VIVRE DE LA TERRE.
Le nom de cette catégorie peut surprendre, peut être ?
C'est qu'il n'est pas toujours aisé, d'un site internet à un autre, pour une même personne, de repasser le plat en quelque sorte, sans lasser ses convives.
Je pose, aussi, ici, toute activité, relative, à la terre, sous toutes ses formes, souvent, au sens le plus élémentire, celle quon peut petrir, avec ses mains, où à laquelle, on peut confier des graines.
A ce titre, "VIVRE DE LA TERRE", doit s'entendre aussi, en dehors du contexte strictement et uniquement, social ou professionnel.
Le nom de cette catégorie peut surprendre, peut être ?
C'est qu'il n'est pas toujours aisé, d'un site internet à un autre, pour une même personne, de repasser le plat en quelque sorte, sans lasser ses convives.
Je pose, aussi, ici, toute activité, relative, à la terre, sous toutes ses formes, souvent, au sens le plus élémentire, celle quon peut petrir, avec ses mains, où à laquelle, on peut confier des graines.
A ce titre, "VIVRE DE LA TERRE", doit s'entendre aussi, en dehors du contexte strictement et uniquement, social ou professionnel.
Dans Economie d'énergie.
Le 17/12/2025
Près de Rouen, un crématorium chauffe des logements pour économiser de l'énergie .
"Et ta mère, si elle mourrait, tu en dirais quoi" ?
Et bien la mienne, elle aurait été pragmatique, et aurait pensé que c'est un bon moyen d'alléger les factures.
Le 03/11/2025
Les banques éthiques sont elles fiables ?
https://www.greenpeace.fr/agir/chaque-geste-compte/les-banques-ethiques-sont-elles-fiables/
Lisant cet article, j'observe que les assureurs, eux, ne sont pas en reste.
En effet, il y a une vingtaine d'années, j'avais déja dénoncé, à l'intention de ceux qui feraient devant le réchauffement climatique, ce qu'on peut appeler, "un refus d'obstacle", que les assureurs se chargeraient bien de les rappeler à l'ordre...
J'avais juste oublié un détail, et il est de taille, il réside dans le fait pour un cheval (refus d'obstacle, c'est du vocabulaire hipique), à faire comme si l'obstacle n'existait pas, ce qui n'est pas mieux.
C'est ce que fait trump, de façon magistrale.
Tous les négationnistes du réchauffement climatique, qu'on appelle aussi "climatodénialistes", ont autant de sang sur les mains, symboliquement, que les dictateurs, qui sont en guerre, aujourd'hui.
Je ne sais plus de qui est cette citation, qui prétend que d'oublier des morts, par son mutisme, son indifférence, ou par oubli, c'est comme si on les tuait pour la seconde fois.
C'est tres exactement ce que font aujourd'hui, les climatodénialistes, au sujet de ceux qui meurent dans les catastrophes climatiques.
Quand aux assureurs, je suis pensive de voir qu'ils s'opposent quelquefois à vouloir consentir à continuer d'assurer certains habitants, au pretexte, qu'ils habitent dans des zones, devenues trop sujettes à inondations, par exemple, alors, que ces mêmes assurances, financent les énergies fossiles...
Mais une idée me vient, subitement, qu'il s'agisse des petites communes, qui ne trouvent plus d'assureurs, ou qu'il s'agisse des particuliers...
Puisque la preuve de ces financements au énergies fossiles existent, et que les consensus pour expliquer que le risque d'inondation est dirrectement lié, au réchauffement climatique, pourquoi, il n'existe pas encore de consensus, pour créer un collectif, et les trainer en Justice ?
Je veux dire, pour dire les choses, plus clairement, ça se plaide, ça, non ?
Une question, par contre s'impose alors, existe-til des assurances, qui ont vraiment les mains propres, face au réchauffement climatique, comme il en existe, dans le milieu bancaire ?
Le 24/10/2025
La leçon de sagesse des vaches folles.
Dans le cade de mon livre à paraitre, "sacré géranium", qui sera disponible aux editions nombre7, je lis cet extrait, qui est disponible, sur internet, en suivant ce lien:
Le 15/09/2025
Patriote de gauche ? Et pourquoi pas "matriote" ?
On entend à intervalles réguliers, que la notion de patriotisme ne serait que l'apanage de l'extrême droite, ce qui semble n'être vérifiable que dans le discours.
En effet, seule l'extrême droite revendique un tel vocabulaire, au point d'user de ce mot, dans le nom de son parti, en l'occurrence, plus à droite encore que ne l'est le RN.
Vu de l'extérieur, il ne fait aucun doute pourtant, que certains politiques et certains électeurs, observant les actes et discours de ce parti qui se dit patriote, concède alors de façon plus ostentatoire que Marine le Pen et le RN, jouiraient d'une fréquentabilité qui les feraient passer alors, pour des enfants de cœur.
Ce qui m'incite à penser alors, qu'ils sont bien mon cul m'a chemise, avec comme on dit vulgairement.
Les patriotes dont je vous parle là servent, intentionnellement de véritables faire valoir au RN.
Un peu comme si Marine le Pen et Jordan Bardella étaient de braves petits fachos, disons le, fréquentables.
Et plus ceux qui se revendiquent du parti patriote (reconquête, pour la France)sont infréquentables en étant agressifs dans le discours voir dans les actes, plus leur rôle de faire valoir vis-à-vis du RN se trouve conforté.
Qu'on ne s'y trompe pas, pourtant, ce ne sont pas les patriotes (reconquête, pour la France) qui sont invités aux grandes messes des extrêmes droites européennes, mais bien Marine le Pen.
Il est étonnant d'observer que les difficultés financières qu'à rencontrées le RN, ces dernières décennies, n'aient pas trouvé de bonnes âmes "bien nées", pour combler ce déficit, comme les de Villiers, pour ne citer que ceux-là. Ça aurait permis à Marine le Pen, de ne pas aller chercher du financement en Russie, à l'époque, et d'ainsi de s'en trouver, quoi qu'elle en dise, psychologiquement redevable.
Patriote, disais-je....
Certains se demandent à quel titre, la gauche leur laisse le monopole de ce vocabulaire.
La raison, c'est dans la racine du mot, qui est " pater", qui signifie " père ".
Autant dire que le mot patriote passerait pour une forme de nationalisme masculiniste, ou plutôt, viriliste, et donc, anti féministe.
Voilà, qu'elle en serait la raison véritable, et inconsciente, peut-être..
Et bien, moi, "je m'appelle Francoise", ce qui ethimologiquement signifie " française", je suis féministe, anti viriliste, et patriote de gauche, et j'emmèrde toujours Zemmour, qu'il fasse son discours à Londres, si ça lui chante.
Nul part, il est écrit, qu'une forme humanisme serait incompatible avec le fait d'aimer son pays.
Nous disons bien accessoirement "matrimoine", alors, pourquoi pas "matriote" ?
Dans Environnement, sous toutes les coutures.
Le 20/07/2025
Dermatose nodulaire contagieuse, certains s'opposent à l'abattage collectif préventif.
Dans le cadre de mon ouvrage à paraitre, "sacré gérnium", qui parle d'agriculture, j'ai travaillé sur ce sujet.
https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin
L’abattage systématique, commence à être remis en cause.
("Sacré géranium", à paraitre, chez Nombre7 éditions.)
C'est ce qui est préconisé et potentiellement obligatoire comme protocole, quand certains germes pathogènes sont diagnostiqués.
Quand il s'agit de centaines ou de milliers de poules ou de canards, c'est une situation difficile à supporter pour les éleveurs.
La temporalité qui s'impose, selon le type d'animaux dont il est question, est différente, selon qu'il s'agit de vollailles, par exemple, ou de mammifères, parce que leurs durées de vie est différente.il induit dans le monde agricole, une perception sensiblement différente, si l'on observe que pour des volailles, entre l'éclosion et l'âge adulte, il ne se passe que quelques mois, quand pour d'autres animaux, pourvoyeur de lait, entre autre pour le fromage et les autres produits qui en sont issus, il faut plusieurs années, selon qu'il s'agisse de d'ovins de caprins, ou de bovins.
Il en résulte que le traumatisme ressenti par le producteur de lait ou de viande est considérable, au point qu'on entend de plus en plus les voix de certains vétérinaires, remettre en cause la notion d'abattage systématique.
Il n'est pas question pour moi, d'entrer dans le détail, parce que selon les pathologies dont il est question, et l'animal concerné, j'ai conscience que l'aspect vétérinaire dépasse mes compétences.
Il n'en demeure pas moins, que la survaccination qu'on observe dans tous les élevages confondus, quelque soit l'animal, induit une réaction de la nature, qui, sous l'effet pervers des antibiotiques qui sont administrés préventivement, ce qui, en soit, est un non sens, fabrisque ou fait muter des germes, qui peuvent induire une positivité de certains animaux aux tests qu'ils subissent, alors qu'ils ne ressentent aucun symptômes....
Et c'est l'élevage entier, alors, qu'on propose d'abattre....
Je comprends les doutes de ces vétérinaires frondeur, que j'ose appeler, lanceurs d'alerte.
Le 19/07/2025
https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014
Cette loi, est une abbération politique.
Par définiton, le politique est sensé légiférer, pour défendre le citoyen, le plus possible, contre toute forme d'agression, quelle que soit sa nature.
Nous, citoyens, comprenons mieux que personne, à quel point il peut être difficile, pour les politiques, de prendre les bonnes décisions.
Mais un point demeure observable de plus en plus, qui révèle que les décisions, anti écologiques, servent toujours, uniquement et strictement le court terme, au détriment du moyen terme et du long terme.
GOUVERNER C'EST PREVOIR.
Cette position est parfaitement irresponsable de la part de politiques, qui d'autre part, subissent des pressions insoupçonnées, de la part des lobbistes, que ce soit sur le territoire français, ou que ce soit à l'echelon européen.
Il ne serait pas superflu d'ailleurs, d'exiger des députés, qu'il déclarent non pas, la preuve de leur travail ou des dossiers sur lesquels ils travaillent, car celà existe deja, sur le site de l'assemblée nationale, mais avec quels responsables, ils ont des demandes de RV, et lesquels de ces RV, ils choississent d'honorer, ou pas.
Avec qui ils mangent, au resto, cadeaux, etc (quand il s'agit de travail, evidemment).
Parce que ce que tout le monde ignore, réside dans le fait que le lobbing qu'ils subissent, (et pas les députés, uniquement), est extrêmement virulent, et objectivement s'apparente infiniment plus, à une forme de harcèlement... Que ce soit, au niveau national, mais aussi, européen...
Et pour ceux qui seraient en doute sur ce sujet, demandez vous donc, pour quelle raison les différents lobbing, ont leurs bureaux carrement, au parlement européen, je ne crois pas que ce soit, pour prendre des cours de macramé ou de peinture, mais bien pour faire pression, sur les décideurs politiques, tous pays confondus, dans le v but, uniquement, de proteger des revenus financiers.
Et quand on nous rétorque que la France, sans cette loi, se trouverait en compétition déloyale, vis à vis d'autres pays européens, pour commencer, qu'ils se demandent, pourquoi des agriculteurs BIO, eux, y parviennent, je ne crois pas qu'ils aient, jusqu'à preuve du contraire, de baguette magique...
Ensuite, il faut faire pression, aupres des autres pays européens, qui eux, doivent tendre vers un alignement, qui se rapproche, de nos normes écologiques, autrement dit, cette loi si elle etait adoptée, ne serait rien de moins, qu'un nivellement vers le bas, alors que c'est aux autres pays, de s'aligner sur nos normes, environnementales.
Quel pays européen, aujourd'hui, se trouve légitime, à encourager, l'angmentation, du nombre de cancers les années, et decénnies à venir , voilà, la vraie question, qu'il faut désormais se poser.
Soutenir cette loi, d'autre part, pourrait parfaitement avoir pour conséquence, des poursuites en justice, (non assistance à personne en danger, et mise en danger de la vie d'autrui), si l'on observe à quel point les chercheurs font consensus, pour avoir dénoncé en amont, les risques sanitaires, qui sont en jeux aujourd'hui.
Le 02/07/2025
Salon LITTERROIR, à Broglie (27), compte rendu.
Petite précision, c'est bien parce que ce salon est organisé par mon editeur, nombre7, sinon, je ne ferai pas un compte rendu, à chaque salon.
LITTERROIR, Broglie, compte rendu.
Nous étions une douzaine d’auteurs, chez notre éditeur nombre 7, à avoir répondu présents à ce salon, qui, pour la première fois, se déroulait en Normandie.
https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin
A l’heure, ou la totalité de notre société est numérisée, et où internet, et donc le virtuel qui nous est imposé, induit des distorsions, pour ne pas dire, des conflits dans notre relation aux autres, tout ce qui est artistique, et donc aussi, le secteur du livre n’échappe pas à la règle, sachant que l’acte d’artiste et d’écrivain, est une besogne solitaire, ce qui appuie plus encore sur ce sentiment de solitude…
Certes, on pourrait, me répondre à juste titre, qu’internet n’a pas inventé la fourberie, fût elle de Scapin, ce qui est vrai, mais le constat pourtant est bien là, qu’on voit certains confondre la vie réelle avec la vie virtuelle, et ses inévitables conséquences toxiques, sur la santé mentale.
Ainsi, notre directeur des éditions Nombre7, a fait le déplacement pour nous rencontrer, et ce fait à lui seul, mérite notre plus grande considération…
Quelle maison d’édition, aujourd’hui, envoie son directeur rencontrer ses auteurs, surtout ainsi, dans un salon du livre, et qui plus est, nous prodiguer une petite formation ?
Et en plus, ils nous ont fait bosser !
Présenter, notre dernier bébé, chrono en main….
Moi qui suis une pipelette (pour ceux, qui ne le sauraient pas encore), il a fallu ramasser mon pitch, comme on disait dans les années 80, pour livrer du condensé.
Ensuite, critique du chef et des autres, individuellement, critique constructive et bienveillante, faut il le préciser. Pas mal de rigolade, aussi.
L’occasion nous été donnée ainsi, de faire connaissance avec des auteurs de notre région, chez un même éditeur.
Passer un bon moment, avec des gens, qui ont les mêmes préoccupations, quoi de plus constructif ?
Le 30/06/2025
Souveraineté alimentaire, le sud paie l'addition.
J'y consacre un chapitre, dans mon livre à paraitre, "sacré géranium".
Je parle de la notion de souveraineté alimentaire, qui, sur le plan politique, relève de la plus vulgaire escroquerie.
En effet, qui peut croire une seule seconde, que de revendiquer pour nous, la France, de produire, ce que nous consommons, serait compatible, avec le non dit, qui gouverne la politique agricole française (et donc, la FNSEA, principalement), ou européenne, qui elle revendique une vision purement mercantile, et commerciale basée, sur l'exportation ?
En somme, exporter à tout va, partout, dans le plus de directions possible quelque soit le prix à payer dans les pays, qui sont concernés, en premier chef, et les conséquences, sur place.
Ca ne signifie pas, qu'il faille renoncer à toute forme d'exportaton mais uniquement, qu'on doit y regarder à deux fois, avant de faire l'éloge de ces exportations, et plus encore, quand on brandit l'expression, "souvenraineté alimentaire", qui relève, de la plus pure escroquerie.
CCFD terre solidaire, le dit mieux que moi, politiquement, parlant, je les cite :
"Faire de la souveraineté alimentaire un prétexte pour soutenir les « capacités exportatrices »
de la France relève d’une imposture politique que le CCFD-Terre Solidaire entend combattre".
Ou encore....
En France, cette réalité est occultée par un discours dominant qui présente les exportations
agricoles comme un instrument de lutte contre la faim, entretenant une méconnaissance des effets réels de notre modèle alimentaire à l’étranger.
Pourquoi, au delà, du problème purement "commerce agricole", est ce si important ?
C'est qu'aujourd'hui, une des raisons qui justifie, que beaucoup de migrants cherchent à venir ici, en France, ou ailleurs en europe, réside dans le fait que justement, dans leur propre pays, leur agriculture est tellement mal menée, que c'est la faim, qui les incite à quitter leurs pays, et je parle là, AUSSI, sur place du monde paysan, justement, pendant que nous les inondons de produits qui sont transformés, chez nous, et ceci, au bénéfice uniquement, faut il le préciser, des grandes multinationales de l'agro alimentaire........Inutile de préciser, que ce problème est largement accentué, par le réchauffement climatique.
Pour donner, à CCFD terre solidaire, c'est ici :https://ccfd-terresolidaire.org/campagne/observatoire-de-la-souverainete-alimentaire/
https://ccfd-terresolidaire.org/je-soutiens/
Pour le coup, la métaphore de la boule à facettes, est loin d'être inappropriée.
Dans Dans le rétroviseur.
Le 04/05/2025
Lettre de Philippe Torreton, à Jean Ferrat.
J’aimerais te laisser tranquille, au repos dans cette terre choisie. J’aurais aimé que ta voix chaude ne serve maintenant qu’à faire éclore les jeunes pousses plus tôt au printemps, la preuve, j’étais à Antraigues il n’y a pas si longtemps et je n’ai pas souhaité faire le pèlerinage. Le repos c’est sacré !
Pardon te t’emmerder, mais l’heure est grave, Jean. Je ne sais pas si là où tu es tu ne reçois que le Figaro comme dans les hôtels qui ne connaissent pas le débat d’idées, je ne sais pas si tu vois tout, de là haut, ou si tu n’as que les titres d’une presse vendue aux argentiers proche du pouvoir pour te tenir au parfum, mais l’heure est grave !
Jean, écoute-moi, écoute-nous, écoute cette France que tu as si bien chantée, écoute-la craquer, écoute la gémir, cette France qui travaille dur et rentre crevée le soir, celle qui paye et répare sans cesse les erreurs des puissants par son sang et ses petites économies, celle qui meurt au travail, qui s’abîme les poumons, celle qui se blesse, qui subit les méthodes de management, celle qui s’immole devant ses collègues de bureau, celle qui se shoote aux psychotropes, celle à qui on demande sans cesse de faire des efforts alors que ses nerfs sont déjà élimés comme une maigre ficelle, celle qui se fait virer à coups de charters, celle que l’on traque comme d’autres en d’autres temps que tu as chantés, celle qu’on fait circuler à coups de circulaires, celle de ces étudiants affamés ou prostitués, celle de ceux-là qui savent déjà que le meilleur n’est pas pour eux, celle à qui on demande plusieurs fois par jour ses papiers, celle de ces vieux pauvres alors que leurs corps témoignent encore du labeur, celles de ces réfugiés dans leurs propre pays qui vivent dehors et à qui l’on demande par grand froid de ne pas sortir de chez eux, de cette France qui a mal aux dents, qui se réinvente le scorbut et la rougeole, cette France de bigleux trop pauvres pour changer de lunettes, cette France qui pleure quand le ticket de métro augmente, celle qui par manque de superflu arrête l’essentiel…
Jean, rechante quelque chose je t’en prie, toi, qui en voulais à D’Ormesson de déclarer, déjà dans le Figaro, qu’un air de liberté flottait sur Saïgon, entends-tu dans cette campagne mugir ce sinistre Guéant qui ose déclarer que toutes les civilisations ne se valent pas? Qui pourrait le chanter maintenant ? Pas le rock français qui s’est vendu à la Première dame de France. Ecris-nous quelque chose à la gloire de Serge Letchimy qui a osé dire devant le peuple français à quelle famille de pensée appartenait Guéant et tous ceux qui le soutiennent !
Jean, l’huma ne se vend plus aux bouches des métros, c’est Bolloré qui a remporté le marché avec ses gratuits. Maintenant, pour avoir l’info juste, on fait comme les poilus de 14/18 qui ne croyaient plus la propagande, il faut remonter aux sources soi-même, il nous faut fouiller dans les blogs… Tu l’aurais chanté même chez Drucker cette presse insipide, ces journalistes fantoches qui se font mandater par l’Elysée pour avoir l’honneur de poser des questions préparées au Président, tu leurs aurais trouvé des rimes sévères et grivoises avec vendu…
Jean, l’argent est sale, toujours, tu le sais, il est taché entre autre du sang de ces ingénieurs français. Lajustice avance péniblement grâce au courage de quelques-uns, et l’on ose donner des leçons de civilisation au monde…
Jean, l’Allemagne n’est plus qu’à un euro de l’heure du STO, et le chômeur est visé, insulté, soupçonné. La Hongrie retourne en arrière ses voiles noires gonflées par l’haleine fétide des renvois populistes de cette droite « décomplexée ».
Jean, les montagnes saignent, son or blanc dégouline en torrents de boue, l’homme meurt de sa fiente carbonée et irradiée, le poulet n’est plus aux hormones mais aux antibiotiques et nourri au maïs transgénique. Et les écologistes n’en finissent tellement pas de ne pas savoir faire de la politique. Le paysan est mort et ce n’est pas les numéros de cirque du Salon de l’Agriculture qui vont nous prouver le contraire.
Les cowboys aussi faisaient tourner les derniers indiens dans les cirques. Le paysan est un employé de maison chargé de refaire les jardins de l’industrie agroalimentaire. On lui dit de couper il coupe, on lui dit de tuer son cheptel il le tue, on lui dit de s’endetter il s’endette, on lui dit de pulvériser il pulvérise, on lui dit de voter à droite il vote à droite… Finies les jacqueries !
Jean, la Commune n’en finit pas de se faire massacrer chaque jour qui passe. Quand chanterons-nous « le Temps des Cerises » ? Elle voulait le peuple instruit, ici et maintenant on le veut soumis, corvéable, vilipendé quand il perd son emploi, bafoué quand il veut prendre sa retraite, carencé quand il tombe malade… Ici on massacre l’Ecole laïque, on lui préfère le curé, on cherche l’excellence comme on chercherait des pépites de hasards, on traque la délinquance dès la petite enfance mais on se moque du savoir et de la culture partagés…
Jean, je te quitte, pardon de t’avoir dérangé, mais mon pays se perd et comme toi j’aime cette France, je l’aime ruisselante de rage et de fatigue, j’aime sa voix rauque de trop de luttes, je l’aime intransigeante, exigeante, je l’aime quand elle prend la rue ou les armes, quand elle se rend compte de son exploitation, quand elle sent la vérité comme on sent la sueur, quand elle passe les Pyrénées pour soutenir son frère ibérique, quand elle donne d’elle même pour le plus pauvre qu’elle, quand elle s’appelle en 54 par temps d’hiver, ou en 40 à l’approche de l’été. Je l’aime quand elle devient universelle, quand elle bouge avant tout le monde sans savoir si les autres suivront, quand elle ne se compare qu’à elle-même et puise sa morale et ses valeurs dans le sacrifice de ses morts…
Jean, je voudrais tellement t’annoncer de bonnes nouvelles au mois de mai…
Je t’embrasse.
Philippe Torreton
Le 19/04/2025
Les nouveaux enjeux de l'Intelligence artificielle avec Luc Ferry et Laurent Alexandre .
Il faut absolument réécouter cette émission, et à une grande echelle.
Oui, ils sont tous les deux, particulierement alarmistes, et ils ont parfaitement raison de l'être.
Actuellement, beaucoup, dans la sphère politique, sont dans un deni, qui me semble particulierement inquiétant.
Moi, qui suis de nature optimiste, j'y ai vu clair, des le début.
Dans le secteur de l'éducation notamment, je suis consternée, par ce qui est dit, au sujet de l'IA, qui rend les copies littéralement aux examens ' ( au royaume uni), ce qui me ramène tres exactement, aux avertissements, que je donne, dans certains de mes ouvrages.
Je cite: "certains éléves, ratent complètement certains examens, (ici, en France), parce que les profs pensaient, que certaines connaissances etaient acquises, les devoir faits, et rendus, en temps et en heure, alors, que c'est avec chatGPT, que les devoir sont faits, et l'élève, devant sa copie, n'a donc aboslument rien assimilé...
Je suis absolument consternée, d'entendre un truc pareil...
Que des parents, ou des éléves, n'aient pas l'instinct de survie intellectuel, siffisamment affuté, pour comprendre, que ce que l'on demande à l'IA, comme faire des recherches, assimiler des connaissances, et apprendre, pour enfin, être capable de rediger, n'est pas compatible, avec le fait, de faire intervenir l'IA...
Je vais être franche, comment, peut on être con, ou conne, dans une telle proportion ?
Je ne prétends pas que l'IA, est toujours toxique, bien au contraire, mais visiblement, côté éducation, beaucoup de choses sont à revoir.
Et ça n'est pas certes pas aux profs, qu'il va falloir s'en prendre.
Dans mon ouvrage, "peintre du dimanche", disponible, aux éditions nombre7, j'explique les dangers de l'IA, relativement au processus de création, que j'ai peut être, un peu minimisé, aussi, je le reconnais...
En réalité, dans le secteur artistique, c'est plus du côté de la loi, et de la spoliation des droits d'auteurs, que se trouve le plus grand danger, et si on entend ici et là, que la ministre de la culture, travaille sur le sujet, pour l'instant, on ne voit pas le bout de la queue du mikey, qui nous dirait, que quelque part, il va en sortir quelque chose....
Où en sont ces travaux, tout le monde l'ignore.
Pour ce qui concerne le processus créatif en lui même, il faut revenir à la définition, de ce qu'est l'Art, et une oeuvre d'Art, qui ne saurait être autre, que ce qui émane d'un être humain, au sens strict du mot...
Dès lors, qu'une IA est utilisée, pour produire quelque chose d'artistique, il devrait être juridiquement interdit de l'appeler, "oeuvre d'art". Comme il devrait être interdit, de la faire intervenir, sans qu'il n'y ait un avertissement, au préalable.
Comment évolue, ou n'évolue pas, je le crains, la législation, sur le sujet ? Nous attendons la ministre de la culture sur le sujet.
Dans Autrice.
Le 24/03/2025
Les maisons familiales et rurales.
J'ai été invitée, il y a quelques jours, avec d'autres auteurs, à participer à un salon du livre, Interne à leur maison, pour être plus précise, celle de Bernay, dans l'Eure.
Nous avons été fort bien reçus, et avons présenté nos ouvrages, par groupes de quatre à six, environ, devant des élèves allant de la quatrième, à la prépa BAC pro.
La "maison dont il est question, propose un contexte architectural de premier ordre, en pleine nature, avec espace vert, et arbres centenaires, bien que l'on ait pas pu avoir accès à leurs certificats de naissance.
Il m'avait déjà été donné de présenter mon travail d'artiste peintre, dans un établissement similaire, mais pas encore, côté écriture.
Ces maisons sont accréditées par l'état, qui, à ce titre, leur est redevable de subventions, sensées assurer un bon fonctionnement, sachant d'autre part qu'elles accompagnent et forment des ados, qui sont, pour certains, en difficultés scolaires, en les formant à des professions, telles que auxiliaires de vie, entre autre.
Le midi, nous avons été invité(e)s à partager leur repas, " home made", comme on dit, bien loin des plats tous préparés, version assiettes en plastique, etc, ce qui m'a beaucoup amusée, puisque ça m'a ramenée à la période où j'étais moi même pensionnaire, au lycée Corneille, pendant que j'étais au collège Catherine Bernard, à Barentin.
Les cruches en inox, les grandes tablées, les grands plats qui circulent, c'est de là que doit me venir le goût des grandes tablées.
Chou rouge et carottes râpées, en entrée, et Chili con carne maison, une part de fromage, et une crème au citron.
L'après midi, rebelote, nous avons reçu chacun, une douzaine de groupes de cinq ou six, je n'ai pas compté, pour tout dire.
L'EHPAD de Bernay était aussi de la partie, et nous les avons reçus, pendant que le café bouquin proposait aussi, thé, café, et petits gâteaux maison.
J'ai remarqué que les élèves les plus âgés, étaient les plus hardis à poser des questions, somme toute, incontournables, version" vous gagnez combien, avec vos livres", parmi lesquelles, bien d'autres bien plus pertinentes.
Je m'attendais à voir certains visages plus fermés, pour aborder le sujet du masculinisme, et donc, du féminisme, et il n'en fut rien.
Un peu surprise d'observer que quasiment aucun garçon, ne connaissait le masculinisme, alors que bien des jeunes filles étaient plus averties sur le sujet.
La directrice m’a expliqué le fonctionnement, et insisté sur leur inquiétude qui résulte de la diminution du budget, qui remet en cause le fonctionnement de son établissement.
Sans cereseau de maisons, qui fait du bon travail, que deviendraient ces jeunes, qui ont frisé pour certains, le décrochage scolaire ? Voilà, la question que je me pose.
Dans VIVRE DE LA TERRE.
Le 06/12/2024
Il faut sauver le soldat Label Rouge.
J'en vois deja, qui sourient face au principe de la formule...
OK...
Il n'empêche......
A un moment de l'histoire européenne, qui montre poutine montrer les crocs, pire qu'un loup qu'on accuse de prendre un peu trop de place dans les paturages, face aux merveilleux petits "mogneaux", comme disait Jamel, dans Asterix et Cléopatre, ce sont les aspects positifs de l'Europe, qui sont mises en péril.
Les extrêmes droites, partout en Europe, passent à poutine la brosse à reluire, avec le complicité, d'un Elon Musk, qui ne demande pas mieux, aveuglé tel un vorace "Picsou", qui, par la puissance induite par sa fortune personnelle, se prend pour le messie.
C'est une maladie mentale assez courante, quand on est soit clairement dictateur, soit quand par ses choix politiques, comme aux USA, avec Trump, on en revêt le plus de caractéristiques possibles.
Car oui, au sujet de Elon Musk, ça n'est pas parce qu'il est autiste asperger, qu'on est necessairement altruiste, dan ses ambitions.
Je rappelle, que c'est à coup de fake news, et uniquement pour servir sa fortune personnelle, qu'Elon Musk aujourd'hui, s'était mis au service de Donald Trump, et par ce fait, des suprématistes blancs, profitant du fait que les conflits d'intérêts, n'existent pas aux USA.
Il est grand temps, non pas de remettre en cause l'Europe, comme le prétendent certains à demi mots, mais plutot de se demander quel a été le chemin parcouru.
Il est toujours facile, de regarder le verre à moitié vide, quand on le conjugue avec le fameux slogan, qui dit, que quand on veut tuer son chien, on prétend qu'il a la galle.
Il faut parvenir à reconnaitre, et booster l'idée selon laquelle l'europe ne doit pas servir les intérêts financiers, s'ils sont au détriment de l'individu, qu'il s'agisse du droit du travail, de normes érigées pour le protéger, mais surtout aussi, de nos libertés.
Je sais qu'il est difficile d'imaginer l'Europe, sans que ce soit avec la calculatrice à la main, mais ça ne doit pas être uniquement, la calculatrice qui détermine la politique qu'on y mène.
Parce qu'au sein de l'Europe, quelque soit la culture, et quelque soit la religion, il existe aussi un tronc commun liè à l'humanisme, que ça plaise ou pas aux financiers.
Quelle relation, avec l'agriculture ?
C'est que tous les secteurs sont liés, et ça, il faut le regarder avec honnéteté.
Si vous parlez agriculture, vous parlez environnement, et santé publique, si vous parlez santé publique, vous parlez aussi du reste, comme le droit du travail.
Alors, que l'Europe devrait s'ennorgueillir, de défendre certaines valeurs, qui devraient au demeurant, être l'appanage de tous les pays européens, elle en est aujourd'hui, par l'intermediaire des grand traités commerciaux, tels que les MERCOSUR, à brader notre agriculture, pire qu'un marchand de tapis, même si au demeurant, je n'ai rien contre ces derniers....
Il parait qu'au Maroc, ne pas négocier au souk, c'est faire insulte aux vendeurs...
Soit, la responsable des transactions au sujet du mercosur, serait bien inspirée il me semble, de veiller au grain common dit chez moi, parce que ce serait plusieurs decennies de travail acharné, pour fournir des normes de qualité, qu'elle enverrait aux orties.
J'ai bien dit, normes de qualité, sensées nous protéger d'une concurrence déloyale, et sauver notre qualité des aliments.
Je sais, je sais, comme disait Jean Gabin que les normes, parait il, emmerdent certains agriculteurs, et bien d'autres encore...
Mais si ces normes existent et ont été crées, c'est pour répondre à un besoin de qualité, et qu'elle ont été installées, généralement, pour emettre certains critères de qualité...
Il serait bien utile, de ne jamais l'oublier.
Alors que beaucoup de citoyens dans le monde, souffrent de plus en plus de maladies chroniques, dont beaucoup sont induites, comme disait JP Kauf, "une nourriture de merde", il faut rappeler que ces maladies sont observables partout dans le monde, y compris en Europe ou aux USA, et que ce sont bien ces critères, qui ont pour mission de garantir cette qualité.
Que ce soit difficile, au sein de la communauté européenne, d'organiser et de mettre sur pied une politique agricole, qui ne soit toxique, pour aucun pays, est je crois, peut être, l'un des challenges les plus compliqués à mettre sur pied...
Ca ne fait aucun doute... Le nutriscore, par exemple, est une excellente chose, mais il doit être amélioré encore, et les entreprises d'agro alimentaire doivent s'y plier, sinon, ce sont nous consommateurs, qui organiserons le boïcot.
Consentir au mercosur, est le moyen le plus antinomique d'y parvenir, parce qu'idéologiquement, ça serait donner la priorité à une agriculture basée, plus sur le productivisme que sur le qualitatif, et ça, c'est juste criminel.
Oui, parce que je rappelle que la raison primaire, pour laquelle on cultive le blé, quand on est ceréalilier, c'est de nous nourir les gens, et pas de satisfaire les financiers, et les lobbiistes ceréaliers.
Pour la santé publique, voilà, où nous en sommes.
Petite précision, ce qui est expliqué là, c'est mon cas personnel...Autant vous dire qu'on a pas fini de vous emmerder sur le sujet.
Le 14/03/2024
Nous vivons, il est vrai, avec le souvenir des plus traumatisants, de la crise de la vache folle.
Cette crise était due, au fait que les vaches alors, pouvaient être nourries avec des farines animales, ce qui était et est toujours un non sens, pour un herbovore, quel qu'il soit. Je précise, herbovore exclusivement, donc, bovins, caprins, et ovins.
Les volailles, par exemples, ne sont pas concernées, parce qu'elles sont omnivores.
Aujourd'hui, il semble bien que la législation de certains pays, soit des plus obscures, sur le sujet, notamment au Canada, alors que justement, le CETA, met en lumière, une discordance de la legislation, entre celle du canada, et celle de la France.
https://twitter.com/Francois_Ruffin/status/1148668825401024515
Pour aller plus loin sur les risques sanitaires, qui sont le problème le plus difficile, que rencontrent les adeptes des élevages intensifs, je vous recommande une émission que j'ai écoutée, ces jours derniers, qui parlent des moisissures de fromage...
Oui, certains, pensent peut être qu'on s'éloigne du sujet, et bien pas du tout, justement, bien au contraire.
Dans cet épisode, il est expliqué scientifiquement que l'apauvrissement des souches de moisissures, qui sont sellectionnées, pour produire tel fromage ou tel autre, est parfaitement assimilable, à l'apauvrissement génétique des races ou souches génétiques de tel animal d'elevage ou tel autre, comme dans n'importe quel elevage industriel, et que la conséquence premiere réside, dans une diminution du systeme immunitaire chez ces animaux, et donc, induit une médicalisation, de plus en plus importante en quantité, mais aussi, une profilaxie qui devient de plus en plus difficile à mettre sur pied.
Et ceci, dans quel objectif ?
Celui de répondre à des normes sanitaires, ou flattant l'oeil (un camemenbert bien blanc, plutot que gris) et répondre à cette vision industrialisée de l'agriculture, d'aujourd'hui, conforme à ces grands accords commerciaux.
Le 14/01/2024
Le mal logement, face au phénomène AirBNB.
Dès l'apparition de l'uberisation et de AirBNB, j'avais donné l'alerte, en expliquant pourquoi et comment ce fait allait dégénérer et dans quelle proportion. Il était question alors, ce qui est encore le cas, de concurrence déloyale concernant la législation vis à vis des chaînes d'hôtels ou des hôtels indépendants, qui sont astreints à des normes de conformité drastiques.Cette concurrence déloyale est toujours vérifiable.Mais pour tout dire, je n'aurai pas imaginé avoir un jour raison, dans une telle proportion.
Le 07/01/2024
Europeénnes 2024, la détresse sociale, n'est pas une forme de bobologie.
Bon, c'est une vidéo un peu ancienne, mais je viens de retomber dessus, et elle me semble coller parfaitement à ce qui nous attend politiquement, en 2024.
Petite précision, en ce qui concerne ma mesure de protection, depuis cette date, les choses se sont benettement améliorées. Ce qui signifie donc, que je ne l'ai pas fait pour rien.
Dans Artiste peintre calligraphe.
Le 18/12/2023
Je cautionne aussi cette analyse là, celle qui affirme que le wokisme fabrique, et induit le racisme.
Pourquoi ?
Parce que cette théorie, celle du wokisme, voudrait laisser croire que notre identité, qu'elle soit culturelle ou qu'elle soit génétique, nous marque au fer rouge, au point qu'il serait obligatoire, quasiment, qu'elle nous soit tatouée, pour nourrir notre identité, et par voie de conséquence, nos positions ou nos actes, dans le présent.
Ors, justement, c'est bien là que se trouve le mensonge éhonté sur le sujet en vérité, cette identité coule dans nos veines, au moins, en poucentage égal, tout ce qui émotionnellement, nous ait marqué, depuis notre naissance, parce que c'est par ces émodttions, qu'on est effectivement, "marqués à vie", et qui nous conditionne, alors que parallelement, nos origines génétiques et culturelles peuvent parfaitement, passer bien plus loin que secondairement, voir être parfaitement occultées, au profit, d'un universalisme qui est une realité, qui se moque complètement de la couleur de peau, de l'appartenance religieuse ou du passé trouble, d'un grand père ou d'une grand mère, pour ne citer que celà...
Entendre qu'on impose à des enfants de couleur, de ne se trouver qu'entre eux, même si ça n'est que quelques heures, pour les obliger à renouer avec des racines ethniques, culturelles ou raciales, là où peut être, ces enfants, voir leurs parents, ne le souhaitent pas, oui, je l'affirme, sans le moindre doute, c'est fabriquer du racisme. Pour tout dire, je suis horrifiée, d'entendre une telle chose.
Je connais personnellement, des enfants d'immigrés, qui se foutent éperdument, du fait que leur père ou leur mère, aient eu telle origine, ou telle autre, ils sont en France, ils y sont nés, ils ont bossé leur vie entiere, ils touchent leurs retraites, ce qui est bien la moindre des choses, et leurs racines ethniques leur parlent, à peu pres autant q'un oiseau qui est passé devant la fenêtre, ou une feuille morte qui tombe à l'automne, ou qu'un chat qui miaule...
Que ce soit au détriment pur et dur, de toute forme d'universalisme qui pourtant, existe bel et bien, par contre, même si ça en emmerde plus d'un politiquement, ça ne fait aucun doute.
Pensez donc... Comment monter les communautés, les unes contre les autres ? Si les gauches s'en chargent, il ne reste plus qu'à continuer à ripoliner, faire de jolis selfies avec la famille de chats, et le tour est joué, c'est pitoyable, vraiment pitoyable.
Et pour les "sans mêlés", ils font comment ?
ils vont faire passer un cariotype aux enfants, avec analyses génétiques ?
Oui, les "sangs mêlés", ça se passe comment ?
Pendant la seconde guerre mondiale, pour prouver qu'on n'était pas juif, il fallait montrer patte blanche, et etaler, son arbre généalogique, et là, on remet le couvert, sous couvert de la bien-pensance ?
Le 04/12/2023
Le 06/11/2023
Pas facile d'être féministe, contrairement à ce que certains pensent, quelquefois, peut être, y compris chez certaines femmes, d'ailleurs, on est bien contraints (avec l'aide de certains aussi ), de leur ecarquiller les yeux.
Personnellement, j'ai écrit un ouvrage qui s'appelle "masculinisme", et ça n'est pas pour rien...
Pourquoi ?
Il y a bien des années, j'avais rédigé différents articles sur le féminisme.
Un jour, je m'etais dit "tiens, je vais relire, peut être que ça pourrait interesser quelqu'un"...
Mon travail me semblait d'un seul coup, complètement ors propos, ou plus précisément, upsolète...
Blessée sur le fait d'avoir le sentiment d'y avoir bossé pour rien ?
Non, ça ne risquait pas. pas une seule seconde.
Parce que quand on a l'aventage d'écrire facilement, (ce qui ne signifie pas necessairement que ce soit synonyme de talent, soit dit en passant), je veux parler de talent littéraire, quand on ecrit sur des sujets de société, au grand jamais, on n'écrit, "inutilement".
Il est bien rare, objectivement, que l'on ecrive, "inutilement", mais ceci, est un autre debat.
En effet, comme je l'explique, quand je fais des salons du livre ou autres manifesations, travailler en interne, que ce soit pou être posé sur internet, ou pour nourrir le projet d'un ouvrage, sur un sujet précis, le processus d'écriture nourrit un projet de toute façon, en nous obligeant à l'instrospection, sur soi, d'une part, mais aussi sur notre relation aux autres, et plus largement sur le phénomène de société dont il est question...
En ce sens, travailler sur un sujet de société qui ne relève aucunement de la fiction, mais plutôt, sous forme d'essai, quelque soit sa nature, constitue un travail interne qui est toujours profitable, parce qu'il prepare quelque part, dans un avenir plus ou moins proche, un autre projet d'ouvrage, par exemple...
Et oui, pour ceux qui l'ignoreraient, toujours, sans qu'on ne puisse le maitriser, n'importe quel sujet de société qui soit traité, induit toujours qu'il soit mêlé à un autre, ou à plusieurs autres.
En ce sens, j'ai mis ça de côté, et me suis dit, "on verra bien".
C'est un peu comme si vous vous étiez donné du mal, pour préparer une planche de votre potager, sans savoir encore, ce que vous allez y semer ou y planter, avec cette nuance cependant, que jusqu'à preuve du contraire, un texte qui est rangé, dans la section "document", de votre ordinateur, ne va pas voir la nature en train de se frotter les mains, et suggérer à toutes adventices, de venir coloniser une terre nettoyée, et laissée nue ! Parce que la nature, elle, a horreur du vide.
Bon, allez, si vous êtes un peu faignasse à l'automne, comme moi, au jardin, pour peu que vous y ayez bossé (ce qui hélas, n'est pas mon cas), vous êtes quitte pour y poser des cartons pour la fin de l'automne, afin d'eviter, que votre travail n'ait été vain.
Comme on dit che nous, alors, "gourez vous", parce qu'à cette epoque, il est encore posible, d'un installer quelque chose, y compris, dans une terre qui commnce à se refroidir.
Non, votre travail, dans l'ordinateur, ne va pas, vous donner à voir, des brindilles, des branches, ou des lianes, qui d'un seul coup, envahiraient votre bureau, puis votre logement.
Il est vrai que le féminisme inspire, et c'est là, un bienfait, mais, ayant la chance d'être suivie par certaines féministes, j'avais capté que le sujet qui demandait à être traité, c'était le masculinisme.
Et donc, je m'y suis collée. Ce fû mon premier livre édité.
Depuis, considérant qu'il était necessaire que je change le codes ISBN de mon ouvrage, suite à la liquidation de mon ancien éditeur, j'en ai profité pour actualiser, ce qui sera le cas des autres ouvrages, qui ont suivi, qui seront eux aussi actualisés à ctte occasion.
Vous pouvez vous le procurer, en suivant ce lien:
https://www.cultura.com/p-le-masculinisme-10184553.html
Je ne sais pas s'il est en magasin, par contre, mais vous pouvez l'y commander, comme vous pouvez le commander, dan une librairie.
Et si dans une librairie, on vous dit, qu'il ne peut être commandé, vous pissez par terre, et vous vous roulez dedans, en principe c'est assez efficace.
Il est d'autre part, disponible, en dépot, dans ma région, ou disponible, directement, chez moi, en prenant contact.
Petite précision, je suis une des rares personnes, à a voir travailler sur ce sujet, selon les dires du vendeur de la FNAC à Yvetôt, chez qui j'ai deja dédicacé, alors, qu'ils ont mes différents ouvrages en dépot.
Comment se fait il alors, que la masculinisme, soit "si peu inspirant"... En voilà, une belle question, ne touvez vous pas ?
Y compris, du côté des hommes, d'ailleurs, ce qui en dit plus long encore, que de ne pas l'être, du côté des femmes.
Quoi qu'il en soit, c'est le seul ouvrage, sur lequel j'ai décidé de ne pas peindre la couverture, à partir de cette réédition, "ceci explique celà".
Au sujet de "l'égalité des salières ", il existe une loi à présent, qui autorise, n'importe quelle femme travaillant dans une entreprise, à demander les salaires à la hierarchie, de ses homologues masculins, pour pouvoir le comparer au sien, à fonction égale, je précise.
Ma question alors, est la suivante: Comment se fait-il, que la question soit si rarement posée par les femmes, au sein des entreprises ?
Moi, je sais...
C'est parce que notre inconscient, nous mène la vie dure et que pour bien des femmes qui travaillent, sans qu'elles n'en soient conscientes, elles trouvent légitimes, qu'un homme, à travail égal, soit mieux remunéré qu'elles...
Oui, comme on dit, "c'est raide à entendre", mais je parle là d'inconscient, je vous le rappelle....
Et posez leur donc, la question, au sujet de leur couple, et bien c'est bien pire encore....
Moi, alors, je fais attention aux faits, et rien qu'aux faits, et je vous le dis bien fort, (bientôt en vidéo, quand on daignera me verser ma maigre retraite):
A BAS LE POIVRE ! VIVE L'EGALITE DES SALIERES !