Dirrectement liée au réchauffement climatique, le problème de l'eau est le challenge le plus crucial, sous tous les angles de nos sociétés, qu'il s'agisse de santé publique, en ce qui concerne le degré de sa pollution, et sa quantité, que sur le plan strictement écologique, quand on observe qu'à elle seule, elle conditionne à 99,99%, LA VIE, partout, sur le planète.
Depuis bien des années, comme toujours, des artistes ont travaillé, sur le sujet.
Oui, certains diront, "mais qu'est ce que ça vient faire ici" ?
Et bien ça aide, il me semble, à une prise de consciece, plus qu'il n'y parait, je le soupçonne.
Une autre artiste a travaillé sur ce sujet, sur la totalité de son opus, c'est jeanne Cherhal, et elle n'y pas de main morte...
C'est le thème de la totalité de son opus.
Diverses émissions deja, ont été consacrées à ce sujet, et si le nombre d'émission doit augmenter, dans la proportion de la gravité du problème, je ne sais comment, on pourra faire.
Au sujet des megabassines, alors, que certains trouvent problematique, desormais, de les appeler, ainsi...
http://www.fnielaubin-artiste.com/search/site/?q=trempe+ton+cul+dans+la+bassine
Sur le sujet, le seul syndicat, qui a la tête sur les épaules, sans occulter le moyen terme et le long terme, contrairement à l'agriculture industrielle....
http://confederationpaysanne.fr/actu.php?id=14317
Je cite :
"De massivement réorienter les financements relatifs à l'eau en agriculture vers le soutien et le développement de pratiques retenant l'eau dans les sols (couverts végétaux, haies, prairies permanentes, semences paysannes, haies, bandes enherbées…), de protéger l'eau (baisse des intrants chimiques de synthèse) et d'économiser la ressource.
De prioriser les usages en agriculture vers les productions agricoles qui relocalisent l'alimentation et favorisent les emplois, en particulier le maraîchage diversifié. La Confédération paysanne demande, en période de sécheresse, la généralisation partout en France des dérogations pour les maraîchers (sur les volumes d'eau et horaires d'irrigation) en particulier pour les semis et plantations.
De plafonner les volumes accordés par ferme, en fonction du nombre d'actifs et des productions. Les plafonds doivent être déterminés au niveau local et en fonction des condition-pédoclimatique et hydrogéologiques du territoire et relativement à des pratiques qui favorisent d'abord les économies d'eau. Les références historiques ne peuvent pas rester le seul critère dans l'attribution des volumes.
L'arrêt des méga-bassines, instrument d'accaparement de l'eau et de maladaptation.