La pauvreté, ne peut être "profitable", en tant qu'experience de vie, philosophiquement, je veux dire, que si elle est consentie, c'est à dire induite par soi même, mais pas si on vous l'impose.
Si on vous l'impose intentionnellement, comme le fait actuellement l'UDAF vis à vis de moi, ces jours ci, c'est juste une torture psychologique de plus, parfaitement assimilable à de la malveillance.
Inutile, de leur part, ou de la part de qui que ce soit d'autre, de pretendre, qu'il s'agirait, d'un simple probleme technique.
En effet, les dates de versements, sur mes deux comptes, comme pour n'importe qui d'autres, sont induites, de façon purement technique, ce qui signifie donc, que si tel est le cas, c'est fait, de façon purement intentionnelle.
En aucun cas, l'UDAF n'est habilitée que je sache, à se permettre un tel comportement. Il m'a d'ailleurs bien été precisé, par elle même, avant de rencontrer la juge, il y a quelques mois, que le côté psychologique, "c'est pas leur affaire". C'est elle même qui me l'a dit.
Petite precision, cette somme doit m'être versée, 300€, sur mon compte, reservé à l'activité, artitique.
Considérant le fait que la carte de ce compte, précisément, ne permet pas de payer quoi que ce soit sur internet, certaines dépenses purement artistiques, ne peuvent être payées, que par l'autre compte, celui de l'alimentaire, abonnement à SALTO, cat sde visite, chez VISTAPRINT, par exemple.
Je suis donc parfaitement en droit, de revendiquer, d'utiliser, le compte, artistique ponctuellement, pour l'alimentaire.
Ces précisions ont déja été donnée à la juges, il y a quelques semaines, et l'UDAF, n'a qu'à faire ce pour quoi elle est payée et rien de plus.
Je l'ai avertie du problème, des que je m'en suis apperçue.
A méditer, "ventre affamé n'a pas d'oreille".
Prochain calligramme, en dehors, d'un remix d'un certain papaillon, "la pauvreté comme expérience de vie n'est profitable, que si elle est induite par soi même, mais pas si on vous l'impose".