Il est fréquent d’observer, par exemple, que des parents en mal d’enfants aient décidé en fin de compte d’adopter, et que l’instinct parental faisant son oeuvre, au bout de quelques années, les parents deviennent précisément féconds, alors qu’ils pensaient qu’ils n’y parviendraient jamais .

L’objectif absolu et exclusif de concevoir l’enfant soi-même n’était plus une fixation.
Ainsi, quand je prétends que la parentalité est une forme d’humanisme, c’est infiniment plus d’une intime conviction
dont il serait question que d’une forme d’opportunisme à caractère politique.

Non fécondité, sous une dictature, où est le problème ?
C’est incroyable, n’est ce pas, ces pays qui se prétendent civilisés, pour un peu, qui oseraient donner des leçons
d’humanisme à certains, sous des prétextes fallacieux, de respects de la vie humaine, et plus encore, sous le pretexte, enfin de compte, du droit de l’enfant…

En Inde, on fabrique de toute pièce, des usines à bébés, pour fabriquer des nourrissons, qui seront vendus, sans le moindre scrupule, dans des pays peu regardants où la non fécondité n’est qu’un pretexte juteux, à exploiter la misère humaine, tant du côté de mères porteuses abusées, dans tous les sens du termes, je veux dire, potentiellement violées, alors que selon toute probabilité, l’enfant qu’elle portent pour un couple non fertile, paiera tres cher (c’est la vache qu’il faut traire), avec son propre embryon, pendant que sous les dictatures, comme en Chine ou en Russie, on organise des rapts d’enfants, purement et simplement, comme on volait du bétail aux USA, à l’époque, des western…

C’est sûr, dans ces pays, qu’on nous accuse de juger de« non civilisés », il n’est pas question, alors de parler éducation, pédiatrie, développement de l’enfant, pensez donc…..

Et par conséquent, bien moins, encore, pédocriminalité.
Dans un ouvrage, sur le masculinisme dont je suis l’autrice un de mes chapitres s’appelle, « assassiner, les femmes et lesenfants d’abord », aussi, quand il s’agit d’entrer dans ce jeu, qui consiste à être prêts au pire sur la méthode, pour gérer la non fécondité, des couples dans des pays totalitaires, que ce soit comme couples non féconds, ou que ce soit, dans le traffic d’enfants, ou l’organisation d’usines à bébé, il est bien difficile d’imaginer que ceci se produise uniquement par des hommes, et que des femmes, matronnes, se chargent bel et bien, de la sale besogne, donc, en toute connaissance de cause.

Aujourd’hui, en 2024, relativement à ces méthodes terrifiantes, on peut citer, la Russie, vis-à-vis del’Ukraine, la Chine, vis-à-vis des Ouïghours, ou l’Inde pour les usines à bébés, pour ne citer que ceux là…
J’ai beau faire preuve d’une ouverture d’esprit, version grand angle, en ce qui concerne n’importe quelle forme de
culture, jamais, au grand jamais, je ne saurai faire autrement que de condamner, n’importe que état, qui cautionne, qui
pratique un génocide par l’instrumentalisation de ce défaut de parentalité, ou ces usines à pognon, en Inde….
Conclusion ?

Plus que jamais, retrousser ses manches.
Partout, dans le monde, y compris en Europe, les extrêmes droites tentent de remettre en cause les progrès qui ont été faits ces dernières décennies, au sujet des droits des femmes, intimement liés, à la parentalité, et donc, qui pourraient être remis en cause, que ce soit côté santé publique, en ce qui concerne la non fécondité, qu’il s’agisse d’éducation, ou qu’il s’agisse de se pencher sur les causes, puisque l’écologie, à leurs yeux, n’a aucune raison d’être….

Objectivement, il faut reconnaitre que la parentalité, par définition, concerne toujours, l’arbre métaphorique, qui observe les racines, dans ses plus petites radicelles, jusqu’au bout de la branche, et les feuilles, les plus jeunes, qui poussent au printemps.

Ce sont là, des subtilités métaphoriques, bien trop subtiles pour quiconque est trop lâche, pour observer la gravité des
problèmes qui tournent autour de la famille, politiquement.

Mais soyez sans crainte, nous avons la foi, nous, en les valeurs que nous défendons, aussi surement que notre conscience d’avoir besoin d’oxygène, quand nous respirons.


Autant dire, qu’on ne risque pas de lâcher l’affaire.

"Addictions prendre le mal à la racine", actualisation.

Par Le 26/11/2025

Rien n'a été rajouté ou retiré, de la paruton initiale.

La tournee du dernier album de thomas fersen le choix de la reine fera halte a la comedie de valence samedi 29 novembre avec les percussions du trio sr9 photo vincent delerm 176391

"« L’écriture, la création, je ne me perds jamais grâce à ça… »

Par Le 24/11/2025

Bon, un artiste, qui fait une déclaration à la création, ne serait-ce pas là ce qu'on pourrait voir comme un pléonasme ?

Ce qui je prétends là est une opinion d'artiste.

Peut être que pour ceux qui ne le sont pas, ou qui ne le sont pas encore, ceci ne sonne pas comme une évidence, sait on jamais ?

La réponse se trouverait bien ici: https://librairie.nombre7.fr/essai/8094-peintres-du-dimanche-9791042703585.html

 Au fait, pendant que j'y pense, pour ceux qui aime cet artiste, et qui veulent en savoir daventage sur le pourquoi et le comment de notre relation, tout est expliqué dans cet ouvrage, PEINTRE DU DIMANCHE, ou si vous préférez, le comment du pouvoir thérapeutique de ce qui est artistique(dont la chanson fait partie intégrante), et comment ça fonctionne, dans la psychologie de l'être humain, quelque soit son âge.

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"Faut qu'on parle".

Par Le 22/11/2025

https://www.fautquonparle.org/

 Je trouve que cette idée est excellente. Enfin, dès lors, que l'autre, en face, est prêt ou prête, à vous donner le change, sinon, ça s'appelle un monologue.

 Un jour, pendant un salon du livre, je me trouvais à côté d'une  jeune femme avec qui le courant passait bien.

Puis au milieu du repas, la conversation etait venue sur le droit à l'IVG.

 Et je remarquais, non sans surprise, qu'elle etait contre le droit à l'avortement.

 Nous avons bien discuté, et je ne saurai jamais, si mes arguments, l'ont fait réfléchir ou pas, àdefaut de changer d'avis, ou pas.

 J'ai veillé aussi à ne pas en faire le seul sujet de conversation, pour ne pas plomber l'ambiance autour de moi, je dois avouer.

 Mais j'étais assez stupéfaite de ne pas m'être mise en colère, et du fait que j'etais restée zen, ce que beaucoup de personnes, n'auraient peut être pas réussi à faire.

 Certaines doivent se dire, "mais enfin, il fallait lui voler dans les plumes".

 Et bien non justement, parce qu'elle n'inspirait aucune colère, par l'attention qu'elle portait aux propos et aux arguments que je lui opposais, et que d'autre part, quand les gens sont bloqués sur leurs positions, la stratégie la plus efficace, n'est pas necessairement de vouloir convaincre à tous prix, mais plutôt justement, de rester calme, de ne pas s'énerver, et d'ainsi potentiellement, oser espérer distiller le doute chez quelqu'un, qui campe sur des positions qui ne sont pas les vôtres.

 Parce que simplement, "ne pas être d'accord n'induit pas nécéssairement, que l'autre soit un con ou une conne".

 Oui, cette phrase, à elle seule, mérite un calligramme.

La leçon de sagesse des vaches folles.

Par Le 24/10/2025

Dans le cade de mon livre à paraitre, "sacré géranium", qui sera disponible aux editions nombre7, je lis cet extrait, qui est disponible, sur internet, en suivant ce lien:

https://journals.openedition.org/etudesrurales/27

https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin

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Le travail de Laetitia Vitaud, sur le monde de l'entreprise.

Par Le 21/10/2025

https://madame.lefigaro.fr/business/laetitia-vitaud-on-observe-aux-etats-unis-le-phenomene-des-karen-ces-femmes-de-50-ans-stigmatisees-pour-leur-pretendue-ringardise-20251020?utm_source=firefox-newtab-fr-fr

 Je trouve ces réflexions tres pertinantes, le fait à chaque fois curieusement, de "ne pas avoir le bon âge".

Je trouve que l'idée des CV "à l'aveugle", comme ça se pratique désormais,  dans certains grands orchestres, est une excellente idée, comme la pratique des CV anonymes, pour lutter contre le racisme non assumé en entreprise.

 Cette méthode devrait aussi être appliquée, quand on recherche un logement, soit dit en passant, pour ne pas subir de discrimination, à cause d'un nom à consonnance, "insuffisemment français".

 Oui, je sais, il parait, que ça n'existe pas....

  Etre proprétaire foncier, que je sache, n'a jamais protégé ni contre la connerie, ni contre le racisme, et si certaines agences immobilières trouvent légitime de s'en rendre complices, ils doivent être poursuivis.

 Mais revenons en au monde du travail.

Parce que certains chefs d'entreprises, prétendent qu'ils ne trouvent jamais "le candidats à leurs pied", d'une certaine façon, mais quels sont leurs critères de recrutement, exactement ?

On est en droit de se demander, si tout est vraiment fait, pour trouver la bonne personne, ou si au contraire, ils ne cherchent pas, quelquefois, à faire entrer au chausse pied, le candidat idéal, qui en realité, n'existe pas...

  C'est comme l'homme idéal, ou la femme idéale, elle n'existe pas !

Le petit garçon qui ne parle pas.

Par Le 01/10/2025

"Bonjour, madame.

Je me permets de vous écrire, parce que j’ai eu à plusieurs occasions, la possibilité d’observer votre petit garçon.

Si je ne cite pas son prénom, n’y voyez rien de mal, je vous prie, je suis dyslexique, et j’ai toujours beaucoup de mal, à me souvenir des prénoms, et des noms de qui que ce soit, et donc, de vous et de votre fils, tout autant.

Votre petit garçon ne parle pas.

Il y a plusieurs années, enfin, assez longtemps, j’avais peint un calligramme, qui disait, « hurle par ton silence ».

Si je vous dis que votre petit garçon cherche à vous dire quelque chose, quand il refuse de communiquer, j’ai parfaitement conscience du fait que je ne dois pas vous apprendre grand-chose.

Je sais par Julie, que vous avez des problèmes de couple, comme nous en traversons tous, des lors qu’on choisit de faire un bout de chemin avec un homme, quelque soit notre situation.

Elle ne m’a dit ça, que parce que je lui avais posé des questions, et rien de plus, elle est restée très évasive sur le sujet.

Je ne connais rien de votre situation, madame, et je me garderai bien de porter un jugement, ni sur vous, ni sur votre situation.

Les problèmes que nous traversons, nous, les femmes, quelle que soit notre couleur de peau, notre situation sociale, nos origines, ou notre niveau de vie, nous empêchent quelquefois d’observer les relations que nous avons avec nos enfants, et un regard extérieur quelquefois peut s’avérer être utile, pour simplement donner à réfléchir.

Oui, vous pensez je suppose, et je le comprends, que c’est plus difficile encore, quand on est sans logis, et sans papier ou en cas de précarité extrême, c’est plus difficile encore, et vous avez raison.

Malgré tout, vous devez savoir que d‘avoir de l’argent sur son compte en banque et un toit, sur sa tête, ne résout pas tout.

Ainsi, si l’on observe les violences conjugales, et les féminicides par exemple, il apparaît qu’elles sont présentes dans toutes les couches de la société, quel que soit le niveau social, et j’ose l’affirmer, quelque soit l’endroit ou le pays sur cette terre.

Mais revenons en à vous, et à votre petit garçon.

Le peu de fois, où je vous avais vue chez Julie, vous m’êtes apparue tellement occupée sur votre ordinateur, que votre petit garçon, ne vous semblait que comme une charge.

Je ne connais pas votre histoire.

Mais lui, quand il s’accroche comme il le fait à votre jambe, pour vous interpeller, et vous contraindre, à vous occuper de lui, il vous dit à quel point il est inquiet, et à quel point il a besoin d’être rassuré.

Si vous avez rompu avec son père, vous devez lui en parler, et lui en expliquer les raisons.

Si vous avez subi des violences physiques ou psychologiques qui auraient induit votre décision de séparation, (c’est une hypothèse), il est en age de l’entendre, et vous pouvez même vous permettre de commenter en lui expliquant que c’est interdit par la loi, et que ce que son père vous à fait, est grave, parce que C’EST INTERDIT….

Votre fils, si petit soit-il, peut entendre ça si c’est la vérité.

Ne lui mentez surtout pas, et si certaines choses que vous avez subies vous semblent trop graves, pour pouvoir le lui dire, restez évasive et n’entrez pas dans les détails, mais ne le laissez pas comme vous le faites dans l’ignorance, face à son inquiétude qui semble grande.

Ce petit souffre d’une grande insécurité, et elle est légitime.

Les enfants, y compris dès leur plus jeune age, voient toujours plus ou devinent des choses que ne le soupçonnent ses parents. Je le sais, parce que j’ai surpris à l’age de 5 ans, une scène de ménage, entre mon père et ma mère, il l'a trompée, et cette scene de menage m’a traumatisée à vie, alors je connais mon sujet.

Je ne veux pas dire, que c’est ce qui s’est produit, pour votre fils madame.

Je prétends juste, qu’il en sait assez sur votre histoire, pour être terriblement inquiet, ce qui justifie son mode de communication qu’est son silence, parce que ce silence qu’il vous impose est bien sensé vous dire quelque chose.

J’espère par les propos qui sont les miens, ne pas vous avoir blessée, madame, parce que ça n’est pas dans mon intention.

Je vois juste, un petit garçon qui n’a besoin que d’une chose, être rassuré sur l’amour que vous lui portez, et qui mérite de le lui être dit, parce que c’est ce qu’il attend de vous.

Balance ton église évangéliste.

Par Le 26/09/2025

https://www.france.tv/france-5/vu/7579814-eglises-evangeliques-derriere-la-facade-l-enquete.html

26 septembre 2025. Les évangélistes.

Suite à un reportage sur France 2, je vois confirmé ce que j’ai déjà expliqué sur ce mouvement.

https://librairie.nombre7.fr/essai/8739-toxicite-des-livres-sacres-9791042707880.html

Je veux dire par là, que nulle part, je n’ai vu émerger quoi que ce soit, qui me ferait les observer sous un angle différent.

Certains penseront, qu’il aurait été plus judicieux, peut être ? D’énoncer les argument, pour conclure, « rien de nouveau sous le soleil ».

Je dirai que « l’un n’empêche pas l’autre ».

Il s’agit là, d’un phénomène d’emprise psychologique.

Nous sommes très exactement, dans le même processus que pratique les djihadistes, quand ils recrutent, sur internet.

On leur dit, " Vous êtes des instruments, que Dieu lui même à choisis, et par votre intermédiaire, il peut changer les choses, et agir sur les choses qui vous font souffrir", ce qui justifie hélas, que toujours, quand des personnes tombent gravement malades, certains renoncent à suivre certains protocoles thérapeutiques, proposés par leurs médecins, ce qui les mènent à la mort.

Le parallèle avec les djihadistes ?

Aux femmes "Tu es spéciale tu es pure, tu n’es pas comme les autres femmes, tout ce qui n’est pas de notre mouvement, c’est le diable ".

 Ou ben: "Dieu te voit, Dieu te juge, si tu ne fais pas, tu es instrumentalisé, par le Diable, etc, etc".

N’en déplaise à ceux qui en sont adeptes, nous sommes très exactement dans le même contexte psychologique.

La position face aux différentes orientations sexuelles, notamment, pose un vrai problème.

Il s’agit « purement », de ce qu’on appelle « des thérapies de conversion », qui sont interdites par la loi.

Ces gens là se prennent, pour des représentants de Dieu sur terre et ils prétendent parler en son nom.

Et c’est une croyante, qui vous parle, faut il le rappeler…

« Ca n’est pas ce que Dieu veut »….

Pour qui se prennent-ils ? Je suis mère d’une fille homosexuelle, pour ceux qui l’ignoreraient encore….

Et je suis absolument révoltée, de voir que certains se croyant, « des représentants de Dieu sur terre », sous ce prétexte, se croient autorisés à porter un jugement sur un être humain, au seul prétexte qu’il refuse de jouer la comédie, et de faire « comme s’il étaient attirés par l’autre sexe », alors, que leur cœur, lui, dit le contraire, ou dit autre chose…

Il promeuvent alors le mensonge, vis à vis de soi même, et le mensonge vis à vis d’autrui.

« Fabriquant de malades mentaux », là encore, ne leur en déplaise.

Quiconque suivant leur précepte, accepte l’idée que tout est régi, par l’un côté le Bien, leur côté, toujours, et tout, ce qui est contraire à leurs préceptes, est une manifestation du Mal…

L’ensemble des différents secteurs de la société, quel qu’il soit n’est observé strictement, que sous cet angle.

Il en résulte alors, une déformation de la perception du monde, qui se réduit à l’observer comme par le trou d’une serrure…

En quoi ça pose problème ?

La déresponsabilité, selon l’église évangélique dont il est question, le processus est plus ou moins accentué.

Le citoyen alors, n’est plus que l’instrumentalisé par Dieu, comme ils le prétendent, mais du politique qui se revendique comme étant l’un des leurs, et qui, à ce titre, se considère comme chef du troupeau, avec, aux USA, une casquette, « Maque América Great Again »…. Pour ne citer, que cela…

Posez leur la question, de ce qu’il advient du réchauffement climatique ?

Ils vous répondront qu’il n’existe pas...C’est ce que fait Trump.

Mais soyez sans crainte, si Trump tombe gravement malade, ça n’est pas par des prières, qu’il cherchera à se guérir, mais bien dans une clinique privée, avec sa carte gold...Trump, ne risque pas de prier, et s’il le fait il ne le fera, qu’à des fins de propagandes, pour son ambition personnelle, en mentant, comme il l’a toujours fait.

Parce que la vraie prière, quand on parle à Dieu, la vraie, la pure, elle ne se fait que dans l’intimité, strictement, au bénéfice d’autrui, et pas pour son bénéfice personnel, elle ne se fait pas en grandes messes, qui amènent le troupeau dans un état de transe, comme décrit dans le reportage, mais dans l’intimité de son cœur...

Donner, une image simpliste et bipolaire du monde dans lequel nous vivons, est une attitude criminelle, je dis bien criminelle, parce qu’elle déforme la perception du monde dans son ensemble.

Je ne prétends pas, pour autant, que le diable ou que le mal n’existe pas, je prétends juste qu’il importe d’avoir conscience que quelqu’un de mauvais ou de toxique à 100 % n’existe pas, comme quelqu’un de bon et de bienveillant à 100 % n’existe pas non plus, que le plus grand crime des évangélistes, et de tous ceux qui comme eux, pratiquent le phénomène d’emprise psychologique, c’est d’interdire la nuance en tout, et interdisant la nuance, ils interdisent par ce fait le dialogue, le vrai, empreint de tolérance et d’ouverture, et la communication…

Oui, j’ai bien dit, « criminel », parce que c’est en vérité, une incroyable propagande pour la lâcheté, la plus ignoble...

Expliquer, enseigner, encourager, et démontrer la complexité des choses, quelque soit le domaine dont il est question, c’est là, et là uniquement que se trouve le courage véritable, (tant qu’on est pas en état de guerre, ou migrant, quelque sot la raison, ça va sans dire)d’assumer sa véritable nature humaine, et ceci dès l’enfance, avec évidemment une adaptation, je pense à l’éducation évidemment, ou à la parentalité.

Là, où leur préceptes au contraire, par la prétendue existence de Dieu, (il n’existe aucune preuve en tout cas), qui serait la solution à tous les problèmes, déresponsabilisent entièrement le citoyen, qui n’est plus qu’un mouton, qui suit sans oser penser par lui même, et moi, ça, ça me révolte au plus haut point.

Vous doutez, de ce que je prétends là ?

Regardez bien ce reportage, et les cas, qui sont cités…

Une jeune femme, victime d’une agression sexuelle, ou d’un viol...La psychologue a échoué, (elle ne se prenait pas pour Dieu, elle, en tout cas), la victime ne porte plus plainte, évitant ainsi, d’affronter le tribunal et le pédophile ou le violeur, qui eux, rigolent bien, et peuvent continuer sans le moindre problème.

Quand on est victime de tel crimes, ça n’est pas tant pour soi même uniquement, que Justice doit être rendue, mais bien pour que d’une part, « ça se sache », parce que pour se reconstruire, passer de façon temporaire, par le statut de victime reconnue, OFFICIELLEMENT est une étape nécessaire, mais bien plus encore, pour poser juridiquement le coupable, comme l’étant, est sur le plan sociétal, une nécessité pour qu’il lui soit signifié, qu’il l’est, et qu’il lui soit signifié, qu’il lui est interdit de récidiver…

Là, le mec, aucun souci, les évangélistes ainsi, cautionnent à 100 % le crime commis, et ils peuvent continuer à violer femmes et enfants, ILS DISENT AMEN…

Avez vous vu quelque part, qu’on lui ai ait conseillé de déposer plainte ? Et que pour y parvenir, ils la soutiendraient ?

Que nenni, surtout pas, pensez donc, ils lui ponctionnent déja 100€ par mois, pour bâtir une nouvelle église, c’est pas pour les utiliser, pou payer un bon avocat, fait, de chair et de sang.

Dans un tel contexte, imaginez donc, ce qu’il doit en être, au sujet des pédophiles, au sein des évangélistes….

Quand aux homosexuels, aucun soucis, on cultive sans problème, la culpabilisation à mort, en faisant miroiter les flammes de l’enfer, et on les fait rentrer dans le moule « famille hétéro », au chausse pied spirituel s’il le faut….

Quand la souffrance est telle, qu'elle peut relever de la psychiatrie, face aux dommages psychologiques.

Par Le 23/09/2025

Le 24 septembre 2025, France Inter consacre une journée entière à la maladie psychiatrique, ou plus précisément, aux solutions qui peuvent être mises sur pied pour les prévenir, ou pour les gérer ou les traiter.

 A cette occasion, j'ai décidé de vous faire la lecture d'un des chapitres de mon livre, "peintre du dimanche", où j'explique comment j'ai procédé, par pur instinct, à la gestion de ma souffrance, générée par un acte de pédophilie, dont j'avais été victime, quand je n'avais que neuf ans.

 Vous pouvez vous procurer cet ouvrage, en suivant ce lien:

 https://librairie.nombre7.fr/essai/8094-peintres-du-dimanche-9791042703585.html

"Je suis Charlie", est tombé dans le caniveau, à moins que ça ne soit "je suis Robinson" ?

Par Le 16/09/2025

Il y a quelques jours, un influenceur "charismatique", au sens premier du mot, c'est à dire, "qui sait se faire remarquer", a été abattu, pendant qu'il faisait un meeting, aux USA.

 J'aurai pu poser comme titre,  "qui sème le vent, récolte la tempête", quand on observe que son activité politique principale, n'ait été autre que de monter les communautés les unes contre les autres, et que de critiquer, mépriser, telle communauté ou telle autre, ne peut qu'entretenir la haine...Et pousser aux extrèmes.

 Je condamne évidemment, sans le moindre doute, le crime qui ait été commis, parce que si cet homme représentait tout ce que je déteste politiquement, attachée au debat politique  au sens large, le seul moyen de combatre une ideologie, ne residera jamais que dans la dialogue et la confrontation verbale.

 Quand un pays s'enorgueillit de porter le port d'arme, comme une valeur intrincèque de son identité, il ne faut pas s'etonner d'observer que les plus ultras, tous courants politiques confondus revendiquent à la moindre occasion, en cas de crise, de trouver légitime, de "tirer dans le tas", quand il s'agit de tueries de masse, ou de s'en prendre individuellement, à telle personnalité, ou telle autre.

 Et sur ce point, il n'y a pas un courant politique aux USA, qui soit en mesure de revendiquer de ne pas en avoir été victime.

Mais revenons en à Charlie Kirk.

 On apprenait, hier, que sur les réseaux sociaux sa communauté récupére le slogan français, "je suis Charlie", pour faire de lui, ce qu'on apppelle, "un martyre".

https://www.rfi.fr/fr/france/20250107-je-suis-charlie-histoire-du-voyage-en-absurdie-de-joachim-roncin-auteur-d-un-slogan-devenu-viral

 JE SUIS, JE SUIS, JE SUIS.....

 Tout et n'importe quoi, visiblement, si l'on observe à quel point, certains prénoms, ont ainsi devoyé, litteralement, l'image de ceux qui les ont précédés.

 Pour moi, Donald c'était la bande à Picsou, et le vieux grincheux, gripesou, et Donald son neveux, inconséquent, qui faisait des bêtises, et ses trois neveux, Riri, Fifi et Loulou, depuis que Donald Trump est arrivé dans la sphère politique américaine, le prénom Donald en à pris pour son grade au détriment, du heros du dessin animé.

 Ainsi, on observe qu'au moment où cet assassinat, ait été commis, le présumé coupable s'appellerait Robinson, alors qu'au même moment, Donald Trump, tressait des couronnes de laurier, à un autre Robinson, au Royaume Uni, il y a quelques jours, ce dernier etant, un politique, d'extrème droite....

 Personnellement, toujours, attachée visceralement, à la liberté d'expression, de dessiner et de caricaturer, je me contente d'être Françoise, ce qui me semble largement suffisant.

Patriote de gauche ? Et pourquoi pas "matriote" ?

Par Le 15/09/2025

On entend à intervalles réguliers, que la notion de patriotisme ne serait que l'apanage de l'extrême droite, ce qui semble n'être vérifiable que dans le discours.

En effet, seule l'extrême droite revendique un tel vocabulaire, au point d'user de ce mot, dans le nom de son parti, en l'occurrence, plus à droite encore que ne l'est le RN.

Vu de l'extérieur, il ne fait aucun doute pourtant, que certains politiques et certains électeurs, observant les actes et discours de ce parti qui se dit patriote, concède alors de façon plus ostentatoire que Marine le Pen et le RN, jouiraient d'une fréquentabilité qui les feraient passer alors, pour des enfants de cœur.

Ce qui m'incite à penser alors, qu'ils sont bien mon cul m'a chemise, avec comme on dit vulgairement.

Les patriotes dont je vous parle là servent, intentionnellement de véritables faire valoir au RN.

Un peu comme si Marine le Pen et Jordan Bardella étaient de braves petits fachos, disons le, fréquentables.

Et plus ceux qui se revendiquent du parti patriote  (reconquête, pour la France)sont infréquentables en étant agressifs dans le discours voir dans les actes, plus leur rôle de faire valoir vis-à-vis du RN se trouve conforté. 

Qu'on ne s'y trompe pas, pourtant, ce ne sont pas les patriotes  (reconquête, pour la France) qui sont invités aux grandes messes des extrêmes droites européennes, mais bien Marine le Pen.

 Il est étonnant d'observer que les difficultés financières qu'à rencontrées le RN, ces dernières décennies, n'aient pas trouvé de bonnes âmes "bien nées", pour combler ce déficit, comme les de Villiers, pour ne citer que ceux-là. Ça aurait permis à Marine le Pen, de ne pas aller chercher du financement en Russie, à l'époque, et d'ainsi de s'en trouver, quoi qu'elle en dise, psychologiquement redevable.

Patriote, disais-je....

Certains se demandent à quel titre, la gauche leur laisse le monopole de ce vocabulaire.

La raison, c'est dans la racine du mot, qui est " pater", qui signifie " père ".

Autant dire que le mot patriote passerait pour une forme de nationalisme masculiniste, ou plutôt, viriliste, et donc, anti féministe.

Voilà, qu'elle en serait la raison véritable, et inconsciente, peut-être..

Et bien, moi, "je m'appelle Francoise", ce qui ethimologiquement signifie " française",  je suis féministe, anti viriliste, et patriote de gauche, et j'emmèrde toujours Zemmour, qu'il fasse son discours à Londres, si ça lui chante.

Nul part, il est écrit, qu'une forme humanisme serait incompatible avec le fait d'aimer son pays.

 Nous disons bien accessoirement "matrimoine", alors, pourquoi pas "matriote" ?

Le BIO, en agriculture.

Par Le 11/09/2025

Mon livre sur l'agriculture, qui va s'appeler, "sacré géranium", édité par nombre7, en est à la relecture. j'aborde le sujet du BIO, bien sûr, dans plusieurs de mes chapitres.

 Fouillant sur internet à ce sujet, je viens de découvrir un site tres bien fichu, qui permet de découvrir où en est le BIO, aujourd'hui, dans chaque departement ou chaque region, en ce qui concerne le nombre d'entreprises agricoles déclarées comme telles, ou les surfaces agricoles, qui sont concernées.

https://www.agencebio.org/observatoire-de-la-production-bio-sur-votre-territoire/

 Pour ce qui concerne leur viabilité, et leur chiffre d'affaire, par contre, c'est une autre affaire.

 C'est sur ce point précis, pourtant, que je cherche l'info ce matin, sachant qu'il faudrait se méfier de toute forme d'intox sur le sujet, sachant que d'autre part,  c'est ce qui est observé et vehiculé comme info, qui serait susceptible, d'encourager ou de decourager, untel ou une telle, de s'installer en BIO, aujourd'hui.

 Un indice pourtant, devrait permettre d'y voir plus clair, quand on voit l'organisation, "Prince de Bretagne BIO", faire une campagne de pub à la télévision, ce qui ne doit pas être au goût de tout le monde en Bretagne, quand on observe le côté mafieux, d'un certain syndicat agricole.   Oui, j'ai bien dit, et je le repète, "le côté mafieux d'un certain syndicat agricole".

https://www.bio-bretagne-ibb.fr/actualite/adherents/fruits-et-legumes-prince-de-bretagne-bio-bons-et-100-bretons/

https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin

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Gérard Miller, anatomie d'un prédateur. (Alors, le catalogue...)

Par Le 07/09/2025

Personnellement, j'ai réagi comme Sandrine Rousseau, j'avais beaucoup d'admiration pour lui, et je suis tombée de ma chaise en apprenant une chose pareille.

 Je me souviens, avoir été présente dans le public d'une émission de télé, mais je ne sais plus laquelle, il y a longtemps, où je l'avais observé faire le paon, avec certaines belles jeunes filles, au premier rang, version anecdotes, à plusieurs moments, et avoir compris à l'époque, que ça n'était pas très déonthologique, face au statut qu'il avait, comme psychanaliste... Rien qu'une fois.

 Mon ex le détestait au plus haut point, parce que comme c'était un taiseux comme on dit, il était des plus méfiants, vis à vis de ceux, qui  jouissaient d'une telle faconde.

 Difficile de déterminer aujourd'hui, si la cause, aurait été parce qu'il y lisait le danger de la prédation potentielle et véritable, vis à vis de ces jeunes filles, ou si c'était lié uniquement, à l'aspect de la communication, mais les faits sont là...

 Moi, par contre (j'étais venue seule, dans le public), j'avais vraiment senti le danger potentiel.

 Je rappelle la définition du mot viol, aujourd'hui.

https://violences-sexuelles.info/definition-legale-du-viol/

 On sait que toute personne qui est en situation, de suppériorité hierarchique, qui commait un acte de ce type, parent, oncle, grand père, enseignant, maitre, animateur, animateur sportif, supperieur, etc, pratique, ce qu'on appelle, "un abus de pouvoir", quand il subit une telle accusation.

 Cet aspect il me semble, de façon générale est largement sous estimé par la Justice.

J'ai environ une dizaine d'années, de psychothérapie derriere moi, aussi, je suis en droit de prétendre que dans le cas, d'un psy, qu'il soit psychiatre, ou autre, que cette caution justement, aggrave le crime, beaucoup plus encore, que s'il s'agissait d'une suppériorité plus classique... 

  A son sujet, je dirais qu'on a affaire, à ce que l'on nomme un pervers manipulateur, d'une perversion sur dimessionnée, qu'il serait bon de mettre dans un bocal, pour servir d'enseignement dans les cours d'histoire naturelle, comme on observait jadis, les anomalies de la nature, que l'on garde encore, dans les cabinets de curiosité, dans du formol, pour peu que la perversion, à un tel degré, puisse avoir pris une forme physique et palpable.

 En effet, entendre qu'il se refuse au moindre commentaire, apres la sortie du livre,  se réservant pour la Justice, alors, qu'il sait à quel point elle est clémente (plus encore, quand ce sont des inconnus, qui sont accusés), plus par manque de moyen qu'autre chose, en dit assez long.

 Mais je viens de remarquer un truc curieux.

 Alors qu'il m'arrive souvent,  quand je veux parler d'un livre, d'aller chercher la couverture, sur google image, je vois que ce  visuel n'est quasiment pas repris.... Et que j'ai eu du mal à le trouver, pour en faire, une capture d'image, comme j'en ai l'habitude.

   Je trouve ça assez interpellant, quand on observe qu'au moment où j'écris ces lignes, l'Europe ayant décidé d'un certain nombre de lois, pour entraver le plus possible, la toxicité d'internet, et donc de google, qui en est l'un des symboles, en position de monopole absolu...

 Q'un certain Donald Trump menace l'Europe, pour que cette toxcité perdure...

 Et voilà cet ouvrage, alors, plus difficilement trouvable par google image...

 Et oui, la trumpisation des esprits, irait elle jusqu'à prendre la défense d'un certain Gérard Miller, accusé de prédation sexuelle ? La question mérite d'être posée.

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Coupes budgétaires, vers le social ? C'est une trumpisation de notre politique.

Par Le 02/09/2025

Tout est dans le titre.

 Il nous faut compenser, alors, par l'augmentation des dons, en plus, de le denoncer, politiquement.

 Oui, je sais, c'est pareil, pour tous les secteurs associatifs, sauf qu'en ce qui concerne les associations d'aide contre les violences faites aux femmes, par effet de dominos, c'est le reste de la cellule familiale qui en subit les conséquences, et donc, les enfants.

https://fondationdesfemmes.org/urgence-asso/?OR=CAMURGASSOS0925&utm_source=meta-ads&utm_medium=paid&utm_campaign=urgence-assos&utm_content=mum-car&utm_id=120230177891010641&utm_term=120230177891170641&fbclid=IwY2xjawMjXJBleHRuA2FlbQEwAGFkaWQBqyS42fWzcWJyaWQRMXBqeTR1blBtSTlRbmFOWTEBHjO82fG3vPOLwx6xGo5fq6VXOdkjnAyeP0p9Wp_wo6FW1fkTvdR8ZXijFV2P_aem_iw13mrL0RgDIgWrCe1WjEw

 Dans le cas d'une femme au foyer, par exemple, cas que je connais mieux que quiconque, les associations pour les accueillir, auront plus de difficultés encore à les soutenir,à leur proposer un hébergment, ou à leur proposer de l'aide, sous toute les formes qui existe deja, aide juridique, permammance, etc, etc. 

Le petit Emile et son grand père.....

Par Le 24/08/2025

Je reviens sur cette affaire, parce que quelqu'un m'en a reparlé il y a quelques jours, alors, je suis retournée voir la vidéo, que j'avais tournée sur ce sujet.

   Je vous recommande, d'autre part, d'aller lire les commentaires, mais aussi, mes réponses à certains d'entre eux, qui en disent long d'une part sur certains catholiques intégristes, mais aussi, sur le châtiment corporel, tel qu'il est perçu par certains, encore aujourd'hui.

https://www.youtube.com/watch?v=aGrYGaUpEJo

 Je reprends un commentaire, en particulier.

Je cite : "Ce qui est bizarre, est que les gens du village, d'après un journaliste, ne croient pas que c'est le grand-père, mais ils penchent plutôt pour un accident.

 ça ne prouve rien, il est courant d'observer qu'un criminel en puissance jouisse, d'une véritable popularité au sein d'une communauté, le village, souvent, qui le voit comme ors de tout soupçon.

 Les criminels sont, tres souvent, des pervers manipulateurs, en puissance, et à ce titre, savent parfaitement cacher leur jeu.

 Quand un homme mariè, et pere de famille est accusé, de viol, il se trouve toujours, une âme charitable, pour pretrendre que ça ne peut âs être lui, au seul pretexte que c'est je cite, "un bon père de famille".

Et puis, il est quand même père d'une grande famille.

 Ha  nous y voilà,  et ça prouve quoi ?

 Dans 80 % des agressions sexuelles que subissent les enfants, ça se deroule dans la sphère familiale, ou amicale de la famille, et ça n'est pas là une opération du saint Esprit, que je sache.

Bfm poubelle fait passer ce grand-père pour un homme violent,  (pour une fois qu'ils font leur job correctement, vous n'allez tout de mê pas les blamer...Il me semble, que ces accusations relevent, de tloignages precis, et non, de propos, calomnieux, non ?

Mais j'ai 72 ans et à l'école on s'est tous pris des torgnoles par les bonnes soeurs et on en est pas morts !

 Non, mais visiblement, on ne peut pas dire, qu'il semble, que ça vous ait apporté beaucoup de clairvoyance, sur le phénomène châtiments corporel, si j'en crois vos propos. Bien au contraire, vous confirmez, preciseent, qu'on trouve souvent legitime, de battre un enfant, parce qu'on reproduit, ce shemas toxique.

 Pourtant, depuis des decennies, les faits, sont demontrés de façon incontestable, toute forme de châtiment corpoel, est toxique pour un enfant, y compris ensuite, quand il est ado, puis adulte, et si la loi française l'interdit, ça n'est pas pour culpabiliser, ceux qui y croient encore, et qui sombrent dans une forme d'obscuantisme sur le sujet, dont visiblement, vous faites encore partie.

Et quelquefois on le méritait !

 Un enfant ne mérite jamais de prendre des claques., JAMAIS, si tel est votre sentiment, c'est que vous n'avez même pas conscience que les régles qu'on vous imposait, ne vous étaient pas expliquées, et qu'il n'existait aucun respect, entre ces religieuses, devant qui vous n'étiez que des "broutilles d'enfants", qu'on trouvait normal de chosifier, comme le font les prédateurs sexuels, devant des enfants, à qui ils font subir des sévices.

 Honte à vous, qui cautionnez, par vos propos, de telles, pratiques.

Ce qui me choquait le plus est quand la supérieure m'enfermait dans le cagibi dessous l'escalier dans le noir, car souvent je n'arrivais pas à finir les repas à la cantine. Mais de mon temps, dans les écoles, ils étaient très durs, mais on en pensait rien, c'était partout pareil.

 Enfin, un soupçon de lucidité, il etait temps, je commenais à m'impatienter, vous êtes peut être récupérable, tout compte fait ! sans rancune....

 Vous ne devez jamais avoir, honte, des sevices, que quiconque, ait pu vous faire, subir, quelque soit le moment de votre vien, où ça vous serait arriver parce que c'est le seul moyen de vous en libérer.

 Merci, pour votre témoignage.