Françoise Niel Aubin, artiste.

Articles de apifnielaubin

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Arnaques, sur internet, mais pas uniquement......

Par Le 25/08/2021

Il y a pas mal de temps deja, je faisais l'éloge du compte Nickel, appelé aussi, dans le jargon bancaire, le compte virement FPE (Financière des Paiements Electroniques), qui avait été créé, à l'epoque, pour vous éviter d'avoir sur le compte débité pour un paiement sur internet,  des sommes trop importantes, pour le cas où petit malin, ayant réussi à soustraire, via internet vos coordonnées bancaire, ou par l'espionnage par micro caméra, votre code d'accès au distributeur, alors votre compte en question, d'un seul coup vidé, l'était dans des proportions bien moindres...

 Helas, les escrocs ont toujours une longueur d'avance,  et si cette précaution me semble tenir toujours la route (car mieux, vaut ne pas mettre tous ses oeufs dans le même pannier), il semble bien qu'aux dernières nouvelles, par l'intermediaire du compte Nickel, d'autres arnaques voient le jour, notamment dans le cas d'usurpation d'identité, et de cartes d'identité dérobées.

 Je précise que chez Nickel, ils prennent pourtant, (enfin, ils l'ont fait avec moi, mais je ne dispose d'aucun moyen pour déterminer s'ils le font pour tous leurs clients), ils exigent, un selfie avec vous, tenant la carte d'identité, recto, verso....

 Sinon, je n'ai pas de recettes miracles, pour faire que des truands d'un seul coup, deviennent honnêtes,  qu'ils habitent en France, dans d'autres pays d'Europe, ou bien sur le sol africain, ou dans n'importe quelle autres région du monde, franchement désolée.

 De façon générale, plus encore depuis le covid, les confinements qui en ont découlé, suite aux variants qui se sont succédés (on espère tous, que ça va arriver à se calmer), les gens sont toujours persuadés, que grâce à internet, et aux differents moyens qu'il propose, ils peuvent acheter tout et n'importe quoi, en se passant, des commerçants locaux, mais aussi, des magasins, où ils decouvrent les produits, qu'ils veulent acheter, "pour de vrai"....

 "Leboncoin", aussi pratique soit il, est le lieu d'arnaques absolument sidérant,  où certains avec une simple carte de crédit, achetent des voitures, "on croit rêver"...

 Oui, vous pouvez dire de moi, queje ne suis qu'une vielle conne, aucun souci, vraiment.

 Lisez bien ce fil, là, que je vous transmets, si ça peut remplacer la moutarde, que certains, ont  en guise de neurones, au moins, ça aura été utile à quelque chose.

https://forums.commentcamarche.net/forum/affich-31440311-virement-fpe-charenton

 Pour ceux, qui n'auraient pas compris, encore, FPE Chareton, c'est Nickel qui est derrière.

 Petite précision, entre gens honnêtes, ça fonctionne très bien. C'est quand vous achetez, que là, vous avez effectivement un risque, celui, de vous faire arnaquer, précisément.

 Au passage, je note (parce que quand je donne un lien, je le lis, moi avant), que l'Allemagne, semble avoir une lutte contre les escrocs infiniment plus réactive, que la France, peut être serait il judicieux, de hisser la collaboration entre les etats membre, au sein de l'Euope, à leur niveau d'efficacité, parce que tant qu'à faire, autant niveler par le haut, et pas par le bas, via INTERPOL.

Attaque au couteau à Rambouillet, avant la récupération politique.

Par Le 21/08/2021

Je suis évidemment très choquée, de voir, qu’on ait pu s’en prendre à une policière, mais tout autant, je le précise, que je l’aurai été, s’il s’était agis d’un homme, ou de n’importe quel autre agent administratif, ou associatif, qui œuvre, y compris, dans un cadre uniquement bénévole, au sein d’une association.

 Si je donne cette précision, c’est qu’à mes yeux, le fait d’avoir un emploi, en temps que policier, ou autre agent administratif, n’a pas à induire une plus grande valeur d’un citoyen, vis-à-vis d’un autre, qui n’œuvrerai que bénévolement.

 Oui, j’éprouve vraiment le besoin, d’appuyer sur ce jugement de valeur parce qu’il touche précisément, le fait que plus que jamais, cette histoire « d’avoir un emploi », ou de ne pas en avoir, occulte entièrement, le fait que le tissus associatif, en France comme ailleurs, plus que jamais, par son efficacité pallie, justement, aux conséquences du covid.

 Alors, que certains n’observent le tissus social en France, que par la santé des entreprises, comme étant seules dignes de conforter l’individu dans sa dignitié, il serait temps je crois, d’observer la société française, aussi, ou au moins tout autant, par le prisme de ce tissus associatif, qui est précisément la contrepartie exacte, du monde du travail rémunéré, qu’on appelle, « emploi ».

 C’est pour cette raison, que nous tenons tant, au revenu universel, que certains, voudraient voir, comme une utopie, pare que ça les conforte, comme justifiant, le fait, de surtout ne rien changer.

 Les progressistes, en politiques, qui sont considérés comme utopistes, l’ont toujours été par les ringards incapables d’innover, cette incroyable idée, bien loin, d’être neuve, contrairement, à ce que pensent certains, est en réalité, aussi utopiste, que la sécurité, sociale, le fût, au sortir de la seconde guerre mondiale, et je n’espère qu’une chose, c’est qu’il lui, arrive  la même reconnaissance, et la même réalité politique.

 Certains trouvent étrange, je suppose, que j’aborde ce sujet, dan le contexte de cette attaque au couteau à Rambouillet.

 Ça n’est pas un hasard, je le fais précisément, parce que la femme qui en fût victime, précisément, avait elle aussi, une vie associative.

 Cela me touche, d’autant plus, qu’ayant travaillé, depuis des années, sur le mal être des policier, leurs burn out, leurs suicides, etc, la politique, préventive, que je préconisais, et que je préconise toujours, réside précisément, dan le fait, d’avoir, un rôle associatif, afin de ne pas avoir,  pour vocation, professionnellement,  de n’être que dans la répression, dans l’image qu’un agent de la police, ait de lui-même.

Un policier dernièrement, avait répondu sur ce sujet, la chose suivante : « je ne suis pas entré dans la police, pour faire du social ».

  Personnellement, je prétends que précisément, un policier qui ne voit dans sa profession, à la base, quand il choisit d’y entrer, et dans un contexte de formation et de justification de son choix professionnel,  qu’un prétexte strictement répressif, n’a rien à faire dans la police….

 Cette position, n’engage que moi, et je n’oblige personne, à me suivre, sur ce terrain.

 C’est de politique préventive, de la délinquance, dont il est ici question, ce qui, précisément, nous ramène, en partie au tissus associatif, mais aussi, au revenu universel.

 Non, je ne crois, pas m’éloigner tant que cela du sujet, dont il est question, justement.

 Quand je parle de récupération politique, je pèse mes mots….

Xavier Bertrand et marine le pen, bondissent sur l’occasion pour nous vendre leur soupe sécuritaire, là où précisément, cet homme n’était fiché nulle part.

 Pendant ce temps,  les autres formes de délinquance, sablent le champagne.

 Non, je ne m’eloigne pas de mon sujet, certainement pas…

 Récupération, vous dis je…

 

Dans REUSSIR...

Parrainage, à tous les étages.

Par Le 21/08/2021

S’il est un discours, que je ne risque pas de délaisser, c’est bien celui là.

 Ce qui est terrible, quand on tiens une certitude, et qu’on la claironne, depuis environ quinze ans (et je ne vous mens pas),  c’est qu’on est toujours en quête de moyens, ou de médias, de formes, je dirai, qu’elle soit artistique, orale, écrite, argumentaire, ou que sais-je, pour faire passer son idée, que dis-je, vous l’imposer, comme une absolue certitude…

 Oui, je sais, on me dira que je suis arrogante, peut-être, assener ainsi, certaines certitudes, moi qui ai pourtant, « j’en suis certaine », le doute chevillé au corps », comme ça serait difficilement imaginable….

 Arrogante, « comme c’est mignon »… une chieuse, je suis une chieuse, une emmerdeuse, version XXL, et si je m’en amuse au moins autant que ça vous fait marrer, enfin, j’ose l’espérer, et que ça serait là le prix à payer, pour aider au fait de faire passer mes idées, ma foi, j’en prends mon parti….

 En somme le parrainage, c’est un peu comme les patates…

 En frites, en purée, en pommes vapeur, en chips, je vous le ferai à toutes les sauces, soyez en surs.

 J’ai écrit un livre, sur la parentalité,  qui est disponible, aux éditions Sydney Laurent.

  Dans cet ouvrage, j’ai précisément consacré plusieurs chapitres au parrainage, parce que d’une certaine façon, quiconque qui n’a pas d’enfant, quelles, qu’en aient été la ou les raisons, est parfaitement légitime, de vouloir malgré tout, veiller sur quelqu’un.

 Ca va sans dire, que si tel est le cas alors, que vous êtes parents,  c’est valable aussi, mais pour vous, ça semble logique, ce qui ne semble pas l’être, nécessairement dans l’autre cas.

 J’en vois certains, déjà, méfiants, qui vont penser, « mais enfin, s’ils n’ont pas d’enfants,  s’ils ne sont pas en couple, ha, mon dieu, mais quelle horreur »…

 Ben voyons….

 S’il suffisait d’avoir des enfants, et d’être en couple, pour être capable de bienveillance, et d’être bien intentionné, vis-à-vis de son prochain, je pense que ça se saurait….

 Certes, il y a aussi les tordu(e)s, qui existent, aussi qui le feraient, pour des raisons malveillantes.

 J’ai prévu cette hypothèse aussi, dans mon ouvrage, et pour cela, croiser la candidature, avec le fichier des délinquants sexuel ou de la criminalité…

 Ainsi, comme vous pouvez le voir, j’ai pensé à peu près à tout.

 Je pense notamment, au décrochage scolaire, et au milieu des étudiants dans les FAC.

 J’ai une filleule, à la FAC de mont saint Aignan, depuis le début de la première vague de covid.

 Ce système de parrainage, existe depuis longtemps dans les FACS, mais étaient destinées uniquement aux étudiants venant de l’étranger, pour cause de se trouvés déracinés et éloignés de leurs familles.

 Aujourd’hui, la donne est quelque peu différente, d’une part parce qu’une famille à des milliers de kilomètres, mais bien attentionnée via internet, n’est en fin de compte quelquefois pas si éloignée que ce là… Mais aussi, parce qu’à contrario, des familles ici sur le sol français, peuvent parfaitement être éloignées, affectivement de l’étudiant en question, ce dernier nécessitant alors, un encadrement affectif plus appuyé, qu’on ne l’aurait suspecté.

 Pour toutes ces raisons, les associations au sein des université qui proposent du parrainage, doivent le proposer à n’importe quel étudiant.

 Parrainer un étudiant, ça n’est pas en premier lieu, l’aspect financier dont il est question.

 Pour moi, c’est avant tout, un lien affectif qui se crée, et qui permet de voir sa vie modulée, par des visites, des sorties, et se soucier des difficultés de son ou sa protégée….

 Moi, pendant un certain temps, je passais lui prendre son linge, pour le lui laver, et lui sécher. Quelquefois, elle est venue manger, chez moi, le dimanche, et profiter du jardin. En même temps, c’était un pot de confiture, que j’avais fait la veille, ou je ne sais quoi, que j’avais cuisiné, avec lequel elle repartait.

 Elle m’avait cuisiné, dans sa chambre universitaire, un véritable akiété…

 Ça vous en bouche un coin, ça, non ?

 Et je l’ai même trainée au marché de Buchy, un lundi matin, et c’est moi qui vous dit qu’en affaire, elle ne s’en laisse pas « compter »…. (elle va rigoler, en lisant ces lignes).

 Je veux dire que si c’est l’argent, qui vous semble être l’essentiel, de ce que vous pouvez donner, à mon avis, vous gagneriez votre temps à simplement donner à une association, ce qui est bien utile aussi….

 Si par contre, vous avez envie de soutenir plus affectivement, en passant du temps,  c’est plus vers le parrainage qu’il faut vous tourner.

 Petite précision, cependant.

 Dans mon ouvrage sur la parentalité, quand je parle de parrainage, j’ai étudié cet aspect aussi sous d’autres angles, comme la différence de classe sociale, c’est une notion très importante en matière de parrainage, ainsi que la distance géographique, ce sont deux éclairages, d’une très grande importance que j’ai développé, et qui peuvent vous aider à y voir plus clair, dans la façon dont vous pouvez être solidaire, sans n’être comme certaines le craignent, à juste titre, qu’une simple carte bancaire…

 Je précise, que pour l’étranger, j’ai été marraine, aussi par l’association PLAN international, association avec laquelle j’envisage des que possible, d’avoir de nouveau un filleul ou une filleule.

https://www.plan-international.fr/?reserved_source=WMOGA&utm_source=EKKO&utm_medium=adwords&gclid=CjwKCAjwyIKJBhBPEiwAu7zll3cWCVKIM-sb0aXbLLHTeh_ElPE8cPc5qGDUBONr5GV7mt4qr_DBEhoCK9QQAvD_BwE

Pour le parrainage des étudiants, je crois que chaque FAC a son association. Peut être serait il plus judicieux, que ces associations soient affiliées à une fédération  qui les regroupe, pour l’échange d’expérience, dans un souci d’une grande efficacité.

Dans REUSSIR...

Artraker Award, un prix britannique qui récompense notamment les artistes qui travaillent en zone de conflit.

Par Le 20/08/2021

https://www.elle.fr/Loisirs/Sorties/News/5-photos-de-Shamsia-Hassani-la-premiere-street-artist-afghane-2865614

 Cet article, date de ... Il n'y a pas de date. Considérant le fait que nulle part, il ne soit fait état des talibans, je suppose alors que c'était avant qu'ils n'aient pris le pouvoir, il y a quelques jours. J'ignore ce qu'elle devient.

Google va aider le fisc français à traquer les piscines non déclarées….

Par Le 20/08/2021

Mardi 13 juillet 2021, l'autorité française de la concurrence a condamné Google à une amende de 500 millions d'euros pour ne pas avoir suffisamment négocié avec les éditeurs de presse sur la rémunération de leurs contenus. Une décision historique qui s'ajoute aux amendes déjà infligées au géant du numérique.

  Pourquoi, est ce que ça interpelle ?

Pour commencer, google, est une multinationale, que j’appelle personnellement, « pieuvre opportuniste », alors, qu’usant, de cette métaphore, j’ignorais, complètement, que c’était l’image, qu’on utilise, généralement, pour qualifier les mafias. et qu’à ce titre, décidément, le rapprochement, entre les différentes multinationales, et les mafias, peuvent difficilement, être éludées.

 Sauf que, sauf que… Et oui, les mafias, elles par définition, ne sont pas légales, là, où google, eux, le sont, et non seulement, le sont, mais en plus, sont en situation, de monopole. A ce titre, donc, ils pratique, ce que j’appelle, un véritable racket, au niveau planétaire, sans qu’on puisse, nous, y faire, quoi, que ce soit.

Hier, je rédigeais un article, au sujet des méga incendies, qui ravagent, 8000ha de forêts, aux alentours de saint Tropez.

 J’y propose des pistes, pour adopter une politique sur place, qui serait susceptible de faciliter la lutte conte les incendies, alors que les piscines, sont de plus en plus nombreuses, et que parallèlement,  sur place, bien des propriétaires, ont des piscines, et un simple tuyau d’arrosage, pour protéger, leurs maisons.

Je recommande, aux propriétaires de piscines, de se réunir en association, afin de proposer un arrangement avec l’état,  pour que ces piscines servent (c’est peut être déjà le cas, dans certaines zones à risque) de réserves d’eau, pour les pompiers, sur place, quand c’’est nécessaire.

 En contre partie, sur le plan fiscal, l’état propose un allègement de l’imposition rattachée à l’existence de la piscine.

Pourquoi, ça interpelle ?

 Pour commencer, le sujet, n’est pas à l’étude. Et oui, on a appris ça, il y a quelques jours, les contrats sont signés, et on nous met, devant le fait accompli.

 On nous explique, qu’il y a eu appel d’offre, et que c’est google, qui a remporté la mise.

 Comment, se fait il, qu’on en ait pas entendu parler, plus tôt ?

 Que l’état veuille aligner les resquilleurs, c’est une chose…

 Qu’il le fasse par google, alors qu’en position de monopole absolu,  et que par ce fait, simplement, ils s’érigent en parfait dictateurs, face à l’état français, mais aussi, je suppose, face aux autres pays européens, me pose un véritable problème, parce que nous savons tous, qu’à chaque fois, qu’un gafam est condamné, quelle qu’en soit la raison,  ces amendes ne sont que des gouttes d’eau, comparativement à leurs chiffres d’affaire…

 D’ailleurs, dans leur tour d’ivoire, là, où il y les défenses justement, les défenses d’y voir, ça les fait hurler de rire…

Jadis, mais ça doit exister encore, la mafia en Italie, rackettait les commerçants, qui devait verser leur obole, pour bénéficier d’une soit disant « protection ». S’il refusaient,  ils avaient de « gros problèmes », comme dit Laspales…

 « Y’en a qui ont essayé ».

Aujourd’hui, ce racket existe bel et bien, pas uniquement via les applications, comme on le sait tous, mais bel et bien d’une part, via les différents gafams, mais aussi via les opérateurs, fournisseurs d’accès à internet.

 Plus ces multinationales sont tentaculaires et énormes, relativement à leurs chiffres d’affaire, et plus ils se croient, au dessus des lois….

Pour moi, cette collaboration n’est rien de moins, qu’illégale…

 Oui, j’ai bien dit, illégale, dans ce qu’elle implique une collaboration, avec une multinationale déjà condamnée à de multiples reprises.

 Je ne comprends pas pourquoi, ni pour quelles raisons, un sujet aussi grave, n’a pas fait l’objet de discussions sur le plan politique,  sachant d’autre part, qu’il existe bien d’autres moyens, de traquer les propriétaires de piscines non déclarées.

 Car le problème en vérité, ne réside pas dans le fait de chercher à les localiser, et qu’ils soient condamnés, mais uniquement dans le fait que ça se fasse, par l’intermédiaire de google.

 Depuis plus de 20 ans, par satellite, le ministère de l’agriculture, via les chambres d’agriculture, fliquait et flique encore, je suppose l’agriculteur, qui a déclaré telle parcelle en jachère, alors, qu’elle ne le devrait pas, ou l’inverse, sachant, que c’est ce fait, qui conditionnait, les subventions européennes… Mais pour faire la même chose, alors que chaque propriétaire foncier est connu de tous, et répertorié,  de la façon la plus légale en mairie, on est incapable de faire autrement que de solliciter une multinationale, multi condamnée, multirécidiviste, en position de monopole, et qui pratique  sans le moindre scrupule, l’esclavage moderne, par entreprises sous traitante, aux Philippines, pour traiter du douloureux, problème de modération….

 En fait, je vais vous donner, mon sentiment.

 On savait déjà, que face aux multinationales, pas uniquement Macron, mais n’importe quel pays ne pèse vraiment pas lourd, face à ces multinationales….

 Mais que Macron, en fasse la démonstration dans une telle proportion, franchement, je dois reconnaitre, que je suis sur le cul.

 Parce que si les choses sont effectivement entérinées, telles que c’est décrit dans la presse aujourd’hui, il va falloir qu’on nous explique, par quelle stratagème, alors l’Europe, va pouvoir exiger de faire respecter, SA LOI, face à google, ou aux autres multinationales….

 Parce qu’il est là, et bien là, le message que ces multinationales reçoivent aujourd’hui, « on est incapables, de faire sans vous, et pour les condamnations qui honnêtement, ne servent que de faire valoir, pour se donner bonne conscience, « on va s’arranger »….

 On est donc revenus, à l’époque des mafias, qui venaient « relever les compteurs », régulièrement, sauf que là, c’est monsieur le maire, qui installe le PDG de google, sur le trône !

Putain de merde, les actionnaires, qu’est ils ont dû rigoler, en apprenant la nouvelle !

Au sujet du pass sanitaire.....

Par Le 19/08/2021

 Hier matin, je suis allée au marché, à Yvetôt.

 

Le serveurs, demandaient le passe sanitaire, pour boire, un simple café, en terrasse.

 

Est ce donc, si contraignant, franchement, que de fournir, ce simple papier, je vous le demande ?

 

Non, bien sûr, que non, mais pour ça, il faut se soucier, un tant soit peu, de son prochain, et être capable, d'un minimum de concession...

on nous parle de liberté, individuelle, et ça me fait hurler.

 

bien avant le covid, quand vous vouliez, aller, au restaurant, et que les salle, du resto, étaient pleines, parce que "ce resto", justement, marchait bien, et que les places, étaient comptées, que ressentiez vous, si vous vouliez, aller, vous attabler, dites moi ?

 

"Ha, non, madame, repassez dans une heure, ou réservez, à l'avance"...

 

Et c'était normal...

 

Jadis on se faisait jeter, parce qu'on n'avait pas réservé, ou qu'il n'y avait aucun place disponible, aujourd'hui, c'est parce qu'on ne s'est pas fait vacciner.

 

Mais dites moi, la dernière fois, qu'il n'y avait aucune place disponible, pour aller, manger, un morceau, comment, vous l'avez vécu, dites moi ?

ç, n'a pas été trop dur ?

 

Comment, l'avez vous vécu, au niveau et votre égo , c'est bon, vous n'avez pas fait une crise de spasmophilie ?

 

Une crise, d'angoisse ?

 

Une poussée de tension, même, peut être, non ?

 

Attention, qui dit poussée de tension, dit baisse des défenses immunitaires, et donc, sujet à risque, , ho la la, dites moi, ouvre votre bouche, pour voir ?

 

Ha, mais faut consulter, madame.

Faut vous faire vacciner, surtout.

 

Tout, ça, parce que c'est ce resto là, à ce moment, précis, et merde, alors, c'est pas de chance...

 

La liberté de chacun s'arrête, là, où commence celle des autres, et j'en ai vraiment ma claque, de voir tous ces gens qui sous ce prétexte bidon, se saisissent, de cette occasion pour militer pour bien autre chose...

 

Si votre vie est triste au point, de ne pouvoir exister que sous ce prétexte, franchement, moi, je vous plains.

 

Pour le cinémas, c'est pareil...Rien, ne remplacera jamais, un film, dans un vrai cinéma.

 

Partout, on est fliqués, avec ce putain de smartphone.

 

Vous entrez dans le moindre hyper marché, vous êtes fliqué, du début à la fin, on sait tout ce que vous consommez, le magasin sait tout de vous, de votre consommation, en tout point, si vous achetez vos produit tout en haut, là, où ce sont les marques, ou tout en bas, parce que vous avez de petits moyens... Il savent même, quel cheminement, vous faites, dans le magasin, Ils savent, tout sur vous, à cause de ce putain de smartphone, outil fondamental, pour tout adepte de l'esclavage moderne...

 

Et le passe sanitaire" ?

 

Personne ne vous oblige à avoir ça, sur le téléphone, moi, j'ai la version papier, sous plastique.

 

Et si on vous demande un simple certificat, de vaccination, putain de merde, monsieur ou madame, joue les vierges effarouchées, on crie au scandale, et aux atteinte relatives aux libertés individuelles....

 

Combien va t il falloir, de milliers de morts, de plus en plus jeunes, au fur et à mesure, que ce covid mute, qui sortent des hôpitaux, "les pieds, en avant", pour vous signifier, qu'il faut vous faire vacciner, voilà la question que moi, je me pose...

 

COMBIEN ?

Les forêts françaises souffrent déjà des effets du dérèglement climatique.

Par Le 18/08/2021

PREVENTION.

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/incendie/infographies-des-incendies-plus-intenses-et-plus-etendus-les-forets-francaises-souffrent-deja-des-effets-du-dereglement-climatique_4682081.html

 C’est Prévert, ce matin, qui vient à mon secours, pour traduire ce que je ressens, au sujet du risque incendie.

 Il a dit un jour qu’il avait reconnu le bonheur, au bruit qu’il avait fait en partant.

 Je crois, que pour la forêt, c’est assez similaire….

 On vit, dans un pays, avec des paysages, la forêt en fait partie intégrante, mais pour certains, la conscience de son prix réel, dont je dirai qu’il est aux antipodes d’une quelconque valeur marchande, est complètement sous-estimé.

 Je ne nie pas la valeur marchane, ou commerciale, mais c'est tellement plus que celà, en verité.

 Je ne vous parlerai pas, ici, de la perte sans aucune mesure, sur le plan de la biodiversité, parce que d’autres sont infiniment plus compétents que moi, pour en parler.

 J’appuierai ce matin, d’avantage sur une foule de questions que je me pose  de contradictions, qui me sautent aux yeux, et qui pourraient potentiellement ouvrir quelques voies, pour proposer des solutions, pour une meilleure prévention.

 Je vous livre ça, en vrac, de façon aussi désordonnée, qu’un artisan malveillant et ors la loi, qui va déverser dans un terrain vague, "ni vu ni connu", ses gravas de démolition, et que la police municipale, n’a pas réussi à coincé…

 Je n’ai aucun doute sur le fait, que les maires concernés, prêteront toute l’attention nécessaire, aux propos que je tiens là.

 Pour commencer, il faut lutter contre les décharges sauvages.

 Sur ce point, il faut mener des enquêtes plus poussées, pour sévir juridiquement, s’il le faut. Oui, "ça coûte cher »,  et bien c’est aux responsables, de payer la facture, ça n’est pas à la collectivité de payer les dégâts occasionnés, par un porc, qui prend la propriété privée d’autrui, ou l’espace public, comme un lieu où l’on peut faire tout et n’importe quoi.

 Mais ce qui est en train de se produire, aux alentours de saint Tropez, aujourd’hui, dans leur forêt, doit alerter  sur bien des aspects.

 Au-delà, de ce qui est visible, ce qui m’interpelle, réside au sujet de ces décharges, dans le fait qu’on connait désormais le phénomène, tel qu'il a été observé aux USA, ou en Australie, notamment, que lors de certaines secheresses, que certains de ces incendies, se déclarent spontanément….

 Comment, est ce possible ?

 Les orages secs, avec la foudre, là, l'homme n'y peut rien.

 L’une des causes, sans que l’intervention humaine n’en soit responsable, je veux parler des mégots réside dans le moindre bris de verre, un tesson de bouteille, une barquette alu, ou même, je le crains, une cannette métallique, genre coca, ou autre, pourraient, sous la réverbération du soleil, à eux seuls, chauffer au point de déclencher un début d’incendie.

 On appelle ça, un incendie spontané.

 Pour le moindre bris de verre ou la barquette en alu, c’est une certitude, pour la cannette, ça demande à être vérifié.

 Ainsi, en luttant, contre ces décharges sauvages, luttons-nous aussi, contre ce risque d’incendies spontanés.

Le problème aujourd’hui, réside dans le fait, que ce sont sur les aires d’autoroute, que certains incendies, démarrent.

 Pour limiter les risques, au maximum, il faut veiller à ce que les poubelles déjà disponibles, sur le bord des routes, sont relevées de façon plus fréquentes qu’elles ne le sont, et de façon plus systématique.

 En effet, quiconque voyage un tant soit peu, ne peut que constater que souvent, ces poubelles ne sont pas relevées, par manque de personnel je suppose, ce qui induit alors que des détritus sont déposés au pied, ou ailleurs dans la nature, induisant alors un risque accru d’incendies.

Dans l’hypothèse d’un entretien régulier, malgré tout, si le risque s’en trouve diminué, Il persiste encore, par le fait que les aires d’autoroute, pour des simples raisons de nécessité d’ombrage pour le repos, et le stationnement, présente un risque par l’histoire du mégot, pour ne citer que ce cas précis…

 J’ai entendu des témoignages, les jours derniers, qui expliquaient que des flammèches, pouvaient rependre un incendie, jusqu’à 400m de distance, quand elles proviennent d’arbres hauts.

 Peut être serait il judicieux de prévoir qu’autour des habitations, ou des aires d’autoroute, celles situées en forêt, plus précisément, ne soient couvertes, que de taillis, sur une distance de 500m.

 Donc, pour une aire d’autoroute, en demi cercle.

 En procédant ainsi, le risque serait plus limité, la zone transitoire, étant coupée à blanc à intervalles réguliers, pour éviter que les arbres ne soient trop hauts, il n'y aurait donc plus d'arbres, en ce zones, mais uniquement des cepées.

D’autres questions, me viennent et qui réside dans l’hypothèse ou une maison, menacée par les flammes, mais qui aurait un sous-sol…

 Est-ce que les habitants, en dernier recours, venant se mettre en sous-sol, le temps que l’incendie, ne passe, est ce que ces habitants seraient saufs, ou bien, est ce que la température, trop élevée, les feraient périr, malgré le fait d’être ainsi, sous leur maison, et sous le niveau du sol ?

Pour ce qui concerne les habitations, qui sont en zone boisées, ou limitrophes de zones boisées.

 Je pense, que la zone de taillis, dont je parle, doit être évoquée.

 Les propriétaires, ne devraient pas se reposer uniquement sur la collectivité ou sur le voisin, pour en assurer l’entretien, mais  l’assumer, je dirai pour 50%.

 Je veux dire, par là qu’il est compréhensible, de vouloir vivre à proximité d’une forêt ou de la plage, mais philosophiquement, il me semble cohérent d’en assumer aussi, les responsabilités, quant aux risques encourus, ceci, étant  d’autant plus logiques, que ces risques sont induits quand on fait l’acquisition de ce bien immobilier.

 Un autre aspect, personnellement, me choque et qui réside dans le fait que beaucoup, se font construire des piscines.

 Je ne sais pas, ce que dit la loi sur le sujet.

 Mais il me semble cohérent qu’en cas de risque incendie, les pompiers soient en droit de revendiquer de pomper l’eau des piscines pour protéger les habitations, mais surtout, que chaque propriétaire qui soit susceptible, d’être menacé par un incendie de forêt, se voit imposé d’avoir à disposition, en extérieur et disponible peut être, par autrui du matériel, pour pomper et arroser, avec du matériel plus adapté qu’un simple tuyau d’arrosage, comme chaque maison en est doté.

 Si je précise « disponible, par autrui », c’est que je fais référence aussi, à l’hypothèse selon laquelle, les propriétaires des maisons, peuvent aussi, ne pas être présents, et qu’alors, des voisins puissent s’en saisir, et utiliser le matériel en question.

 Au sujet des tessons de bouteille, ou les verres brisés, voilà un argument supplémentaire, pour militer pour la consigne du verre.

 Si vous ramenez une bouteille à la consigne, c'est une de moins qui ne risque d'être jetée dans la nature et qui limite alors le rique incendie.

 Il n'est pas rare, au pied des containers à verre, d'observer des particuliers qui ont la flemme de mettre leurs bouteilles, ou verres brisés, dans le container, risquant alors d'être responsables de futurs incendies.

Les internes en médecine en détresse à l'hôpital public, au point de pousser certains au suicide.

Par Le 25/04/2021

(Je précise que j'ai lu l'article avant de le copier coller, pour le cas où certains en douteraient).

DETRESSE DES INTERNES : «On est passés de l’hôpital qui soigne à l’hôpital qui tue» !

Ces étudiants en médecine qui constituent la force vive des structures hospitalières publiques ont vu leur charge de travail et la pression de leur hiérarchie augmenter considérablement avec la crise sanitaire, au point de pousser certains au suicide.

par Maïlys Diogo

«A cause de la fatigue, j’ai déjà failli confondre deux patients pour administrer un anticoagulant», déclare Nejm, interne en deuxième année à Montpellier. Comme lui, de nombreux futurs médecins se plaignent des horaires à rallonge auxquels ils font face, et ce, d’autant plus depuis le début de la pandémie de Covid-19. «Le problème aujourd’hui, et même avant la crise, c’est que l’interne est devenu malléable et rempli tous les trous de l’hôpital», regrette Léo Sillion, vice-président de l’Intersyndicale nationale des internes (Isni). Il constate que l’interne est une main-d’œuvre bon marché qui voit de nombreuses missions déportées sur lui.

@ «On aimerait de la reconnaissance»

Selon une étude de l’Isni parue en mai 2020, en moyenne et toute spécialité confondue, un interne en médecine travaille 58 heures par semaine. Ce nombre serait monté à 80 voire 100 heures hebdomadaires avec l’arrivée du Covid. Pourtant, selon un arrêté ministériel de 2002, actualisé en octobre 2020, la durée légale de travail effectif dans la fonction publique hospitalière ne peut dépasser 48 heures. Cela correspond d’ailleurs à la limite européenne. «A mon premier semestre, il m’est arrivé de travailler treize jours d’affilée de 8 h 30 le matin à 20 h 30 le soir», se rappelle Nejm.

Face à la fatigue chronique de ses co-internes, Léo Sillion insiste : «On n’est pas là pour faire péter l’hôpital public. Ce qu’on aimerait c’est de la reconnaissance et cela passe par le décompte et le paiement de nos heures.»

Tous s’accordent pour dire qu’ils se sentent laissés à l’abandon, et ce, en dépit de leur rôle indispensable alors même qu’en principe ils sont encore en formation. «En principe, on n’a rien le droit de prescrire ou de faire sans l’accord du chef de service. Pourtant, dans les faits, nous sommes le premier contact du patient, le premier soldat de la santé», se désole Olivia Fraigneau, présidente de l’association des jeunes médecins urgentistes. Elle déplore devoir accepter d’être sous payée car étudiante, alors même que sans la présence des internes, l’hôpital public s’écroulait. Avec l’arrivée du Covid-19, bon nombre se sont retrouvés à effectuer trois à quatre gardes par semaine, soit près de 90 heures sur le pont sans pouvoir se plaindre ni qu’on leur demande leur avis.

@ Crises d’angoisse et idées suicidaires

Par ailleurs, leurs études qui les ont habitués à un rythme effréné, les poussent à accepter une certaine réalité : souffrir pour devenir un bon médecin. Comme le dit amèrement Olivia : «Dans ce milieu, on nous fait croire qu’on est faibles si on dit qu’on est fatigués. Résultat, un interne se suicide tous les dix-huit jours [moyenne depuis le 1er janvier 2021 établie par l’Itni, ndlr].» Elle est heureuse d’avoir su s’arrêter un moment au début de l’année quand ses crises d’angoisse commençaient à se faire récurrentes.

Sur le plan psychologique, la plupart sont au plus bas. Morgan Caillault, président de l’Intersyndicale nationale autonome représentative des Internes de médecine générale (Isnar-IMG) dénonce l’omerta qui règne dans ce milieu. Il rappelle qu’en 2017, l’Isnar-IMG a révélé à l’occasion d’une étude conjointe sur la santé mentale des jeunes et futurs médecins que 66 % d’entre eux souffrent d’anxiété et que 23 % ont eu des idées suicidaires.

Interne de 25 ans dans le sud de la France, Marie dénonce le poids des responsabilités démesurées que l’on fait peser sur les internes et leur impact délétère. «On est deux internes la nuit sans chef de service pour près de 80 lits. Je me suis déjà retrouvée face à un patient en arrêt cardiaque sans savoir quoi faire. Il y a certains lendemains de garde où je suis rentrée en pleurs et il m’a fallu plusieurs jours pour m’en remettre», explique la jeune femme.

@ Peu de soutien psychologique

«On a cinq internes qui se sont ôté la vie depuis le premier janvier, des gens à bout, usés par l’hôpital. On est passés de l’hôpital qui soigne à l’hôpital qui tue», constate Léo Sillion désabusé. Pourtant, ils peinent à faire porter leur voix auprès de leurs chefs de service car c’est aussi cette personne qui valide leurs stages.

De plus, peu de dispositifs de soutien psychologique leur sont destinés. Quasiment seul recours existant, les syndicats d’internes interrégionaux laissent leur ligne téléphonique ouverte pour les internes en détresse. En effet, pour l’heure, peu de cellules d’écoute sont mises en place par les hôpitaux. Si les langues ont commencé à se délier ces dernières années dans les hôpitaux, les internes craignent que ce phénomène ne soit freiné, voire stoppé par cette crise sanitaire de longue durée. Tous dénoncent le silence des hiérarchies qui se succèdent et de la législation qui, bien qu’incomplète, existe mais ne prévoit pas de sanctions. «Il faut rendre l’hôpital attractif à nouveau car pour l’instant il ne l’est plus», lâche Nejm.

Le 15 avril, trois syndicats d’internes ont été reçus par le ministre de la Santé, Olivier Véran, pour évoquer le manque d’élaboration par leurs chefs de tableaux de services, pourtant obligatoires depuis 2015. En effet, selon l’Isnar-IMG, 50 % des tableaux de service ne sont pas mis en place. «La réunion s’est conclue par une promesse d’une enquête nationale dirigée par le ministère de la Santé et l’inclusion de sanctions financières dans le prochain projet de loi de financement de la sécurité sociale», déclare Morgan Caillault.

https://www.liberation.fr/societe/sante/detresse-des-internes-on-est-passes-de-lhopital-qui-soigne-a-lhopital-qui-tue-20210421_T3YVMSIFPVCBXPSQZVWLDEVWF4/?utm_medium=Social&xtor=CS7-50-&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2JNN-9esfKYgxELkog6_WFEx63zwWEKkB9KNbnim58LnwKfKXsOyBC6d0#Echobox=1618989858

 Ce que j'en dis ? Je ne vos rien à rajouter.... Aucun étonnement de ma part.

 

Dans PSYCHO.

En politique aussi, respectez, je vous prie "la nuance".

Par Le 25/04/2021

Alors que je lisais, ici, un article au sujet de "l'islamo ganchisme", expression, qui traduit d'aventage, il me semble, une volonté, de monter en epingle, un pehenomène réel, mais ne meritant pas, il me semble, une telle publicité, je reflechssais, à ce que je perçois, personnellement, de la diversité, des personnes, que j'observe.

 Je ne parle pas là, de mon environnement proche, dans le réel, moi, qui vit à la campagne, mais plutot, du brouhha général, que je perçois, par medias, interposé, duquel, d'ailleurs, je me preserve, preciment, pour mon equilibre personnel.... Et ceci, "malgré le confinement consecutif au convid".

  Ces tenant, de cette expression, dont ils iment se saisir, aimeraient nous faire croire, que des lors, qu'on est enfant d'immigré, on vit, systemtiquement, la rage an ventre, à vouloir, en decoudre, absolument, dans une rancoeur tenace, qu'il  serait inenvisageable, qu'il en soit autrement....

 C'est bien mal connaitre, la nature huamine, qui veut, qu'on peut a voir, immigrer, quelquefois, dans un contexte, qui n'ait pas été necessairement, si traumatique que celà....

 C'est bien mal connaitre la nature humaine, effectivemnt, qui veut que certains, se sont integré, plutot, bien, et ne gardent, pas necessairement, une quelconque rancoeur,  ce qui ne constitue pas necessairement, je le precise, un pretexte, pour autant, à voir, en eux, une quelconque trahison, vis à vis de leurs familles, d'origine, restées, au bled, ou ailleurs....

 Oui, je pense plus précisément, je le reconnais, au milieu artistique, car il est vrai qu'en temps qu'artiste, on a la chance, y compris quand on est interdit encore, pour des raisons sanitaires, de ne pas pouvoir se  produire, d'au moins pouvoir transformer, ce qui nous inquiète, nous émeut, nous perturbe, ce que n'ont pas d'autres, qui n'ont pas cette chance.

  Il n'y a rien de plus prejuciable, je crois, que les à prioris, ces étiquettes, qu'on vous colle,  parce que vous avez telle couleur de peau, tel handicap, telle particularité, telle origine, telle histoire, tel vécu....

 Je réécoutais, ces jours derniers, l'émission "la bande originale", avec Nagui, au sujet de Sofia Aram,  qui a écrit un livre sur ce sujet.

https://www.franceinter.fr/emissions/la-bande-originale/la-bande-originale-22-avril-2021

 "La question qui tue".

http://www.denoel.fr/Catalogue/DENOEL/Document/La-question-qui-tue#

 En vérité je crois que nous a vons tous, aisi, certaines particularités, qu ont pour consequence, qu'on vous interpelle toujours, sur les mêmes questions...

 Au delà, du fait que ça blesse, et qu'on en arrive à evoluer, comme le dit Sofia dans la stratégie à adopter pour botter en touche, par pure féniantise d'y répondre, mais surtout, parce que ça n'avance à rien, ce qui interpelle, c'est que ça equivaut,au fait, se sentir assigné, toujours, à devoir, jutifier, du fait, qu'on ne serait pas dans la norme qu'on voudrait nous imposer.

 Vous n'êtes pas dans la norme, et donc, vous devez vous justifier.

 Peut être, que la reponse, aux questions, deplacées, aussi, pourrait être, de simplement sourire, quelquefois.... En regardant droit dans les yeux, version, "j'ai bien entendu, ta question, mais franchement, TU M'EMMERDES".

 Voilà.

 

WeMoveEU

Par Le 22/04/2021

https://www.wemove.eu

Mettre fin, à l'évasion fiscale !

https://act.wemove.eu/campaigns/stop-evasion-fiscale

Pour rappel, j'ai ecrit un livre sur ce sujet que je suis en train d'actualiser, afin de le présenter à mon éditeur, les éditions Sydney Laurent.

 Le titre sera, "Gafam, crevettes et pêche à pied".

 Il s'agit, d'une sombre histoire de "pousseux", de crevettes et de trous dans le racket, on dit, "le racket", ou "la raquette" ?

 

Recherche sur le cerveau.

Par Le 22/04/2021

   J'ai toujours soutenu cet institut, parce que c'est dans ce domaine, que se trouve la clé, de bon nombre de pathologies, dont les maladies qu'on dit dégénératives....

    Quand je tombais en depression severe, il y a plus de 20 ans maintenant, les medecins pretendaient, et je 'lvais souvent entendu, qu'un neurone, qui etait detruit, plus rien n'était possible, pour s'en sortir, et retrouver la raison, en somme, "on était fichu".

   Magré ce message, d'un pessimisme avéré, à l'epoque, qui m'avait franchement traumatisée, comme beaucoup, je suppose,  je commençais, un travail therapeutique, que je savais être long et fastidieux, prznant les medicaments, malgré tout, que la psychiatrie m'avaient imposé (je n'ai jamais derrogé à cette règle),  je rongeais mon frein, et interieurement, j'envoyais au diable, ces oiseaux de mauvaise augure....

   Très vite, en ce qui me concerne en particulier, on m'a fait savoir que ça n'était que des ânneries...

   La sagesse, de la part du corps médical et des chercheurs en médecine, ne consisterait elle pas, je  le prétends, à toujours avoir conscience du puit abyssal, de ce qu'il leur reste à apprendre, aussi sûrement en tout cas, que chaque individu, ne doit jamais lâcher la main de l'enfant qu'il a été un jour.

  En ce sens, en tout cas, tous les espoirs sont permis, et la recherche avance.

   Je poserai ici les articles, ou émissions, "tout en désordre", et j'en suis désolée...

   En effet, considérant qu'en matière de recherche médicale, de toute façon, beaucoup de découvertes, se font "par accident", d'une part (non, j'ai oublié comment on appelle ça), et que d'autre part, les troubles  et symptômes de certaines pathologies sont intimement liées à d'aures troubles d'autres pathologies...

  En somme, je ne suis pas spécialiste, j'en suis consciente, et donc, je n'ai pas à revendiquer en quoi que ce soit, de faire preuve d'un classement quelconque,  ou d'une spécialité qui serait non seulement mensongère, mais aussi parfaitement déplacée.

https://ifi.institutducerveau-icm.org/?reserved_code_media=21SPG9&gclid=Cj0KCQjwvYSEBhDjARIsAJMn0lhgT8EhAv51nAo767aUrUHExxgEG03yhMslL-o4G48dfYO-LdSjRrUaAnOAEALw_wcB

  Sinon, j'ai regardé deux épisodes d'hypocrate, sur canal, il y a quelques semaines.

   Non, je n'ai pas regardé la suite, parce que, considérant la pandémie, et tout ce que ça évoque par effet papillon, sur le plan psychologique, pour beaucoup, j'ai suffisemment ma dose, comme on dit, pour ne pas épouver le besoin de m'en imposer d'aventage.

  Je n'ai aucun doute, par contre, sur le fait que pour certains, ça pourrait leur être salutaire par sa justesse et son intelligence, pour remplacer la moutarde, qui leur sert de neurones, en ce qui concerne le désespoir de certains patients, pour ne citer que celà.

 Et le courage des soignants, et apparentés, "on en parle" ?

https://www.franceinter.fr/emissions/ma-vie-de-patient/ma-vie-de-patient-11-avril-2021

https://www.franceinter.fr/recherche?q=parkinson

“En rapprochant des voix lointaines, la radio unit les gens et les lieux.”

Par Le 22/04/2021

   Cette phrase a été prononcée, par un certain Jonathan Puckey, cofondateur de Radio Garden, et voici un article, qui vous explique, ce qu'est RADIO GARDEN... Je suis bluffée !

https://www.telerama.fr/radio/radio-garden-un-jardin-deden-pour-ecouter-en-direct-les-radios-du-monde-entier-6657236.php?fbclid=IwAR2Xb3iCCvQ07pEHYADsROolmykabxgtnnf_91H0v8-HYQQvnKlS08KGWKA#contributions

   J'ai posé d'autre part, ce commentaire sous l'article.

   Bon, je découvre, et je trouve cette idée vraiment géniale. Il ne manque plus, si j'ai bien compris, éventuellement, de pouvoir l'ecouter, sans internet, non , ha, mais non, on ne peut pas cliquer, et faire tourner le curseur, pour voyager, justement, dommage, c'était pour que ceux, qui ont la radio, mai pas internet, de pouvoir en faire autant... ha, lala... je demande toujours l'impossible... OUPS, il parait, aux dernières nouvelles, que c'est ainsi qu'on ouvre portes et fenêtres, et qu'on progresse tous ensembles. Enfin, selon Bénabar, "sacrement inspiré", dites moi.

 

Dans REUSSIR...
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Les lesbiennes, écartées du débat, sur la PMA.

Par Le 21/04/2021

Certains homme, sur le fil du debat, s'insurgent, en petendant, que ce serait là, une forme de victimisation, qui serait deplacée.

 la verité, reside dans le fait, que de façon non dite, beaucoup l'ont au travers du gosier, que  des femmes, puissent pretendre, concevoir un enfant, sans qu'on  ait recours, à un acte sexuel...

 "Et les autres, alors.., les hétéros" ?

  Ha, mais les hétéros, c'est pas pareil, parce qu'elles, elles ne rejettent pas "le mâle" simplement, pour des raisons inconnues, ça ne fonctionne pas, alors en somme, "on leur pardonne"...   là, dans leur esprit, il n'y aurait rien d'immmoral....

  Mais au fait, dites donc, pas de bol justement, sur mes trois filles, j'en ai une, qui est lesbienne, oui, j'ai cette chance, ne me remerciez pas.

 "Mais enfin, merde, entre ne pas parvenir à faire un enfant, dans un couple, "normal" (hi hi hi),  passe encore, mais si en plus de nous rejetter, elles poussent le bouchon jusqu'à vouloir, être mère, encore en plus, alors, là, "ma bonne dame",  c'est carrement la goutte d'eau, qui fait, deborder le masculinisme, moi, je vous le dis !

  Pour faire court, je précise, je viens de terminer un ouvrage sur la parentalité, je viens de l'envoyer à mon éditeur, et justement, j'ai bossé sur ce sujet aussi, dites donc, vous vous rendez compte, un peu, de la chance inouïe que vous avez...

 Bon, allez, je ne suis pas si vache, JE PARTAGE !

 pour commencer, le line, pour acheter mon livre, sur le masculinisme, histoire de vous mettre en jamabes, un peu.

https://editions-sydney-laurent.fr/livre/le-masculinisme/

 Ensuite, je vous fais un copié collé, du chapitre concerné.

 Vous allez voir, c'est incroyable, ce qui peut se passer dans la tete, d'une maman, de trois filles, dont l'une, est lesbienne !

 (Je vous livre, le chapitre concerné, j'en parle, à linterieur de ce chapitre).

 

Homme seul, en manque de paternité.

  Oui, j’imagine que les tenant de la famille traditionnelle, lèvent les yeux au ciel.

  Comme si un homme, qui n’est pas en couple, hétéro ou pas, serait en droit d’éprouver un manque de cet ordre.

 Et oui, que voulez-vous, aux yeux de certains, et certaines, SURTOUT, peut-être ?

La parentalité, ne serait qu’une affaire de femmes, c’est bien connu !

  Il n’est pas question, dans ce contexte, de défendre le droit d’avoir recours à la GPA, enfin, « pas encore », parce que c’est un sujet qui donne de telles dérives, aujourd’hui, que cette hypothèse, que je défends malgré tout, politiquement, si un jour elle est adoptée en France, devrait faire l’objet d’un encadrement, que pour tout dire, je crois, aucun pays encore, n’a adoptée de façon aussi encadrée, que moi je l’imaginerai envisagée politiquement !

  Non, pour l’instant, soucions nous de cet homme-là, qui la a le blues, à chaque fois qu’il croise un bébé,  qui, quoi qu’on en dise généralement, ne pousse pas la poussette canne tout seul, à moins qu’il ne soit motorisé, mais accompagne généralement, soit une maman, soit une nounou, au parc…

  Il bave littéralement, devant cette scène, parce que son rêve, c’est d’être père, je vous dis.

  Seulement voilà, une femme en mal d’enfant, on compatit, un homme en mal d’enfant, pour un peu, on le traiterait de pédophile.

  Non mais il ne peut pas faire comme tout le monde, et se trouver un ventre non, « comme tout le monde » ?

  Et oui, c’est que dans l’inconscient collectif, le manque d’enfant n’est accepté, toléré, et compris, voir, analysé, que s’il émane de la mère d‘abord….

  Un homme seul, lui, ben, non ? Il passe son tour, hein, il attend, de se trouver un autre ventre, je ne sais pas moi, mais la société, et bien elle s’en tape.

 Certains doutent, là, non ?

  Et bien expliquez-moi, alors, pourquoi une femme célibataire, a le droit d’adopter, alors qu’un homme célibataire, statistiquement, doit avoir beaucoup moins de chance d’être éligible à l’adoption ?

 Tout est fait, si je ne me trompe, pour signifier à l’homme, qu’il n’aurait droit d’être père, qu’avec le blanc saint, d’une femme à ses côtés.

 Je sais qu’il existe des hommes qui expriment le désir, soit de vouloir un jour porter un enfant, soit de le voir porté par une machine….

 Allons, allons, on se calme, on peut en rire, oui, mais est-ce vraiment une solution ?

 Cette posture, que je qualifierai de symptomatique, tendrait à évincer la femme, de tout processus de gestation.

 Mais je parle de symptôme, qui dit symptôme, dit maladie, je parlerai alors de mysoginie poussée à l’extrême, à ne pas confondre avec un masculinisme malsain, mais hélas, infiniment plus répandu, qui voudrait que la femme ne soit réduite précisément qu’à son rôle de reproduction, avec en option généralement, uniquement et strictement, le son rôle conventionnel au foyer.

 Cependant, le verbaliser de la part de certains hommes, doit être entendu dans ce que ça évoque dans la cadre de la parentalité justement, mais bien plus encore, dans ce que certains transfèrent dans leur relation au vivant, et dans le rôle qu’ils imaginent de la science, face au phénomène de reproduction…. C’est de bioéthique dont il est question, ne nous y trompons pas, puisque  « Science sans conscience, n’est que ruine de l’âme », selon Rabelais.

Alors, je sais, certains me diront, « mais enfin, les femmes revendiquent bien le fait de porter un enfant, sans jamais avoir eu recours à l’acte sexuel, alors que donc philosophiquement, l’homme face à elles, s’en trouve donc écarté »….

 Ce qui n’est que la stricte vérité.

 C’est simplement oublier qu’en aucune façon, ni les hommes ni les femmes, ne sont légitimes pour remettre en cause les processus biologiques qui déterminent qui porte l’enfant, et qui, ne le porte pas.

 Qu’une femme, quelle qu’elle soit, revendique de ne pas avoir de relation sexuelle avec un homme pour concevoir un enfant, ne présente à mes yeux aucun problème d’ordre philosophique en quoi que ce soit, des lors, que face à l’enfant, elle l’en informe comme tous parents devraient le faire, des lors qu’il ait été conçu, de façon que je qualifierai de « non conventionnelle ».

 C’est pour cette raison, qu’il y a quelques années, j’avais élaboré un projet politique qui sera exploité un jour, je l’espère, qui obligera tout parent, vis à vis de l’enfant qui verra le jour, à avoir ce que j’appelle, un « livret de  conception et (ou), de naissance non conventionnelle ».

 Si j’avais pris cette précaution, c’était pour anticiper le fait que tant de parents se retrouvaient déjà, avec des difficultés pour concevoir un enfant, et que je prenais conscience du fait que ces circonstances si particulières, et médicalisées de sa conception, devaient à mon avis ne pas lui être cachées, pour son équilibre psychologique dans son devenir.

 J’ai appris par la suite, il n’y a pas longtemps encore, que dans le cas de don d’ovule ou de don de gamètes, un fort pourcentage de parents choisissent de ne pas en informer l’enfant, ce que je trouve préjudiciable, pour l’enfant concerné.

 Mon idée alors, me semble plus valable et justifiée que jamais.

 Pour ce qui concerne les femmes qui refusent l’acte sexuel, pour concevoir un enfant, je rappelle que ce qui importe,  dans l’éducation d’un enfant, c’est d’avoir un ou plusieurs hommes dans son entourage proche, pour qu’il puisse s’y identifier, et en aucune façon, le fait qu’il n’y ait pas eu d’acte sexuel pour concevoir l’enfant, n’entre en ligne de compte, sur ce point en particulier.

 Pour dire plus clairement, il n’existe aucune raison particulière, qui justifierait que de refuser un acte sexuel pour concevoir un enfant, puisse être perçu, par lui comme signifiant que les hommes, seraient évincés ou exclus, de la démarche affective ou éducative, vis-à-vis de l’enfant à naitre.

 Je dirai même, c’est au contraire parfaitement cohérent.

 En effet, une femme lesbienne, ma fille par exemple, puisque j’ai cette chance, d’avoir une de mes filles qui est homosexuelle, souhaiterait avoir un enfant.

 Elle assume et revendique son orientation sexuelle.

  Il me semble cohérent qu’elle puisse expliquer à son enfant, ou que par la loi, elle soit contrainte de le mettre noir sur blanc, dans le livret de conception  et (ou), de naissance non conventionnelle.

Il est alors logique qu’elle ait refusé de concevoir un enfant par l’intermédiaire d’un acte sexuel, donc nécessairement hétérosexuel, pour cette seule et unique raison .

Un violentomètre sur les sacs à pain !

Par Le 21/04/2021

A Frcmp, en haute Normandie, des sacs à pain ont té distribués, pour sensibiliser aux violences faites aux femmes.

 C'est l'association "Nous Toutes", qui est à l'origine de cette inititive, qui devrait pouvoir être répandue partout sur le territoire, parce qu'aller acheter son pain est un acte usuel, et donc, peut ainsi statistiquement, toucher plus de personnes encore.

https://www.noustoutes.org

https://editions-sydney-laurent.fr/livre/le-masculinisme/

https://www.lecourriercauchois.fr/actualite-279037-pays-de-caux-des-sacs-a-pain-pour-prevenir-les-violences-faites-aux-femmes

Mise au point sur le télé réalité.

Par Le 20/04/2021

https://www.telerama.fr/ecrans/vingt-ans-de-tele-realite-comment-le-petit-ecran-sest-loftise-6861023.php#contributions

  J'ai toujours détesté, toute forme de télé réalité, au point de n'en avoir regardé, que... 5mn, je crois, parce que le média télé, m'intéresse, et donc, j'ai voulu voir...

5mn, oui, "c'est grave, docteur" ?

J'ai une vision de la télé, plus altruiste que ça, je suis désolée.

A l'heure ou sur le plan médical, pire encore, avec le covid, un pourcentage important de citoyens, sont en grande difficulté psychologiquement, enfermés entre quatre murs, j'ai l'absolue certitude que la télévision a un vrai potentiel, pour aider les téléspectateurs à en souffrir le moins possible, et si je passe pour une vielle conne aigrie, soyez sans crainte, ça ne me fait aucun effet, si ce n'est que me renforcer, dans mes convictions.

Je n'ignore pas cependant, les enjeux fondamentaux que représentent les parts de marchés, qui conditionnent, le prix que va rapporter, une minute de pub (je schématise un peu), mais est ce à vos yeux, une raison suffisante, pour aller vers la facilité... Je ne crois pas.

J'ai trois filles, adultes maintenant, sauf erreur de ma part, la télé-réalité existait déjà, et elles ne sont pas tombées dans la panneau pour autant.

Je les ai élevées de telle sorte qu'elles ont toujours su, enfin, il me semble, qu'on n'a rien sans rien, et qu'en somme, utiliser de faux raccourcis, pour devenir célèbre, là où à priori, il n'existerait aucune raison valable, pour qu'on le soit… ça aurait été, et c’est illogique, quand on prend conscience, d’autre part, que de célèbres inconnus, méritent largement qu’on parle d’eux, alors que ça n’est pas le cas…

 Je persiste à dire, que la télé réalité, pour moi, c’est vraiment, de la merde en branche, et si je reconnais, que j’émets quelques nuances, dans le milieu de la chanson, télécrochet, etc, -pour peu que ce soit honnêtement ficelé, à 90 %, ça demeure bel et bien de la merde.

 Vous apprecierez, j'ose espérer, "mon sens de a nuance", mais j'aime assez claire, quand je suis sûre de mon fait, ce qui est précisément le cas.

Pour une publicité plus verte, sur radio France.

Par Le 20/04/2021

  Il ne s'agit pas de la couleur, façon "green washing", mais bien au contraire, que le vert,  (ver de terre ?)soit dans la matière de ce qui est promu, précisément, et pas d'apparence, pour remplir les conditions.

   Alors, si vou êtes association, ou n'importe quelle antité sociale, fondation, entreprise solidaire, aussi, peut être, ou simple association,  il y a actuellement appel à candidater, dans cette démarche.

   Ca se passe ici, en suivant ce lien:https://www.radiofrance.com/actualite/une-publicite-plus-verte-avec-radio-france