Françoise Niel Aubin, artiste.

Dans le rétroviseur.

  Je n'ai  pas pour habitude, de mettre en avant le fait d'y regarder trop souvent.

 Certains vous diront que ça serait là, même, quelque peu préjuciable...

 Pour certain, c'est franchement securisant.

  Ca, n'est pas ce que j'en attends.

 En vérité, regarder en arrière, ne signifie pas se complaire dans une posture rétrograde nécessairement, ou passéiste.

  Ca permet, par exemple aussi, justement de relativiser quelquefois, des problèmes auxquels , on est quelquefois confrontés, et donne l'occasion aussi, d'observer à quel point, l'ignorance, "parce qu'on ne savait pas encore", peut donner des comportements fortement préjudiciables, voir carrément toxiques, intellectuellement, comme en politique.

 Ceux qui portent des valises extrêmement lourdes, notamment, relativement à leurs histoires familiales, dues aux guerres passées, notamment, peuvent trouver un véritable soulagement, non pas en se complaisant dans des reproches morbides, mais en ayant ainsi, quelquefois une image plus précise et plus juste, comparativement à ce que leurs récits familiaux leurs avaient restitué.

 Pour ma part, sans être particulièrement nostalgique, de temps en temps, je trouve ça agreable, mais j'aime mieux encore les documentaires ou films d'époque, en costumes notamment, qui me font faire de véritables voyages dans le temps, et qui m'invitent à fuir le présent qui m'emmerde, quelquefois, pour cause de covid, notamment. 

  Je n'ai  pas pour habitude, de mettre en avant le fait d'y regarder trop souvent.

 Certains vous diront que ça serait là, même, quelque peu préjuciable...

 Pour certain, c'est franchement securisant.

  Ca, n'est pas ce que j'en attends.

 En vérité, regarder en arrière, ne signifie pas se complaire dans une posture rétrograde nécessairement, ou passéiste.

  Ca permet, par exemple aussi, justement de relativiser quelquefois, des problèmes auxquels , on est quelquefois confrontés, et donne l'occasion aussi, d'observer à quel point, l'ignorance, "parce qu'on ne savait pas encore", peut donner des comportements fortement préjudiciables, voir carrément toxiques, intellectuellement, comme en politique.

 Ceux qui portent des valises extrêmement lourdes, notamment, relativement à leurs histoires familiales, dues aux guerres passées, notamment, peuvent trouver un véritable soulagement, non pas en se complaisant dans des reproches morbides, mais en ayant ainsi, quelquefois une image plus précise et plus juste, comparativement à ce que leurs récits familiaux leurs avaient restitué.

 Pour ma part, sans être particulièrement nostalgique, de temps en temps, je trouve ça agreable, mais j'aime mieux encore les documentaires ou films d'époque, en costumes notamment, qui me font faire de véritables voyages dans le temps, et qui m'invitent à fuir le présent qui m'emmerde, quelquefois, pour cause de covid, notamment. 

Le 16/09/2025

"Je suis Charlie", est tombé dans le caniveau, à moins que ça ne soit "je suis Robinson" ?

Il y a quelques jours, un influenceur "charismatique", au sens premier du mot, c'est à dire, "qui sait se faire remarquer", a été abattu, pendant qu'il faisait un meeting, aux USA.

 J'aurai pu poser comme titre,  "qui sème le vent, récolte la tempête", quand on observe que son activité politique principale, n'ait été autre que de monter les communautés les unes contre les autres, et que de critiquer, mépriser, telle communauté ou telle autre, ne peut qu'entretenir la haine...Et pousser aux extrèmes.

 Je condamne évidemment, sans le moindre doute, le crime qui ait été commis, parce que si cet homme représentait tout ce que je déteste politiquement, attachée au debat politique  au sens large, le seul moyen de combatre une ideologie, ne residera jamais que dans la dialogue et la confrontation verbale.

 Quand un pays s'enorgueillit de porter le port d'arme, comme une valeur intrincèque de son identité, il ne faut pas s'etonner d'observer que les plus ultras, tous courants politiques confondus revendiquent à la moindre occasion, en cas de crise, de trouver légitime, de "tirer dans le tas", quand il s'agit de tueries de masse, ou de s'en prendre individuellement, à telle personnalité, ou telle autre.

 Et sur ce point, il n'y a pas un courant politique aux USA, qui soit en mesure de revendiquer de ne pas en avoir été victime.

Mais revenons en à Charlie Kirk.

 On apprenait, hier, que sur les réseaux sociaux sa communauté récupére le slogan français, "je suis Charlie", pour faire de lui, ce qu'on apppelle, "un martyre".

https://www.rfi.fr/fr/france/20250107-je-suis-charlie-histoire-du-voyage-en-absurdie-de-joachim-roncin-auteur-d-un-slogan-devenu-viral

 JE SUIS, JE SUIS, JE SUIS.....

 Tout et n'importe quoi, visiblement, si l'on observe à quel point, certains prénoms, ont ainsi devoyé, litteralement, l'image de ceux qui les ont précédés.

 Pour moi, Donald c'était la bande à Picsou, et le vieux grincheux, gripesou, et Donald son neveux, inconséquent, qui faisait des bêtises, et ses trois neveux, Riri, Fifi et Loulou, depuis que Donald Trump est arrivé dans la sphère politique américaine, le prénom Donald en à pris pour son grade au détriment, du heros du dessin animé.

 Ainsi, on observe qu'au moment où cet assassinat, ait été commis, le présumé coupable s'appellerait Robinson, alors qu'au même moment, Donald Trump, tressait des couronnes de laurier, à un autre Robinson, au Royaume Uni, il y a quelques jours, ce dernier etant, un politique, d'extrème droite....

 Personnellement, toujours, attachée visceralement, à la liberté d'expression, de dessiner et de caricaturer, je me contente d'être Françoise, ce qui me semble largement suffisant.

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Le 11/09/2025

Le BIO, en agriculture.

Mon livre sur l'agriculture, qui va s'appeler, "sacré géranium", édité par nombre7, en est à la relecture. j'aborde le sujet du BIO, bien sûr, dans plusieurs de mes chapitres.

 Fouillant sur internet à ce sujet, je viens de découvrir un site tres bien fichu, qui permet de découvrir où en est le BIO, aujourd'hui, dans chaque departement ou chaque region, en ce qui concerne le nombre d'entreprises agricoles déclarées comme telles, ou les surfaces agricoles, qui sont concernées.

https://www.agencebio.org/observatoire-de-la-production-bio-sur-votre-territoire/

 Pour ce qui concerne leur viabilité, et leur chiffre d'affaire, par contre, c'est une autre affaire.

 C'est sur ce point précis, pourtant, que je cherche l'info ce matin, sachant qu'il faudrait se méfier de toute forme d'intox sur le sujet, sachant que d'autre part,  c'est ce qui est observé et vehiculé comme info, qui serait susceptible, d'encourager ou de decourager, untel ou une telle, de s'installer en BIO, aujourd'hui.

 Un indice pourtant, devrait permettre d'y voir plus clair, quand on voit l'organisation, "Prince de Bretagne BIO", faire une campagne de pub à la télévision, ce qui ne doit pas être au goût de tout le monde en Bretagne, quand on observe le côté mafieux, d'un certain syndicat agricole.   Oui, j'ai bien dit, et je le repète, "le côté mafieux d'un certain syndicat agricole".

https://www.bio-bretagne-ibb.fr/actualite/adherents/fruits-et-legumes-prince-de-bretagne-bio-bons-et-100-bretons/

https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin

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Le 07/09/2025

Ha ça lira .

 Tout y est !

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Dans BIEN ÊTRE, dont la santé, accessoirement.

Le 17/06/2025

Artistes "artivistes".

Il s'agit d'un tableau, pour lequel j'ai eu un coup de foudre, à l'exposition de saint Riomain de Colbosc, il y a quelques années.

 L'auteur s'appelle Ragib Paul.

Pour ce qui le concerne, lui et son oeuvre, vous pouvez suivre ces liens.

https://www.facebook.com/rajib.paul.731

https://www.facebook.com/photo?fbid=10237867254401887&set=a.2171477087836

 La lecture plus personnelle que j'en ai faite à l'époque, et encore maintenant, réside dans plusieurs points.

 Pour commencer, je suis toujours interpellée par ceux qui parviennent à sublimer, ce qui au premier coupe d'oeil, semble dénué du moindre intérêt.

  Dans le cas présent,  le fait de sublimer ce qui est laid, plus que par ce qu'il symbolise que ce qu'il est visuellement, c'est parce qu'il nous interpelle, sur le plan écologique, qui nous invite à la réflexion.

 Oui, j'ai bien dit : "Le fait de sublimer ce qui est laid, plus que par ce qu'il symbolise que ce qu'il est visuellement".

 Parce que peindre des bouquets de roses, je n'ai rien contre, bien au contraire, mais c'est nettement plus consensuel, que de choisir de peindre un sac poubelle plein de détritus, nous sommes bien d'accord...

 Quand j'ai découvert ce tableau, j'ai tout de suite pensé au sixième continent, celui du plastique, dont nous avons parlé, il y a quelques jours, à l'occasion de la rencontre, pour sauver nos océans.

 Vous pouvez réécouter des emissions, sur le sujet, en suivant ce lien:

 https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre

 Ou celui ci:https://bloomassociation.org/

 Ou encore, ici :https://www.france.tv/france-5/sur-le-front/

 Voilà, je crois que tout est dit, et C'EST BEAU.....Je developpe largement cette idée d'apres la citation de Pablo Picasso, qui disait, que l'Art n'était pas fait pour décorer les murs, dans mon ouvrage, "peintre du dimanche", disponible aux éditions Nombre7, en suivant ce lien : https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin

 Pour ceux qui voudraient l'acquerrir,  il est encore disponible, sous forme d'estampes sur commande, je crois, aupres de l'auteur.

 

 

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Dans Dans le rétroviseur.

Le 04/05/2025

Lettre de Philippe Torreton, à Jean Ferrat.

    J’aimerais te laisser tranquille, au repos dans cette terre choisie. J’aurais aimé que ta voix chaude ne serve maintenant qu’à faire éclore les jeunes pousses plus tôt au printemps, la preuve, j’étais à Antraigues il n’y a pas si longtemps et je n’ai pas souhaité faire le pèlerinage. Le repos c’est sacré !

   Pardon te t’emmerder, mais l’heure est grave, Jean. Je ne sais pas si là où tu es tu ne reçois que le Figaro comme dans les hôtels qui ne connaissent pas le débat d’idées, je ne sais pas si tu vois tout, de là haut, ou si tu n’as que les titres d’une presse vendue aux argentiers proche du pouvoir pour te tenir au parfum, mais l’heure est grave !

   Jean, écoute-moi, écoute-nous, écoute cette France que tu as si bien chantée, écoute-la craquer, écoute la gémir, cette France qui travaille dur et rentre crevée le soir, celle qui paye et répare sans cesse les erreurs des puissants par son sang et ses petites économies, celle qui meurt au travail, qui s’abîme les poumons, celle qui se blesse, qui subit les méthodes de management, celle qui s’immole devant ses collègues de bureau, celle qui se shoote aux psychotropes, celle à qui on demande sans cesse de faire des efforts alors que ses nerfs sont déjà élimés comme une maigre ficelle, celle qui se fait virer à coups de charters, celle que l’on traque comme d’autres en d’autres temps que tu as chantés, celle qu’on fait circuler à coups de circulaires, celle de ces étudiants affamés ou prostitués, celle de ceux-là qui savent déjà que le meilleur n’est pas pour eux, celle à qui on demande plusieurs fois par jour ses papiers, celle de ces vieux pauvres alors que leurs corps témoignent encore du labeur, celles de ces réfugiés dans leurs propre pays qui vivent dehors et à qui l’on demande par grand froid de ne pas sortir de chez eux, de cette France qui a mal aux dents, qui se réinvente le scorbut et la rougeole, cette France de bigleux trop pauvres pour changer de lunettes, cette France qui pleure quand le ticket de métro augmente, celle qui par manque de superflu arrête l’essentiel…

  Jean, rechante quelque chose je t’en prie, toi, qui en voulais à D’Ormesson de déclarer, déjà dans le Figaro, qu’un air de liberté flottait sur Saïgon, entends-tu dans cette campagne mugir ce sinistre Guéant qui ose déclarer que toutes les civilisations ne se valent pas? Qui pourrait le chanter maintenant ? Pas le rock français qui s’est vendu à la Première dame de France. Ecris-nous quelque chose à la gloire de Serge Letchimy qui a osé dire devant le peuple français à quelle famille de pensée appartenait Guéant et tous ceux qui le soutiennent !

  Jean, l’huma ne se vend plus aux bouches des métros, c’est Bolloré qui a remporté le marché avec ses gratuits. Maintenant, pour avoir l’info juste, on fait comme les poilus de 14/18 qui ne croyaient plus la propagande, il faut remonter aux sources soi-même, il nous faut fouiller dans les blogs… Tu l’aurais chanté même chez Drucker cette presse insipide, ces journalistes fantoches qui se font mandater par l’Elysée pour avoir l’honneur de poser des questions préparées au Président, tu leurs aurais trouvé des rimes sévères et grivoises avec vendu…

  Jean, l’argent est sale, toujours, tu le sais, il est taché entre autre du sang de ces ingénieurs français. Lajustice avance péniblement grâce au courage de quelques-uns, et l’on ose donner des leçons de civilisation au monde…

  Jean, l’Allemagne n’est plus qu’à un euro de l’heure du STO, et le chômeur est visé, insulté, soupçonné. La Hongrie retourne en arrière ses voiles noires gonflées par l’haleine fétide des renvois populistes de cette droite « décomplexée ».

  Jean, les montagnes saignent, son or blanc dégouline en torrents de boue, l’homme meurt de sa fiente carbonée et irradiée, le poulet n’est plus aux hormones mais aux antibiotiques et nourri au maïs transgénique. Et les écologistes n’en finissent tellement pas de ne pas savoir faire de la politique. Le paysan est mort et ce n’est pas les numéros de cirque du Salon de l’Agriculture qui vont nous prouver le contraire.

  Les cowboys aussi faisaient tourner les derniers indiens dans les cirques. Le paysan est un employé de maison chargé de refaire les jardins de l’industrie agroalimentaire. On lui dit de couper il coupe, on lui dit de tuer son cheptel il le tue, on lui dit de s’endetter il s’endette, on lui dit de pulvériser il pulvérise, on lui dit de voter à droite il vote à droite… Finies les jacqueries !

  Jean, la Commune n’en finit pas de se faire massacrer chaque jour qui passe. Quand chanterons-nous « le Temps des Cerises » ? Elle voulait le peuple instruit, ici et maintenant on le veut soumis, corvéable, vilipendé quand il perd son emploi, bafoué quand il veut prendre sa retraite, carencé quand il tombe malade… Ici on massacre l’Ecole laïque, on lui préfère le curé, on cherche l’excellence comme on chercherait des pépites de hasards, on traque la délinquance dès la petite enfance mais on se moque du savoir et de la culture partagés…

  Jean, je te quitte, pardon de t’avoir dérangé, mais mon pays se perd et comme toi j’aime cette France, je l’aime ruisselante de rage et de fatigue, j’aime sa voix rauque de trop de luttes, je l’aime intransigeante, exigeante, je l’aime quand elle prend la rue ou les armes, quand elle se rend compte de son exploitation, quand elle sent la vérité comme on sent la sueur, quand elle passe les Pyrénées pour soutenir son frère ibérique, quand elle donne d’elle même pour le plus pauvre qu’elle, quand elle s’appelle en 54 par temps d’hiver, ou en 40 à l’approche de l’été. Je l’aime quand elle devient universelle, quand elle bouge avant tout le monde sans savoir si les autres suivront, quand elle ne se compare qu’à elle-même et puise sa morale et ses valeurs dans le sacrifice de ses morts…

  Jean, je voudrais tellement t’annoncer de bonnes nouvelles au mois de mai…

Je t’embrasse.

Philippe Torreton

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Dans Autrice.

Le 24/03/2025

Ruralité.

Les maisons familiales et rurales.

https://www.mfr.fr/

J'ai été invitée, il y a quelques jours, avec d'autres auteurs, à  participer à un salon du livre, Interne à leur maison, pour être plus précise, celle de Bernay, dans l'Eure.
Nous avons été fort bien reçus, et avons présenté nos ouvrages, par groupes de quatre à six, environ, devant des élèves allant de la quatrième, à la prépa BAC pro.

La "maison dont il est question, propose un contexte architectural de premier ordre, en pleine nature, avec espace vert, et arbres centenaires, bien que l'on ait pas pu avoir accès à leurs certificats de naissance.

Il m'avait déjà été donné de présenter mon travail d'artiste peintre, dans un établissement similaire, mais pas encore, côté écriture.

Ces maisons sont accréditées par l'état, qui, à ce titre, leur est redevable de subventions, sensées assurer un bon fonctionnement, sachant d'autre part qu'elles accompagnent et forment des ados, qui sont, pour certains, en difficultés scolaires, en les formant à des professions, telles que auxiliaires de vie, entre autre.

Le midi, nous avons été invité(e)s à partager leur repas, " home made", comme on dit, bien loin des plats tous préparés, version assiettes en plastique, etc, ce qui m'a beaucoup amusée, puisque ça m'a ramenée à la période où  j'étais moi même pensionnaire, au lycée Corneille, pendant que j'étais au collège Catherine Bernard, à Barentin.

Les cruches en inox, les grandes tablées, les grands plats qui circulent, c'est de là que doit me venir le goût des grandes tablées.

Chou rouge et carottes râpées, en entrée, et Chili con carne maison, une part de fromage, et une crème au citron.
L'après midi, rebelote, nous avons reçu chacun, une douzaine de groupes de cinq ou six, je n'ai pas compté, pour tout dire.

L'EHPAD de Bernay était aussi de la partie, et nous les avons reçus, pendant que le café bouquin proposait aussi, thé, café, et petits gâteaux maison.

J'ai remarqué que les élèves les plus âgés, étaient les plus hardis à poser des questions, somme toute, incontournables, version" vous gagnez combien, avec vos livres", parmi lesquelles, bien d'autres bien plus pertinentes.

Je m'attendais à voir certains visages plus fermés, pour aborder le sujet du masculinisme, et donc, du féminisme, et il n'en fut rien.

Un peu surprise d'observer que quasiment aucun garçon, ne connaissait le masculinisme, alors que bien des jeunes filles étaient plus averties sur le sujet.

La directrice m’a expliqué le fonctionnement, et insisté sur leur inquiétude qui résulte de la diminution du budget, qui remet en cause le fonctionnement de son établissement.

Sans cereseau de maisons, qui fait du bon travail, que deviendraient ces jeunes, qui ont frisé pour certains, le décrochage scolaire ? Voilà, la question que je me pose.

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Le 02/03/2025

La chanson française et moi.....STARMANIA ?

Je vous pose, ça, en vrac, hein....

 Voilà, comment, j'ai decouvett Brassens, quand j'etais au collège, en sixième, je crois.

 Le texte de cette chanson, dans mon livre de Français, et je suppose, que la prof, nous l'avait fait écouter.

 Sans que la prof nous en ait expliqué le moins du monde le message, j'avais parfaitement compris. Si certains se posent des questions, relativement, à mon positionnement politique, et bien ne cherchez pas plus loin.

TOUT Y EST.

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Le 14/03/2024

Grands accords commerciaux.

 Nous vivons, il est vrai, avec le souvenir des plus traumatisants, de la crise de la vache folle.

 Cette crise était due, au fait que les vaches alors, pouvaient être nourries avec des farines animales, ce qui était et est toujours un non sens, pour un herbovore, quel qu'il soit. Je précise, herbovore exclusivement, donc, bovins, caprins, et ovins.

 Les volailles, par exemples, ne sont pas concernées, parce qu'elles sont omnivores.

 Aujourd'hui, il semble bien que la législation de certains pays, soit des plus obscures, sur le sujet, notamment au Canada, alors que justement, le CETA, met en lumière, une discordance de la legislation, entre celle du canada, et celle de la France.

https://twitter.com/Francois_Ruffin/status/1148668825401024515

 Pour aller plus loin sur les risques sanitaires, qui sont le problème le plus difficile, que rencontrent les adeptes des élevages intensifs, je vous recommande une émission que j'ai écoutée, ces jours derniers, qui parlent des moisissures de fromage...

 Oui, certains, pensent peut être qu'on s'éloigne du sujet, et bien pas du tout, justement, bien au contraire.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-lundi-11-mars-2024-5811672

 Dans cet épisode, il est expliqué scientifiquement que l'apauvrissement des souches de moisissures, qui sont sellectionnées, pour produire tel fromage ou tel autre, est parfaitement assimilable, à l'apauvrissement génétique des races ou souches génétiques de tel animal d'elevage ou tel autre, comme dans n'importe quel elevage industriel, et que la conséquence premiere réside, dans une diminution du systeme immunitaire chez ces animaux, et donc, induit une médicalisation, de plus en plus importante en quantité, mais aussi, une profilaxie qui devient de plus en plus difficile à mettre sur pied.

 Et ceci, dans quel objectif ?

 Celui de répondre à des normes sanitaires, ou flattant l'oeil (un camemenbert bien blanc, plutot que gris) et répondre à cette vision industrialisée de l'agriculture, d'aujourd'hui, conforme à ces grands accords commerciaux.

 

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Le 07/01/2024

Europeénnes 2024, la détresse sociale, n'est pas une forme de bobologie.

Bon, c'est une vidéo un peu ancienne, mais je viens de retomber dessus, et elle me semble coller parfaitement à ce qui nous attend politiquement, en 2024.

 Petite précision, en ce qui concerne ma mesure de protection, depuis cette date, les choses se sont benettement améliorées. Ce qui signifie donc, que je ne l'ai pas fait pour rien.

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Dans Artiste peintre calligraphe.

Le 18/12/2023

Wokisme.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-du-lundi-18-decembre-2023-5871595

 Je cautionne aussi cette analyse là, celle qui affirme que le wokisme fabrique, et induit le racisme.

 Pourquoi ?

 Parce que cette théorie, celle du wokisme, voudrait laisser croire que notre identité, qu'elle soit culturelle ou qu'elle soit génétique,  nous marque au fer rouge, au point qu'il serait obligatoire, quasiment, qu'elle nous soit tatouée, pour nourrir notre identité, et par voie de conséquence, nos positions ou nos actes, dans le présent.

 Ors, justement, c'est bien là que se trouve le mensonge éhonté sur le sujet en vérité, cette identité coule dans nos veines, au moins, en poucentage égal, tout ce qui émotionnellement, nous ait marqué, depuis notre naissance, parce que c'est par ces émodttions, qu'on est effectivement, "marqués à vie", et qui nous conditionne, alors que parallelement, nos origines génétiques et culturelles peuvent parfaitement, passer bien plus loin que secondairement, voir être parfaitement occultées, au profit, d'un universalisme qui est une realité, qui se moque complètement de la couleur de peau, de l'appartenance religieuse ou du passé trouble, d'un grand père ou d'une grand mère, pour ne citer que celà...

 Entendre qu'on impose à des enfants de couleur, de ne se trouver qu'entre eux, même si ça n'est que quelques heures, pour les obliger à renouer avec des racines ethniques, culturelles ou raciales, là où peut être, ces enfants, voir leurs parents,  ne le souhaitent pas, oui, je l'affirme, sans le moindre doute, c'est fabriquer du racisme. Pour tout dire, je suis horrifiée, d'entendre une telle chose.

 Je connais personnellement, des enfants d'immigrés, qui se foutent éperdument, du fait que leur père ou leur mère, aient eu telle origine, ou telle autre, ils sont en France, ils y sont nés, ils ont bossé leur vie entiere, ils touchent leurs retraites, ce qui est bien la moindre des choses, et leurs racines ethniques leur parlent, à peu pres autant q'un oiseau qui est passé devant la fenêtre, ou une feuille morte qui tombe à l'automne, ou qu'un chat qui miaule...

 Que ce soit au détriment pur et dur, de toute forme d'universalisme qui pourtant, existe bel et bien, par contre, même si ça en emmerde plus d'un politiquement, ça ne fait aucun doute.

 Pensez donc... Comment monter les communautés, les unes contre les autres ?  Si les gauches s'en chargent, il ne reste plus qu'à continuer à ripoliner, faire de jolis selfies avec la famille de chats, et le tour est joué, c'est pitoyable, vraiment pitoyable.

 Et pour les "sans mêlés", ils font comment ?

 ils vont faire passer un cariotype  aux enfants, avec analyses génétiques ?

Oui, les "sangs mêlés", ça se passe comment ?

 Pendant la seconde guerre mondiale, pour  prouver qu'on n'était pas juif, il fallait montrer patte blanche, et etaler, son arbre généalogique, et là, on remet le couvert, sous couvert de la bien-pensance ?

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Le 17/12/2023

DEPARDIEU ? Ne tirez pas sur l'ambulance....

https://www.france.tv/france-2/complement-d-enquete/

 J'ai regardé ce documentaire... Sans plaisir, voir, avec la nausée pour tout dire, parce que c'est toujours pénible, d'observer un pareil colosse (artitiquement), bourré de talent, qui sous ce pretexte, à complètement perdu la boule, au point de se croire intouchable.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-du-lundi-11-decembre-2023-2721783

 "Ben oui, mais c'est gerard"... Mais quelle horreur, vraiment, mais quelle horreur.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/nathalie-baye-sur-depardieu-je-ne-connais-pas-l-homme-que-l-on-decrit-maintenant-5578832

 Il y a un truc, que beaucoup ont du mal à comprendre visiblement, dans le milieu artistique, qui reside dns le fait que si les victimes mettent du temps, à deposer plainte,  c'est précisément, parce que ce metier, helas, prédispose à ce qu'il existe certaines dérives,  puisque celles qui sont en position d'infériorité, quand à la reconnaissance dans le métier, par définition, sont suspectées infiniment plus que dans n'importe quelle autre corporation,  d'être équivoques, à plus forte raisons, quand elles sont motivées, pour "embrasser", cette profession...

 Mais alors, la question se pose....

 Dans quel objectif porteraient elles plainte ? Je veux dire, que le fait de déposer plainte, deja,  est bien la preuve, qu'il y ait eu préjudice, et préjudice extrêmement grave, sinon, elles ne porteraient pas plainte, justement. Ce qui est interpellant d'autre part, réside dans le fait que celles, qui n'ont pas eu à s'en plaindre, peuvent être perçues, comme "tolérentes", face à ces abus... version "connais pas".

 Je viens d'entendre à l'instant, que la famille (on peut les comprendre), revendique que cesse le lynchage médiatique.... Et que seule la Justice doit se prononcer, ce qui est vrai.

 Alors, qu'elle soit à la hauteur, et vite, si possible.

 Car seul, le fait qu'elle soit  insuffisemment efficace, justement, justifie la tentation de voir certaines, faire justice elles même, par le biais des réseaux sociaux, ce que personnellement, si je l comprends, je condamne.

 Mais puisque que l'on revendique de se reposer  sur la Justice, ce que je cautionne entièrement, parlons en.

 La définition juridique du viol, réside dans le fait d'introduire, dans le corps de la victime, quelque chose, contre la volonté de la "prétendue victime".

 Un objet, un pennis, la langue, etc....

 Un homme, qui coince une jeune fille, une jeune femme, ou une femme,  (ou garçon, jeune homme, etc)contre un mur, pour introduire ses doigts dans la vulve de la victime, EST UN VIOLEUR, juridiquement.

 Et ça, jamais un juge, ne pourra jamais le nier.

https://www.village-justice.com/articles/apres-loi-avril-2021-une-nouvelle-definition-viol,41765.html

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Dans BIEN ÊTRE, dont la santé, accessoirement.

Le 15/11/2023

Bébés placés, la vie devant eux .

https://www.france.tv/france-2/infrarouge/5383908-bebes-places-la-vie-devant-eux.html

 Magnifique reportage, qui place l'intérêt de l'enfant, comme primant avant l'intérêt de parents qui ont en manque d'enfants à combler.

 C'est très exactement l'inverse de ce que fait poutine, actuellement,  au sujet des enfants qu'il vole à l'Ukraine, pour les endoctriner, afin, d'en faire des enfants soldats, et de les retourner contre leurs parents véritables.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-du-mardi-14-novembre-2023-7662266

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Le 06/11/2023

Egalité des salières.

https://lesglorieuses.fr/

Pas facile d'être féministe, contrairement à ce que certains pensent, quelquefois, peut être, y compris chez certaines femmes, d'ailleurs, on est bien contraints (avec l'aide de certains aussi ), de leur ecarquiller les yeux.

 Personnellement,  j'ai écrit un ouvrage qui s'appelle "masculinisme",  et ça n'est pas pour rien...

 Pourquoi ?

 Il y a bien des années, j'avais rédigé différents articles sur le féminisme.

 Un jour, je m'etais dit "tiens, je vais relire, peut être que ça pourrait interesser quelqu'un"...

 Mon travail me semblait d'un seul coup, complètement ors propos, ou plus précisément, upsolète...

 Blessée sur le fait d'avoir le sentiment d'y avoir bossé pour rien ?

 Non, ça ne risquait pas. pas une seule seconde.

    Parce que quand on a l'aventage d'écrire facilement, (ce qui ne signifie pas necessairement que ce soit synonyme de talent, soit dit en passant), je veux parler de talent littéraire, quand on ecrit sur des sujets de société, au grand jamais, on n'écrit, "inutilement".

    Il est bien rare, objectivement, que l'on ecrive, "inutilement", mais ceci, est un autre debat.

   En effet, comme je l'explique, quand je fais des salons du livre ou autres manifesations, travailler en interne, que ce soit pou être posé sur internet, ou pour nourrir le projet d'un ouvrage, sur un sujet précis, le processus d'écriture nourrit un projet de toute façon, en nous obligeant à l'instrospection, sur soi, d'une part, mais aussi sur notre relation aux autres, et plus largement sur le phénomène de société dont il est question...

   En ce sens, travailler sur un sujet de société qui ne relève aucunement de la fiction, mais plutôt, sous forme d'essai, quelque soit sa nature, constitue un travail interne qui est toujours profitable, parce qu'il prepare quelque part, dans un avenir plus ou moins proche, un autre projet d'ouvrage, par exemple...

    Et oui, pour ceux qui l'ignoreraient, toujours, sans qu'on ne puisse le maitriser, n'importe quel sujet de société qui soit traité, induit toujours qu'il soit mêlé à un autre, ou à plusieurs autres.

    En ce sens, j'ai mis ça de côté, et me suis dit, "on verra bien".

   C'est un peu comme si vous vous étiez donné du mal, pour préparer une planche de votre potager,  sans savoir encore, ce que vous allez y semer ou y planter, avec cette nuance cependant, que jusqu'à preuve du contraire, un texte qui est rangé, dans la section "document", de votre ordinateur, ne va pas voir la nature en train de se frotter les mains, et suggérer à toutes adventices, de venir coloniser une terre nettoyée, et laissée nue ! Parce que la nature, elle, a horreur du vide.

   Bon, allez, si vous êtes un peu faignasse à l'automne, comme moi, au jardin, pour peu que vous y ayez bossé (ce qui hélas, n'est pas mon cas), vous êtes quitte pour y poser des cartons pour la fin de l'automne, afin d'eviter, que votre travail n'ait été vain.

  Comme on dit che nous, alors, "gourez vous", parce qu'à cette epoque, il est encore posible, d'un installer quelque chose, y compris, dans une terre qui commnce à se refroidir.

  Non, votre travail, dans l'ordinateur, ne va pas, vous donner à voir, des brindilles, des branches, ou des lianes, qui d'un seul coup, envahiraient votre bureau, puis votre logement.

  Il est vrai que le féminisme inspire, et c'est là, un bienfait, mais, ayant la chance d'être suivie par certaines féministes, j'avais capté que le sujet qui demandait à être traité, c'était le masculinisme.

 Et donc, je m'y suis collée. Ce fû mon premier livre édité.

 Depuis, considérant qu'il était necessaire que je change le codes ISBN de mon ouvrage, suite à la liquidation de mon ancien éditeur, j'en ai profité pour actualiser, ce qui sera le cas des autres ouvrages, qui ont suivi, qui seront eux aussi actualisés à ctte occasion.

 Vous pouvez vous le procurer, en suivant ce lien:

https://www.cultura.com/p-le-masculinisme-10184553.html

 Je ne sais pas s'il est en magasin, par contre, mais vous pouvez l'y commander, comme vous pouvez le commander, dan une librairie.

 Et si dans une librairie, on vous dit, qu'il ne peut être commandé, vous pissez par terre, et vous vous roulez dedans, en principe c'est assez efficace.

   Il est d'autre part, disponible, en dépot, dans ma région, ou disponible, directement, chez moi, en prenant contact.

 Petite précision, je suis une des rares personnes, à a voir travailler sur ce sujet, selon les dires du vendeur de la FNAC à Yvetôt, chez qui j'ai deja dédicacé, alors, qu'ils ont mes différents ouvrages en dépot.

 Comment se fait il alors, que la masculinisme, soit "si peu inspirant"... En voilà, une belle question, ne touvez vous pas ?

 Y compris, du côté des hommes, d'ailleurs, ce qui en dit plus long encore, que de ne pas l'être, du côté des femmes.

 Quoi qu'il en soit, c'est le seul ouvrage, sur lequel j'ai décidé de ne pas peindre la couverture, à partir de cette réédition, "ceci explique celà".

 Au sujet de "l'égalité des salières ", il existe une loi à présent, qui autorise, n'importe quelle femme travaillant dans une entreprise, à demander les salaires à la hierarchie, de ses homologues masculins, pour pouvoir le comparer au sien, à fonction égale, je précise.

 Ma question alors, est la suivante: Comment se fait-il, que la question soit si rarement posée par les femmes, au sein des entreprises ?

 Moi, je sais...

 C'est parce que notre inconscient, nous mène la vie dure et que pour bien des femmes qui travaillent, sans qu'elles n'en soient conscientes, elles trouvent légitimes, qu'un homme, à travail égal, soit mieux remunéré qu'elles...

 Oui, comme on dit, "c'est raide à entendre", mais je parle là d'inconscient, je vous le rappelle....

 Et posez leur donc, la question, au sujet de leur couple, et bien c'est bien pire encore....

 Moi, alors, je fais attention aux faits, et rien qu'aux faits, et je vous le dis bien fort, (bientôt en vidéo,  quand on daignera me verser ma maigre retraite):

A BAS LE POIVRE ! VIVE L'EGALITE DES SALIERES !

 

 

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Dans BIEN ÊTRE, dont la santé, accessoirement.

Le 12/10/2023

Le pouvoir therapeutique, de ce qui est artistique.

Et oui, c'eût été drôle, je suis en train d'ecrire un livre sur le sujet, qui va peut être s'appeller, "peintre du dimanche", sachant que ce que j'y explique, ou ce que je developpe au depart, sur le fait de griffonner sur un papier, avec ou sans peinture, en réalité, s'extrapole parfaitement, à n'importe quelle autre expression artistique.

 Quoi qu'il en soit, alors qu'une guerre vient d'éclater, entre Palestine et Israël, ecouter, certaines émissions, peut être salvatrices.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-interview-de-9h20/l-itw-de-9h20-du-jeudi-12-octobre-2023-5079030

 Ha oui, j'oubliais, "peut on rire de tout", c'est vrai, zut alors, comme je suis distraite...

 La citation, de Pierre Desprroges, à la base, souvent, est coupée, il dit ensuite, "à condition de s'en sentir capable".... Et il est bien dommage, qu'à chaque fois, tout le monde oublie cette précision...

  Nous sommes tous, parfaitement inégaux, devant les emmerdements que l'on subit,  pour une même personne (moi, par exemple, à certains moment, je vais sortir, une grosse connerie, pour faire passer la pillule, et ça pique toujours, et un autre jour, il va me falloir des jours, pour parvenir à rire de mes propres tuiles".

 Nous sommes inégaux,  je dirai même "inconstants",  selon les moments de notre vie, aussi, et plus encore, les uns comparativement aux autres.

 Il serait tant de l'accepter, peut être ?

 On peut être choqués, de voir quelqu'un, rire de quelque chose... Et alors, être choqué, qu'est ce que ça peut faire, tant que...

 Tant qu'il n'y a pas mort d'hommes, de femmes ou d'enfants....

 Même la mort de ceux, qu'on aime, ne doit jamais nous faire oublier, d'en rire, un jour, peut être, pour la simple raison, qu'on en a pas le choix....

 Extrapolons à nos démocraties, que certains aimeraient tant déglinguer...

 Faire un procès à un humoriste, au prétexte, qu'il ait ri de tel problème de société, ou de tel autre, pour moi, ça, c'est criminel... Je dis bien criminel.

 Parce que personne n'est en droit d'interdire à quiconque de s'administrer à sois même,  ou à l'intention d'autrui, comme son public, l'antidot naturel et spontanné, que la nature, un jour, nous ait donné, personne.

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Dans VIVRE DE LA TERRE.

Le 28/03/2023

Potager : Si on semait ?

Une superbe émission, que j'ai découverte hier soir, sur France 5.

https://www.france.tv/documentaires/voyages/4713736-potagers-si-on-semait.html

 Il est important d'observer qu'internet, ouvre de nouvelles perspectives pour cultiver son jardin, que ce soit pour apprendre, ou que ce soit pour transmettre, trouver la motivation, en somme, communiquer sur le sujet.

 Tous ces différents aspects sont abordés, et j'ai trouvé ça passionnant.

 Une remarque cependant, au sujet de la récolte des graines de courges, sauf erreur de ma part, je crois, qu'elles s'hybrident entre elles, rendant ainsi, l'exigence incontournable de cultiver chacune des variétés, sous un voile, ou dans un des filets suspendus,  et fermés, pour empêcher des hybridations que ne manqueraient pas de faire les pillinisateurs, les plants obtenus étant soit stériles, soit inmangeables, et donc, fisant perdre la varité d'origine du cucurbitacée en question.

 C'est en tout cas, ce que j'ai vécu,  et l'énorme potimarron obtenu, était infecte. Le phénomene se produit, notamment, avec les courges d'ornements, qui s'hybrident, avec d'autres courges, rendant les fruits supposés commestibles,  alors qu'il ne le sont pas.

 Il faut savoir, que ce problème d'hybridation, ne se pose que pour les cucurbitacées, mais absolument pas pour les tomates.....Où vous pouvez alors, cultiver, celles ci, les unes à côté des autres, sans le moindre robleme. par contre vous devez être hyper rigoureux, côté etiquettage, au moment, de la recolte des graines, et de leurs manipulation, tout au long du processus.

 Sinon, pour les cucurbitacées, c'est comme la chaine du livre, et les editeurs. MAIS QUEL BORDEL......

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