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Quel poissons acheter pour ne pas vider les océans ?
Par
apifnielaubin
Le 10/12/2025
Françoise Niel Aubin, artiviste.
Par
apifnielaubin
Le 29/11/2025
(début novembre ?)Paru dans le Reveil de l'Eure, par Marine SORIEUL.
https://actu.fr/auteur/marine-sorieul-actu-fr
Journaliste.
installée à Bois-Normand-près-Lyre (Eure), Françoise Niel Aubin a trouvé dans ce havre de verdure le cadre idéal pour laisser s’épanouir sa créativité. Originaire de la région de Rouen, l’artiste peintre, auteure et chroniqueuse revendique haut et fort son statut « d’artiviste ».
« Je fais feu de tout bois »
À travers ses peintures, ses livres et ses vidéos, elle observe, questionne et interpelle le monde qui l’entoure. Elle y exprime ses émotions et ses révoltes. « Je fais feu de tout bois », sourit-elle. Une phrase entendue à la radio, une conversation dans la rue, une émotion… tout peut devenir matière à création.
Ses trois activités – écriture, peinture et chronique – se nourrissent mutuellement. L’écriture alimente ses réflexions, tandis que ses tableaux, mêlant calligraphie et dessin, prolongent souvent ses mots. Pour Françoise, créer n’est jamais un geste anodin, c’est une manière de dire ce qu’elle ne saurait taire.
L’art, une espace de liberté.
Toujours en quête d’expérimentations, elle explore des techniques et des gestes nouveaux.
Quand je peins, il me faut l’impression de faire quelque chose de différent, que je n’ai jamais fait.
L’art, pour elle, est un espace de liberté totale, un lieu où tout peut se transformer.
Ses œuvres portent un regard lucide, parfois provocateur, sur notre époque. Elle n’a pas peur d’aborder les sujets sensibles. « Toxicité des livres sacrés » ou « Addictions, prendre le mal à la racine » en sont des exemples marquants.
« Je m’en suis sortie au travers du dessin »
Mais derrière cet engagement se cache aussi un besoin plus intime.
Celui de s’échapper, de se libérer, de se reconstruire. « Je revendique très clairement mon statut d’artiviste », affirme-t-elle, mais avant tout « l’art m’a sauvée ».
Depuis l’adolescence, en effet, l’art est pour elle une bouée, un refuge. « Plus jeune, j’ai porté seule des traumatismes. Je m’en suis sortie au travers du dessin », confie-t-elle. « Et en écrivant beaucoup à Thomas Fersen », plaisante-t-elle. Créer, pour Françoise, n’est pas seulement une démarche artistique mais aussi une bouffée d’oxygène.
La nature, sa muse
Aujourd’hui, dans ce nouveau décor de verdure, elle cultive aussi une autre passion, le jardinage, qu’elle considère comme une forme d’art à part entière. La nature, apaisante et vivante, nourrit son inspiration.
Cette sensibilité se retrouve jusque dans son prochain livre, actuellement en phase finale de relecture, intitulé « Sacrée Géranium ». Un ouvrage consacré à l’agriculture, mais aussi un hommage tendre à son grand-père, passionné de bouturage.
Il aimait bouturer les géraniums. L’odeur qu’ils dégageaient, c’est ma madeleine de Proust
Curieuse, créative et audacieuse, Françoise Niel Aubin avance, guidée par ce besoin vital de créer. Entre les mots, les pigments et la terre, elle cherche avant tout à réparer le monde, et à se réparer un peu elle aussi.
"« L’écriture, la création, je ne me perds jamais grâce à ça… »
Par
apifnielaubin
Le 24/11/2025
Bon, un artiste, qui fait une déclaration à la création, ne serait-ce pas là ce qu'on pourrait voir comme un pléonasme ?
Ce qui je prétends là est une opinion d'artiste.
Peut être que pour ceux qui ne le sont pas, ou qui ne le sont pas encore, ceci ne sonne pas comme une évidence, sait on jamais ?
La réponse se trouverait bien ici: https://librairie.nombre7.fr/essai/8094-peintres-du-dimanche-9791042703585.html
Au fait, pendant que j'y pense, pour ceux qui aime cet artiste, et qui veulent en savoir daventage sur le pourquoi et le comment de notre relation, tout est expliqué dans cet ouvrage, PEINTRE DU DIMANCHE, ou si vous préférez, le comment du pouvoir thérapeutique de ce qui est artistique(dont la chanson fait partie intégrante), et comment ça fonctionne, dans la psychologie de l'être humain, quelque soit son âge.
La leçon de sagesse des vaches folles.
Par
apifnielaubin
Le 24/10/2025
Dans le cade de mon livre à paraitre, "sacré géranium", qui sera disponible aux editions nombre7, je lis cet extrait, qui est disponible, sur internet, en suivant ce lien:
Quand j'avais accompagné Marcelle.....
Par
apifnielaubin
Le 21/10/2025
Commentaire, sur un post, sur FB.
Je cite, le groupe "le monde litteraire".
C'est un groupe sur FB.
http://www.facebook.com/photo?fbid=1339307438129760&set=a.456528989740947
Une femme atteinte du syndrome de Down passe ses après-midis à l’hôpital à bercer des bébés que personne ne vient voir.
Je m’appelle Laura, j’ai trente-deux ans.
Le matin, je travaille dans une librairie.
Mais les après-midis… les après-midis sont à moi.
Enfin, pas vraiment à moi.
Elles sont aux bébés.
Tout a commencé il y a trois ans, quand ma mère a été hospitalisée à l’Hôpital Central.
J’allais la voir chaque jour, et je passais toujours devant le troisième étage, celui de la néonatologie.
Un jour, j’ai vu une pancarte :
> « Recherchons des volontaires pour le programme de contact peau à peau. »
Je suis entrée et j’ai demandé :
— Je peux aider ?
L’infirmière m’a regardée de haut en bas.
Je connais ce regard.
Je le vois depuis que je suis petite.
— Mmm… attendez, je vais appeler la coordinatrice, a-t-elle dit avec un sourire qui ne touchait pas ses yeux.
La coordinatrice s’appelait Marta.
Grande, mince, des lunettes épaisses, une voix douce.
Elle m’a fait asseoir dans son bureau.
— Laura, ce programme demande beaucoup de responsabilité. Il faut se laver les mains correctement, suivre les protocoles, rester immobile longtemps…
— Je peux faire ça, l’ai-je interrompue. Je sais lire. Je sais suivre des instructions. Et j’aime beaucoup les bébés.
Elle est restée silencieuse un instant.
— Pourquoi veux-tu faire ça ?
— Parce que tout le monde a besoin qu’on le prenne dans ses bras, ai-je répondu.
Et s’il y a des bébés qui n’ont personne pour le faire, je peux être cette personne.
Elle m’a acceptée.
Je crois que ma réponse lui a plu.
Depuis, j’y vais tous les jours, de trois à six heures.
Je me lave les mains pendant deux minutes entières, j’enfile ma blouse bleue, et j’entre dans la salle.
Il y a huit couveuses.
Tous les bébés n’ont pas besoin d’être pris dans les bras — certains ont déjà leur maman ou leur papa.
Mais il y en a toujours deux ou trois qui sont seuls.
Des bébés de mamans qui travaillent et ne peuvent venir, ou d’autres issus de situations compliquées, en attente d’une famille d’accueil.
Mon préféré s’appelle Tomás.
Enfin… ils sont tous mes préférés, mais Tomás a quelque chose de spécial.
Il est né à six mois, pesait moins d’un kilo.
Aujourd’hui, il a deux mois et demi, et presque deux kilos.
C’est un petit guerrier.
— Coucou mon amour, je lui murmure en le prenant contre moi,
je suis revenue.
Je le pose contre ma poitrine, peau contre peau, comme Marta me l’a appris.
Sa respiration est d’abord irrégulière, puis, au bout de quelques minutes, elle s’accorde à la mienne.
Je ferme les yeux et je lui chante des chansons.
Des chansons que me chantait ma grand-mère.
Des chansons simples, peut-être pas très justes, mais pleines de cœur.
Les infirmières me connaissent maintenant.
Au début, certaines étaient méfiantes.
Mais elles ont vu que je faisais tout comme il faut : j’arrive à l’heure, je me lave bien les mains, je respecte les règles.
Elles me saluent avec tendresse.
— Laura, tu peux rester une heure de plus aujourd’hui ? m’a demandé Patricia, une des plus anciennes infirmières.
On a un nouveau bébé, il est très agité.
— Bien sûr.
Le nouveau s’appelait Elián.
Il pleurait sans arrêt, d’un pleur faible mais continu.
Je l’ai pris dans mes bras et lui ai parlé doucement :
— C’est fini, petit. Tu n’es pas seul. Je suis là.
Il s’est endormi après une demi-heure.
Mais le jour où tout a changé, c’était un mardi de juillet.
Il faisait froid dehors, et l’hôpital semblait plus silencieux que d’habitude.
J’étais avec Tomás, je fredonnais une chanson, quand j’ai entendu des voix agitées dans le couloir.
— S’il vous plaît, laissez-moi passer ! C’est mon fils !
Marta est sortie voir.
Je suis restée immobile, Tomás contre mon cœur.
Une jeune femme est entrée, pas plus de vingt-cinq ans.
Les cheveux sombres collés au visage, les yeux rouges d’avoir pleuré, les mains tremblantes.
— Où est-il ? Où est mon Felipe ? demanda-t-elle, à bout de souffle.
Marta la conduisit à une couveuse, au fond.
Je n’y voyais pas bien, mais j’écoutais.
— Madame Méndez, Felipe est stable, mais il ne réagit pas bien aux stimulations. Nous avons tout essayé…
— Qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’est-ce qu’il a ?
— Il est comme… plongé dans un sommeil profond. Ses signes vitaux sont bons, mais il n’ouvre pas les yeux, ne réagit pas au toucher. Comme s’il ne voulait pas se réveiller.
La jeune femme porta les mains à sa bouche.
— Je… je n’ai pas pu venir plus tôt. J’ai eu un accident. J’étais dans un autre hôpital. Il est né, et je n’étais pas là.
— Madame, vous avez subi un traumatisme grave. Personne ne vous en veut…
— Mais lui, si ! sanglota-t-elle. Il est né, il m’a cherchée, et je n’étais pas là. Et s’il a renoncé ? Et s’il ne veut plus m’attendre ?
Quelque chose s’est serré en moi.
J’ai reposé Tomás dans sa couveuse et je me suis approchée doucement.
La femme regardait son bébé à travers le plastique.
— Excusez-moi, ai-je dit tout bas, je m’appelle Laura.
Elle s’est tournée vers moi, les yeux pleins de fatigue.
— Vous travaillez ici ?
— Non. Je viens pour prendre les bébés dans mes bras.
Un éclat est passé dans son regard.
— Vous avez pris mon Felipe ?
— Non. Il est arrivé il y a seulement deux jours. Mais… je peux le faire, si vous voulez.
— À quoi bon ? dit-elle d’une voix brisée. Il ne réagit à rien.
— Parce que tout le monde a besoin qu’on le prenne dans ses bras, lui ai-je dit, reprenant mes propres mots d’autrefois. Même quand on ne le montre pas.
Marta s’est approchée.
— Madame Méndez, voulez-vous essayer le contact peau à peau avec Felipe ? Laura a raison. Parfois, les bébés répondent à des choses que les machines ne peuvent mesurer.
Elle a hésité.
— Et si ça ne marche pas ? Et s’il ne me reconnaît pas ?
— Alors au moins, il saura que sa maman est venue. Qu’elle est là.
Marta a tout préparé.
Elle lui a appris les gestes, la désinfection, la position.
On a sorti Felipe de la couveuse, avec les fils et les petits tubes encore attachés.
On l’a posé contre la poitrine de sa mère.
Le bébé ne bougeait pas.
Madame Méndez a commencé à pleurer en silence.
Des larmes tombaient sur la tête de son fils.
— Pardonne-moi, murmurait-elle. Pardonne-moi de ne pas avoir été là. Mais je suis ici maintenant. Ta maman est là.
Je ne savais pas quoi faire.
Mais quelque chose me disait de rester.
— Chante-lui quelque chose, ai-je dit doucement.
— Quoi ?
— Ce que tu veux. Une berceuse, une chanson que tu aimes. Il connaît ta voix. Il l’a entendue dans ton ventre.
— Je ne sais pas chanter.
— Moi non plus. Mais les bébés s’en fichent si tu chantes juste. Ce qu’ils veulent, c’est que ce soit toi.
Elle a fermé les yeux.
Et elle a chanté.
Une chanson douce, tremblante, dans une langue que je ne connaissais pas — du quechua, m’a-t-elle dit plus tard. Une chanson de son grand-mère.
Cinq minutes. Dix.
Et soudain… un tout petit mouvement.
Les doigts de Felipe se sont refermés sur la blouse de sa mère.
— Marta ! ai-je chuchoté fort. Regarde !
Marta s’est approchée avec sa lampe, a vérifié le bébé sans le séparer.
Et puis, il a ouvert les yeux.
Deux grands yeux sombres, qui ont cherché le visage de sa mère.
Elle s’est figée.
— Bonjour… murmura-t-elle. Bonjour, mon amour. C’est moi. C’est ta maman.
Felipe ne la quittait pas des yeux.
Marta regardait les moniteurs.
— Son rythme cardiaque s’est stabilisé. La respiration aussi, dit-elle avec un sourire.
— Qu’est-ce que ça veut dire ?
— Ça veut dire qu’il t’attendait, ai-je soufflé, la voix tremblante. Il t’attendait, toi.
Madame Méndez m’a regardée, les yeux pleins de larmes.
— Merci, a-t-elle dit. Merci de m’avoir dit de chanter.
— Je ne fais qu’un truc : je berce des bébés, ai-je répondu avec un sourire. Toi, tu as fait le plus difficile : tu es venue le chercher.
Avant de partir, je me suis approchée une dernière fois.
— Felipe est un bébé chanceux, lui ai-je dit. Il a une maman qui chante les chansons de son enfance, et qui l’a retrouvé malgré la douleur. C’est ça, l’amour pur.
Elle a hoché la tête, incapable de parler.
Ce soir-là, dans le bus du retour, j’ai regardé le ciel par la fenêtre et j’ai souri.
Les gens pensent toujours que je donne des câlins parce que j’ai beaucoup d’amour à offrir.
C’est vrai.
Mais j’en reçois aussi beaucoup.
Chaque fois qu’un bébé se calme contre ma poitrine,
chaque fois qu’une maman retrouve son enfant,
je guéris un peu plus, moi aussi.
Parce qu’au fond, peu importe comment on est né,
ni ce que les autres disent qu’on peut ou qu’on ne peut pas faire.
Ce qui compte, c’est d’être là quand quelqu’un a besoin de nous.
D’embrasser.
De chanter.
De rester.
Et ça,
je sais très bien le faire.
Le travail de Laetitia Vitaud, sur le monde de l'entreprise.
Par
apifnielaubin
Le 21/10/2025
Je trouve ces réflexions tres pertinantes, le fait à chaque fois curieusement, de "ne pas avoir le bon âge".
Je trouve que l'idée des CV "à l'aveugle", comme ça se pratique désormais, dans certains grands orchestres, est une excellente idée, comme la pratique des CV anonymes, pour lutter contre le racisme non assumé en entreprise.
Cette méthode devrait aussi être appliquée, quand on recherche un logement, soit dit en passant, pour ne pas subir de discrimination, à cause d'un nom à consonnance, "insuffisemment français".
Oui, je sais, il parait, que ça n'existe pas....
Etre proprétaire foncier, que je sache, n'a jamais protégé ni contre la connerie, ni contre le racisme, et si certaines agences immobilières trouvent légitime de s'en rendre complices, ils doivent être poursuivis.
Mais revenons en au monde du travail.
Parce que certains chefs d'entreprises, prétendent qu'ils ne trouvent jamais "le candidats à leurs pied", d'une certaine façon, mais quels sont leurs critères de recrutement, exactement ?
On est en droit de se demander, si tout est vraiment fait, pour trouver la bonne personne, ou si au contraire, ils ne cherchent pas, quelquefois, à faire entrer au chausse pied, le candidat idéal, qui en realité, n'existe pas...
C'est comme l'homme idéal, ou la femme idéale, elle n'existe pas !
Octobre rose, BISOUNOURS ?
Par
apifnielaubin
Le 17/10/2025
Oui, comme tout le monde, j'ai perdu, des femmes, tres proches, d'un cancer du sein, comme tut le monde, j'ai entre 5 et 10 personnes, qui en sont touchées, autour de moi, de façon plus ou moins sévères.
Comme tout le monde, j'y pense, et quand je passe mes mammographies, je me demande, si ce truc, va me tomber, sur le coin de la gueule.
FAITE VOUS DIAGNOSTIQUER, je vous en prie, pour vos proches, FAITE LE.
Si ça n'est ps tres agreable à faire, je le reconnais, ça n'est pas douloureux, et la peur n'évite pas le danger, moins encore, quand elle n'est pas justifiée.
Les années passées, deja, j'avais dénoncé le côté marketting de cette campagne, où tout le monde y va de ses bons sentiments, et se fait de la pub mine de rien, pour redorer son image.
Loin de moi, le fait de dénigrer cette démarche, des lors qu'elle vient du milieu associatif, ou d'entreprises à la rigueur, qui sont éthiques, ou qui n'ont rien à se reprocher, au minimum...
Mais le coup du labo pharmaceutique, qui fabrique le poison, (glyphosate), et qui, fabrique l'antidot par sa filiale pharmaceutique, et qui plus est, LE REVEND A PRIX D'OR, A LA SECU, pour soigner nos cancers, non, merci bien, ces gens là sont des truands, qui arborent le rose en en octobre, aussi sûrement que le feuillage des arbres, lui, se teinte de couleurs mordorées à cette époque....
Cette multinationale de merde, s'appelle Bayer.
Je cite:
6 milliards d’euros versés par l’Assurance maladie
En 2021, près de 6 milliards d’euros ont été versés par l’Assurance maladie aux sociétés privées fabriquant des médicaments contre le cancer — et bien souvent, en parallèle, des pesticides et produits chimiques. C’est le cas de Bayer qui commercialise des substances comme le Larotrectinib — une molécule utilisée dans le traitement contre le cancer de la thyroïde par exemple — et dont la filiale Monsanto produit du Round-up, contenant du glyphosate.
« Ce coût [déboursé par l’Assurance maladie] a doublé en quatre ans et augmente de 20 % chaque année, détaille le tract que Thérèse brandit aux passants. L’épidémie explose et les laboratoires imposent des prix exorbitants pour leurs anticancéreux. »
« Les laboratoires imposent des prix exorbitants pour leurs anticancéreux ».
Moi, qui suis en train de terminer mon livre sur l'agriculture, qui va s'appeler, "sacré géranium", je suis particulierement sensible, à l'histoire de cette fille d'agriculteurs.
Je cite :
« Le cancer ? Oui, je ne le connais que trop bien malheureusement », lui rétorque cette dénommée Brigitte. Fille d’un éleveur de vaches de Bourgogne, elle énumère ses proches emportés par la maladie. Son père et son grand-père ont succombé au cancer de la prostate. Son cousin céréalier, au cancer du rectum. « Je le vois encore survoler ses champs en hélicoptère pour balancer des cochonneries. L’épandage n’avait aucune limite, regrette cette infirmière retraitée. C’était hallucinant. »
Sa sœur et elle ont aussi eu un cancer du sein. « J’avais 35 ans et venais d’accoucher de mon troisième enfant, poursuit Brigitte. J’ai dû arrêter mon travail. » Une fois achevée la mastectomie, elle a dû changer à plusieurs reprises de prothèse. Traité en 1982, son cancer la poursuit encore aujourd’hui".
Concernant le cancer, nous assistons à une véritable épidémie, et il faut que ça se sache.
De plus en plus jeunes, aujourd'hui, les chiffres sont clairs, de plus en plus jeunes, on diagnostique des cancers.
Il est bien précisé que de s'alimenter en BIO, diminue les risques, là aussi, ce sont les chiffres qui le démontrent.
Je reviendrais sur ce point précis, dans un autre contexte.
Christiane K, quintuple infanticide.
Par
apifnielaubin
Le 01/10/2025
Je ne connaissais pas cette histoire, qui est récente.
II me semble que cette affaire, devrait être rejugée, parce que durant son procès, nulle part il n'a été mentionné ce qu'elle a subi, enfant, et ça n'est pas normal.
Pour ceux, qui aujourd'hui, douteraient (parce que ça existe !) de l'impact que le viol, l'inceste ou la pédophilie, peuvent induire dans la psychologie de la victime, cet exemple est particulierement éloquent.
Quand la souffrance est telle, qu'elle peut relever de la psychiatrie, face aux dommages psychologiques.
Par
apifnielaubin
Le 23/09/2025
Le 24 septembre 2025, France Inter consacre une journée entière à la maladie psychiatrique, ou plus précisément, aux solutions qui peuvent être mises sur pied pour les prévenir, ou pour les gérer ou les traiter.
A cette occasion, j'ai décidé de vous faire la lecture d'un des chapitres de mon livre, "peintre du dimanche", où j'explique comment j'ai procédé, par pur instinct, à la gestion de ma souffrance, générée par un acte de pédophilie, dont j'avais été victime, quand je n'avais que neuf ans.
Vous pouvez vous procurer cet ouvrage, en suivant ce lien:
https://librairie.nombre7.fr/essai/8094-peintres-du-dimanche-9791042703585.html
Le BIO, en agriculture.
Par
apifnielaubin
Le 11/09/2025
Mon livre sur l'agriculture, qui va s'appeler, "sacré géranium", édité par nombre7, en est à la relecture. j'aborde le sujet du BIO, bien sûr, dans plusieurs de mes chapitres.
Fouillant sur internet à ce sujet, je viens de découvrir un site tres bien fichu, qui permet de découvrir où en est le BIO, aujourd'hui, dans chaque departement ou chaque region, en ce qui concerne le nombre d'entreprises agricoles déclarées comme telles, ou les surfaces agricoles, qui sont concernées.
https://www.agencebio.org/observatoire-de-la-production-bio-sur-votre-territoire/
Pour ce qui concerne leur viabilité, et leur chiffre d'affaire, par contre, c'est une autre affaire.
C'est sur ce point précis, pourtant, que je cherche l'info ce matin, sachant qu'il faudrait se méfier de toute forme d'intox sur le sujet, sachant que d'autre part, c'est ce qui est observé et vehiculé comme info, qui serait susceptible, d'encourager ou de decourager, untel ou une telle, de s'installer en BIO, aujourd'hui.
Un indice pourtant, devrait permettre d'y voir plus clair, quand on voit l'organisation, "Prince de Bretagne BIO", faire une campagne de pub à la télévision, ce qui ne doit pas être au goût de tout le monde en Bretagne, quand on observe le côté mafieux, d'un certain syndicat agricole. Oui, j'ai bien dit, et je le repète, "le côté mafieux d'un certain syndicat agricole".
Comment avoir de l'eau vraiment filtrée au robinet ?
Par
apifnielaubin
Le 01/09/2025
https://meilleurtest.fr/comparatif-osmoseur/
L'osmoseur, c'est le moyen utilisé dans l'espace, pour que les atronautes, puissent boire de l'eau propre.
Contrairement à une eau imparfaitement filtrée en amont, dans un systeme d'épuation, entre autre, quand votre eau arrive dans votre circuit à votre domicile, où cette eau flitre selon les mêmes critéres cette eau, pour alimenter vos toilettes, l'eau du lave linge, ou du lave vaisselle, le système d'osmose inverse est installé sous votre évier, dans la cuisine avec un robinet à part, de telle sorte que ce dernier et ce système de filtre ne serve, que pour la consommation humaine, c'est donc, le systeme le plus coherent surtout, face à la problématique de l'eau dans notre consommation, en général.
Le petit Emile et son grand père.....
Par
apifnielaubin
Le 24/08/2025
Je reviens sur cette affaire, parce que quelqu'un m'en a reparlé il y a quelques jours, alors, je suis retournée voir la vidéo, que j'avais tournée sur ce sujet.
Je vous recommande, d'autre part, d'aller lire les commentaires, mais aussi, mes réponses à certains d'entre eux, qui en disent long d'une part sur certains catholiques intégristes, mais aussi, sur le châtiment corporel, tel qu'il est perçu par certains, encore aujourd'hui.
https://www.youtube.com/watch?v=aGrYGaUpEJo
Je reprends un commentaire, en particulier.
Je cite : "Ce qui est bizarre, est que les gens du village, d'après un journaliste, ne croient pas que c'est le grand-père, mais ils penchent plutôt pour un accident.
ça ne prouve rien, il est courant d'observer qu'un criminel en puissance jouisse, d'une véritable popularité au sein d'une communauté, le village, souvent, qui le voit comme ors de tout soupçon.
Les criminels sont, tres souvent, des pervers manipulateurs, en puissance, et à ce titre, savent parfaitement cacher leur jeu.
Quand un homme mariè, et pere de famille est accusé, de viol, il se trouve toujours, une âme charitable, pour pretrendre que ça ne peut âs être lui, au seul pretexte que c'est je cite, "un bon père de famille".
Et puis, il est quand même père d'une grande famille.
Ha nous y voilà, et ça prouve quoi ?
Dans 80 % des agressions sexuelles que subissent les enfants, ça se deroule dans la sphère familiale, ou amicale de la famille, et ça n'est pas là une opération du saint Esprit, que je sache.
Bfm poubelle fait passer ce grand-père pour un homme violent, (pour une fois qu'ils font leur job correctement, vous n'allez tout de mê pas les blamer...Il me semble, que ces accusations relevent, de tloignages precis, et non, de propos, calomnieux, non ?
Mais j'ai 72 ans et à l'école on s'est tous pris des torgnoles par les bonnes soeurs et on en est pas morts !
Non, mais visiblement, on ne peut pas dire, qu'il semble, que ça vous ait apporté beaucoup de clairvoyance, sur le phénomène châtiments corporel, si j'en crois vos propos. Bien au contraire, vous confirmez, preciseent, qu'on trouve souvent legitime, de battre un enfant, parce qu'on reproduit, ce shemas toxique.
Pourtant, depuis des decennies, les faits, sont demontrés de façon incontestable, toute forme de châtiment corpoel, est toxique pour un enfant, y compris ensuite, quand il est ado, puis adulte, et si la loi française l'interdit, ça n'est pas pour culpabiliser, ceux qui y croient encore, et qui sombrent dans une forme d'obscuantisme sur le sujet, dont visiblement, vous faites encore partie.
Et quelquefois on le méritait !
Un enfant ne mérite jamais de prendre des claques., JAMAIS, si tel est votre sentiment, c'est que vous n'avez même pas conscience que les régles qu'on vous imposait, ne vous étaient pas expliquées, et qu'il n'existait aucun respect, entre ces religieuses, devant qui vous n'étiez que des "broutilles d'enfants", qu'on trouvait normal de chosifier, comme le font les prédateurs sexuels, devant des enfants, à qui ils font subir des sévices.
Honte à vous, qui cautionnez, par vos propos, de telles, pratiques.
Ce qui me choquait le plus est quand la supérieure m'enfermait dans le cagibi dessous l'escalier dans le noir, car souvent je n'arrivais pas à finir les repas à la cantine. Mais de mon temps, dans les écoles, ils étaient très durs, mais on en pensait rien, c'était partout pareil.
Enfin, un soupçon de lucidité, il etait temps, je commenais à m'impatienter, vous êtes peut être récupérable, tout compte fait ! sans rancune....
Vous ne devez jamais avoir, honte, des sevices, que quiconque, ait pu vous faire, subir, quelque soit le moment de votre vien, où ça vous serait arriver parce que c'est le seul moyen de vous en libérer.
Merci, pour votre témoignage.
Le foie est un général taiseux !
Par
apifnielaubin
Le 21/08/2025
connaissez vous, l'interoception ?
Par
apifnielaubin
Le 11/08/2025
il s'agit d'avoir pleinement consience du fait qu'il existe un lien étroit, entre notre corps et notre cerveau, et donc, notre santé mentale, et donc, notre santé tout court....
On peut lire ce fait aussi, mais on n'en parle nulle part, comme "suivre son instinct".....
Il s'agit de trouver un juste milieu, comme il est expliqué, parce que trop prêter attention aux signaux qu'il nous envoie peut aussi, être néfaste ou toxique, par une surinterprétation qu'on en ferait, et qu'elle peut être tronquée, par notre milieu familial ou culturel, par exemple, ou dans le cas, d'hypocondrie (sentiment, voir certitude, qu'on est atteint, de diverses maladies).
Dans le cas de troubles alimentaires, ce qui peut être apparenté à une addiction quand il s'agit d'exces, il faut s'en méfier, tout comme dans n'importe quel contexte lié à une addiction plus largement, parce que ces "signaux", de bien être, sont alors parfaitement tronqués.
Oui, je sais, c'est pas facile d'y voir clair, mais la satisfaction alimentaire sur le court terme, (en dehors, d'être repu, pour satisfaire, une alimentation normale)uniquement, doit toujours avoir pour conséquence, une relative méfiance.
Je parle du sujet de l'addiction au sucre, dans mon ouvrage "addictions, prendre le mal à la racine", aux éditions nombre 7.
Réservation, sur internet.
Par
apifnielaubin
Le 09/08/2025
Je viens de passer quelques jours de vancances, sur une plage normande, et à ce titre, j'ai reservé sur internet, une location... A mon retour, on me propose de donner mon avis sur la location.
Sur ce poiint, passe encore.
Il y aurait eu des reporches à faire, je ne les aurais pas donnés, pour la simple raison, que ça doit ête à l'organisme, de vérifier la qualité de l'hergement, et pas à nous clients, de faire leur job.
Passons...
Quelle ne fût pas ma surprise, de constater qu'on me propose en plus, de "partager mes photos des vacances"....
Dejé, quand j'avais fait ma réservation, qui s'était bien déroulée, ils m'avaient appelée, pour savoir, si ma reservation s'était bien déroulée, à ce stade, ne vous inquiétez pas, pour hameçonner le client, il y a bien un humain au bout du fil... jusqu'à ce qu'ils me demandent, ce qui pourrait être amélioré.
Je leur ai répondu que ça sera parfait, quand leur entreprise aura son siège social, dans un pays européen qui ne soit pas un paradis fiscal, et qu'ils paieront leurs impôts, en proportion de leur chiffre d'affaire dans chaque pays, (merci, Eva Joly)où ils volent les logements, au résidents permanents, et que là oui, alors, ça sera parfait.
Mon interlocutrice, fût prise d'un fou rire.
Mais revenons en aux photos....
Je les trouve vraiment gonflés, non ? Vous ne trouvez pas ?
Par contre, la moindre des chose, serait de....
Préciser, sur la proposition de partager des photos de vacances, qu'il est recommandé de ne poser aucune photo d'enfants, parce que 60% des photos d'enfants, qui plus est, potentiellement nus, ou en maillots de bains, se retrouvent dans des fichiers pédocriminels.
Mieux encore, (puisque qu'aux yeux des parents visiblement, ça n'a aucun effet dissuasif)qu'une IA, banisse la moindre photo où il y a ait des enfants.
L'assiette française.
Par
apifnielaubin
Le 25/07/2025
La loi Duplomb dans l'aile.
Par
apifnielaubin
Le 19/07/2025
https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014
Cette loi, est une abbération politique.
Par définiton, le politique est sensé légiférer, pour défendre le citoyen, le plus possible, contre toute forme d'agression, quelle que soit sa nature.
Nous, citoyens, comprenons mieux que personne, à quel point il peut être difficile, pour les politiques, de prendre les bonnes décisions.
Mais un point demeure observable de plus en plus, qui révèle que les décisions, anti écologiques, servent toujours, uniquement et strictement le court terme, au détriment du moyen terme et du long terme.
GOUVERNER C'EST PREVOIR.
Cette position est parfaitement irresponsable de la part de politiques, qui d'autre part, subissent des pressions insoupçonnées, de la part des lobbistes, que ce soit sur le territoire français, ou que ce soit à l'echelon européen.
Il ne serait pas superflu d'ailleurs, d'exiger des députés, qu'il déclarent non pas, la preuve de leur travail ou des dossiers sur lesquels ils travaillent, car celà existe deja, sur le site de l'assemblée nationale, mais avec quels responsables, ils ont des demandes de RV, et lesquels de ces RV, ils choississent d'honorer, ou pas.
Avec qui ils mangent, au resto, cadeaux, etc (quand il s'agit de travail, evidemment).
Parce que ce que tout le monde ignore, réside dans le fait que le lobbing qu'ils subissent, (et pas les députés, uniquement), est extrêmement virulent, et objectivement s'apparente infiniment plus, à une forme de harcèlement... Que ce soit, au niveau national, mais aussi, européen...
Et pour ceux qui seraient en doute sur ce sujet, demandez vous donc, pour quelle raison les différents lobbing, ont leurs bureaux carrement, au parlement européen, je ne crois pas que ce soit, pour prendre des cours de macramé ou de peinture, mais bien pour faire pression, sur les décideurs politiques, tous pays confondus, dans le v but, uniquement, de proteger des revenus financiers.
Et quand on nous rétorque que la France, sans cette loi, se trouverait en compétition déloyale, vis à vis d'autres pays européens, pour commencer, qu'ils se demandent, pourquoi des agriculteurs BIO, eux, y parviennent, je ne crois pas qu'ils aient, jusqu'à preuve du contraire, de baguette magique...
Ensuite, il faut faire pression, aupres des autres pays européens, qui eux, doivent tendre vers un alignement, qui se rapproche, de nos normes écologiques, autrement dit, cette loi si elle etait adoptée, ne serait rien de moins, qu'un nivellement vers le bas, alors que c'est aux autres pays, de s'aligner sur nos normes, environnementales.
Quel pays européen, aujourd'hui, se trouve légitime, à encourager, l'angmentation, du nombre de cancers les années, et decénnies à venir , voilà, la vraie question, qu'il faut désormais se poser.
Soutenir cette loi, d'autre part, pourrait parfaitement avoir pour conséquence, des poursuites en justice, (non assistance à personne en danger, et mise en danger de la vie d'autrui), si l'on observe à quel point les chercheurs font consensus, pour avoir dénoncé en amont, les risques sanitaires, qui sont en jeux aujourd'hui.
Salon LITTERROIR, à Broglie (27), compte rendu.
Par
apifnielaubin
Le 02/07/2025
Petite précision, c'est bien parce que ce salon est organisé par mon editeur, nombre7, sinon, je ne ferai pas un compte rendu, à chaque salon.
LITTERROIR, Broglie, compte rendu.
Nous étions une douzaine d’auteurs, chez notre éditeur nombre 7, à avoir répondu présents à ce salon, qui, pour la première fois, se déroulait en Normandie.
https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin
A l’heure, ou la totalité de notre société est numérisée, et où internet, et donc le virtuel qui nous est imposé, induit des distorsions, pour ne pas dire, des conflits dans notre relation aux autres, tout ce qui est artistique, et donc aussi, le secteur du livre n’échappe pas à la règle, sachant que l’acte d’artiste et d’écrivain, est une besogne solitaire, ce qui appuie plus encore sur ce sentiment de solitude…
Certes, on pourrait, me répondre à juste titre, qu’internet n’a pas inventé la fourberie, fût elle de Scapin, ce qui est vrai, mais le constat pourtant est bien là, qu’on voit certains confondre la vie réelle avec la vie virtuelle, et ses inévitables conséquences toxiques, sur la santé mentale.
Ainsi, notre directeur des éditions Nombre7, a fait le déplacement pour nous rencontrer, et ce fait à lui seul, mérite notre plus grande considération…
Quelle maison d’édition, aujourd’hui, envoie son directeur rencontrer ses auteurs, surtout ainsi, dans un salon du livre, et qui plus est, nous prodiguer une petite formation ?
Et en plus, ils nous ont fait bosser !
Présenter, notre dernier bébé, chrono en main….
Moi qui suis une pipelette (pour ceux, qui ne le sauraient pas encore), il a fallu ramasser mon pitch, comme on disait dans les années 80, pour livrer du condensé.
Ensuite, critique du chef et des autres, individuellement, critique constructive et bienveillante, faut il le préciser. Pas mal de rigolade, aussi.
L’occasion nous été donnée ainsi, de faire connaissance avec des auteurs de notre région, chez un même éditeur.
Passer un bon moment, avec des gens, qui ont les mêmes préoccupations, quoi de plus constructif ?
MYM et ONLYFAN, le porno en un clic.
Par
apifnielaubin
Le 27/06/2025
L'ART BRUT.
Par
apifnielaubin
Le 21/06/2025
https://www.centrepompidou.fr/fr/programme/agenda/evenement/1nYdMeg
Dans mon ouvrage "peintre du dimanche" (titre provocateur, je le rappelle), disponible aux edtions nombre7, je consacre un chapitre au rôle de l'Art, dans notre société, ou plus précisément, je pose la question suivante:
"L'Art doit il se contenter d'être beau".
https://librairie.nombre7.fr/essai/8094-peintres-du-dimanche-9791042703585.html
En visitant ce lien, au centre Pompidou, je réalise que le musée de la Fabuloserie, dont je parle dans cet ouvrage, c'est bien d'art brut dont il est question.
J'espère que les horaires d'ouverture vont être supérieures, parce que ça mérite plus que l'ouverture le week-end.