https://actualitte.com/article/125560/technologie/face-a-l-ia-avons-nous-encore-besoin-de-lire
Je pose mon commentaire, en copié collé.
Je trouve cet article parfaitement bien vu, si je puis dire.
Je suis autrice, et j'ai écrit un livre qui s'appelle "peintre du dimanche", où j'aborde la toxicité de l'IA, dans le processus artistique.
Cette toxicité prend différents visages, il y a l'aspect purement juridique, où tout, quasiment, reste à faire pour ne pas voir son travail littéralement spolié, alors que juridiquement, même si l'Europe commence à se pencher sur le problème, nos sommes probablement encore loin du compte.
Cet ouvrage est disponible sur internet, en suivant ce lien:
https://librairie.nombre7.fr/essai/8094-peintres-du-dimanche-9791042703585.html
Le vrai problème au sujet de l'A, réside dans le fait qu'on ne puisse pas encore en appréhender véritablement les applications, et donc quel périls elle va générer, et par voie de conséquence, ce qu'on doit politiquement mettre sur pied, pour s'en prémunir.
Pour ce qui concerne votre analyse, au sujet de la lecture strictement, je partage entièrement votre point de vue.
Si l'humain ne prend pas conscience, qu'ayant recours ainsi à l'IA, il oublie, qu'il cautionne alors, une véritable lobotomisation de son cerveau, enfin de certaines zones, en tout cas....Selon le même processus, que le GPS, l'a fait sur la zone du cerveau qui permet de s'orienter...
Quid ensuite, du poids de l'imagination, de la création, du pouvoir d'élaborer une pensée, et donc, d'oser faire, UN CHOIX, et donc, CHOISIR, un candidat... Quand on observe, que trump, lorgne sévèrement vers la posture d'un dictateur, et que es gafams, sont principalement américains, ce sont carrément nos démocraties, qui se trouvent en danger, d'ores et déjà....
Reste un espoir, qui réside dans le fait, que si les citoyens, ne lisent plus par devoir, dans le cadre de leur travail, il leur reste, la possibilité, pour peu, qu'ils le veuillent, de lire, par plaisir, plus humblement.