Articles de apifnielaubin
TRAVAIL, et Droit du Travail.
Frotter, frotter.
https://www.france.tv/france-2/frotter-frotter/
Série que je vous recommande particulièrement, et qui fait chaud au coeur.
Je la recommande notamment, à tous ceux qui se considèrent comme légitimes, à remettre en cause le rôle que remplissent le plus souvent, les immigrés, chez nous, mais aussi, dans tous les pays occidentalisés, qu'ils soient d'anciens pays colonisateurs, ou pas.
Si l'on observe ce qu'on appelle "les metiers de service", à 75%, ils sont occupés par des travailleurs immigrés, quel que soit le secteur économique concerné.
Parmi ceux qui me suivent, je ne sais pas, quel pourcentage, a deja connu, ce qu'on appelle, le désespoir le plus profond, l genre de situation, où on a vriment, le sentimnt, qu'on est tout simplment, en train de passer l'arme à gauche, par exemple... Où quon est dans la merde, la plus f profonde, quelle que soit la nature du problem, sans que pour autant, votre vie soit en danger....
Au bas d'un escalier, par exemple, avec une valise énorme, et hyper lourde, sans que la situation, pour le coup, soit désespérée, dans ce cas précis....Dans le métro parisien.... Pourquoi, neuf fois sur dix, c'est toujours un immigré, qui va lire, votre problème, et qui va spontannément vous proposer de l'aide, sans pour autant qu'il n'attende quoi que ce soit, ni pourboire, ni, rien d'autre qu'un sourire, et un MERCI..... Et pas... UN BLANC ?
Qui est en son âme et conscience, est capable de m'expliquer ça ?
Et qu'il réfléchisse bien, surtout, "en son âme et conscience", pourquoi beaucoup, aujourd'hui, sont trop cons, pour ne regarder le problème de l'immigration, qu'avec la calculatrice à la main..... Au détriment, de la moindre once d'humanité.
Affaire Le Scouarnec .
Je suis tellement sidérée, de voir à quel point son statut social lui ait permis ainsi, pendant toutes ces années, de continuer à violer, sans jamais avoir été ni inquieté, ni entravé ni dénoncé.
Ceux, qui ne l'ont pas entravé, qu'ils soient policiers, responsables à tous les niveaux, ex épouse, familles, qu'ils soient à la retraite, s'ils sont encore en vie, doivent absolument être poursuivis, pour non assitance à personne en danger, il en va clairement de la réputation du corps médical dans son ensemble, et pas uniquement sur le plan régional...
Quand on observe, la pénurie de médecins, aujourd'hui, plus vérifiable encore qu'elle ne l'était à l'époque, je n'ose imaginer, ce qui peut trotter dans la tête de parents, qui doivent confier un de leurs enfants, au corps médical.
On sait, que tous les pedophiles, et tous les violeurs, sont à 99% des pervers manipulateurs, mais là, je dois dire, que j'ai rarement vu, une telle demonstration, je cite , à la fin de l'article :
"Pour autant, son client minimise les faits qui lui sont reprochés, reconnaît ceux qui sont prescrits, acquiesce aux attouchements mais nie les viols. Les pénétrations digitales ? "Des excès de langage." Les pénétrations rectales ? "Des gestes médicaux."
Juste, pour rappel , la définition juridique du viol, est tres précise, parce qu'elle doit l'être.
Ainsi, quand il prétend, qu'il n'y ait pas viol, au seul prétexte, que son sexe n'ait jamais pénétré les victimes, n'exclue en rien, la qualification de viol, comme précisé, dans la vidéo.
Quand il commente (ce que j'ai entendu, hier), que ce qu'il notait dans ses cahiers, relevait plus des fantasme d'un vieux monsieur, que de la réalité, on est dans la manipulation pure et dure. On est en droit aussi, de considérer qu'à ses yeux, il était d'avantage question de répertorier, son "tableau de chasse", qu'ils consultait ensuite, dans le seul et unique ojectif d'en jouir plus encore, par le souvenir.
26 février 2025.
Est ce qu'il ne serait pas possible, d'installer des camera braquées, de façon fixe, sur chacun des protagonistes, et qu'un realisateur commande, ce qui est diffusé ?
Parce que si les victimes, ne sont pas dans la même pièce, que le procès, si elle ne peuvent pas observer les visages des intervenants, quand ils prennent la parole, ou minimum, l'effet therapeutique sur les vicitmes, s'en trouve grandement entravé, et c'est un énorme problème.
Pire, si ça n'est pas satisfait, ou au minimum amélioré, chez certaines victimes, le malaise peut accroitre leurs souffrances.
Un écran géant, avec plusieurs écrans, comme dans des salles de vidéo surveillance, par exemple, non ?
Enfance maltraitée, sous toutes ses formes.
Un documentaire, passé hier soir, à envoyé spécial.
https://www.france.tv/france-2/envoye-special/6969949-des-policiers-a-l-ecoute-des-mineurs.html
Il y a plusieurs années, j'avais expliqué, ce qui devait être amélioré, pour recevoir la parole des enfants.
Je trouve cette idée géniale, je parle de cette pièce, agencée et decorée, pour faciliter le bien être des enfants, afin de recevoir leurs paroles.
Une seule petite critique.
La poupée, qui est proposée, pour jouer, devrait avoir une petite culotte, plus réelle, que celle qu'elle porte, enfin, il me semble, ou que les deux formules soient proposées.
Sinon, pour ce qui concerne le cas de Zoé, et de son pedophile...
Le fait est qu'au moment, où je redige ces lignes, une affaire, d'une grande gravité, commence à être jugée, en Bretagne, il s'agit de Affaire Le Scouarnec.
Quelle relation, entre l'un et l'autre ?
Dan les deux cas, il s'agit d'abus sexuels sur mineurs.
Dans les deux, cas, les procedures, prevues, offrent l'opportunité, aux potentiiels, accusés, de "nettoyer" leurs appareils informatiques, téléphones, tablettes et ordinateurs, de la moindre suspission d'images pédopornographiques.
Des l'instant, qu'un individu est suspecté, d'avoir commis, quoi, que ce soit, de reprehensible, la première chose qu'ils font, c'est d'une part, de "nettoyer, leurs appareils, " d'une part, et ensuite, de deguiser leur domicile, en "appartement témoin", afin, que le domicile, ne pusse en aucune façon, être prçu, comme pouvant laisser transparaitre, certains signes..
Hier soir, par exemple, la perquisition, chez cet homme, compagnon, de la mère de Zoé, à qui, la garde de l'enfant a été retirée, on apprend que le domicile à été transformé, pour ne rien divulguer, en aucune manière...
Dès qu'une main courante ou un dépot de plainte a été fait, la première chose à faire, c'est d'aller saisir le matériel informatique, pour empêcher, le suspect de pouvoir pratiquer ce nettoyage, ( je vous rappelle, que tous les pervers sexuels, sont avant tout des pervers manipulateurs, parfaitement rodés, quand à leurs méthodologie), ou alors, il faut mettre sur pied, un système juridique, qui autorise la justice à aller récupérer, tout ce qui a été supprimé, entre le dépot de plainte, ou la main courante, et la saisie des appareils.
Parce que saisir les appareils, plusieurs semaines, ou mois, apres le dépot de plainte, c'est juste comme pisser dans un violon.
Pour ce qui concerne cet homme, un élément, en dit long, sur sa culpabilité, qui reside dans le fait, qu'il ne soit, en aucune façon, ni en colère, et moins encore, révolté... Ce fait, à lui seul, l'accuse.
Certains vont trouver, je suppose, qu'il est bien dommage, que cette affaire, soit classée sans suite, et je suis mieux placée que quiconque, pour en juger...
C'est sans compter, sur le fait, que ça ne soit pas necessairement, le verdict d'un jugement, qui represente, le plus therapeutique, pour la victime.
Zoé, à parlé, elle a dénoncé son agresseur, elle a fait preuve d'un couragge inoui, là, où elle aurait pu craindre, qu'en parlant, ça puisse nuire à sa maman, par exemple.
Félicitations, pour la maman d'accueil, aupres de qui cette petite fille, se sent tellement à l'aise, qu'elle ait trouvé le courage de s'en ouvrir à elle...
A un moment où justement, le problème de l'enfance maltraitée, réside justement dans la pénurie de familles d'accueil, il me semble salutaire, d'observer quand ça se passe bien, et bien dans une telle proportion.
Ce qui est destructeur, pour un enfant qui est victime d'un pédophile, entre autre, c'est le sentiment d'isolement, on a le sentiment d'être une sorte de monstre, un truc qui n'est même plus vivant, (d'où le sentiment, de chosification), et qu'on est le seul ou la seule, à qui se soit arrivé, bien que ce doit être moins vrai, aujourd'hui, que ça ne l'était dans les années 70.
Ors, là, ce qui est incroyable, c'est qu'elle ait parlé.
Pour tout dire, je suis en train de me poser une question, relativement à l'inceste.
Je suis en train de me demander, si eventuellement, quand il y a suspission d'inceste au sein d'une famille, le simple fait de soustraire l'enfant, à sa famille, pour une durée determinée, n'aurait pas pour consequence, justement, de faciliter, la confidence de l'enfant, justement, parce qu'il ne craindrait plus de se voir confrontés, à des reproches ou de ne pas être cru(e), par exemple.
C'est à dire, l'enfant, sorti de son contexte familial, avec le consentement de la mère, une famille d'accueil, où la confince s'etablit, et l'enfant, qui ose enfin, se confier, "alors qu'à la maison, ça n'est pas possible".
Enfin, je pense tout particulierement aux familles qui se sont arqueboutées contre l'éducation à la sensualité, qui est prévue, qui a été adoptée, qui sera appliquée, parce qu'on voit parfaitement là, dans ce reprotage, à quel point un enfant se doit d'être enseigné, sur ce qu'est l'intimité, par exemple, et qu'il puisse de lui même, noter ce qu'on le droit de lui faire, ou de ne pas lui faire.
22 février 2025.
UN GROS OUBLI, comme quoi, les insomies, quelquefois, portent conseil.
En ce qui concene l'affire Zoé.
Il faut qu'une association, fasse appel de la décision du juge, c'est de la plu haute importance.
"Traumatisée de la bouche", je connais parfaitement, parce que c'est mon cas (il ne s'agissait pas d'une fellation).
L'affaire a été classée sans suite, au pretexte, je cite, que "éléments à charge insuffisants"... Ce que je trouve vraiment hallicinant.
Zoé a pleuré, pendant son récit, ce qui demontre le traumatisme, elle a verbalisé qu'il a mis son sexe, dans sa bouche, et qu'elle a failli s'etouffer. Et la juge ose affirmer, que les preuves sont insffisantes, et je trouve ça vraiment hallicinant.
Lui, affirme sans complexe, qu'il ne comprend pas, qu'il n'aime que les femmes. Le viol pourtant, est avéré, et parfaitement admis, selon la loi, puisque la définition du viol, correspond au fait de faire entrer quelque chose, ou une partie humaine, "dans le corps de la victime", sans son consentement, etc, etc....
Et la juge, ose affirmer que les éléments à charge sont insiffisants....
Sans vouloir être méchante, "qu'est ce qui m'a foutu, un tocard pareil"...Le fait que l'accusé, ne soit même pas révolté, et tres en colère, qu'on l'accuse d'une telle chose, pourtant, en dit fort long sur le bonhomme.
Je rappelle qu'on potentiel, beau père, est sensé, en principe, faire preuve de bienveillance, au minimum, vis à vis des enfants, de la femme avec qui il est en couple, et dans cette hypothèse, justement, il aurait du, litteralement, sauter au plafond, et ruer dan les brancards..;
Là, non, le mec, hyper zen, trop sur de son cou, je suppose, qu'ils soit ainsi, "intouchable".
Parce que là, dans le clan des pédophiles et père incestueux, franchement, ses potes ont dû sabler le champagne, non ?
Je pense qu'il faut faire évoluer la loi, pour carrément mettre sur pied, une grille de lecture du témoignage de l'enfant.
Faire un grand tableau, avec tous les mots, qui sont utilisés, pour nommer les parties du corps incriminées, faire pareil, avec les emotions, montrées, par l'enfant (indifference, fuite, se cacher, se taire, rire, pleurer, etre surris, etc, de telle sorte, que la lecture du temoignage, soit la plus objective possible, (mon objectif ne tend pas, à remettre n cause, les policiers, qui font un super travail), mais qui, part telles, cases biffées, ou non, puisse servir plus efficacement, le travail, de la juge, ou du juge.
Parce que là, claiement, le pédophile, parce que c'en est un, il rigole.
Il faut aussi, revenir, sur la mère...
elle etait dans la chambre, et n'a rien entendu.
Est ce que cette mère, petnetiellement, n'aurait pas été sous somifères , ou autres produits ?
oui, ça ne vous rappelle rien ?
Suite à l'affair Pélicot, beaucoup de femmes, ont pris la decision, d'aller porter plainte, contre leur compagnon, ou mari, parce qu'elle ont la suspission, d'être, victimes, elles aussi, deviol, sous soumission chimique.
Il faut inclure désormais ce risque aussi, dans les affaires de pédophilie, parce que oui, il est tout à fait probable, que certains pères ou beaux père, se rendent coupables, d'une soumission, chimique, non pas, pour violer, leur compagne, ou leurs epouses, mais pour violer, un enfant, dans la maison, et s'assurer, que la mère, dormira profondement, et donc, ne pourra pas être en mesure, d'être alertée, parc quoi, que ce soit de suspect, un bruit, ou je ne sais quoi.
Dans cette hypothèse, il y a fort à parier d'ailleurs, que c'est la totalité de la famille qui est droguée, et pas uniquement la mère.
Revenons en à Zoé.
Entre un enfant qui s'installe à la table, qui a l'air parfaitement serein, qui dessine une maison, avec un arbre et puis des fleurs, et qui dit avec un grans sourire, "oui, il m'a fait faire une fellation", et qui retourne à ses crayons, comme si de rien n'etait, et une petite fille, qui dessine le canapé, où ça s'est produit, qui pleure en disant ces mots "il a mis son zizi dans ma bouche, j'ai failli m'ettouffer"...
Il n'y pas besoin, d'avoir fait psycho, pour y voir plus clair...(ce qui ne signifie pas que je suis sure de mon coup, sur la première hypothèse).
En réalité, le peu de doute, et donc du bénéfice qui en resulte (alors, qu'il n'y a présentement, AUCUN DOUTE, profite, une fois de plus, à l'accusé, face à cette petite fille.
Pourquoi, plus largement, le bénéfice du doute, ne profiterait il pas à la victime au moins, autant qu'à l'accusé, qui, je le rappelle, doit bien avoir une raison de porter plainte, non ?
C'est à dire, que le "il est dans nos fichiers", prononcé par les policiers, là, ça signifie quoi, au juste , on ne sait pas...
Demain, il va peut être se mettre en couple, avec une autre femme, qui aura des enfants à domicile, et qui seront peut être, autant de sex toys charnel, que la justice française lui aura servi ainsi, sur un plateau, et ça me révolte.
Non jugé, et non condamné pour CE VIOL, qu'est ce qui l'empêche, demain, de postuler pour devenir atsem, ou n'importe quel autre poste, en contact avec des enfants ? RIEN, parce que je ne comprends pas, c'est comment, ce "il est dans nos dossiers", peut être réel juridiquement, si la culpabilité par un jugement, n'est pas reconnue...quelle est la nuance, entre "il est dans nos dossiers", et "il est entré dans le dossier des pédocriminels" ?
En d'autres termes, est ce que quelqu'un, qui se trouve blanchi, d'une accusation de crime sexuel, qu'il s'agisse d'enfants, ou qu'il s'agisse d'adultes, peut se retrouver, ou pas, dans le fichier des criminels sexuels, s'il n'y a pas de condamnation véritable ?
Parce que là, le classement sans suite, clairement, dans l'esprit du coupable, l'autorise à recommencer, et il sait à présent, pour l'avoir expérimenté, parfaitement comment procéder, et comment passer au travers des mailles du filet, que cette juge prend soin d'agrandir un peu plus.
Trump et elon musk sont les talibans du capitalisme américain.
Un certain J.D. Vance , à la conférence de Munnick, a tenté de donner des leçons de liberté d’expression, au vieux continent, c’est à dire à l’Europe.
Il était question, il y a quelques jours alors, de tenter de remettre en selle, un certain Călin Georgescu, candidat populiste roumain, qui selon eux, en auraient fait les frais...
Le prétexte régulièrement brandi de la liberté d’expression par trump, et elon musk, est un prétexte que je qualifierai de purement bidon, quand , à l’heure des réseaux sociaux, qui sont leur arme de guerre, par internet interposé, cette liberté prétendue, n’est qu’un mode opératoire de discrimination, de manipulation, et de malveillance, instrumentalisée, toujours, au service de valeurs nauséabondes…
Je suis moi, en tant que citoyenne française, abonnée à twitter, oui, j’ai bien dit, abonnée…
Je persiste à y demeurer, et je paie pour ça, afin d’observer ce qui s’y déroule, et d’avoir, le droit légalement, de poser des tweet plus longs que les autres.
Je peux me le permettre, parce que je sais que quelqu’un veille à ce que je n’y sois pas attaquée, (avec mon autorisation) sinon, je l’aurai quitté et depuis longtemps.
Il est très interpellant d’observer, que ce sont les plus puissants et les plus toxiques, qui sont assez pervers, pour tenter d’imposer leur vision du monde, en utilisant, le mot LIBERTÉ, là, où précisément, par les méthodes qu’ils imposent aux utilisateurs, par l’absence totale de modération de Twitter, pour ne citer que cela, ILS S’ASSOIENT DESSUS.
Un réseaux social, éthique, et responsable, serait un réseau social où justement, des valeurs altruistes seraient revendiquées comme étant défendues au bénéfice des minorités, où l’on se parle, et où l’on s’invective, si l’on est pas d’accord, sans insultes et sans menaces d’aucune sorte…
Oui, vous avez bien lu…
C’est ce qu’on appelle, « une communication, saine ».
La seule et unique raison d’être d’un réseau social, c’est de communiquer.
Pour se faire, il doit être capable de reproduire le plus possible une communication comme elle doit l’être dans la vie réelle, ce qui est antinomique, avec la notion même d’internet.
Donc, pour qu’ils ne deviennent pas ce qu’on appelle, « un pugilat », il faut des gardes fou, qui portent si bien leur nom… Je parle là, du mot, MODÉRATION.
Un utilisateur de twitter, aujourd’hui, ou de n’importe quel réseau social, doit être en droit, d’en revendiquer son utilisation, sans se trouver en danger, quelle qu’en soit la raison.
La seule et unique liberté que symbolise aujourd’hui, elon musk, et son réseau social, n’est celle uniquement et strictement que de haïr, et de discriminer, exclusivement…
LIBERTÉ ? Et bien parlons en…
Moi, en tant qu’utilisatrice, je revendique la liberté de ne pas me faire agresser, pour mes idées.
Moi, Françoise Niel Aubin, je revendique, la LIBERTÉ, d’être respectée, dans mes idées…
Qu’est ce que elon musk, à a répondre, face à mes revendications, qui sont pourtant, bien légitimes….
Il s’imagine quoi ?
A quel titre, dites moi, la liberté de haïr, ou d’encourager la haine, par l’orientation intentionnelle des algorithmes, de manipuler, et de se mettre au service des valeurs les plus immondes, telles que la corruption ou les pires crimes que la terre n’ait jamais engendré, devrait elle avoir plus de poids que la mienne, la liberté de me voir moi, en tant que femme, par exemple, la liberté de me voir respectée ?
Pourquoi, MA LIBERTÉ, d’être qui je suis, devrait elle, peser moi lourd que VOS LIBERTÉ, de haïr telle communauté ou telle autre ?
Oui, j’ai un ami qui se charge de veiller à ce que je ne sois pas attaquée sur internet, et où est le problème ? Tentez le coup, si vous voulez, vous ne serez pas déçus, je vous le promet.
Personne encore, ne s’y est risqué, et quelque chose me dit, qu’il doit exister de bonnes raisons pour cela.
Covid, attentats, nouvel ordre mondial : ils ont été confrontés à des idées complotistes.
https://www.france.tv/france-2/direct.html
J'ai commenté cette émission, en partie, sur twitter.
J'ai moi même été confrontée, à ce problème, chez une amie, clarement, le mepris n'est pas la solution. je restais ferme, sur mes idées, et bienveillante... Si elle en est encore là, (ce que je ne sais pas...), elle evite le sujet, et nous parlons d'autre chose.
Par bien des acpects, ce sujet rejoint de façon assez magistrale je dois dire, beaucoup de choses que je développe dans mon ouvrage, "toxicité des livres sacrés", disponible, aux éditions nombre7, que vous pouvez vous procurer, en suivant ce lien:
https://librairie.nombre7.fr/essai/8739-toxicite-des-livres-sacres-9791042707880.html

Bénie soit sixtine.
https://www.france.tv/series-et-fictions/films-tv/6873469-benie-soit-sixtine.html
En cours de commentaire.

Le Louvre, restaurations équivoques, mais pas que dans les bâtiments.
Bon la bonne nouvelle, c'est que mon livre, "peintre du dimanche", est deja disponible sur internet, et bientôt, en version papier aux éditions nombre 7.
Certains diront, "mauvais endroit, pour une pub, celle de son livre, non mais pour qui se prend elle".
Rien de moins, que quiconque se soucie, de ce qu'est d'être un ou une artiste, d'une part, mais aussi que d'être "regardeur" d'une oeuvre, ou comme je le suggère dans mon ouvrage, comme "perceveur", de ce qui est artistique.
La culture est un sujet bien trop grave, pour ne le confier qu'au plus diplomés ou aux politiques, d'autre part.
Mais là, n'est pas le sujet.
Il y a quelques jours, nous apprenions à quel point le Louvre etait "malade", fuites d'eau, travaux à envisager, etc, ce qui j'ai résumé, par la remarque suivante (vous n'êtes pas à l'abris d'un calligramme sur le sujet):
"Apres s'être léchée les babines avec la soupe de potimarron, la Joconde vient de prendre conscience qu'elle a de la crotte au bout du nez, heureusement, macron arrive avec son mouchoir en papier".
Ne me remerciez pas, "c'est cadeau".
Revenons en donc, à cette histoire de restauration.
J'avais été interpellée, au sein de la maison des artistes deja, sur le sujet. Là, le fait de voir le dossier, "Louvre", mis sur le devant de la scène, donne l'occasion de réouvrir ce dossier.
Le problème est le suivant.
Il semblerait que les choix qui soient faits, au sein du Louvre, concernant les restaurations, aient pour justification de flatter le perceveur, plus que d'être celui d'aller vers une restauration plus efficace, et plus salutaire, pour l'oeuvre en elle même.
Vous pouvez retrouver le sujet, en suivant ce lien, sur Linked in.
C'est là une affaire de spécialiste, j'en conviens, et si pour la restauration de Notre Dame Paris, j'étais personnellement en faveur, d'une vision plus avant gardiste de la restauration, ou si vous préférez, plus contemporaine, il va sans dire qu'en aucune façon, je ne cautionnerais une telle démarche, pour un tableau.
Je sais, pour l'avoir deja entendu, que beaucoup de peintres, au moment où ils peignaient leurs tableaux, auraient rendu des couleurs beaucoup plus vives, parait il, sachant que d'autre part, bien malin qui peut affirmer une chose pareille, si l'on observe qu'en aucune façon, on ne peut le démontrer.
Selon la composition des couleurs dont ils auraient disposé, et en connaissant nous, aujourd'hui l'origine, on est en droit de l'imaginer, est ce que pour autant, ça nous autorise, intellectuellement à restituer cette vivacité de la couleur ? J'en doute.
Il s'agit alors, d'une parfaite subjectivité du problème.
Cependant, revenons en à Notre dame, justement, où l'on a pu observer que certaines méthodes de nettoyage à base de lalex, ont permis de mettre au jour des fresques et différents ornements, qu'au grand jamais, nous n'aurions pu soupçonner, et qui précisément se sont revelés assez colorés, contrairement à ce qu'on en aurait pu penser.
Je regarde, assez souvent, une émission qui s'appelle "affaire conclue", sur France 2, parce que j'aime bien les objets, et j'aime aussi, le dernier moment, où ils les restaurent.
Quelquefois, il s'agit de tableaux, qui jamais bien sûr, n'ont de valeurs qui justifieraient qu'ils soient exposés dans un musée, enfin en principe, mais qui neammoins, passent par les mains de restaurateurs professionnels.
A cette occasion, on nous explique, la "reversabilité" d'une restauration, qui comme son nom l'indique, en théorie, est sensée permettre, de revenir à la version antérieure, du tableau restauré.
Il semble donc, selon les commentaires que je lis, sous ce fil de discussion, que cette reversabilité, soit plus illusoire qu'autre chose.
En quand bien même, elle serait techniquement réalisable, encore faut il que la politique du Louvre, elle, aille en ce sens...
Parce que entre "pouvoir techniquement revenir en arrière", et passer à l'acte, il existe une nuance.
Ainsi, il semble donc, que les restaurations seraient purement abusives, je dirai moi "raccoleuses"... Dans le but unique de flatter le regardeur, ou si vous preferez, "le client", pour dire les choses plus crument.
Au dela de cette polémique, je dois préciser un truc, qui n'est jamais abordé par personne, et qui réside dans le fait que les matières, qui sont utilisées, ainsi que les supports, viellissent et quelquefois vieillissent mal...
J'en tiens pour preuve, un de mes anciens prof de dessin, Gérard Crépel (quand il va être informé que je le cite, il va se dire, "mais enfin, françoise, qu'est ce qui lui prend de me citer ainsi), qui est artiste peintre, et qui habite mon village, qui m'avait dit la chose suivante:
"Tout le monde se jette sur la peinture acrylique, parce que c'est beaucoup plus simple d'utilisation, (rinçage à l'eau, et surtout, par de risque d'inhalation au diluant), ce qui peut se comprendre... Mais ce qu'ils ignorent, c'est qu'au fil des ans, mais surtout des decennies, en aucune façon la peinture à l'acrylique ne vieillit aussi bien que la peinture à l'huile"...
Je peins, personnellement, à l'aquarelle et à l'encre, donc je ne suis pas concernée, mais je me souviens de cette reflexion.
La vérité, c'est que personne, ni aucune méthode, et moins encore l'IA, qui a pour conséquence, qu'on ait, une version aussi trnquée du temps qui passe, au point qu'au lieu de regarde le sable dans le sablier, on le bouffe, ne peut nous donner une version fiable sur le "bien viellir", de toutes ces matières synthétiques, que nous utilisons...
Et je vous épargne la métaphore, liée à l'age, quand c'est du corps humain dont il est question, et pire encore, quand il s'agit de note cerveau...
Ainsi, plus que jamais, nous n'avons pas d'autre choix que de reconnaitre notre incapacité à estimer, "justement", ce qu'il adviendra de ces materiaux de peinture, mais aussi de ces restaurations, ou pseudo restaurations.
Un autre exemple.
Une matière naturelle, papier, cuir, carton, soie, sous l'effet de la lumière, devient soit terne, soit grise, soit beige.
Ainsi, un meuble en bois brut chêne clair au départ, au bout de 5 ou 10 ans, devient chêne moyen, et un chêne moyen, apres 10 ans, devient chêne foncé.
Ainsi, j'ai un souvenir, davoir visité, au musée, d'Orsay, une aile où étaient exposés des dessins et des caricatures, datant du siècle dernier, de Daumier, et de bien d'autres, qui avaient été réalisées sur du papier blanc, à l'epoque, je suppose, et qui étaient devenues sous l'affet de la lumière, beiges, carrement, voir, vbeige foncé.
J'ai acheté personnellement un dessin, dans un dépot vente, il y a quelques années, c'est du pastel, et le papier dessous, est presque marron, enfin, marron clair, et ceci, uniquement sous l'effet de la lumière...
Je suis tombée, il ya quelques années, sur un atelier à Paris, qui parvient à éclaircir le papier, pour le restituer tel qu'il était jadis, ils etaient en train de travailler sur la restauration d'une grande affiche.
De toute façon, le challenge est toujours le même, on voudrait toujours trouver la solution à tous les problèmes, ce qui n'est pas possible.
Philosophiquement, est il legitime, de se permettre de restituer une prétendue vivacité des couleurs à des tableaux, au pretextes qu'ils séduiront davantage le perceveur ? Restituer le support, est toujour possible, mais restiturer les pigments, là, où de toute façon, on ne detient aucune preuve tangible, de ce qu'ils étaient à l'epoque, me semble, à la limite du malhonnête, personnellement.
Une pétition, à la maison des artistes, est desormais disponible.
https://www.lamaisondesartistes.fr/site/?s=
Le droit à l’erreur, dans le milieu bancaire.
Cette mésaventure est arrivée à une amie.
Les banques, comme n’importe quelle autre entreprise, font tout pour supprimer du personnel, et à ce titre, trouvent légitime d’inciter le plus de clients possible, à fonctionner via le portable, ou l’ordinateur, pour faire la moindre opération.
Ceci induit, un véritable décrochage, qu’on appelle illectronisme, chez ceux qui n’ont pas d’ordinateur, ou qui sont trop pauvres (et oui!), pour ambitionner d’avoir internet à domicile.
Bon an mal an, on s’y adapte, parce qu’il le faut bien.
Pour sécuriser les opérations bancaires, et ceci, bien avant qu’on vous incite à vous débrouiller seuls avec vos appareils et internet, les banques ont mis sur pied, ce qu’on appelle les IBAN, pour sécuriser les transactions.
Il est bon de préciser, que si les IBAN, ne sont pas sûrs à 100 %, ils ont amélioré de façon significatives, toutes les transactions.
Cependant, le risque d’un IBAN frauduleux, persiste encore, malgré tout, aussi, les différentes banques ont elles mis sur pied différents stratagèmes, pour en augmenter, autant que faire se peut, la sécurité.
Pour certaines, c’est une carte, forme « carte de crédit », avec une grille de codes, pour d’autres, un SMS, avec un code sur votre portable, via, votre numéro de téléphone.
Ainsi, si vous souhaitez verser de l’argent avec un nouvel IBAN, votre transaction financière, quelque soit le montant, ne peut se faire dans l’immédiat, parce qu’entrer un nouvel IBAN, sur votre compte, induit un délai exigé par le fait de le faire entrer, dans une banque de donnée.
Par contre, on ne sait pas, si le fait de le faire entrer dans cette banque de données induit une quelconque vérification, « ou pas ».
Parce que les fraudes, via de faux IBAN, ou des IBAN trafiqués, ça existe.
Mais le cas de mon amie ne relève pas de la moindre arnaque.
Ayant deux comptes sur deux banques différentes, et ayant voulu se verser une somme donnée sur l’autre compte dont elle est titulaire, la somme de quelques centaines d’euros pour honorer ses prélèvements, les IBAN étant pré enregistré, sur son compte interne, elle a malencontreusement cliqué, sur le mauvais IBAN.
S’étonnant, de ne pas voir apparaître la somme ronde en question, au bout de quelques jours, elle s’inquiétait, et comprit, que l’erreur venait d’elle.
Je me pose alors, une question.
Qu’est ce qui justifie, que sur un IBAN, le titulaire du compte, ou au moins, les 3 premières lettres de son nom, ou du nom de la société, n’apparaisse pas , ce qui aurait permis que cette erreur, n’arrive pas ?
Pourquoi, « le droit à l’erreur », n’existe t il pas, dans le milieu bancaire ?
Quoi que vous fassiez, aujourd’hui, votre identité est réduite, à une somme de chiffres, et de numéros, comme les juifs, quand ils étaient en camps de concentration, avec leurs chiffres tatoués, sur leurs avant bras.
Alors, que tout le monde, enfin, une majorité en tout cas, trouve parfaitement légitime, de balancer tout et n’importe quoi sur sa vie privée, via les réseaux sociaux, l’administration trouve un malin plaisir, à nous réduire, toujours, enfin, souvent, à des séries de chiffres.
Certes, j’entends bien que pour la gestion et la comptabilité, ce soit nécessaire, une réclamation, une commande, une facture, un acte, je comprends..
Mais un truc, aussi personnel, qu’une identité bancaire, ne devrait il pas, justement, puisqu’il est constant, précisément, et non ponctuel, comporter quelque chose de plus personnel ?
Mais revenons en mon amie.
Une fois constaté la bévue, elle était soulagée, se disant, « puisque l’IBAN, était pré enregistré, sur mon compte, et que l’erreur vient de moi, il suffit de retrouver le destinataire du mauvais IBAN, et de lui demander de restituer, ces quelques centaines d’euros ».
La banque émétrice, elle, a fait son job, et demander à la banque receveuse du mauvais IBAN, d’annuler la transaction.
Mon amie, elle, pour se défendre, n’avait que le nom de la banque receveuse.
Une fois contactée, cette dernière elle, se réfugie alors, derrière le secret bancaire, et refuse de délivrer le titulaire du compte.
Malgré tout, la réclamation de la banque émétrice fit son chemin, et la banque receveuse, doit obtempérer, et informer le titulaire du compte, afin qu’il restitue l’argent…
Et c’est là, qu’on commence à pouvoir se poser quelques questions.
Au téléphone, mon amie fût contactée par la banque receveuse, pour s’entendre dire que le titulaire du compte, ne répondait pas, et qu’il était en droit, de refuser de restituer cet argent.
Il l’informait d’autre part, que le titulaire du compte avait clôturé son compte…. Incroyable.
De son côté, mon amie, réfléchit au problème.
« Si cet IBAN était pré enregistré, sur mon compte bancaire comme bénéficiaire, c’est donc, que je leur avais déjà versé de l’argent .
Évidemment, elle entreprit des recherches.
Au fur et à mesure, elle reprenait contact, avec chacun d’eux, mais rien n’y faisait, ça n’était jamais le bon IBAN.
Puis la banque émétrice, finit par lâcher un nom.
« Mais c’est bien sûr » .
Il s’agit donc, d’un entreprise de recouvrement, auquel elle avait eu affaire, l’an dernier, pour un faible endettement.
Un coup de fil, pour répondre à un courrier, un paiement en trois fois, et l’affaire avait été vite réglée.
Mais ce paiement en trois fois avait suffi à justifier que leur IBAN fût rentré dans la banque de donnée.
Elle appelât donc, la société de recouvrement, pour expliquer son cas.
Et là, ho surprise, aucune attente au téléphone, ce qui déjà, était un exploit.
Parallèlement à cela, au téléphone, la banque concernée affirmait qu’elle détenait un écrit, émanant du chef comptable, de l’entreprise de recouvrement, qui certifiait que cet organisme de recouvrement, refusait de rembourser les quelques centaines d’euros…
Oui, vous avez bien lu….
Au téléphone, le responsable comptabilité était formel, « quand nous percevons de l’argent en trop, chaque fin de mois, c’est « retour à l’expéditeur », de façon systèmatique ».. Lui précisant donc que cet argent ne serait reversé que le 31 du mois en cours…
Elle patienterait donc, tout en se mordant les doigts, d’avoir commis cette bévue…
Elle rappelât malgré tout l’organisme en question, pour leur préciser ce qui lui avait été affirmé au téléphone, une trace écrite, par mail, (donc, qui vaut juridiquement), qui stipulait, qu’ils ne rembourseraient pas.
L’affaire est en cours de rec solution, il semblerait, que le non remboursement, n’aurait été du, qu’au fait, qu’il n’avaient plus son IBAN, ce qu’elle a corrigé, des ce matin.
Alors, que de plus en plus de français sont surendettés, j’en connais beaucoup, qui ne surveille pas suffisamment leurs comptes, mais qui surtout, n’auraient pas, osé réclamer, quoi que ce soit, pour récupérer leur argent.
Mères en cavale, avec leur enfant, pour le protéger de l'inceste du père.
Les faits ne sont pas nouveaux.
Ces histoires sont connues, mais pourtant, à chaque fois, la mère protectrice se voit accusée, de non présentation d'enfants, etc, aux bénéfice du père.
Pour commencer, je vais me faire l'avocat du diable, (c'est elon musk, qui doit trouver ça interpellant, non ?), et tenter de comprendre comment un magistrat, peut se faire rouler dans la farine, ainsi, devant les faits, qui pourtant le positionne, comme étant lui, juge, coupable de non assistance à enfant en danger.
Il faut enfin, s'interesser au profil, du père incestueux.
Pour rappel, l'inceste est un crime, qui détruit l'enfant, environ 20 ou 30 fois plus, que le même acte, qui est commis sur enfant, quand le père n'y est pour rien...
Pour la simple raison, pourtant facile à comprendre, que "le loup est dans la bergerie".
Au sein d'un foyer, le père et la mère, ou quiconque, à pour role social, de veiller sur la sécurité de l'enfant, à un devoir de bienveillance, et de sécurité, justement.
Si le parent ou les parents, sont les pilliers référents, pour que l'enfant se construise, le jour où ce père commet ce qu'on peut appeler, l'irréparable, faisant de son fils ou de sa fille, "son amant caché", quelque soit l'acte dont il est coupable, avec la fameuse phrase, "ce sera notre petit secret", propre aux pédophiles qui sévissent dans l'entourage, 80% environ, et que je distingue personnellement des pédophiles opportunistes, qui représenteraient environ 20%.....
Alors, alors.....
Pour l'enfant, c'est le sol qui se dérobe sous ses pieds....
D'un seul coup, ce père le positionne, en tant qu'adulte, objet sexuel, son enfance, elle, est zappée, terminée, il n'y en a plus.
Il est devenu d'un seul coup, un adulte, avec un corps d'enfant.
Il a le sentiment, d'autre part, d'être devenu un monstre, qui lui seul est conscient de la gravité de ce qui lui est arrivé, et que cette situation, toujours va continuer.
A présent, nous allons parler de ce père...
Pardon, il n'est plus son père, en réalité, bien sûr, parce qu'un père qui considère son enfant, comme un sex toy, n'est plus un père, affectivement, aux yeux de son enfant, mais bel est bien un monstre, un adulte toxique, qui ne lui inspire plus le moindre respect, mai au contraire, une peur viscerale, qui a pour conséquence qu'il redoute infiniment plus de rentrer à la maison, apres l'école, que de partir de la maison, pour s'y rendre.
Et oui, le danger, maintenant, est "INDORE", comme on dit.
La maison, sensée être le lieu sécurisant pour n'importe quel enfant, comme pour ses parents, est devenu, le lieu de tous les dangers, où il va devoir consacrer une bonne partie de son énergie, à ne pas rester seul(e), ou le moins possible, parce qu'à chaque fois, le monstre abusera le lui ou d'elle.
Et ce père incestueux, là, on va parler, un peu de lui.
Comme tous les pédophiles, qui s'offre le luxe suprême de festoyer sexuellement, à domicile, instrumentalisant sa relation de père, en plus de celui d'epoux, des lors, a TOUJOURS, pour stratégie d'être, aux yeux de tous, IRREPROCHABLE, dans la grande majorité des cas....
Et pour cause.
Plus il soigne son image de père "non violent", conciliant, attentif à l'éducation de ses enfants, il va aussi assez souvent aux réunions parents profs, pensez donc, plus la parade est en place, "pour le cas où, quelque chose transparaitrait", quelque part, il faut bien mettre en place le stratagème, qui serait necessaire....
Et quand, on lui rapporte que son enfant ne va pas bien, que les notes chutent, parce qu'un enfant victime d'inceste, jamais ne peut aller bien, il joue les grands étonnés, "vraiment, je ne comprends pas"....Nous faisons, tout ce qu'il faut, pourtant, ma femme et moi".
Et madame, parlons de madame...
Madame, elle croule le plus souvent, sous la charge mentale.
Observons, "quand elle ne le sait pas", parce que ça existe.
Elle patauge, la pauvre, et qui peut lui jeter la pierre, si son enfant ne lui dit rien, tellement il a conscience du fait, que ça serait un tsunami à la maison.
Si par bonheur, elle a reçu les confidences de son enfant, je ne saurai trop lui recommancer de faire le necessaire, pour que celà cesse...
Si elle ne le fait pas, c'est assez simple en fait, son enfant a toutes les chances de partir en sucette, au moment de l'adolescence, jusqu'au moment, où il rompra avec ses deux parents, le plus souvent, pour ne plus jamais reappparaitre, pour le cas où il resterait attaché à la vie, sans compter le procès, que son enfant pourra lui faire, pour non assistance à personne en danger.
Pour ce qui concerne l'enfant qui s'est confié à sa maman, et qui voit que rien ne bouge, je lui recommande, de prendre contact avec une association, qui pourra le conseiller, ou d'appeller le
119.
Je crois beaucoup, personnellement, aux vertus du pli recommandé.
On peut parfaitement imaginer, un ado, qui s'est confié à sa mère, pour dénoncer son père, et que cette derniere ne bouge pas, de lui envoyer un pli recommandé à elle, disant la chose suivante.
"Je t'informe, que tel jour, à telle heure, il m'est arrivé ceci, (si la victime, n'a ni l'heure, ni le jour, ça n'est pas grave), dire les faits, je te le rappelle, je te l'ai dit, et je vois, que rien ne bouge, IL CONTINUE, et J'AI PEUR.
Comme rien ne se passe, je suis obligée, de procéder ainsi, parce que tu ne me donne pas le choix".
Il faut, que ce soit l'enfant qui écrive cette lettre, y compris s'il est mineur, et qu'il soit au minimum cosignataire (potentiellement, si l'enfant le fait, avec l'aide d'un adulte, qui aurait reçu cette confidence, cet adulte peut aussi, signer).
Cette lettre peut aussi être adressée au procureur de la république, comme on peut le faire, pour un viol, ou une quelconque agression.
J'insiste sur le plis recommandé, plutot que la lettre recommandée, parce qu'une lettre recommandée peut inciter le destinataire, à prétendre que l'enveloppe aurait été vide, ce qu'il ne peut pas prétendre, quand c'est un pli.
Pour ce qui concerne les mères qui ont reçu les confidences de leur enfant, qui souhaitent faire quelque chose, mais qui sont véritablement paumées, tellement les accusations sont graves, parce que pour elle aussi, un monde s'écroule, je les comprends, et je compatis, SURTOUT SI ELLES SONT FEMMES AU FOYER....
Il faut alors écrire au procureur de la république pour l'informer des faits, et prendre contact avec une association, qui vous aidera sur les différentes stratégies, qui peuvent être envisagées.
Il faut commncer par proteger l'enfant, et ensuite, la mère, peut prendre plus de temps, pour décider quelque chose.
Alors, quand des juges, ergottent sur la "non présentation d'enfants", quand il y a inceste, franchement, je vais vous dire, je crois que j'aurai tendance à ne plus me contenir.
Petite précision, ce que j'ai subi enfant, on appelle ça de le pédophilie, et pas de l'inceste, il s'agissait d'un ouvrier agricole, qui travaillait chez mes parents....Mon père, n'a été coupable, comme ma mère, que de ne pas avoir soupçonné, que cet homme en aurait été capable, ce qui est un bien moindre mal, comparativement à l'accusation d'inceste, dont sont victimes certains enfants.
Et quand je me projette, dans la tête de cet enfant, qui vient de subir, je ne fais qu'imaginer ce qui doit se passer dans sa tête...
Quand un enfant voit sa mère, submergée de travail, il doit se dire, "je vais me taire, et ne rien lui dire, elle a bien assez d'emmerdements comme ça, pas la peine que j'en rajoute".
Parce que ça, c'est la position de 90% des enfants, qui subissent des actes de delinquence sexuelle, c'est à dire, pédophilie et incestes confondus, et ça, tres exactement, je l'ai vecu, ainsi., j'ai gardé ce secret, au fond de moi, jusqu'à l'âge de 17 ans.
VIOLS ? L'affaire Dino Scala, ou le violeur de la Sambre.
Vous pouvez revoir cette émission, en cliquant sur ce lien: https://www.france.tv/france-2/au-bout-de-l-enquete-la-fin-du-crime-parfait/6804106-affaire-dino-scala-le-violeur-de-la-sambre.html
Alors que l'affaire Gisele Pélicot vient d'être jugée, ce reportage met l'accent, sur un cas emblématique, qui met en échec, la théorie selon laquelle, ces coupables seraient souvent des marginaux...
On voit là, et ça glace le sang, que cet homme etait entraineur de foot, avait une vie sociale, et associative tout à fait satisfaisante, ce qui surprend plus encore.
Alors que beaucoup aimeraient bien, plus encore, en ce moment, déglinguer l'europe, alors que j'ai mis l'accent, il y a plusieurs années, sur le fait que les violeurs et les pédophiles (parmi toutes les autres formes de criminalité), étaient les plus affutés, pour se jouer des différences juridiques, d'un pays à l'autre, et d'une coopération espérée insuffisante, on observe là, un cas tout à fait représentatif, de ce que mes propos visaient juste, alors.
Proximité de la Belgique, je cite "l'étau se resserrait en France, alors, il a sévi de l'autre côté de la frontière".
Tout est dit.
Je pense aux victimes, 56 chefs d'accusation, certaines vicitmes, décédées, et une condamnation à 20 ans de prison, ce qui me semble, et nous semble, parfaitement insuffisant.
4 mois, par victime, franchement, c'est un peu léger.
Le probleme, ne reside pas dans une necessité, de le savoir incarcéré de la part des vicitmes, mais uniquement dans le fait, qu'au bout de 20 ans, donc, potentiellement, étant libéré, elles vivraient de nouveau, leur cauchemar, pendant que le violeur, lui reprendra ses activités.
Il se trouve qu'un autre procès l'attend, mais pour l'heure, il est temps de se demander, ce que l'on fait d'un violeur, d'un pédophile, qui a ou qui aura purgé sa peine, alors que l'on sait pertinament, qu'une fois libéré, il recommencera...
Oui, je sais, "injonction thérapeutique".
J'ai suivi une psychothérapie, pendant 10 ans, alors, je connais.
Si vous n'y allez "de votre plein gré", ça ne sert à rien. Autant dire, que l'injonction thérapeutique, statitiquement, n'est efficace que dans un cas sur 10, et encore...
Il faut dédier des villages, ou des lieux de vie isolés, qui ne soit consacrés qu'à recevoir, comme habitants, ce que j'appelle ces monstres.
Oui, je sais, ça n'est peut être pas tres "catholique", ou charitable, d'appeler un humain de la sorte.
Pour information, parlez en autour de vous, et vous verrez que la qualification, de "monstre", est bien légère comparativement, à l'idée qui est dans l'air, en général.
Et puis, en tant qu'artiste, ancienne vicitime de pédophilie, franchement, je me trouve bien aimable, vous ne trouvez pas ?
Je sais que ces lieux de vie, existent, mais je ne sais plus dans quel pays...
"Mais alors, ça serait à la charge de la société"...
Non, pas nécessairement, parce qu'ils peuvent dans un perimètre sécurisé, ou il leur serait impossible de sévir de nouveau, exercer certaines activités professionnelles.
Et pour info, je sais que certains pensent à la castration chimique, il faut sa voir, en dehors, du contexte juridique, que sur le plan strictement médical, il a rrive, tout simplement, que pour crtains d'entre eux, ça ne fonctionne absolument pas.
Comment je le sais ?
Parce que j'ai en memoire, d'avoir eu, une conversation avec un infrmier, psychiatrique, quand jetais moi même internée, il y a bien longtemps, et l'un de leur patient, ne pouvait être sorti, de l'HP, pour cette simple raison.
Des qu'il voyait, un enfant, c'tait fini....
Oui, on aimerait en rire, n'est ce pas... S'il suffisait d'en rire, hélas, pour que ça n'existe plus, je planterai des rangées de nez de clown, dans mon potager.
Un lieu de vie, je vous dis, qui leur soit dédié, non pas pour remplcer lespeines de prison, mais pour assurer le suivi, apres la peine executée, dans le seul et unique objectif, e proteger la société des monstres, dont il est question.
Je n'ai aucun doute, que les c......... Qui ont été les clients de monsieur Pelicot, et plus spécialement, ceux qui ne voient, "pas du tout où est le problème", qui sont assez cons, pour faire appel de la décision de Justice, verront dans ma proposition, une perspective d'avenir, tout à fait digne, de leurs ambitions personnelles.

L'autorité.
Cet ouvrage a été écrit il y a plusieurs années, et fait l'objet actuellement d'une actualisation, j'espère pouvoir le sortir de nouveau, pour le printemps.
A vélo sans âge.
Comme assez souvent, bien sûr, ça sort des carnets de campagne, sur France Inter.
Chaque jour, les auditeurs, qui"denoncent" ces bonnes idées, departement par département, sont mises à l'honneur, c'est une véritable mine d'or, pour quiconque cherche à ameliorer la société qui est la notre, notamment, à la campagne, et qui cherche l'inspiration, pour jouer un rôle dans la vie de tous les jours, face aux defits qu'on doit assumer.
Il existait, il y a quelques années, une version compilée en livre, je ne sais pas si elle existe toujours, ou si elle est actualisée.
Peut etre qu'une actualisation sur le site de France inter, serait suffisante si on observe que les personnes qui s'y interessent, sont en tes grande majorité, aujourd'hui, connectées, notamment, aux réseaux sociaux.
Enquête publique, sur la carrière Eric Lasnon, ouverte à Hugleville en Caux.
Cette carriere est exploitée depuis bien des années, mais c'est dans un contexte d'agrandissement du projet, qu'une enquête publique a été diligentée.
C'est mon voisin, qui m'a informée de l'enquête.
Pourquoi, n'avons nous pas été informés, alors, qu'il ne reste que 3 jours ?
Il est possible, que je sois passée à côté, sur le bulletin de la commune de sainte Austreberthe.
La commune de Hugleville en Caux n'y trouve rien à redire, forcement, c'est dans un hameau, loin du bourg, ce ne sont pas eux, qui subiront les allées et venues des énormes camions, qui passeront, à 5 m de ma maison, sur la route.
Il s'agit d'un gisement de marne.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marne_(g%C3%A9ologie)
cette carrière est tout pres de chez nous, à un km, environ.
dans le pays de caux, on l'extrait généralement, pour repandre dans les terres.
Là, je n'en connais pas la finalité, en dehors d'enrichir le propriétaire du bois.
Les nuisances annoncées, sont les suivantes:
15 000 m cubes, deplacés, sur Avril mai, et septembe octobre, un flux de camions, assez important (à 4m de ma maison, personnellement), questionnement sur le ruisellement des eaux de pluie, sachant que mon herbage, qui est exploité par mon neveu, est considéré, comme un bassin de retention, pour protéger l'Austreberthe, qui se jette dans la Seine, à Duclair, des inondations.
Je vois, quand je roule à vélo, l'ouverture de la carriere, mais je ne suis jamais allée voir encore.
Ca me semble absolument énorme, deja, alors, pour un agrandissement, alors, qu'on entend en ce moment les tronçonneuses, nous inquiete un peu.
Ce que je vois, c'est aussi au sujet de la biodiversité...
Oui, je sais, j'en entends deja, qui vous me dire, "encore une saloperie d'écolo, pour nous faire chier"..
"Je vous en prie, ne vous génez pas".
Ici, je me considère, si je ne tiens pas compte du passage des voitures, parce que ma maison est assez proche de la route, comme assez privilegiée, parce qu'il n'y autour de moi, que des bois et de l'herbage.
En somme, en dehors, d'un peu d'angrais, au printemps, (et encore...), par de traitement chimiques lourds....
Et pourtant, je suis assez inquiete d'observer, qu'il y ait si peu de papillons (sur le buddleia, par exemple), ou ailleurs...
Un nombre d'insectes, anormalement faible, alors que justement, mon jardin ne risque pas d'être comme on dit "pathologiquement un peu trop ordonné".
Quand on achète un bois, le devoir premier que l'on ait, c'est d'apprendre à le gérer, dans le sens écologique, strictement, y gérer la faune, et la flore, y compris, donc, de gérer les arbres "arrivés", et d'en tirer profit, quand on en extrait les grumes.
Certes, être propritaire d'un bois, induit comme pour le jardinage, d'apprendre la patience, et de ne pas "forcer la nature", et ça n'est certes pas, en arrivant avec des buldozzers, qu'on arrive à une gestion forestière, que je qualifierai d'altruiste.
Il ne reste que 3 jours, pour déposer un avis, sur l'enquête publique. (la nana qui est chagée de s'en occuper, semble ne rien connaitre au problèmes).
Cyclone Chido, à Mayotte.
https://www.comoresinfos.net/histoire-des-iles-comores/
"La pire des catastrophes, depuis la seconde guerre mondiale sur le territoire français".
Vous pouvez donner en passant par la fondation de France, en suivant ce lien:
Alors que politiquement, la récupération va bon train, relativement à l'immigration, venant des Comores, il me semble opportun de poser un lien, pour resituer le contexte historique, et simplement, "savoir de quoi on parle".
Je vous recommande la lecture des commentaires, où on observe la récupération qu'en font certains, sans que ça n'entrave la digestion, de la dinde, visiblement. J'ai personnllement signalé certains commentaires, qui relèvent plus de la propagande qu'autre chose.

Effondrement d'immeubles, rue d'Aubagne à Marseille.
https://marsactu.fr/bref/deux-immeubles-seffondrent-rue-daubagne/
19 décembre 2024.
"C'est pas moi, c'est l'autre", en somme, c'est la position qu'ont eu les avocats de la défense.
Dès lors, que l'insalubrité d'un logement à été constaté, qui plus est, par huissier, nul ne doit ^^etre autorisé, sous quelque pretexte que ce soit, d'entraver un propriétaire foncier, de recuperer son bien, pour y pratiquer les travaux necessaire.
Etre propriétaire de foncier implique des droits, celui de percevoir ses loyers, mais aussi par voie de conséquence, celui d'entretenir le bien dont il est propriétaire, pour qu'il soit sécure, vis à vis du locataire.
Un locataire, les locataires, ou la société, ne peut exiger d'un proprietaire, qu'ils fasse des travaux dans un bien qui est loué, et parallelement lui interdire de récupérer ce bien, dans le but de mettre ce logement aux normes, quelque soit la nature des travaux dont il est question.
Il est très important que la Justice agisse en ce sens, que cette affaire, fasse "jurice prudence"parce que la vétusté des immeubles est un problème récurent, dans beaucoup de villes de France, et la main mise de RBNB sur le locatif, induit, non seulement un truchement très important des prix de l'immobilier, mais aussi, par un laxisme intolérable, le phénomène "marchand de sommeil", par le manque de logements disponibles, sur le marché de la location.
Un collectif, type « terre de liens », pour racheter les maisons en zones inondables.
Petite précision, j’habite moi même, une maison, qui fût un jour inondée, avant que je ne l’habite, et ce sont des travaux, qui ont été faits, en amont, qui ont eu pour conséquence, qu’elle ne l’ait plus jamais été, mais je connais le problème.
Ma sœur aussi habite une maison qui fût inondée, quand elle l’habitait elle, par contre.
Mon idée est la suivante.
On sait, que relativement aux matériaux utilisés, une maison, peut plus ou moins bien supporter, d’être inondée.
Ainsi, au rez de chaussée, aucune meuble, autre qu’en bois plein, ne devrait être autorisé.
Bien que cette recommandation, soit donnée, il me semble, apres une inondation, certains propriétaires persistent à remplacer leurs meubles, par des meubles, neufs, en composites, qui ne supportent pas la moindre humidité.
Un meuble en bois brut, peut parfaitement être sauvé, lui, contrairement aux autres.
Pour ce qui concerne l’isolation des murs.
Tout ce qui est plâtre ou placo plâtre, doit être détruit, et remplacé uniquement par des matériaux, supportant une inondation temporaire à base de liège.
Il faut déterminer pour commencer, quelle zones peuvent être concernées, en prenant comme référence, une certaine hauteur d’eau tolérée.
Les installations électriques, doivent être ainsi revues, pour qu’aucun câble ne soient ainsi, en dessous de la hauteur qui aura été décidée.
Évidemment, au sol, aucun parquet ou revêtement, mais uniquement et strictement du carrelage.
Mon idée, est la suivante.
Créer un fond monétaire, qui permette de racheter ces maisons, afin qu’elles soient restaurées, pour ne servir uniquement et strictement, qu’à la location de meublés touristiques, de telle sorte, que les propriétaires puissent ainsi, les vendre à un prix qui soit suffisamment décent, pour qu’ils puissent racheter une autre maison, ailleurs, sans ne plus craindre le moins du monde, d’être de nouveau inondés.
Il faut, pour que ça puisse se faire, qu’une loi soit créée, de telle sorte, qu’une fois rachetées ces maisons, l’habitation, comme lieu de domicile permanent, soit rigoureusement interdite, de telle sorte qu’en cas d’inondation qui viendrait à se reproduire, les occupants potentiels, puissent avoir été évacués, ayant été prévenus lors du contrat de location, RBNB, par exemple, cette clause soit explicitement exposée, et ces logements locatifs étant régis eux aussi, par des conditions particulières,et draconiennes.