Ha, ça, pour me retrouver, vous allez le retrouver, c’est clair.
Pas certaine, d’ailleurs, que pour certains, ce soit sous l’angle, auquel ils aimeraient m’y voir.
J’ai d’ailleurs déjà commencé, vous pouvez aller lire, en suivant ce lien.
Ensuite.
J’ai entendu, ce matin, qu’une nouvelle ZAD risque de s’installer dans l’hypothèse, où un élevage de 1000 porcs s’installerait, et ça se passe en Auvergne.
On en parle ici : https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/puy-de-dome/puy-dome-projet-elevage-intensif-millier-porcs-fait-polemique-1780669.html
Je suis contre tous les élevages, qu’on dit concentrationnaires.
Je sais, que les différentes filières d’élevage, n’aiment pas qu’on parle d’élevages intensifs, en employant ce vocabulaire, qui fait référence aux camps de concentration, pendant la seconde guerre mondiale.
Et pourtant, alors, que je ne suis ni végétarienne, ni végétalienne, force est de constater qu’étymologiquement, il n’existe aucun argument qui justifie, qu’on se comporte, en vierges effarouchée, pour dénoncer ce qui est « anormal », philosophiquement, en matière d’élevage, une concentration anormalement élevée de sujets, au mètre carré.
Au delà, du principe même, qui relève autant du côté philosophique, que du bien-être animal, et fléxitarienne, en ce qui me concerne, je dois préciser différentes choses.
« Le cochon », je connais, mon père en élevait.
Il faisait à l’époque, le tour de toutes cantines scolaires, qu’on appelait, alors, « eaux grasses », pour nourrir ses cochons.
Pour avoir ensuite, visité un élevage « pas si intensif », que celui décrit là, des lors que des porcs sont élevés, dans des conditions non naturelles, l’odeur, est juste pestilentielle.
Alors, avec une telle concentration, je n’ose imaginer.
Je rappelle, que cette odeur immonde, c’est aussi, ceux qui y travaillent, et les porcs, eux même aussi, qui la subissent.
Ensuite, l’argument pour, relève des expériences, qui se tiennent en Bretagne, où chacun sait que la conséquence des élevages porcins concentrationnaires, là-bas, sont tellement problématiques, que la conséquence, ce sont les algues vertes, en bord de mer.
L’argument pour, donc, c’est le suivant :
« Considérant qu’en Bretagne, c’est la densité des installations, sur un territoire donné, qui étant croisé avec le type d’élevage, provoque les nitrates, et donc les algues vertes, et considérant que sur ce site (donc, en Auvergne) cette densité ne sera pas, puisqu’il n’est question que d’un seul élevage, alors, cet argument n’est pas recevable…
Donc, sous ce prétexte, ils ont donné leur accord.
Cet accord, personnellement, je le remets en cause.
Pourquoi ?
Parce que les algues vertes, coutent un bras aux contribuables d’une part, pour leur gestion, de telle sorte que pour la saison estivale, le plus possible les plages impactées soient nettoyées, mais aussi, en amont, sachant que les différents gouvernements qui se sont succédés, ont consacrés des budgets très importants, pour inciter les éleveurs et agriculteurs, à faire des efforts, en ce sens, et ce, des que le problèmes des algues vertes, est devenu prépondérant en Bretagne…
Je ne remets en cause, personnellement, la bonne volonté des agriculteurs bretons, qui, semble t il, ont fait véritablement les efforts, au sujet desquels, ils ont été aidés par l’état….
Sauf que… Sauf que….
Le algues vertes, elles, sont toujours là.
Et c’est bien là, le problème.
C’est-à-dire, que si l’on observe le modèle concentrationnaire des élevages intensifs, quelque soit l’animal concerné, toujours, les répercussions sur le plan écologique, sont dramatiques pour l’environnement, et que quelque soit le plan mis sur pied pour y remédier, le problème, je veux dire, la pollution reste….
Ce qu’on peut en déduire, alors, réside dans le fait, que partout, où pourrait s’installer le mode concentrationnaire, d’un élevage, c’est toujours, au détriment, du milieu naturel, et notamment, des nappe phréatiques, et des cours d’eau.
J’en entends déjà, qui vont gueuler comme des putois, disant, « on ne peut pas se permettre, de faire du BIO, partout »….
Ça serait pourtant souhaitable, mais je reconnais, que pour le budget des familles, ça n’est pas faisable…
Pour autant, sans faire nécessairement du BIO, je pense que des solutions intermédiaires sont envisageables.
Enfin, suite à la guerre en Ukraine, et parce qu’il faut toujours tirer les marrons du feu, il faut revoir ce qu’on appelle, la dépendance de notre pays, ou plus précisément ce qu’on appelle, « l’indépendance alimentaire »…
Cette indépendance doit aussi être vérifiable, en ce qui concerne les aliments du bétail, justement.
Un agriculteur qui cultive et récolte les aliments qu’il donne à ses animaux, par définition, est moins vulnérable au cours des aliments nécessaire à son élevage.
Cette ferme, donc, dans l’hypothèse, où elle verrait le jour, les porcs seraient alimentés exclusivement avec des aliments achetés, le projet, il me semble, alors, à plus forte raison, par la guerre en Ukraine, devient complètement déplacé, et non viable.
4 Mars 2022.
Bon, j'ai plein de trucs à dire sur le sujet, mais je n'y arriverai jamais avant la fin du salon, auquel de toute façon, je ne vais pas, mais ça n'est pas grave.
Pour commencer, j'ai redigé un article hyper important sur RUNGIS, qui souhaite s'accaparer de façon légale, avec le gouvernement macron, dans l'hypothèse, où il se rait réélu, des terres, en Ile de France, pour couper l'herbe sous le pied aux circuits courts, en général,
J'ose espérer que ce bug, sur mon ordinateur, a été provoqué par qui vous savez, afin qu'il soit récupéré, et arrive à bon port, mais moi, je ne rédige pas de nouveau, désolée.
Ensuite....
Revoir le film de Edouard Bergeon avec Guillaume Canet, "au nom de la terre", dont j'avais parlé dans une vidéo, je ne l'avais pas vu à sa sortie, alors, je l'ai vu sur France 2, la semaine dernière. Il doit être encore disponible, en replay.
https://www.francetelevisions.fr/et-vous/notre-tele/a-ne-pas-manquer/au-nom-de-la-terre-10171
Ensuite, au sujet de la crise du lait.
Il faut, desormais, que certains producteurs de lait, se tournent vers la production de lait de brebis ou de chèvre.
Certains ont commencé, ici, en Nrmandie, alors, que pourtant, s'il est une région qui, à juste titre, mettait en avant sa production laitière, c'est bien la Normandie, et pour cause, avec l'l'hygrometrie dont nous jouissions naturellement, combinée à une couche arable tres fertile et riche en azote, la production d'herbe allait de soi.
Mais ça n'est plus aussi vrai que jadis, desormais, aussi doit on s'adapter au rechaufement climatique, qui sévit ici aussi, maintenant en Normandie,et de plus en plus......
J'avais déja fait cette proposition il y a plusieurs années, parce que sur le plan de l'adaptation au réchauffement climatique, les caprins et ovins, sont moins exigeants sur la quantité d'herbe.
En effet, les sècheresses étant de plus en plus nombreuses, il importe de s'adapter, parce que ça n'est pas le réchaufement climatique, qui va s'adapter, au bon vouloir les fermes industrielles, produtrices de lait.
De façon générale, de toute façon, sous l'angle de santé publique, beucoup de personnes, (dont je fais partie, alors que ma mère trayait ses vaches), ont de vrais problèmes avec le lait, et (ou), plus précisément, le lactose.
J'ai trouvé personnellement un compromis, en achetant du lait, "sans lactose", ou désigné, comme "facile à digérer", bien qu'etant en questionnement, sur la methode, employée, pour retirer le lactose.
oui, je sais, je suis assez chiante, quand o je ne sais pas quelque chose, quelqueois, ça devient, chez moi, un peu obsedant, à plus forte raison, quand il s'agit de ma propre santé !
Il semble que sur ce oint, je veux dire, la diétetique et les laitages, certains interactions soient encore méconnues.
Les chercheurs par exemple, sont unanymes pour reconnaitre que plus un laitage est solide, c'est à dire, sous forme de fromage, plus le lactose serait facile à digérer, quand il ne s'agit que d'intolérance...
Mais on ne sait pas pour quelle raison. Développer d'avantage les fromages, pourrait alors proposer une alternative, côté santé, qui serait un bon équilibre.
A contrario, donc, le lait lui, donne un lactose plus difficile à digérer.
Je ne sais pas d'autre part, si le lait des autres mammifères, chèvres, brebis, donne un lactose, qui pose problème ou pas, sur le plan diététique.
Ensuite, il faut savoir que l'industrie agro alimentaire, côté patisserie, viennoiseries et biscuiterie, artisanales, ou industrielles, consomme à elle seule, une quantité énorme de beurre.
Ors, le prix du lait est trop faible pour que les producteurs puissent en vivre, alors, que ce sont eux qui ournissent le plus dur travail.
Pendant que nous somme obligés d'importer du beurre, du nord de l'Europe, qui eux, soit dit en passant, ont developpé, des laiteries, infiniment plus industrielles que les notres, ce qui rovoque d'autre part, une concurrence absolument deloyale, pour satisfaire l'agroalimentaire, et son besoin, faramineux, de beurre, autant en quantité, qu'en qualité.
Un des moyens d'ecouler, le "petit lait", c'est à dire, le lait auquel on a retiré la matière grasse pour fabriquer le beurre, pourrait consister à le donner, à certaines volailles, pour les engraisser.
Personnellement, pour des raisons pratiques, ne plus avoir à acheter les yaourts dans le caddies, mais aussi, pour resoudre, sur le long terme, le robleme des dechets, de pots de yaourts, désormais, je fabrique les yaourts à la maison....
Ca coûte pas cher, et ça limite les déchets, puisque ce sont des pots en verre que je réutilise, tout le monde qui consomme des yaourts, devraient en faire autant, et ça soutiendrait la filière laitière.....
Côté budjet, en plus, comme on dit, "y'a pas photo".
Boulanger (je fais la pub, désolée), propose une yaourtière, vraiment pas chère.
Ensuite, au sujet de la guerre en Ukraine, et des conséquences, au sujet du prix du blé.
Il est précisé, "prix du blé tendre".
Je suppose que l'objectif, consiste à signifier, "prix du blé à panification".
Je remets, une fois de plus, mon ouvrage sur le métier.
Ce qu'on appelle, "le pain blanc", c'est en somme sur le plan diététique, DE LA MERDE....
Je résume....
Depuis l'apres guerre, les chercheurs, n'ont eu de cesse que d'orienter la sellection des blés, pour qu'ils donnent un pain, le plus moelleux possible.
Par exemple, quand vous mangez, un pain au chocolat (j'adore ça...), et bien sur le plan diététique, C'EST DE LA MERDE...
Plus le pain, est blanc et moelleux, plus son gluten est tordu est toxique, pour votre organisme.
Quand je dis "tordu", je devrai dire, "perverti", ça serait plus simple.
Si à contrario, vous prenez une farine issue, d'une variété ancienne, alors la composition chimique de ce gluten, est beaucoup plus diversifiée, dans sa composition, mais surtout, adapté, à notre organisme, et à la digestibilité, de la farine concernée.
Petite précision, ce que j'affirme là, n'est pas une vue de l'esprit, façon bobo, comme certains, aimeraient le penser.
"Franchement désolée", mais des scientifiques vous le démontrent haut la main, ainsi que des boulangers, qui eux même en ont, dans divers reportages, fait la démonstration, quand ils travaillent la pâte, et plusieurs émissions thematiques, sur ARTE, notamment, deja, l'ont démontré en laboratoire.
Seulement, voilà, ces anciennes varités, donnent un pain, un peu moins "consensuel", pour vos dents, ou vos gencives....
Par contre, vos intestins, eux, et l'ensemble de votre corps, ne s'en portent que mieux....
En vérité, le gluten des blé, que l'on dit tendre, justement, est à l'origine d'enormement de problèmes de santé publique, aujourd'hui, dont beaucoup souffrent, et notamment, dans certaines maladies chroniques, ou allergiques, ou même apnées du sommeil, ce que j'experimente, personnellement, depuis plusieurs semaines.
Comment alors faire, pour négocier la mutation, pour que dans la sphère politique, la volonté soit bien présente ?
Aller lorgner, de plus près, ce qu'ils proposent, au sujet de l'agriculture, me semble, fondamental, sinon, c'est pas la peine, d'aller faire son numéro, porte de Versailles.
Il existe un autre problème, qui reside dans le fait que d'autres céréales sont envisageables, ainsi, aussi, que d'autres farines, dont celles de légumineuses....
Le rechauffement climatique, encore et toujours, oblige les céréalisers à s'adapter, et cultiver le sarazin, l'épeautre, le petit épautre, par exemple, permet d'avoir des rendements moindres, peut être, mais ce qui importe, ne devrait en aucun cas, être, "le rendement", sur le plan quantitatif, mais bien, lerevenu, quil peut générer, et uniquement celà.
Il faut d'avantage se pencher, sur l'ambition d'en vivre décemment, ce qui est bien different....
Pour ce qui concerne le ein blanc, c'est une veritable revolution, s dont il est question, ici...
Pourquoi ?
Je parle, là, des us et coutume, et de la symbolique du pain dans notre culture, ce qui n'est pas rien.
Pour ce qui est des autres ceréales que j'aborde, là, il faut savoir que l'énorme autre intérêt qu'elles apportent pour l'agriculteur, réside dans le fait, qu'elle sont moins exigeantes en eau, et donc, mieux adaptées, à la sècheresse potentielle qui peut survenir avec le réchauffement climatique, voilà ce qui importe.
Quand à la qualité du ain, qu'on met sur la table, il faut sa voir que l'epeautre, ou le petit epaeautre, peut parfaitement être malangé, à de la farine de blé, aussi, comme du label rouge, pr exemple, ou d'autres farines de blé, de chatigne, ou autres, et ça donne un pain vraiment, tres bon...
Certains, diront, "oui, ça coûte plus clar"...
Ce qui est vrai.
Mais c'st un argument, our moi, qui ne tient pas la route, parce que ce pain, là, est plus nourrissant...
Au début d'ailleurs, la transition est delicate, et c'est normal, on hésite toujours, à changer ses habitudes alimentaires, et c'est cohérent...
Pourquoi un adulte affamé, va se jetter sur une demi baguette de pain blanc, qui le nourrira bien peu, et mal, d'ailleurs, là où tentant la même expérience avec un pain, de véritable qualité, il le fera moins ?
Parce que le second, précisément, le nourrit vraiment mieux...
Alors, au début, un vrai, et bon pain, "il faut faire attention, à ne pas se jetter dessus", simplement...Sinon, gare à la constipation, c'est normal, votre corps est habitué à manger mal, alors, d'un seul coup, il n'est pas adapté, c'est cohérent, mais il comprends, et apprend vite.
Donc, si vous en mangez moins en quantité, par définition, alors votre argument du prix ne tient plus la route.
Pour ce qui concerne les farines achetées pour l'usage domestique gâteaux, pain maison, cuisine, c'est pareil....
Ce que je prétends là, d'ailleurs, est tout aussi vérifiable, en ce qui concerne le BIO, je le précise. mais j'y reviendrai.