il s'agit d'avoir pleinement consience du fait qu'il existe un lien étroit, entre notre corps et notre cerveau, et donc, notre santé mentale, et donc, notre santé tout court....
On peut lire ce fait aussi, mais on n'en parle nulle part, comme "suivre son instinct".....
Il s'agit de trouver un juste milieu, comme il est expliqué, parce que trop prêter attention aux signaux qu'il nous envoie peut aussi, être néfaste ou toxique, par une surinterprétation qu'on en ferait, et qu'elle peut être tronquée, par notre milieu familial ou culturel, par exemple, ou dans le cas, d'hypocondrie (sentiment, voir certitude, qu'on est atteint, de diverses maladies).
Dans le cas de troubles alimentaires, ce qui peut être apparenté à une addiction quand il s'agit d'exces, il faut s'en méfier, tout comme dans n'importe quel contexte lié à une addiction plus largement, parce que ces "signaux", de bien être, sont alors parfaitement tronqués.
Oui, je sais, c'est pas facile d'y voir clair, mais la satisfaction alimentaire sur le court terme, (en dehors, d'être repu, pour satisfaire, une alimentation normale)uniquement, doit toujours avoir pour conséquence, une relative méfiance.
Je parle du sujet de l'addiction au sucre, dans mon ouvrage "addictions, prendre le mal à la racine", aux éditions nombre 7.
Personnellement, j'ai réagi comme Sandrine Rousseau, j'avais beaucoup d'admiration pour lui, et je suis tombée de ma chaise en apprenant une chose pareille.
Je me souviens, avoir été présente dans le public d'une émission de télé, mais je ne sais plus laquelle, il y a longtemps, où je l'avais observé faire le paon, avec certaines belles jeunes filles, au premier rang, version anecdotes, à plusieurs moments, et avoir compris à l'époque, que ça n'était pas très déonthologique, face au statut qu'il avait, comme psychanaliste... Rien qu'une fois.
Mon ex le détestait au plus haut point, parce que comme c'était un taiseux comme on dit, il était des plus méfiants, vis à vis de ceux, qui jouissaient d'une telle faconde.
Difficile de déterminer aujourd'hui, si la cause, aurait été parce qu'il y lisait le danger de la prédation potentielle et véritable, vis à vis de ces jeunes filles, ou si c'était lié uniquement, à l'aspect de la communication, mais les faits sont là...
Moi, par contre (j'étais venue seule, dans le public), j'avais vraiment senti le danger potentiel.
Je rappelle la définition du mot viol, aujourd'hui.
On sait que toute personne qui est en situation, de suppériorité hierarchique, qui commait un acte de ce type, parent, oncle, grand père, enseignant, maitre, animateur, animateur sportif, supperieur, etc, pratique, ce qu'on appelle, "un abus de pouvoir", quand il subit une telle accusation.
Cet aspect il me semble, de façon générale est largement sous estimé par la Justice.
J'ai environ une dizaine d'années, de psychothérapie derriere moi, aussi, je suis en droit de prétendre que dans le cas, d'un psy, qu'il soit psychiatre, ou autre, que cette caution justement, aggrave le crime, beaucoup plus encore, que s'il s'agissait d'une suppériorité plus classique...
A son sujet, je dirais qu'on a affaire, à ce que l'on nomme un pervers manipulateur, d'une perversion sur dimessionnée, qu'il serait bon de mettre dans un bocal, pour servir d'enseignement dans les cours d'histoire naturelle, comme on observait jadis, les anomalies de la nature, que l'on garde encore, dans les cabinets de curiosité, dans du formol, pour peu que la perversion, à un tel degré, puisse avoir pris une forme physique et palpable.
En effet, entendre qu'il se refuse au moindre commentaire, apres la sortie du livre, se réservant pour la Justice, alors, qu'il sait à quel point elle est clémente (plus encore, quand ce sont des inconnus, qui sont accusés), plus par manque de moyen qu'autre chose, en dit assez long.
Mais je viens de remarquer un truc curieux.
Alors qu'il m'arrive souvent, quand je veux parler d'un livre, d'aller chercher la couverture, sur google image, je vois que ce visuel n'est quasiment pas repris.... Et que j'ai eu du mal à le trouver, pour en faire, une capture d'image, comme j'en ai l'habitude.
Je trouve ça assez interpellant, quand on observe qu'au moment où j'écris ces lignes, l'Europe ayant décidé d'un certain nombre de lois, pour entraver le plus possible, la toxicité d'internet, et donc de google, qui en est l'un des symboles, en position de monopole absolu...
Q'un certain Donald Trump menace l'Europe, pour que cette toxcité perdure...
Et voilà cet ouvrage, alors, plus difficilement trouvable par google image...
Et oui, la trumpisation des esprits, irait elle jusqu'à prendre la défense d'un certain Gérard Miller, accusé de prédation sexuelle ? La question mérite d'être posée.
Il nous faut compenser, alors, par l'augmentation des dons, en plus, de le denoncer, politiquement.
Oui, je sais, c'est pareil, pour tous les secteurs associatifs, sauf qu'en ce qui concerne les associations d'aide contre les violences faites aux femmes, par effet de dominos, c'est le reste de la cellule familiale qui en subit les conséquences, et donc, les enfants.
Dans le cas d'une femme au foyer, par exemple, cas que je connais mieux que quiconque, les associations pour les accueillir, auront plus de difficultés encore à les soutenir,à leur proposer un hébergment, ou à leur proposer de l'aide, sous toute les formes qui existe deja, aide juridique, permammance, etc, etc.