Françoise Niel Aubin, artiste.

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"Addictions, prendre le mal à la racine".

apifnielaubin Par Le 12/02/2021 à 16:08

Dans Autrice.

https://editions-sydney-laurent.fr/livre/addictions-prendre-le-mal-a-la-racine/

  Depuis la crise, du covid, les étudiants, sont en état de fragilité, plus que n'importe quelle autre catégorie.

  Pour proposer diverses solutions, France Inter, leur a consacré une journée entière, et l'émission de Philippe Bertrand, suit la démarche, "au long cours", pour servir de relai.

https://www.franceinter.fr/emissions/solidarite-jeunes-le-journal-des-solutions

  Certains pensent que c'est un préjugé, peut être, de poser ce lien ici, au sujet de mon livre sur les addictions, "addictions, prendre le mal à la racine".

  Aucun préjugé de ma part, car en vérité, d'une part, je n'ai pas l'intention de poser le lien uniquement sous cet article, mais d'autre part, toutes les tranches d'age sont concernées par les addictions, excepté les bébés et les enfants, enfin, j'ose l'espérer, mais simplement, les différents âges sont concernés par le problème, dans des contextes, qui peuvent être éventuellement différents, d'une part, par la nature de la substance ou du comportement dont il est question, mais aussi, dans la ou les raisons, qui en seraient à l'origine....

  Par exemple,  entre un ado, qui sniffe  de la colle, ou quoi que ce soit d'autre, pensant que ça ne porte pas à conséquence, et une alccolique mondaine, qui va se saouler, chez elle, entre son chat angora, et son Figaro magazine, certains penseront qu'il existe un monde...

  Certes, ça n'est que la vérité, mais dans les faits, l'un et l'autre pourtant, entrent bel et bien, dans la categorie des addictions.

 13 mars 2021

 https://editions-sydney-laurent.fr/livre/addictions-prendre-le-mal-a-la-racine/

Je cite:

"Quelle est la différence entre surdose et overdose ? J ai pris environ 0.5g de 3mmc. En plug(voie anale). Ca monte doucement puis au bout d'une vingtaine de minutes mon cœur s emballe, 120 BPM, douleur thoracique, difficultés d'élocution et bouche engourdie, palpitations, douleurs dans les membres. Les urgences ont été assez méprisantes sur la raison de ma venue. Là j attends de voir un médecin".

Je ne suis pas médecin, et à ce titre, je n'ai pas compétence, pour te répondre.

"Alors, pourquoi, avoir écrit un livre sur le sujet" ?

Vous avez vu, comme je fais bien les questions, et les réponses ?

Tout simplement, parce que l'addiction, quelle que soit sa nature, qu'elle soit liée à une substance, ou qu'elle soit comportementale, concerne beaucoup plus que le patient, ou la patiente, elle même, elle concerne l'entourage, et notamment les plus proches, y compris les amis.

A ce titre, comme n'importe qui d'autre, j'ai déjà été confrontée à ce problème, comme nous le sommes tous, à un moment ou à un autre de notre vie, raison d'être de l'écriture de mon ouvrage.

Mais revenons en à ta question, et à la réponse, qu'elle attend, celle là même à laquelle je n'ai pas compétence, et à ce que ça m'incite à penser.

D'une part, les urgences sont toujours surbookées, et le sont d'autant plus avec le covid.

Certes, ça ne justifie pas le fait d'avoir été reçu de telle sorte, que tu as le sentiment d'avoir été incompris.

Quelle est la formation, exacte, des urgentistes, face au phénomènes d'addiction ? JE NE SAIS PAS...

En discutant avec d'autres personnes que tu connais, et qui se droguent aussi, est ce que ce problème se produit souvent, ou pas ? Ou est ce accidentel ?

Est ce que cette prise en charge diffère, selon le type d'addiction, ou pas ?

JE NE SAIS PAS....

Dans l'idéal, plutôt que d'appeler le psy de service, l'idéal serait quand c'est possible, de donner un flyer avec les centres d'addictologie, et quand ça sera envisagé, SUR LE PLAN POLITIQUE, de créer un poste d'addictologie, au sein des hôpitaux de jour qui dépendent des hôpitaux psychiatriques, de telle sorte qu'en consultation, les personnes qui souffrent d'addiction(s), puissent être suivis dans des endroits, qui géographiquement, sont facilement accessibles.

Il y a quelques semaines, dans le groupe "addictions", sur FB, une jeune femme suivie en addictologie, devait faire 20km, sans transports en commun, pour aller sur place prendre son médicament...

Comment peut on exiger de quelqu'un qui souhaite s'en sortir, d'avoir une telle contrainte, strictement physique, pour prendre son médicament...

Certes, on me répondra que ça peut aussi être intentionnel, pour jauger si le malade veut vraiment s'en sortir...

Personnellement, s'il peut arriver que ce soit le cas, je le reconnais...

Mais une jeune fille sans emploi, dans la mouise, à la campagne, sans transports en commun, et sans famille pour faire le taxi qui la rendrait de toute façon, "redevable" psychologiquement, on sait ce que ça vaut.

Je veux dire, que les addictions aujourd'hui, ont pris une telle ampleur, et plus encore à cause du covid, qu'il importe, alors de prendre conscience, de l'absolue nécessité d'orienter la politique de santé, de telle sorte, que les consultations et addictologie, soient plus facilement accessibles, raison pour laquelle je préconise le rattachement aux hôpitaux de jour, dépendants des hôpitaux psychiatriques.

6 avril 2021.

 L'instant M, ce matin, nous parle d'un documentaire, qui passe ce soir, sur France 2, et visible des maintenant, sur le portail de France télévision.

https://www.franceinter.fr/emissions/l-instant-m/l-instant-m-06-avril-2021

https://www.france.tv/documentaires/societe/2363623-jeunesse-en-fumee.html

Mon commentaire:

  Sur France télévision, sur internet, c'est un documentaire très précieux, parce qu'il donne à voir les dégâts, de la bouche même de drogués, qui sont en voie de guérison. En ce sens, c'est un documentaire bien plus qu'utile par ses informations, mais aussi, par l'espoir qu'il suscite.

   J'avais deja entendu parler, il y a quelques années, du fait que la drogue aujourd'hui, qui circule, par les manipulations génétiques pratiquées, par ceux qui la produisent, etait 10 fois plus dangereuses, que celle qui circulait, il y a 20 ou 30 ans...

  Cette donne me semble extrêmement importante, puisque certains parents qui en ont  consommé, "accessoirement", pendant leur adolescence, sous estiment visiblement le danger bien réel, que courent leur progéniture.

  J'ai noté aussi, qu'il etait précisé,  que contraiement à l'alcool, ou à d'autres drogues, pour le cannabis, il n'existe aucun médicament de substitution, pour aider ceux qui veulent en sortir, ce qui, sur le plan thérapeutique, est un vrai problème, et me semble vraiment fondamental, ça merite d'être connu, des parents, ainsi que des ados, qui sont concernés.

  J'ai été d'autre part interpellée, par le fait que sur quatre ados concernés, trois d'entre eux, joussaient d'une famille que je qualifierai, de "normale", ou plus précisément, "ne présentant aucun problème particulier".

  Si ce chiffre, a été avancé, lors du choix du réalisateur, ça n'est certes un hasard.

  Ca signifie simplement que la consommation de cannabis, comme alternative à une souffrance véritable, semble aux yeux de tous, comme une idée préconçue, je dirai acquise, qui tendrait à laisser penser que dans une famille, "bien comme il faut", les collégiens et les ados, seraient moins prédisposés à y avoir recours...

  Ainsi, on ne peut que constater  par ces témoignages, qu'il n'en est rien...

 Alors, pouquoi  ?

 Nous en temps que parents, faisons pour le mieux, toujours, pour nos enfants.

  L'idée qu'on se fait de nous, ne peut se faire que par notre spectre personnel. En somme, nous nous jugeons, en temps que parents que par une inévitable subjectivité...

  On peut toujours jouer les fiers à bras, et prétendre qu'on communique bien avec ses enfants.

  Personne n'est à l'abri d'une telle méprise.

  En effet, la façon dont nos enfants nous jugent, oui, j'ai bien dit "nous jugent", précisément, dans ce cas, pose la barre très haut, dans l'estime qu'ils ont de nous....

  Car oui, pour se construire, un enfant, puis un ado, observe les parents que nous sommes, et même si on ambitionne  de ne pas leur coller la pression, au sujet de leur scolarité, pour qu'ils aient de bonnes notes, et "réussissent", sur le plan scolaire, la pression de façon inconsciente, elle, est omniprésente.

  Ces trois jeunes, "avec des familles géniales", montraient ces dernières, non pas "parfaites", au sens rétrograde, mais parfaites véritablement, vu de l'extérieur....

  Et c'est peut être là, précisément, que la pression familiale est la plus inconsciente, et donc, difficile à gérer.

  Ce qu'on doit en retenir, sur ce point en particulier, c'est qu'il n'existe aucun parent, si bien intentionné qu'il soit, ni aucune famille, qui puisse prétendre ainsi, se trouver à l'abri... ca, c'est une certitude.

 Alors, que faire ?

  Les inciter à developper, tout ce qui est possible, en dehors de la famille, mais aussi, du collège, plus tôt, comme activité, est un bon angle, parce que ça booste, l'image de soi.

  Travailler sur l'oralité,  c'est à dire l'éloquence, pour leur apprendre à gérer les conflits, me semble aussi important.

  En somme, si l'on observe bien, les signaux d'alerte sont les mêmes qu'on décrit, dans le mécanisme d'emprise psychologique,  qu'il s'agisse d'une emprise, idéologique ou sectaire, comme le djihadisme.  Les recomandations quand à la prévention en vérité, sont donc parfaitement simlaires.

  Certains vont trouver le paralléle un peu léger, ou déplacé, pourtant c'est bien là mon sentiment.

  Sous l'effet d'un mentor toxique, le lavage de cerveau se fait par des paroles et un discours bien rodé.

  Dans le phénomène d'emprise par une drogue, la perversité que les fournisseurs ont bien saisi, repose sur le sentiment, que n'y ayant aucun discours d'imposé précisément, le consommateur pense rester maitre du jeu...

  Dans un cas comme dans l'autre, on vous invite pourtant à laisser vos neurones à l'entrée.

 Et c'est le produit qui est gagnant,  non pas en premier, parce que qu'en premier, c'est celui qui les fournit, mais en second.

La masturbation, perçue comme une addiction.

12 novembre 2021.

 Suivant le fil sur les addictions, aide et soutien, le sujet vient d'être abordé.

https://www.facebook.com/groups/790122914496949/posts/2547399178769305/?comment_id=2547768042065752&reply_comment_id=2548429961999560&notif_id=1636219891060053&ref=notif&notif_t=group_comment_mention

Le thème est le suivant, je cite:

Je n'en peux plus je veux du sexe que faire pour éviter ça ?

 Voici ma réponse: "la masturbation, ça n'a jamais fait de mal à personne".

 Je vous donne les commentaires, et je commente.

On lui propose d'autres activités, comme dérivatif, c'est un bon plan, parce que le processus de création, quelque soit le secteur, permet e canaliser la libido, et mentalement, de faire diversion. Reste que ça dépend dans quelle proportion, ce besoin est important ou pas.

  Ensuite, quelqu'un propose d'écrire des récits érotiques, ce qui combine les deux. Je ne suis pas compétante pour en juger, il faut voir, je pense que ces sujets doivent être abordés, en addictologie, aupres d'un professionnel.

 Le sujet de l'addiction à la masturbation est évoqué, comme un risque appuyé...

 J'y vois surtout, un moyen détourné de condamner le plaisir sexuel pour les femmes, et la masturbation en particulier, pour des raisons purement morales, assimilables, au fait qu'une femme qui revendique le plaisir sexuel, est une femme "vicieuse", et oui, le mot est lâché....

 On est en plein jugement de valeur, là, au sujet du plaisir feminin, qu'on ne s'y trompe pas, au moment précis justement, où les cardinaux, à Lourdes, viennent de pointer du doigt, le fait qu'il est devenu impérieux désormais,  de considérer la femme, sur un même plan d'égalité, vis à vis des hommes, au sein de l'église...

 Quelle relation, avec le plaisir féminin ?

 En ces temps de parité reveniquée, dans les sociétés démocratiques, avec l'aide du fémnisme, et observant à quel point le rapport Sauvé remet en question, bon nombre des fondements même de la religion catholique, la notion de plaisir physique, toujours tabou, ne saurait être éludée, face au phénomène de pédophilie, au sein de l'église catholique....

 Certains pensent peut être, que je melange un peu les torchons et les serviettes, quand j'aborde ce sujet, dans la cadre de la masturbation, qui peut sembler, aux antipodes, de la parité au sein de l'église....

 C'est qu'ils ont en vérité, un tronc commun, qui n'est rien de moins qu'il s'agit là, de la place des femmes et de féminisme, au sens large, dans un cas, comme dans l'autre.... Voilà, ce que je prétends,  et qu'à  ce titre, ces sujets sont précisément cousins, et donc, difficilement dissociables.

 Pour en revenir, à la masturbation, qu'il s'agisse des hommes ou des femmes, je consière humblement qu'il est préférable, d'y avoir recours, plutot que de préter, son corps à quelqu'un de qui on penserait ensuite, que c'était une mauvaise idée, et qu'il ou elle, n'en valait pas la peine...

  Faire confiance à quelqu'un, au point de faire l'amour avec, ça n'est pas anodin, et si je suis consciente du fait que par mon histoire, je suis plus pointilleuse, que n'importe qui d'autre sur ce sujet, j'ai la naïveté de penser cependant, que ça reste vrai, de façon plus générale.... 

Sur le fil FB, que j'ai donné plus haut, il est précisé dans un commentaire, que les addictologues prennent en charge aussi les addictions au sexe.

"Ce que t'es belle, quand j'ai bu".

 J'ai cru saisir, que quand cette chanson est sortie, certaines féministes, n'auraient pas apprecié la chose....

 personnellement, ça n'est pas mon cas...

 Extrêmement loin, je le precise, de prendre cette posture venant d'un homme, comme un compliment, je précise simplement,  qu'au mieux, je suis plutôt du genre, dans une telle circonstance, à faire comme si, je n'avais rien entendu, au pire, il se prend ma main dans la gueule.

 Tout simplement, parce que quelque soit, le discours, d'un mec, ou d'une nana,  bourré,  quels que soient leurs propos, pour moi, c'est de la merde..

 La preuve, ce que certains, voudraient, nous faire, passer, pour des traits de genie, dans la tres grandes majorité des cas, le lendemain matin, il ne se c  souviennent plus de rien.

 Sinon,  mon ouvrage, "addictions, prendre le mal à la racine", sera bientôt de nouveau disponible, en physique, et cette fois, distribué en librairie, et points de vente habituels, comme mes autres ouvrages, d'ici quelques semaines.

 En attendant, ils sont encore en petits nombre, dans les points de dépot.

http://www.fnielaubin-artiste.fr/pages/masculinisme-addictions-prendre-le-mal-a-la-racine-parentalite-la-poule-qui-ne-dort-que-d-un-il-ou-trouver-mes-livres.html

"Super bourrés", le film.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-bande-originale/la-bande-originale-du-mercredi-30-aout-2023-6442263

+ Laurent Karila, c'est aussi le psychiatre,specialiste en addictologie, qui intervient aussi, de façon régulière, dans l'émission, de debut d'apres midi, avec Faustine Bolaert, sur France 2, "ça commence aujourd'hui".

https://www.france.tv/france-2/ca-commence-aujourd-hui/

 http://www.lecavalierbleu.com/livre/25-idees-recues-addictions-2/

 Je vous recommande aussi, le bas de page, qui décuple, le processus d'idées reçues, sur plusieurs des addictions, en fait, les plus répandues.

 Je retiens l'expression, "la toxicomanie la plus dure, c'est l'idée reçue", qui peut s'appliquer de façon plus large, en politique, notamment.

Sortir du sujet ?

 Non, précisément, si l'on observe, justement, à quel point le phénomène d'addictions, devient de plus en plus repandu, et donc, pèse, sur la santé publique, d'une part, mais donc, aussi, par voie de consequence, sur les finances publiques, de toutes les façons.

 Je viens d'aller lire, une page de son ouvrage, disponible, sur le site internet.

 Ravie que je suis, d'observerà quel point mon livre "addictions, prendre le mal à la racine", est completmentaire du sien.

 En effet, je ne suis pas medecin, moi, et à ce titre, je parle du phenomène d'addiction, sous un angle, qui n'est pas medical.

 Là, il en parle, sous un angle, surtout, comportemental, et physiologique, c'est à dire, qu'il explique le contexte dans lequel le patient (qui ne sait pas encore, qu'il l'est, sur le moment), commence à prendre cette substence, decrit son ressenti, et comment son ressenti évolue...Pour ce citer que celà, et demontre, evidemment, en quoi, c'est la mauvaise reponse, à une veritable souffrance, dans la 99% des cas, car le phenomène d'addiction, dans la la tres grande majorité des cas, commence, par une tentative de reponse, à une souffrance.

 Pour cette raison, j'ai mis comme sous titre à mon ouvrage, "l'’addiction est au corps humain ce que le populisme est en politique".

 Parce que comme en politique, on croit, qu'on peut répondre à un problème qui est toujours complexe, par une solution rapide et efficace, ce qui est le cas d'une prise de substance, pour repondre à une souffrance. Ce qui, evidemment, est complètement faux.

https://www.amazon.fr/Addictions-prendre-mal-%C3%A0-racine/dp/B08ZBRK5FV/ref=sr_1_6?keywords=francoise+Niel+Aubin&link_code=qs&qid=1693455582&sourceid=Mozilla-search&sr=8-6

 

"CANNABIS", par Matthieu Kassovitz.

https://www.francetvinfo.fr/sante/drogue-addictions/cannabis/videos-cannabis-mathieu-kassovitz-explore-les-avantages-et-risques-de-la-legalisation-dans-un-documentaire-autour-du-monde_6251994.html

 Il n'y a effectivement qu'en faisant une synthèse de l'ensemble de sa consommation, que les politiques peuvent être correctement informés, pour prendre les décisions qui s'imposent.

 Il y a un point, par contre qui est peu abordé, quand certains pronent le cannabis "récréatif", et qui réside dans le fait que le cannabis cultivé désormais, n'a plus rien à voir, avec celui qui était consommé dans les années 70, parce qu'il est génétiquement modifié, et 20 fois plus dangereux, qu'à l'époque, et sur le plan de la santé publique, c'est important à prendre en considération.

 Les pays, qui viennent de décider de la légalisation, risquent d'avoir sous estimé, cet aspect des choses.

 Pour remédier, à ce problème précis, il existe une association, qui se donne pour objectif d'analyser gratuitement la drogue, qui est consommée, et je trouve cette démarche altruite et salutaire, quand certains veulent simplement fumer un joint,  comme on prend plaisir à boire une bonne bouteille entre amis, lors d'un repas... et qu'on doit connaitre la nature de ce que l'on consomme.

https://www.federationaddiction.fr/thematiques/analyse-de-drogues/

 03 avril 2024.

  J'ai decouvert le reportage hier soir, mais tombant de fatigue, termibé de regarder ce matin.

Pour commencer, à destination de ceux, qui sont dans le deni d'un vrai parallele, qui peut être fait, au sujet de l'alcool, on peut parfaitement observer, qu'il existe differentes sortes de cannabis, voir, que selon le terroir, sur lequel il est produit, il est tout à fait probable, que ça donne un produit différent, avec une saveur differente.

 On me dira, que l'alcool, n'ait jamais généré des guerres de gangs, tel qu'on l'observe dans les quartels de la drogue, dans differents pays dans le monde.

 "Nous ne somme spas en reste, sur cette subtance, qu'est l'alcool, si on l'observe, sur le plan mondial, à l'epoque de la prohibition, aux >USA, ou la guerre des vis, ici, en France, selon une émission, que j'ai decouverte, hier, sur France inter.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/affaires-sensibles/affaires-sensibles-du-lundi-01-avril-2024-4525341

 Et c'est cohérent, puisque l'aspect criminel d'une consommation d'un produit, n'est que la conséquence du fait qu'il ait été interdit, ou bien qu'il le soit.

Alors, je sais, la musique planante quand on observe, ces plantations de cannabis, cultivé de façon officielle, et donc, industrielle, doit en laisser songeurs plus d'un, ou plus d'une, parce que nous les femmes ne sommes pas en reste, surtout vis à vis de ceux qui s'essaient à quelques plantations illégales en France, je le rappelle....

 Mais  quand on observe un viticulteur fier de ses vignes, ce que je cautionne parfaitement, en tant que fille d'agriculteurs, personne ne se pose la question de savoir, combien de personnes meurent chaque année de l'alcoolisme, que je sache.

 Oui, je sais, c'est au consommateur, que la responsabilité doit revenir, ce qui n'est que la verité.

 Et bien, pour le cannabis, tout autant.

 Alors, pourquoi devrait on se soucier plus alors, voyant ces plantation, du nombre de morts, induits par la cannabis ?

  Je ne prétends pas, qu'il ne faille pas s'en soucier, bien au contraire pensez donc, je veux juste dire que le parallèle entre alcool et cannabis, saute aux yeux, et qu'il serait temps, que les politiques aient le courage de regarder les addictions avec lucidité, et honneteté, c'est tout ce que je prétends.

Je suis stupéfaite, par la qualité, du reportage, dans ce qu'il developpe par son côté documentaire, les différentes politiques, qui sont mises sur pied dans différents pays, ainsi que sur les conséquences des choix politiques.

Il semble évident que c'est bien le Canada, qui ait le dernier mot dans cette histoire, et qui ait eu le courage, de prendre le taureau par les cornes.

 Je suis assez stupéfaite (quand on parle de stupéfiants, c'est bien le moindre que je puisse dire),  d'observer à quel point j'ai eu une idée de génie, j'ose l'affirmer, en écrivant un livre, comme le mien  "addictions, prendre le mal à la racine", dans ce qu'il est parfaitement complétaire, en amont pour travailler sur ce sujet.

 Oui, jose l'affirmer, "idée de génie", si moi, je ne m'envoie pas des fleurs, qui s'en chargera ?

 Sinon, j'ai hâte d'entendre  ce que politiquement, les plus refractaires, à la legalisation proposent, ici, en France, sur le sujet....Et comment, ils envisagent, de faire face au probleme, tout en niant, purement et simplement,  l'aspect purement mondial, et pas uniquement, européen, du problème.

 INTERPOL, EUROPOL,

"Ils ne savent pas ce qu'ils disent" !

1 août 2024.

https://librairie.nombre7.fr/recit-temoignage/7215-addictions-prendre-le-mal-a-la-racine-9791042700256.html