"C'est pas moi, c'est l'autre", en somme, c'est la position qu'ont eu les avocats de la défense.
Dès lors, que l'insalubrité d'un logement à été constaté, qui plus est, par huissier, nul ne doit ^^etre autorisé, sous quelque pretexte que ce soit, d'entraver un propriétaire foncier, de recuperer son bien, pour y pratiquer les travaux necessaire.
Etre propriétaire de foncier implique des droits, celui de percevoir ses loyers, mais aussi par voie de conséquence, celui d'entretenir le bien dont il est propriétaire, pour qu'il soit sécure, vis à vis du locataire.
Un locataire, les locataires, ou la société, ne peut exiger d'un proprietaire, qu'ils fasse des travaux dans un bien qui est loué, et parallelement lui interdire de récupérer ce bien, dans le but de mettre ce logement aux normes, quelque soit la nature des travaux dont il est question.
Il est très important que la Justice agisse en ce sens, que cette affaire, fasse "jurice prudence"parce que la vétusté des immeubles est un problème récurent, dans beaucoup de villes de France, et la main mise de RBNB sur le locatif, induit, non seulement un truchement très important des prix de l'immobilier, mais aussi, par un laxisme intolérable, le phénomène "marchand de sommeil", par le manque de logements disponibles, sur le marché de la location.
Dès l'apparition de l'uberisation et de AirBNB, j'avais donné l'alerte, en expliquant pourquoi et comment ce fait allait dégénérer et dans quelle proportion. Il était question alors, ce qui est encore le cas, de concurrence déloyale concernant la législation vis à vis des chaînes d'hôtels ou des hôtels indépendants, qui sont astreints à des normes de conformité drastiques.Cette concurrence déloyale est toujours vérifiable.Mais pour tout dire, je n'aurai pas imaginé avoir un jour raison, dans une telle proportion.