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La leçon de sagesse des vaches folles.
Par
apifnielaubin
Le 24/10/2025
Dans le cade de mon livre à paraitre, "sacré géranium", qui sera disponible aux editions nombre7, je lis cet extrait, qui est disponible, sur internet, en suivant ce lien:
Quand j'avais accompagné Marcelle.....
Par
apifnielaubin
Le 21/10/2025
Commentaire, sur un post, sur FB.
Je cite, le groupe "le monde litteraire".
C'est un groupe sur FB.
http://www.facebook.com/photo?fbid=1339307438129760&set=a.456528989740947
Une femme atteinte du syndrome de Down passe ses après-midis à l’hôpital à bercer des bébés que personne ne vient voir.
Je m’appelle Laura, j’ai trente-deux ans.
Le matin, je travaille dans une librairie.
Mais les après-midis… les après-midis sont à moi.
Enfin, pas vraiment à moi.
Elles sont aux bébés.
Tout a commencé il y a trois ans, quand ma mère a été hospitalisée à l’Hôpital Central.
J’allais la voir chaque jour, et je passais toujours devant le troisième étage, celui de la néonatologie.
Un jour, j’ai vu une pancarte :
> « Recherchons des volontaires pour le programme de contact peau à peau. »
Je suis entrée et j’ai demandé :
— Je peux aider ?
L’infirmière m’a regardée de haut en bas.
Je connais ce regard.
Je le vois depuis que je suis petite.
— Mmm… attendez, je vais appeler la coordinatrice, a-t-elle dit avec un sourire qui ne touchait pas ses yeux.
La coordinatrice s’appelait Marta.
Grande, mince, des lunettes épaisses, une voix douce.
Elle m’a fait asseoir dans son bureau.
— Laura, ce programme demande beaucoup de responsabilité. Il faut se laver les mains correctement, suivre les protocoles, rester immobile longtemps…
— Je peux faire ça, l’ai-je interrompue. Je sais lire. Je sais suivre des instructions. Et j’aime beaucoup les bébés.
Elle est restée silencieuse un instant.
— Pourquoi veux-tu faire ça ?
— Parce que tout le monde a besoin qu’on le prenne dans ses bras, ai-je répondu.
Et s’il y a des bébés qui n’ont personne pour le faire, je peux être cette personne.
Elle m’a acceptée.
Je crois que ma réponse lui a plu.
Depuis, j’y vais tous les jours, de trois à six heures.
Je me lave les mains pendant deux minutes entières, j’enfile ma blouse bleue, et j’entre dans la salle.
Il y a huit couveuses.
Tous les bébés n’ont pas besoin d’être pris dans les bras — certains ont déjà leur maman ou leur papa.
Mais il y en a toujours deux ou trois qui sont seuls.
Des bébés de mamans qui travaillent et ne peuvent venir, ou d’autres issus de situations compliquées, en attente d’une famille d’accueil.
Mon préféré s’appelle Tomás.
Enfin… ils sont tous mes préférés, mais Tomás a quelque chose de spécial.
Il est né à six mois, pesait moins d’un kilo.
Aujourd’hui, il a deux mois et demi, et presque deux kilos.
C’est un petit guerrier.
— Coucou mon amour, je lui murmure en le prenant contre moi,
je suis revenue.
Je le pose contre ma poitrine, peau contre peau, comme Marta me l’a appris.
Sa respiration est d’abord irrégulière, puis, au bout de quelques minutes, elle s’accorde à la mienne.
Je ferme les yeux et je lui chante des chansons.
Des chansons que me chantait ma grand-mère.
Des chansons simples, peut-être pas très justes, mais pleines de cœur.
Les infirmières me connaissent maintenant.
Au début, certaines étaient méfiantes.
Mais elles ont vu que je faisais tout comme il faut : j’arrive à l’heure, je me lave bien les mains, je respecte les règles.
Elles me saluent avec tendresse.
— Laura, tu peux rester une heure de plus aujourd’hui ? m’a demandé Patricia, une des plus anciennes infirmières.
On a un nouveau bébé, il est très agité.
— Bien sûr.
Le nouveau s’appelait Elián.
Il pleurait sans arrêt, d’un pleur faible mais continu.
Je l’ai pris dans mes bras et lui ai parlé doucement :
— C’est fini, petit. Tu n’es pas seul. Je suis là.
Il s’est endormi après une demi-heure.
Mais le jour où tout a changé, c’était un mardi de juillet.
Il faisait froid dehors, et l’hôpital semblait plus silencieux que d’habitude.
J’étais avec Tomás, je fredonnais une chanson, quand j’ai entendu des voix agitées dans le couloir.
— S’il vous plaît, laissez-moi passer ! C’est mon fils !
Marta est sortie voir.
Je suis restée immobile, Tomás contre mon cœur.
Une jeune femme est entrée, pas plus de vingt-cinq ans.
Les cheveux sombres collés au visage, les yeux rouges d’avoir pleuré, les mains tremblantes.
— Où est-il ? Où est mon Felipe ? demanda-t-elle, à bout de souffle.
Marta la conduisit à une couveuse, au fond.
Je n’y voyais pas bien, mais j’écoutais.
— Madame Méndez, Felipe est stable, mais il ne réagit pas bien aux stimulations. Nous avons tout essayé…
— Qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’est-ce qu’il a ?
— Il est comme… plongé dans un sommeil profond. Ses signes vitaux sont bons, mais il n’ouvre pas les yeux, ne réagit pas au toucher. Comme s’il ne voulait pas se réveiller.
La jeune femme porta les mains à sa bouche.
— Je… je n’ai pas pu venir plus tôt. J’ai eu un accident. J’étais dans un autre hôpital. Il est né, et je n’étais pas là.
— Madame, vous avez subi un traumatisme grave. Personne ne vous en veut…
— Mais lui, si ! sanglota-t-elle. Il est né, il m’a cherchée, et je n’étais pas là. Et s’il a renoncé ? Et s’il ne veut plus m’attendre ?
Quelque chose s’est serré en moi.
J’ai reposé Tomás dans sa couveuse et je me suis approchée doucement.
La femme regardait son bébé à travers le plastique.
— Excusez-moi, ai-je dit tout bas, je m’appelle Laura.
Elle s’est tournée vers moi, les yeux pleins de fatigue.
— Vous travaillez ici ?
— Non. Je viens pour prendre les bébés dans mes bras.
Un éclat est passé dans son regard.
— Vous avez pris mon Felipe ?
— Non. Il est arrivé il y a seulement deux jours. Mais… je peux le faire, si vous voulez.
— À quoi bon ? dit-elle d’une voix brisée. Il ne réagit à rien.
— Parce que tout le monde a besoin qu’on le prenne dans ses bras, lui ai-je dit, reprenant mes propres mots d’autrefois. Même quand on ne le montre pas.
Marta s’est approchée.
— Madame Méndez, voulez-vous essayer le contact peau à peau avec Felipe ? Laura a raison. Parfois, les bébés répondent à des choses que les machines ne peuvent mesurer.
Elle a hésité.
— Et si ça ne marche pas ? Et s’il ne me reconnaît pas ?
— Alors au moins, il saura que sa maman est venue. Qu’elle est là.
Marta a tout préparé.
Elle lui a appris les gestes, la désinfection, la position.
On a sorti Felipe de la couveuse, avec les fils et les petits tubes encore attachés.
On l’a posé contre la poitrine de sa mère.
Le bébé ne bougeait pas.
Madame Méndez a commencé à pleurer en silence.
Des larmes tombaient sur la tête de son fils.
— Pardonne-moi, murmurait-elle. Pardonne-moi de ne pas avoir été là. Mais je suis ici maintenant. Ta maman est là.
Je ne savais pas quoi faire.
Mais quelque chose me disait de rester.
— Chante-lui quelque chose, ai-je dit doucement.
— Quoi ?
— Ce que tu veux. Une berceuse, une chanson que tu aimes. Il connaît ta voix. Il l’a entendue dans ton ventre.
— Je ne sais pas chanter.
— Moi non plus. Mais les bébés s’en fichent si tu chantes juste. Ce qu’ils veulent, c’est que ce soit toi.
Elle a fermé les yeux.
Et elle a chanté.
Une chanson douce, tremblante, dans une langue que je ne connaissais pas — du quechua, m’a-t-elle dit plus tard. Une chanson de son grand-mère.
Cinq minutes. Dix.
Et soudain… un tout petit mouvement.
Les doigts de Felipe se sont refermés sur la blouse de sa mère.
— Marta ! ai-je chuchoté fort. Regarde !
Marta s’est approchée avec sa lampe, a vérifié le bébé sans le séparer.
Et puis, il a ouvert les yeux.
Deux grands yeux sombres, qui ont cherché le visage de sa mère.
Elle s’est figée.
— Bonjour… murmura-t-elle. Bonjour, mon amour. C’est moi. C’est ta maman.
Felipe ne la quittait pas des yeux.
Marta regardait les moniteurs.
— Son rythme cardiaque s’est stabilisé. La respiration aussi, dit-elle avec un sourire.
— Qu’est-ce que ça veut dire ?
— Ça veut dire qu’il t’attendait, ai-je soufflé, la voix tremblante. Il t’attendait, toi.
Madame Méndez m’a regardée, les yeux pleins de larmes.
— Merci, a-t-elle dit. Merci de m’avoir dit de chanter.
— Je ne fais qu’un truc : je berce des bébés, ai-je répondu avec un sourire. Toi, tu as fait le plus difficile : tu es venue le chercher.
Avant de partir, je me suis approchée une dernière fois.
— Felipe est un bébé chanceux, lui ai-je dit. Il a une maman qui chante les chansons de son enfance, et qui l’a retrouvé malgré la douleur. C’est ça, l’amour pur.
Elle a hoché la tête, incapable de parler.
Ce soir-là, dans le bus du retour, j’ai regardé le ciel par la fenêtre et j’ai souri.
Les gens pensent toujours que je donne des câlins parce que j’ai beaucoup d’amour à offrir.
C’est vrai.
Mais j’en reçois aussi beaucoup.
Chaque fois qu’un bébé se calme contre ma poitrine,
chaque fois qu’une maman retrouve son enfant,
je guéris un peu plus, moi aussi.
Parce qu’au fond, peu importe comment on est né,
ni ce que les autres disent qu’on peut ou qu’on ne peut pas faire.
Ce qui compte, c’est d’être là quand quelqu’un a besoin de nous.
D’embrasser.
De chanter.
De rester.
Et ça,
je sais très bien le faire.
Le travail de Laetitia Vitaud, sur le monde de l'entreprise.
Par
apifnielaubin
Le 21/10/2025
Je trouve ces réflexions tres pertinantes, le fait à chaque fois curieusement, de "ne pas avoir le bon âge".
Je trouve que l'idée des CV "à l'aveugle", comme ça se pratique désormais, dans certains grands orchestres, est une excellente idée, comme la pratique des CV anonymes, pour lutter contre le racisme non assumé en entreprise.
Cette méthode devrait aussi être appliquée, quand on recherche un logement, soit dit en passant, pour ne pas subir de discrimination, à cause d'un nom à consonnance, "insuffisemment français".
Oui, je sais, il parait, que ça n'existe pas....
Etre proprétaire foncier, que je sache, n'a jamais protégé ni contre la connerie, ni contre le racisme, et si certaines agences immobilières trouvent légitime de s'en rendre complices, ils doivent être poursuivis.
Mais revenons en au monde du travail.
Parce que certains chefs d'entreprises, prétendent qu'ils ne trouvent jamais "le candidats à leurs pied", d'une certaine façon, mais quels sont leurs critères de recrutement, exactement ?
On est en droit de se demander, si tout est vraiment fait, pour trouver la bonne personne, ou si au contraire, ils ne cherchent pas, quelquefois, à faire entrer au chausse pied, le candidat idéal, qui en realité, n'existe pas...
C'est comme l'homme idéal, ou la femme idéale, elle n'existe pas !
Octobre rose, BISOUNOURS ?
Par
apifnielaubin
Le 17/10/2025
Oui, comme tout le monde, j'ai perdu, des femmes, tres proches, d'un cancer du sein, comme tut le monde, j'ai entre 5 et 10 personnes, qui en sont touchées, autour de moi, de façon plus ou moins sévères.
Comme tout le monde, j'y pense, et quand je passe mes mammographies, je me demande, si ce truc, va me tomber, sur le coin de la gueule.
FAITE VOUS DIAGNOSTIQUER, je vous en prie, pour vos proches, FAITE LE.
Si ça n'est ps tres agreable à faire, je le reconnais, ça n'est pas douloureux, et la peur n'évite pas le danger, moins encore, quand elle n'est pas justifiée.
Les années passées, deja, j'avais dénoncé le côté marketting de cette campagne, où tout le monde y va de ses bons sentiments, et se fait de la pub mine de rien, pour redorer son image.
Loin de moi, le fait de dénigrer cette démarche, des lors qu'elle vient du milieu associatif, ou d'entreprises à la rigueur, qui sont éthiques, ou qui n'ont rien à se reprocher, au minimum...
Mais le coup du labo pharmaceutique, qui fabrique le poison, (glyphosate), et qui, fabrique l'antidot par sa filiale pharmaceutique, et qui plus est, LE REVEND A PRIX D'OR, A LA SECU, pour soigner nos cancers, non, merci bien, ces gens là sont des truands, qui arborent le rose en en octobre, aussi sûrement que le feuillage des arbres, lui, se teinte de couleurs mordorées à cette époque....
Cette multinationale de merde, s'appelle Bayer.
Je cite:
6 milliards d’euros versés par l’Assurance maladie
En 2021, près de 6 milliards d’euros ont été versés par l’Assurance maladie aux sociétés privées fabriquant des médicaments contre le cancer — et bien souvent, en parallèle, des pesticides et produits chimiques. C’est le cas de Bayer qui commercialise des substances comme le Larotrectinib — une molécule utilisée dans le traitement contre le cancer de la thyroïde par exemple — et dont la filiale Monsanto produit du Round-up, contenant du glyphosate.
« Ce coût [déboursé par l’Assurance maladie] a doublé en quatre ans et augmente de 20 % chaque année, détaille le tract que Thérèse brandit aux passants. L’épidémie explose et les laboratoires imposent des prix exorbitants pour leurs anticancéreux. »
« Les laboratoires imposent des prix exorbitants pour leurs anticancéreux ».
Moi, qui suis en train de terminer mon livre sur l'agriculture, qui va s'appeler, "sacré géranium", je suis particulierement sensible, à l'histoire de cette fille d'agriculteurs.
Je cite :
« Le cancer ? Oui, je ne le connais que trop bien malheureusement », lui rétorque cette dénommée Brigitte. Fille d’un éleveur de vaches de Bourgogne, elle énumère ses proches emportés par la maladie. Son père et son grand-père ont succombé au cancer de la prostate. Son cousin céréalier, au cancer du rectum. « Je le vois encore survoler ses champs en hélicoptère pour balancer des cochonneries. L’épandage n’avait aucune limite, regrette cette infirmière retraitée. C’était hallucinant. »
Sa sœur et elle ont aussi eu un cancer du sein. « J’avais 35 ans et venais d’accoucher de mon troisième enfant, poursuit Brigitte. J’ai dû arrêter mon travail. » Une fois achevée la mastectomie, elle a dû changer à plusieurs reprises de prothèse. Traité en 1982, son cancer la poursuit encore aujourd’hui".
Concernant le cancer, nous assistons à une véritable épidémie, et il faut que ça se sache.
De plus en plus jeunes, aujourd'hui, les chiffres sont clairs, de plus en plus jeunes, on diagnostique des cancers.
Il est bien précisé que de s'alimenter en BIO, diminue les risques, là aussi, ce sont les chiffres qui le démontrent.
Je reviendrais sur ce point précis, dans un autre contexte.
Christiane K, quintuple infanticide.
Par
apifnielaubin
Le 01/10/2025
Je ne connaissais pas cette histoire, qui est récente.
II me semble que cette affaire, devrait être rejugée, parce que durant son procès, nulle part il n'a été mentionné ce qu'elle a subi, enfant, et ça n'est pas normal.
Pour ceux, qui aujourd'hui, douteraient (parce que ça existe !) de l'impact que le viol, l'inceste ou la pédophilie, peuvent induire dans la psychologie de la victime, cet exemple est particulierement éloquent.
Quand la souffrance est telle, qu'elle peut relever de la psychiatrie, face aux dommages psychologiques.
Par
apifnielaubin
Le 23/09/2025
Le 24 septembre 2025, France Inter consacre une journée entière à la maladie psychiatrique, ou plus précisément, aux solutions qui peuvent être mises sur pied pour les prévenir, ou pour les gérer ou les traiter.
A cette occasion, j'ai décidé de vous faire la lecture d'un des chapitres de mon livre, "peintre du dimanche", où j'explique comment j'ai procédé, par pur instinct, à la gestion de ma souffrance, générée par un acte de pédophilie, dont j'avais été victime, quand je n'avais que neuf ans.
Vous pouvez vous procurer cet ouvrage, en suivant ce lien:
https://librairie.nombre7.fr/essai/8094-peintres-du-dimanche-9791042703585.html
Le BIO, en agriculture.
Par
apifnielaubin
Le 11/09/2025
Mon livre sur l'agriculture, qui va s'appeler, "sacré géranium", édité par nombre7, en est à la relecture. j'aborde le sujet du BIO, bien sûr, dans plusieurs de mes chapitres.
Fouillant sur internet à ce sujet, je viens de découvrir un site tres bien fichu, qui permet de découvrir où en est le BIO, aujourd'hui, dans chaque departement ou chaque region, en ce qui concerne le nombre d'entreprises agricoles déclarées comme telles, ou les surfaces agricoles, qui sont concernées.
https://www.agencebio.org/observatoire-de-la-production-bio-sur-votre-territoire/
Pour ce qui concerne leur viabilité, et leur chiffre d'affaire, par contre, c'est une autre affaire.
C'est sur ce point précis, pourtant, que je cherche l'info ce matin, sachant qu'il faudrait se méfier de toute forme d'intox sur le sujet, sachant que d'autre part, c'est ce qui est observé et vehiculé comme info, qui serait susceptible, d'encourager ou de decourager, untel ou une telle, de s'installer en BIO, aujourd'hui.
Un indice pourtant, devrait permettre d'y voir plus clair, quand on voit l'organisation, "Prince de Bretagne BIO", faire une campagne de pub à la télévision, ce qui ne doit pas être au goût de tout le monde en Bretagne, quand on observe le côté mafieux, d'un certain syndicat agricole. Oui, j'ai bien dit, et je le repète, "le côté mafieux d'un certain syndicat agricole".
Comment avoir de l'eau vraiment filtrée au robinet ?
Par
apifnielaubin
Le 01/09/2025
https://meilleurtest.fr/comparatif-osmoseur/
L'osmoseur, c'est le moyen utilisé dans l'espace, pour que les atronautes, puissent boire de l'eau propre.
Contrairement à une eau imparfaitement filtrée en amont, dans un systeme d'épuation, entre autre, quand votre eau arrive dans votre circuit à votre domicile, où cette eau flitre selon les mêmes critéres cette eau, pour alimenter vos toilettes, l'eau du lave linge, ou du lave vaisselle, le système d'osmose inverse est installé sous votre évier, dans la cuisine avec un robinet à part, de telle sorte que ce dernier et ce système de filtre ne serve, que pour la consommation humaine, c'est donc, le systeme le plus coherent surtout, face à la problématique de l'eau dans notre consommation, en général.
Le petit Emile et son grand père.....
Par
apifnielaubin
Le 24/08/2025
Je reviens sur cette affaire, parce que quelqu'un m'en a reparlé il y a quelques jours, alors, je suis retournée voir la vidéo, que j'avais tournée sur ce sujet.
Je vous recommande, d'autre part, d'aller lire les commentaires, mais aussi, mes réponses à certains d'entre eux, qui en disent long d'une part sur certains catholiques intégristes, mais aussi, sur le châtiment corporel, tel qu'il est perçu par certains, encore aujourd'hui.
https://www.youtube.com/watch?v=aGrYGaUpEJo
Je reprends un commentaire, en particulier.
Je cite : "Ce qui est bizarre, est que les gens du village, d'après un journaliste, ne croient pas que c'est le grand-père, mais ils penchent plutôt pour un accident.
ça ne prouve rien, il est courant d'observer qu'un criminel en puissance jouisse, d'une véritable popularité au sein d'une communauté, le village, souvent, qui le voit comme ors de tout soupçon.
Les criminels sont, tres souvent, des pervers manipulateurs, en puissance, et à ce titre, savent parfaitement cacher leur jeu.
Quand un homme mariè, et pere de famille est accusé, de viol, il se trouve toujours, une âme charitable, pour pretrendre que ça ne peut âs être lui, au seul pretexte que c'est je cite, "un bon père de famille".
Et puis, il est quand même père d'une grande famille.
Ha nous y voilà, et ça prouve quoi ?
Dans 80 % des agressions sexuelles que subissent les enfants, ça se deroule dans la sphère familiale, ou amicale de la famille, et ça n'est pas là une opération du saint Esprit, que je sache.
Bfm poubelle fait passer ce grand-père pour un homme violent, (pour une fois qu'ils font leur job correctement, vous n'allez tout de mê pas les blamer...Il me semble, que ces accusations relevent, de tloignages precis, et non, de propos, calomnieux, non ?
Mais j'ai 72 ans et à l'école on s'est tous pris des torgnoles par les bonnes soeurs et on en est pas morts !
Non, mais visiblement, on ne peut pas dire, qu'il semble, que ça vous ait apporté beaucoup de clairvoyance, sur le phénomène châtiments corporel, si j'en crois vos propos. Bien au contraire, vous confirmez, preciseent, qu'on trouve souvent legitime, de battre un enfant, parce qu'on reproduit, ce shemas toxique.
Pourtant, depuis des decennies, les faits, sont demontrés de façon incontestable, toute forme de châtiment corpoel, est toxique pour un enfant, y compris ensuite, quand il est ado, puis adulte, et si la loi française l'interdit, ça n'est pas pour culpabiliser, ceux qui y croient encore, et qui sombrent dans une forme d'obscuantisme sur le sujet, dont visiblement, vous faites encore partie.
Et quelquefois on le méritait !
Un enfant ne mérite jamais de prendre des claques., JAMAIS, si tel est votre sentiment, c'est que vous n'avez même pas conscience que les régles qu'on vous imposait, ne vous étaient pas expliquées, et qu'il n'existait aucun respect, entre ces religieuses, devant qui vous n'étiez que des "broutilles d'enfants", qu'on trouvait normal de chosifier, comme le font les prédateurs sexuels, devant des enfants, à qui ils font subir des sévices.
Honte à vous, qui cautionnez, par vos propos, de telles, pratiques.
Ce qui me choquait le plus est quand la supérieure m'enfermait dans le cagibi dessous l'escalier dans le noir, car souvent je n'arrivais pas à finir les repas à la cantine. Mais de mon temps, dans les écoles, ils étaient très durs, mais on en pensait rien, c'était partout pareil.
Enfin, un soupçon de lucidité, il etait temps, je commenais à m'impatienter, vous êtes peut être récupérable, tout compte fait ! sans rancune....
Vous ne devez jamais avoir, honte, des sevices, que quiconque, ait pu vous faire, subir, quelque soit le moment de votre vien, où ça vous serait arriver parce que c'est le seul moyen de vous en libérer.
Merci, pour votre témoignage.
Le foie est un général taiseux !
Par
apifnielaubin
Le 21/08/2025
connaissez vous, l'interoception ?
Par
apifnielaubin
Le 11/08/2025
il s'agit d'avoir pleinement consience du fait qu'il existe un lien étroit, entre notre corps et notre cerveau, et donc, notre santé mentale, et donc, notre santé tout court....
On peut lire ce fait aussi, mais on n'en parle nulle part, comme "suivre son instinct".....
Il s'agit de trouver un juste milieu, comme il est expliqué, parce que trop prêter attention aux signaux qu'il nous envoie peut aussi, être néfaste ou toxique, par une surinterprétation qu'on en ferait, et qu'elle peut être tronquée, par notre milieu familial ou culturel, par exemple, ou dans le cas, d'hypocondrie (sentiment, voir certitude, qu'on est atteint, de diverses maladies).
Dans le cas de troubles alimentaires, ce qui peut être apparenté à une addiction quand il s'agit d'exces, il faut s'en méfier, tout comme dans n'importe quel contexte lié à une addiction plus largement, parce que ces "signaux", de bien être, sont alors parfaitement tronqués.
Oui, je sais, c'est pas facile d'y voir clair, mais la satisfaction alimentaire sur le court terme, (en dehors, d'être repu, pour satisfaire, une alimentation normale)uniquement, doit toujours avoir pour conséquence, une relative méfiance.
Je parle du sujet de l'addiction au sucre, dans mon ouvrage "addictions, prendre le mal à la racine", aux éditions nombre 7.
Réservation, sur internet.
Par
apifnielaubin
Le 09/08/2025
Je viens de passer quelques jours de vancances, sur une plage normande, et à ce titre, j'ai reservé sur internet, une location... A mon retour, on me propose de donner mon avis sur la location.
Sur ce poiint, passe encore.
Il y aurait eu des reporches à faire, je ne les aurais pas donnés, pour la simple raison, que ça doit ête à l'organisme, de vérifier la qualité de l'hergement, et pas à nous clients, de faire leur job.
Passons...
Quelle ne fût pas ma surprise, de constater qu'on me propose en plus, de "partager mes photos des vacances"....
Dejé, quand j'avais fait ma réservation, qui s'était bien déroulée, ils m'avaient appelée, pour savoir, si ma reservation s'était bien déroulée, à ce stade, ne vous inquiétez pas, pour hameçonner le client, il y a bien un humain au bout du fil... jusqu'à ce qu'ils me demandent, ce qui pourrait être amélioré.
Je leur ai répondu que ça sera parfait, quand leur entreprise aura son siège social, dans un pays européen qui ne soit pas un paradis fiscal, et qu'ils paieront leurs impôts, en proportion de leur chiffre d'affaire dans chaque pays, (merci, Eva Joly)où ils volent les logements, au résidents permanents, et que là oui, alors, ça sera parfait.
Mon interlocutrice, fût prise d'un fou rire.
Mais revenons en aux photos....
Je les trouve vraiment gonflés, non ? Vous ne trouvez pas ?
Par contre, la moindre des chose, serait de....
Préciser, sur la proposition de partager des photos de vacances, qu'il est recommandé de ne poser aucune photo d'enfants, parce que 60% des photos d'enfants, qui plus est, potentiellement nus, ou en maillots de bains, se retrouvent dans des fichiers pédocriminels.
Mieux encore, (puisque qu'aux yeux des parents visiblement, ça n'a aucun effet dissuasif)qu'une IA, banisse la moindre photo où il y a ait des enfants.
L'assiette française.
Par
apifnielaubin
Le 25/07/2025
La loi Duplomb dans l'aile.
Par
apifnielaubin
Le 19/07/2025
https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014
Cette loi, est une abbération politique.
Par définiton, le politique est sensé légiférer, pour défendre le citoyen, le plus possible, contre toute forme d'agression, quelle que soit sa nature.
Nous, citoyens, comprenons mieux que personne, à quel point il peut être difficile, pour les politiques, de prendre les bonnes décisions.
Mais un point demeure observable de plus en plus, qui révèle que les décisions, anti écologiques, servent toujours, uniquement et strictement le court terme, au détriment du moyen terme et du long terme.
GOUVERNER C'EST PREVOIR.
Cette position est parfaitement irresponsable de la part de politiques, qui d'autre part, subissent des pressions insoupçonnées, de la part des lobbistes, que ce soit sur le territoire français, ou que ce soit à l'echelon européen.
Il ne serait pas superflu d'ailleurs, d'exiger des députés, qu'il déclarent non pas, la preuve de leur travail ou des dossiers sur lesquels ils travaillent, car celà existe deja, sur le site de l'assemblée nationale, mais avec quels responsables, ils ont des demandes de RV, et lesquels de ces RV, ils choississent d'honorer, ou pas.
Avec qui ils mangent, au resto, cadeaux, etc (quand il s'agit de travail, evidemment).
Parce que ce que tout le monde ignore, réside dans le fait que le lobbing qu'ils subissent, (et pas les députés, uniquement), est extrêmement virulent, et objectivement s'apparente infiniment plus, à une forme de harcèlement... Que ce soit, au niveau national, mais aussi, européen...
Et pour ceux qui seraient en doute sur ce sujet, demandez vous donc, pour quelle raison les différents lobbing, ont leurs bureaux carrement, au parlement européen, je ne crois pas que ce soit, pour prendre des cours de macramé ou de peinture, mais bien pour faire pression, sur les décideurs politiques, tous pays confondus, dans le v but, uniquement, de proteger des revenus financiers.
Et quand on nous rétorque que la France, sans cette loi, se trouverait en compétition déloyale, vis à vis d'autres pays européens, pour commencer, qu'ils se demandent, pourquoi des agriculteurs BIO, eux, y parviennent, je ne crois pas qu'ils aient, jusqu'à preuve du contraire, de baguette magique...
Ensuite, il faut faire pression, aupres des autres pays européens, qui eux, doivent tendre vers un alignement, qui se rapproche, de nos normes écologiques, autrement dit, cette loi si elle etait adoptée, ne serait rien de moins, qu'un nivellement vers le bas, alors que c'est aux autres pays, de s'aligner sur nos normes, environnementales.
Quel pays européen, aujourd'hui, se trouve légitime, à encourager, l'angmentation, du nombre de cancers les années, et decénnies à venir , voilà, la vraie question, qu'il faut désormais se poser.
Soutenir cette loi, d'autre part, pourrait parfaitement avoir pour conséquence, des poursuites en justice, (non assistance à personne en danger, et mise en danger de la vie d'autrui), si l'on observe à quel point les chercheurs font consensus, pour avoir dénoncé en amont, les risques sanitaires, qui sont en jeux aujourd'hui.
Salon LITTERROIR, à Broglie (27), compte rendu.
Par
apifnielaubin
Le 02/07/2025
Petite précision, c'est bien parce que ce salon est organisé par mon editeur, nombre7, sinon, je ne ferai pas un compte rendu, à chaque salon.
LITTERROIR, Broglie, compte rendu.
Nous étions une douzaine d’auteurs, chez notre éditeur nombre 7, à avoir répondu présents à ce salon, qui, pour la première fois, se déroulait en Normandie.
https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin
A l’heure, ou la totalité de notre société est numérisée, et où internet, et donc le virtuel qui nous est imposé, induit des distorsions, pour ne pas dire, des conflits dans notre relation aux autres, tout ce qui est artistique, et donc aussi, le secteur du livre n’échappe pas à la règle, sachant que l’acte d’artiste et d’écrivain, est une besogne solitaire, ce qui appuie plus encore sur ce sentiment de solitude…
Certes, on pourrait, me répondre à juste titre, qu’internet n’a pas inventé la fourberie, fût elle de Scapin, ce qui est vrai, mais le constat pourtant est bien là, qu’on voit certains confondre la vie réelle avec la vie virtuelle, et ses inévitables conséquences toxiques, sur la santé mentale.
Ainsi, notre directeur des éditions Nombre7, a fait le déplacement pour nous rencontrer, et ce fait à lui seul, mérite notre plus grande considération…
Quelle maison d’édition, aujourd’hui, envoie son directeur rencontrer ses auteurs, surtout ainsi, dans un salon du livre, et qui plus est, nous prodiguer une petite formation ?
Et en plus, ils nous ont fait bosser !
Présenter, notre dernier bébé, chrono en main….
Moi qui suis une pipelette (pour ceux, qui ne le sauraient pas encore), il a fallu ramasser mon pitch, comme on disait dans les années 80, pour livrer du condensé.
Ensuite, critique du chef et des autres, individuellement, critique constructive et bienveillante, faut il le préciser. Pas mal de rigolade, aussi.
L’occasion nous été donnée ainsi, de faire connaissance avec des auteurs de notre région, chez un même éditeur.
Passer un bon moment, avec des gens, qui ont les mêmes préoccupations, quoi de plus constructif ?
MYM et ONLYFAN, le porno en un clic.
Par
apifnielaubin
Le 27/06/2025
L'ART BRUT.
Par
apifnielaubin
Le 21/06/2025
https://www.centrepompidou.fr/fr/programme/agenda/evenement/1nYdMeg
Dans mon ouvrage "peintre du dimanche" (titre provocateur, je le rappelle), disponible aux edtions nombre7, je consacre un chapitre au rôle de l'Art, dans notre société, ou plus précisément, je pose la question suivante:
"L'Art doit il se contenter d'être beau".
https://librairie.nombre7.fr/essai/8094-peintres-du-dimanche-9791042703585.html
En visitant ce lien, au centre Pompidou, je réalise que le musée de la Fabuloserie, dont je parle dans cet ouvrage, c'est bien d'art brut dont il est question.
J'espère que les horaires d'ouverture vont être supérieures, parce que ça mérite plus que l'ouverture le week-end.
Haro sur EVAR/S. (Éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité).
Par
apifnielaubin
Le 19/06/2025
« Intimité de l’enfant, menacée ».
Je cite :
« Des adultes d’associations externes à l’école ou le personnel d’éducation parlent aux enfants, et les font s’exprimer au sujet des parties de leurs corps, de la grossesse, et de la naissance, de leurs sensations, de leurs plaisir, de leur ressenti, de genre. Et tout cela, en classe, devant les copains, et les copines, L’intime en public, NON ! »
Si les enfants sont invités à s’exprimer, personne ne les y contraint, je ne vois donc pas où est le problème. S’ils désirent rester sur leur réserve, personne n’envisage de forcer la parole des enfants.
Proposer aux enfants de cet age de s’exprimer sur ce sujet, revêt au contraire une grande importance, parce que si quiconque intente à son intimité, alors, ils seront plus à même d’une part, de reconnaître ce qu est autorisé, de ce qui ne l’est pas, mais aussi pourront verbaliser plus facilement pour le raconter à ses parents.
« Hold up, sur l’innocence de l’enfance ».
Je cite :
« L’enfant, n’est pas un adulte en miniature, mais un être en développement, chacun ayant son propre rythme. Lui imposer, dès la maternelle, un langage d’adulte, et le regard d’une personne extérieure à sa famille, au sujet de ses émotions, et de son corps est une effraction, sur son cerveau".
Des lors que le langage d’adulte dont il est question est neutre et non péjoratif, je ne vois pas où se trouve le problème.
Le souci réside dans le fait que de nommer les choses qui visiblement sont tabous dans l’esprit de certains parents, demande du courage, aussi, je n’ai aucun doute sur le fait qu le vocabulaire choisi, l’ait été, avec le plus grand discernement possible.
Il est bien regrettable, de voir condamné un prétendu vocabulaire, alors qu’on aurai aimé avoir quelques exemples concrets, pour pouvoir en juger par nous même.
Respect de l’autorité parentale !
Je cite :
« L’école, pour l’instruction, l’éducation pour les parents".
Si je suis la première à revendiquer le fait que ce soit les premiers éducateurs de leurs enfants, je trouve que c’est simplifier les choses à l’extrême, que de les présenter ainsi. Dans les valeurs que l’on transmet aux enfants, je crois plus à une forme de symbiose au moins tout autant, qu’à la complémentarité.
Est ce le rôle de l’école, d’aborder des question, que l’enfant ne s’est pas encore posé ?
Chaque parent honnête, sait parfaitement,que l’enfant se pose des questions, bien avant, que ne le soupçonne ses parents, tout comme quand il apprend à marcher, on est toujours surpris, d’observer que sur la pointe des pieds, les premières années, tiens, « on aurait pas pensé, qu’il était capable d’atteindre, tel objet, sur telle étagère ».
Quand la sexualité d’office est tabou à la maison, l’enfant au contraire a toutes les chance de ne surtout pas poser la moindre question à ses parents sur ce sujet.
C’est précisément, qu’il est de la plus haute importance, de lui proposer (et non de lui imposer), des mots de vocabulaire, judicieusement choisis, pour l’aider à s’exprimer sur ce sujet, quand il décidera de poser des questions.
Pour se faire, il faut bien que ce vocabulaire lui soit proposé en amont de la verbalisation, et ne pas attendre comme il est dit, qu’il ait envie de poser des questions.
Qui mieux, que les parents, connaît mieux son enfant ?
Les enseignants et les ATSEM connaissent vos enfants, au moins autant que les parents, parce qu’il vivent au quotidien avec eux.
Dès qu’il y a le moindre problème, d’ailleurs, vous êtes bien les premiers à en être informés, puisque vous en êtes les parents, alors vous êtes les premiers à écouter leur paroles, avec la plus grande attention, et c’est bien légitime.
Quel contrôle ont les parents sur la compétence et la formation des animateurs ?
Le tract sur lesquels je travaille m’a été distribué par une femme qui semble être transphobe…
Si des personnes trans viennent intervenir dans les écoles, c’est là parfaitement salutaire.
L’objectif, réside dans le fait que les enfants doivent observer qu’une personne qui a un moment de sa vie prend conscience du fait qu’il doute d’être le genre, qu’on lui a donné à sa naissance, n’est pas celui qu’il ressent, peut se produire, et qu’il faut accepter ce qu’on ressent quelquefois.
Personnellement, j’ai toujours été convaincue que le genre sur le plan du ressenti, était quelquefois beaucoup moins net que ce que la société voudrait nous le laisser croire, et ça n’est pas nouveau, ça a a toujours existé.
Pourquoi, quand au sein d’une famille, une petite fille se prend pour le petit mec de la maison, grimpe aux arbres, refuse de mettre la moindre robe, et bannit d’office tout ce qui est féminin, comme on dit, « ça passe crème », alors, que si un petit garçon au sein d’une famille, montre des signes ostensibles de la moindre féminité, alors là, attention, tout le monde est sur ses gardes, et on va tout de suite l’inscrire dans un sport de combat, pour tenter de développer le moindre embryon de virilité ? Mais surtout, ON S’INQUIÈTE.
Ils sont exclus de ce programme, non consultés et non informés des jours, et contenus des séances.
C’est légitime, certains parents contourneraient l’obstacle, en n’y mettant pas leurs enfants.
Je cite : Les familles ne sont pas un danger.
80 % des agressions sexuelles, ont lieu au sein des familles, ou dans l’entourage proche, qu’est ce que vous dites de ça ? N’en déplaise à certains politiquement, la famille est plus toxique, pour l’enfant, que certains parents ne le soupçonne, et je suis mieux placée que quiconque, justement, pour savoir que pour beaucoup d’entre eux, l’école au contraire est un refuge pour les enfants au point d’éventuellement, redouter les vacances qui arrivent.
Que les adultes qui encadrent les enfants soient formés pour déceler les signes de souffrance ou de détresse chez l’enfant, OUI, mais la famille et l’école sont complémentaires ».
Je pense que c’est déjà le cas, sauf, que quand un enfant souffre, il n’est pas dit que les parents réagissent toujours comme il le faudrait, parce que beaucoup sont dans le déni, ou alors ce sont les structures et l’encadrement médical qu est insuffisant.
L’éducation nationale ne saurait être responsable seule, du manque d’encadrement médical, qui concerne autant la santé publique.
Risques, sur le psychisme, et sur le comportement.
Je cite :
« tous les enfants d’une classe n’ont pas la même maturité, ni la même personnalité. Quid des sensibles, hyper sensibles, timides, introvertis ?
Ces enfants là, AUSSI, ont droit à ces informations.
Pour information, un délinquant sexuel par définition, est un pervers manipulateur, comme tous les violeurs potentiels, y compris plus tard, dans la vie d’adultes, et à ce titre, justement, ces enfants là ont toutes les chances au contraire de devenir des cibles potentielles, avant n’importe quel autre enfant, justement.
La première chose que fait un pédophile, c’est d’observer qui sera la cible la plus facile.…Là, encore, moi, qui suis hyper sensible, je connais mieux que personne, pourquoi, c’est sur moi que c’est tombé, comme on dit.
L’hyper sensibilité n’est pas un handicap, c’est au contraire une chance, et il faut apprendre à l’enfant à la gérer, et ça n’est pas en le protégeant à l’excès, comme une salade sous une cloche au printemps dans un potager, qu’on y arrive.
Au contraire, c’est en le confrontant aux situations, et lui proposant des armes comme le langage, qu’il doit choisir sa propre stratégie, pour se protéger et jouir de la vie.
Non, au formatage des enfants, Oui, à leur spontanéité et à leur personnalité !
Plusieurs dérives, ont eu lieu, suite à des séances, (jusqu’alors, facultatives, dans les établissements scolaires), traumatismes, sidération.
Là, on est purement dans l’interprétation, il me semble….
Pourquoi, utiliser, de façon parfaitement volontaire, justement, un vocabulaire, utilisé, dans le cas de viol ?
"angoisses blocages, dérives d’expérience sexuelles, entre enfants, ou abus, d’enfants plus grands, sur des petits".
Jamais, au grand jamais, ce programme, n’applique quoi que ce soit de cet ordre…"abus d’enfants plus grands, sur des plus jeunes", oui, cela, se produit effectivement, AU SEIN DES FAMILLES, on appelle ça, l’inceste, enfin, une des formes, de l’inceste.
Pour couronner le tout, la personne, qui m’a distribué ce tract, m’a relaté un élève de quatrième, qui a été traumatisé par une vidéo, qui montre un accouchement.
Aujourd’hui, l’influence d’internet et des réseaux sociaux, est à l’origine d’une perception de tout ce qui est sexuel, parfaitement déformée, et plus que méprisante pour la femme.
La vison qu’en ont les élèves, et donc, ensuite, les ados, et dans leur vie future, aura des répercussions sur leur sexualité, d’une grande gravité.
Priver un enfant, de la moindre connaissance, ne serait ce que de la morphologie, du corps humain, au point qu’il ne puisse à cet age, voir la vidéo, d’un accouchement me semble gravissime…
On sait, qu’aujourd’hui, ce sont les chiffres officiels, Selon une étude de l'Ifop, l'âge moyen du premier visionnage d'images pornographiques se situe à 14 ans et 5 mois. Un chiffre à peine plus bas que la dernière étude réalisée il y a cinq ans.
Est ce que ces parents qui s’offusquent, trouvent légitime, qu’un enfant soit moins choqué de découvrir le corps de la femme, via une vidéo porno, qu’il ne le serait par la vue d’un accouchement ? Voilà la question que personnellement, je me pose ?
J’ai discuté avec cette femme, qui m’a donné ce tract….
Ma question : « les parents, qui s’y opposent, qu’est ce qu’ils proposent d’autre, pour contre balancer, l’intoxication, par internet, sur ce sujets ? »
Elle a été incapable de me répondre…
je lui ai fait la réponse, RIEN, ils ne proposent, rien….
On reproche, par ce programme, de s’en prendre à l’innocence des enfants….
Que devient cette innocence, face à un pédocriminel qui, dans la très grande majorité des cas, ne fera jamais la une des journaux pour avoir assassiné ensuite la petite victime, et qui hélas dans le cas d’un inceste, se produit au domicile familial ?
Nous avons pour devoir d’armer nos enfants pour tenter de leur fournir les outils pour qu’ils puissent donner l’alerte, quand un danger survient, et les familles doivent être aux côtés de l’éducation nationale dans cette mission, et pas contre eux, comme on l’observe encore, minoritairement.
Enfin, petit détail, je dirai, « la cerise, sur la pièce montée des grands jours ».
Cette femme m’a expliqué, ensuite, qu’en réalité, il se tissait au sommet de l’état, un grand complot et que madame Macron, serait en réalité un homme….
Je l’ai regardée, « franchement désolée », et lui ai expliqué..
Écoutez, votre tract, je vais le lire, et travailler sérieusement dessus, je vous le promets, mais c’est dommage, du coup, vous décrédibilisez entièrement, la totalité du tract, là, vous comprenez ?
Et oui « quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage ».
Ainsi, ceux qui s’opposent ainsi à ce programme, en réalité, ne sont que la sphère complotiste, anti vax, et surtout transphobe avant tout.
Artistes "artivistes".
Par
apifnielaubin
Le 17/06/2025
Il s'agit d'un tableau, pour lequel j'ai eu un coup de foudre, à l'exposition de saint Riomain de Colbosc, il y a quelques années.
L'auteur s'appelle Ragib Paul.
Pour ce qui le concerne, lui et son oeuvre, vous pouvez suivre ces liens.
https://www.facebook.com/rajib.paul.731
https://www.facebook.com/photo?fbid=10237867254401887&set=a.2171477087836
La lecture plus personnelle que j'en ai faite à l'époque, et encore maintenant, réside dans plusieurs points.
Pour commencer, je suis toujours interpellée par ceux qui parviennent à sublimer, ce qui au premier coupe d'oeil, semble dénué du moindre intérêt.
Dans le cas présent, le fait de sublimer ce qui est laid, plus que par ce qu'il symbolise que ce qu'il est visuellement, c'est parce qu'il nous interpelle, sur le plan écologique, qui nous invite à la réflexion.
Oui, j'ai bien dit : "Le fait de sublimer ce qui est laid, plus que par ce qu'il symbolise que ce qu'il est visuellement".
Parce que peindre des bouquets de roses, je n'ai rien contre, bien au contraire, mais c'est nettement plus consensuel, que de choisir de peindre un sac poubelle plein de détritus, nous sommes bien d'accord...
Quand j'ai découvert ce tableau, j'ai tout de suite pensé au sixième continent, celui du plastique, dont nous avons parlé, il y a quelques jours, à l'occasion de la rencontre, pour sauver nos océans.
Vous pouvez réécouter des emissions, sur le sujet, en suivant ce lien:
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre
Ou celui ci:https://bloomassociation.org/
Ou encore, ici :https://www.france.tv/france-5/sur-le-front/
Voilà, je crois que tout est dit, et C'EST BEAU.....Je developpe largement cette idée d'apres la citation de Pablo Picasso, qui disait, que l'Art n'était pas fait pour décorer les murs, dans mon ouvrage, "peintre du dimanche", disponible aux éditions Nombre7, en suivant ce lien : https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin
Pour ceux qui voudraient l'acquerrir, il est encore disponible, sous forme d'estampes sur commande, je crois, aupres de l'auteur.
Enfance maltraitée, sous toutes ses formes.
Par
apifnielaubin
Le 21/02/2025
Un documentaire, passé hier soir, à envoyé spécial.
https://www.france.tv/france-2/envoye-special/6969949-des-policiers-a-l-ecoute-des-mineurs.html
Il y a plusieurs années, j'avais expliqué, ce qui devait être amélioré, pour recevoir la parole des enfants.
Je trouve cette idée géniale, je parle de cette pièce, agencée et décorée, pour faciliter le bien être des enfants, afin de recevoir leurs paroles.
Une seule petite critique.
La poupée, qui est proposée, pour jouer, devrait avoir une petite culotte, plus réelle, que celle qu'elle porte, enfin, il me semble, ou que les deux formules soient proposées.
Sinon, pour ce qui concerne le cas de Zoé, et de son pédophile...
Le fait est qu'au moment où je redige ces lignes, une affaire d'une grande gravité commence à être jugée, en Bretagne, il s'agit de Affaire Le Scouarnec.
Quelle relation, entre l'un et l'autre ?
Dan les deux cas, il s'agit d'abus sexuels sur mineurs.
Dans les deux, cas, les procédures prévues, offrent l'opportunité aux potentiels accusés de "nettoyer" leurs appareils informatiques, téléphones, tablettes et ordinateurs, de la moindre suspission d'images pédopornographiques.
Dès l'instant qu'un individu est suspecté, d'avoir commis quoi que ce soit de répréhensible, la première chose qu'ils font, c'est d'une part, de "nettoyer leurs appareils, " d'une part, et ensuite de déguiser leur domicile, en "appartement témoin", afin que le domicile, ne puisse en aucune façon être perçu, comme pouvant laisser transparaitre, certains signes.
Hier soir, par exemple, la perquisition chez cet homme, compagnon de la mère de Zoé, à qui la garde de l'enfant a été retirée, on apprend que le domicile à été transformé, pour ne rien divulguer, en aucune manière...
Dès qu'une main courante ou un dépot de plainte a été fait, la première chose à faire, c'est d'aller saisir le matériel informatique, pour empêcher le suspect de pouvoir pratiquer ce nettoyage, ( je vous rappelle, que tous les pervers sexuels, sont avant tout des pervers manipulateurs, parfaitement rodés, quand à leurs méthodologie), ou alors, il faut mettre sur pied un système juridique, qui autorise la justice à aller récupérer, tout ce qui a été supprimé, entre le dépot de plainte ou la main courante et la saisie des appareils.
Parce que saisir les appareils, plusieurs semaines, ou mois, apres le dépot de plainte, c'est juste comme pisser dans un violon.
Pour ce qui concerne cet homme, un élément en dit long sur sa culpabilité, qui reside dans le fait qu'il ne soit en aucune façon, ni en colère et moins encore révolté... Ce fait, à lui seul l'accuse.
Certains vont trouver, je suppose, qu'il est bien dommage que cette affaire soit classée sans suite, et je suis mieux placée que quiconque pour en juger...
C'est sans compter sur le fait que ça ne soit pas necessairement le verdict d'un jugement, qui représente le plus thérapeutique, pour la victime.
Zoé a parlé, elle a dénoncé son agresseur, elle a fait preuve d'un courage inoui, là, où elle aurait pu craindre, qu'en parlant, ça puisse nuire à sa maman, par exemple.
Félicitations, pour la maman d'accueil, auprès de qui cette petite fille, se sent tellement à l'aise, qu'elle ait trouvé le courage de s'en ouvrir à elle...
A un moment où justement, le problème de l'enfance maltraitée, réside justement dans la pénurie de familles d'accueil, il me semble salutaire d'observer quand ça se passe bien, et bien dans une telle proportion.
Ce qui est destructeur, pour un enfant qui est victime d'un pédophile, entre autre, c'est le sentiment d'isolement, on a le sentiment d'être une sorte de monstre, un truc qui n'est même plus vivant, (d'où le sentiment, de chosification), et qu'on est le seul ou la seule à qui se soit arrivé, bien que ce doit être moins vrai aujourd'hui, que ça ne l'était dans les années 70.
Ors, là, ce qui est incroyable, c'est qu'elle ait parlé.
Pour tout dire, je suis en train de me poser une question, relativement à l'inceste.
Je suis en train de me demander si éventuellement, quand il y a suspission d'inceste au sein d'une famille, le simple fait de soustraire l'enfant à sa famille, pour une durée déterminée, n'aurait pas pour conséquence justement, de faciliter la confidence de l'enfant, parce qu'il ne craindrait plus de se voir confronté(e), à des reproches ou de ne pas être cru(e), par exemple.
C'est à dire, l'enfant sorti de son contexte familial, avec le consentement de la mère, une famille d'accueil, où la confiance s'etablit, et l'enfant qui ose enfin se confier, "alors qu'à la maison, ça n'est pas possible".
Enfin, je pense tout particulierement aux familles qui se sont arqueboutées contre l'éducation à la sensualité, qui est prévue, qui a été adoptée, qui sera appliquée, parce qu'on voit parfaitement là, dans ce reportage, à quel point un enfant se doit d'être enseigné, sur ce qu'est l'intimité, par exemple, et qu'il puisse de lui même, noter ce qu'on le droit de lui faire, ou de ne pas lui faire.
22 février 2025.
UN GROS OUBLI, comme quoi, les insomies, quelquefois, portent conseil.
En ce qui concene l'affaire Zoé.
Il faut qu'une association, fasse appel de la décision du juge, c'est de la plus haute importance.
"Traumatisée de la bouche", je connais parfaitement, parce que c'est mon cas (il ne s'agissait pas d'une fellation).
L'affaire a été classée sans suite, au pretexte, je cite, que "éléments à charge insuffisants"... Ce que je trouve vraiment hallicinant.
Zoé a pleuré, pendant son récit, ce qui demontre le traumatisme, elle a verbalisé qu'il a mis son sexe, dans sa bouche, et qu'elle a failli s'etouffer. Et la juge ose affirmer, que les preuves sont insffisantes, et je trouve ça vraiment hallicinant.
Lui, affirme sans complexe, qu'il ne comprend pas, qu'il n'aime que les femmes. Le viol pourtant, est avéré, et parfaitement admis, selon la loi, puisque la définition du viol, correspond au fait de faire entrer quelque chose, ou une partie humaine, "dans le corps de la victime", sans son consentement, etc, etc....
Et la juge, ose affirmer que les éléments à charge sont insiffisants....
Sans vouloir être méchante, "qu'est ce qui m'a foutu, une tocarde pareille"...Le fait que l'accusé, ne soit même pas révolté, et très en colère, qu'on l'accuse d'une telle chose, pourtant, en dit fort long sur le bonhomme.
Je rappelle qu'un potentiel, beau père est sensé en principe, faire preuve de bienveillance, au minimum, vis à vis des enfants, de la femme avec qui il est en couple, et dans cette hypothèse, justement, il aurait dû litteralement, sauter au plafond, et ruer dans les brancards.
Là, non, le mec, hyper zen, trop sûr de son coup, je suppose, qu'ils soit ainsi, "intouchable".
Parce que là, dans le clan des pédophiles et père incestueux, franchement, ses potes ont dû sabler le champagne, non ?
Je pense qu'il faut faire évoluer la loi, pour carrément mettre sur pied, une grille de lecture du témoignage de l'enfant.
Faire un grand tableau, avec tous les mots, qui sont utilisés, pour nommer les parties du corps incriminées, faire pareil, avec les émotions, montrées, par l'enfant (indifférence, fuite, se cacher, se taire, rire, pleurer, être surpris, etc, de telle sorte, que la lecture du témoignage soit la plus objective possible, (mon objectif ne tend pas, à remettre en cause, les policiers, qui font un super travail), mais qui, part telles cases biffées ou non, puissent servir plus efficacement, le travail de la juge, ou du juge.
Parce que là, claiement, le pédophile, parce que c'en est un, il rigole.
Il faut aussi revenir sur la mère...
Elle était dans la chambre, et n'a rien entendu.
Est ce que cette mère, potentiellement, n'aurait pas été sous somifères , ou autres produits ?
oui, ça ne vous rappelle rien ?
Suite à l'affair Pélicot, beaucoup de femmes ont pris la décision d'aller porter plainte, contre leur compagnon ou mari, parce qu'elle ont la suspission d'être victimes, elles aussi, de viols, sous soumission chimique.
Il faut inclure désormais ce risque aussi, dans les affaires de pédophilie, parce que oui, il est tout à fait probable que certains pères ou beaux pères, se rendent coupables d'une soumission chimique, non pas pour violer leur compagne, ou leur épouse, mais pour violer un enfant, dans la maison, et s'assurer que la mère dormira profondément, et donc, ne pourra pas être en mesure d'être alertée, par quoi que ce soit de suspect, un bruit, ou je ne sais quoi.
Dans cette hypothèse, il y a fort à parier d'ailleurs, que c'est la totalité de la famille qui est droguée, et pas uniquement la mère.
Revenons en à Zoé.
Entre un enfant qui s'installe à la table, qui a l'air parfaitement serein, qui dessine une maison, avec un arbre et puis des fleurs, et qui dit avec un grans sourire, "oui, il m'a fait faire une fellation", et qui retourne à ses crayons, comme si de rien n'etait, et une petite fille, qui dessine le canapé, où ça s'est produit, qui pleure en disant ces mots "il a mis son zizi dans ma bouche, j'ai failli m'ettouffer"...
Il n'y pas besoin, d'avoir fait psycho, pour y voir plus clair...(ce qui ne signifie pas que je suis sure de mon coup, sur la première hypothèse).
En réalité, le peu de doute, et donc du bénéfice qui en résulte (alors, qu'il n'y a présentement, AUCUN DOUTE, profite, une fois de plus à l'accusé, face à cette petite fille.
Pourquoi, plus largement, le bénéfice du doute, ne profiterait il pas à la victime au moins, autant qu'à l'accusé, qui, je le rappelle, doit bien avoir une raison de porter plainte, non ?
C'est à dire, que le "il est dans nos fichiers", prononcé par les policiers, là, ça signifie quoi, au juste , on ne sait pas...
Demain, il va peut être se mettre en couple, avec une autre femme, qui aura des enfants à domicile, et qui seront peut être, autant de sex toys charnel, que la justice française lui aura servi ainsi, sur un plateau, et ça me révolte.
Non jugé, et non condamné pour CE VIOL, qu'est ce qui l'empêche, demain, de postuler pour devenir atsem, ou n'importe quel autre poste, en contact avec des enfants ? RIEN, parce que je ne comprends pas, c'est comment, ce "il est dans nos dossiers", peut être réel juridiquement, si la culpabilité par un jugement, n'est pas reconnue...quelle est la nuance, entre "il est dans nos dossiers", et "il est entré dans le dossier des pédocriminels" ?
En d'autres termes, est ce que quelqu'un, qui se trouve blanchi, d'une accusation de crime sexuel, qu'il s'agisse d'enfants, ou qu'il s'agisse d'adultes, peut se retrouver, ou pas, dans le fichier des criminels sexuels, s'il n'y a pas de condamnation véritable ?
Parce que là, le classement sans suite, clairement, dans l'esprit du coupable, l'autorise à recommencer, et il sait à présent, pour l'avoir expérimenté, parfaitement comment procéder, et comment passer au travers des mailles du filet, que cette juge prend soin d'agrandir un peu plus.