Voilà le type de conneries, qu'aujourd'hui encore, on lit a la messe....
Et qui est a l'origine du fait que la notion de plaisir, sous toutes ses formes, soient malvenue, chez les chrétiens.
Comme vous pouvez le constater, nous n'avons decidément rien à envier aux musulmans, sur ce point, pas plus qu'aux autres courants chretiens, d'ailleurs, ou d'autres religions monoteistes.
Petite précision, le pape et l'ensemble des réformistes, qui le suivent aujourd'hui, ne cautionnent absolument pas cette position.
Mais considérant que ça vient des évangiles, il se trouvera toujours des tordus et manipulateurs, pour s'en saisir, et revendiquer une forme de dogmatisme, souhaitant ainsi, parce qu'ils sont incapables de penser par eux même, tenir pour vérités les textes aussi anciens, que toxiques quelquefois, mais surtout anachroniques.
C'est très exactement pour cette raison que j'ai écrit un livre sur la toxicité des livres sacrés.
Petite precision, au sujet de mon editeur, sur ce projet, en particulier, c'est moi, qui lui ai dit d'attendre, encore, pour l'editer, et personne d'autre, qui y mettrait un frein.
Considérant ce qui se produit aujoud'hui en Afghnistan, avec les talibans, qui sont arrivés au pouvoir, je prens conscience, du fait qu'il est souhaitable, à present, de passer à l'acte, et de l'éditer.
Mais revenons en en , à ce texte, précisement.
« Vous ne risquerez pas de satisfaire les convoitises de la chair ».
Des religieux, aimeraient nous faire croire (et si, certains en sont encore là), que l’esprit se doit d’être supérieur, au corps et à ses exigences….
Ils oublient une notion fondamentale, qui réside dans le fait que l’esprit se situe là où réside la pensée, l’affect, les émotions, les convictions, les valeurs, et notamment tout ce qui relève du spirituel, et donc, de la religion, qui est le cerveau…
Le cerveau, lui, fait partie de notre corps, j’ose même affirmer qu’il en est le seigneur et maitre, et qu’à ce titre, par son existence parfaitement biologique et physique, il a ses besoins, comme pour ne citer que celà, nutritionnels, pour fonctionner de façon opérationnelle…
Ceci précisément, va à l’encontre de bien des pratiques, « justement » religieuses, comme la pratique du jeun, ou du ramadan…..
Un cerveau mal nourri, ne peut pas « penser droit », au sens droiture, et valeurs spirituelles, précisément.
Mais au-delà de l’existence du cerveau d’un être humain, considérer avec mépris l’existence physique au détriment du spirituel, laisse la porte ouverte à tous les abus imaginables.
En effet, comment avec un tel discours, comprendre les blessures infligées à un enfant, victime d’un pédophile, qu’il soit prêtre ou qu’il ne le soit pas ?
Si le corps physique est ainsi méprisé face à l’esprit et à la pensée, que le corps de cette petite victime ne soit considéré que comme un vulgaire sex toy, semblerait cohérent, l’enfant devrait alors se satisfaire de n’être rien de plus que cela, et ses plaintes ainsi que ses paroles seraient alors non avenues….
Mais parlons des « convoitises de la chair »…
Comme c’est amusant….
Et oui, un être humain, quand il a faim, convoite de quoi satisfaire son appétit, parce que son corps le demande…. En quoi, est ce criminel ?
Juste une question de survie.
S’il a soif, il va chercher de quoi s’abreuver, comme le font les animaux, dont font partie les humains, je le rappelle.
Et le sexe parlons en… Sujet tabou, s’il en est…..
Moi, je veux bien, mais là, on ne peut éviter le problème de la parité, entre hommes et femmes.
On va occulter alors, ce en quoi elle pose problème, au sein de l’église, dans la pratique du culte uniquement, mais se concentrer uniquement sur l’aspect sexuel…..
J’aimerai vous parler du film « Un amour impossible » de Catherine Corsini, mais je ne l’ai pas encore vu.
S’il démontre à quel point, les plaisirs de la chair ne mènent qu’à sa propre perte, uniquement par la faute de la doctrine religieuse, c’est bien de cela dont il est question.
Virginie Efira, expliquait lors d’une interview, que toute religieuse entrant dans les ordres, s’entendait développé qu’elle devait désormais considérer son corps, comme son propre ennemi….
Je ne sais si aujourd’hui encore, on tient ce discours aux religieuses, mais si tel est le cas, je le condamne personnellement.
Au-delà de l’aspect strictement sexuel, au sujet duquel tant de religions monothéistes sont si lâches, le mépris du corps humain face au spirituel interpelle, sous différents angles.
Il interpelle, notamment, au sujet de la souffrance infligée au corps humain, jusqu’au paroxysme de ce qu’on appelle le dolorisme.
Le dolorisme, est un concept selon lequel la souffrance, qu’elle soit psychologique ou qu’elle sot physique, est érigé au rang de vertu.
Inutile de préciser que dans l’histoire des religions, à commencer par le calvaire du Christ sur le croix, ce concept encore en vogue, aujourd’hui, sévit encore….
Concept, que doivent probablement s’accaparer, de façon non dite, ou inconsciente, bien des religieux de par le monde, y compris au sein même des talibans, ou de quelques pervers, qui voient ainsi des occasions sublimes à leurs yeux, de satisfaire leur instinct sadique…..
Le sadisme, est un concept selon lequel on éprouve du plaisir, ou une certaine satisfaction, devant la souffrance d’autrui.
C’est sous couvert, de ces prétendues vertus « doloriques », qu’on perpétue ainsi en matière d’éducation, le châtiment corporel, alors que les recherches scientifiques, s’accordent à reconnaitre leur effet toxiques en matière d’éducation…
C’est sous ce couvert de ces prétendues vertus « doloriques », qu’on légitimise par l’intermédiaire de la charia, dans l’islam, tous les châtiments infligés aux femmes pour les entraver dans leurs désirs de se réaliser et qu’on les lapide ou les défigure avec de l’acide.
Enfin, c’est sous couvert de ce mépris du corps physique, qu’on trouve légitime, de sacrifier sa vie pour une cause…. Comme le font certains kamikaze, ou des fanatiques religieux, pendant des attentats suicides.
Alors, oui, je sais, on va me dire que je mélange toutes les religions, ce qui est un peu vrai, mais qui me semble précisément, parfaitement justifié.
En effet, pour information, la naissance de l’islam, est très largement postérieure à la chrétienté. Ainsi, si l’une s’inspire de l’autre, c’est bien l’islam, qui s’inspire de la chrétienté, et pas l’inverse, ce qui ne donne aucun préemption ou légitimité supérieure de l’une par rapport à l’autre.
Il est bon d’autre part d’observer que les aspects au sujet desquels ils se sont inspirés, ne risquent pas de plaider en leur faveur, ni aux uns, ni aux autres, quand on aborde le mariage des prêtres, leur interdiction, à la moindre activité sexuelle, quelle qu’elle soit, ou l’homophobie, pour ne citer que celà…
Par contre, quand il s’agit de mépriser l’être humain, quelque soit la religion, on ne peut nier les véritables similitudes, "y'a du monde au balcon", qu’on peut observer aujourd’hui, et qui signent un vrai tronc commun.
16 décembre2024.
https://www.onsexprime.fr/
Je viens d'aller lire un article, sur le sujet, ou plutot sur le sujet de l'éducation sexuelle, à l'école, sur le site de "la Croix".
C'est ici: https://www.la-croix.com/a-vif/education-a-la-sexualite-faisons-grandir-en-unite-corps-cour-et-esprit-20241209
Je cite :
On ne peut dénoncer l’exposition des mineurs à la pornographie et promouvoir le site OnSEXprime auprès des adolescents.
La sexualité avec toutes ses dimensions, de relation, de tendresse, de plaisir… vise deux finalités : elle est pour l’amour du couple et pour la transmission de la vie.
Pour commencer, aller voir le site, et le lire VRAIMENT, pour observer comment ils répondent aux questions existentielles, que se posent les enfants, et les ados, ça serait bien.
Parce que justement, sur le sujet de la pornographie, les réponses sont bel et bien présentes, et me semblent au contraire, particulièrement justes, au contraire.
La sexualité avec toutes ses dimensions, de relation, de tendresse, de plaisir… vise deux finalités : elle est pour l’amour du couple et pour la transmission de la vie.
Parler de la sexualité, à un ado, en cherchant, lui inculquer, d'officie, que c'est pour former, un couple, avant tout, c'est mettree la charrue avant ls boeufs, si je puis l me permettre.
Aimer quelqu'un, au point d'envisager, l'avenir, à ses cotés, ça, c'est un projet de couple, là, où au moment de l'adolescence, on cherche surtout, à comprendre, quelle place, on va occuper, dans la société toute entiere, et chercher lui inculquer, qu'il n'y aurait un avenir salutaire, uniquement, sdans un projet de couple, ça s'appelle, de la manipulation.
J'ai trois filles, une, homosexuelle, qui n'st pas en couple, une autre, en couple, et qui n'a pas d'enfant, et une autre, en couple, avec un enfant.
Pour rien au monde, parce que j'ai d'abord envie de voir mes filles, heureuses de se lever, chaque matin, je n'ai cherché à leur inculquer, qu'il n'y aurait de salut, uniquement, et strictement, dans une vi de couple, et mons encoore, dans un avenir, où systemtiquement, ils devraient concenvoir des enfants...
parce que "la transmission de la vie", c'est bien d'abord, chercher à inculquer, un non dit, qui reside dans le fait, que ceux, qui souhetent ne pas a voir d'enfants, ou qui ne parviennent pas, en concevoir, PIRE, que ça ne serait pas leur prohjet de vie, seraient, dans le pêché...
Comment vous dire...
Je suis tellement en colère, de lire de telles âneries...
Aujourd'hui, la non fécondité des couples, est un problème de santé publique, parfaitement sous estimé, et les cathos s'en battent complètement, arnachés qu'ils sont, dans une religion qui les mettent à distance, de la cause écologique, qui est LA SEULE ISSUE RECEVABLE....
Mais il est vrai que le creationnisme, est le cancer de la religion catholique, et visiblement, le diagnostic semble bien ne pas a voir encore été posé. J'y consacre un chapitre entier, dans mon ouvrage, "toxicité des livres sacrés".
Juste pour rappel, je suis croyante, moi aussi, et je n'ai besoin de personne, pour m'apprendre, ce que je dois penser.
Je rappelle, qu'il existe bien des moyens de faire et d'agir de façon altruiste, vis à vis de son prochain, sans necessairement, en etant en couple, ou en y etant pas, chercher à concevoir des enfants, ou fonder une famille.
Je rappelle d'autre part, que le choix de ne pas avoir d'enfants, est un choix, parfaitement respectable, et plus encore aujourd'hui, que jadis, si l'on observe les guerres, ou l'avenir, côté rechauffement climatique.