Françoise Niel Aubin, artiste.

Un collectif, type « terre de liens », pour racheter les maisons en zones inondables.

apifnielaubin Par Le 18/12/2024 à 19:06

https://terredeliens.org/

Petite précision, j’habite moi même, une maison, qui fût un jour inondée, avant que je ne l’habite, et ce sont des travaux, qui ont été faits, en amont, qui ont eu pour conséquence, qu’elle ne l’ait plus jamais été, mais je connais le problème.

Ma sœur aussi habite une maison qui fût inondée, quand elle l’habitait elle, par contre.

Mon idée est la suivante.

On sait, que relativement aux matériaux utilisés, une maison, peut plus ou moins bien supporter, d’être inondée.

Ainsi, au rez de chaussée, aucune meuble, autre qu’en bois plein, ne devrait être autorisé.

Bien que cette recommandation, soit donnée, il me semble, apres une inondation, certains propriétaires persistent à remplacer leurs meubles, par des meubles, neufs, en composites, qui ne supportent pas la moindre humidité.

Un meuble en bois brut, peut parfaitement être sauvé, lui, contrairement aux autres.

Pour ce qui concerne l’isolation des murs.

Tout ce qui est plâtre ou placo plâtre, doit être détruit, et remplacé uniquement par des matériaux, supportant une inondation temporaire à base de liège.

Il faut déterminer pour commencer, quelle zones peuvent être concernées, en prenant comme référence, une certaine hauteur d’eau tolérée.

Les installations électriques, doivent être ainsi revues, pour qu’aucun câble ne soient ainsi, en dessous de la hauteur qui aura été décidée.

Évidemment, au sol, aucun parquet ou revêtement, mais uniquement et strictement du carrelage.

Mon idée, est la suivante.

Créer un fond monétaire, qui permette de racheter ces maisons, afin qu’elles soient restaurées, pour ne servir uniquement et strictement, qu’à la location de meublés touristiques, de telle sorte, que les propriétaires puissent ainsi, les vendre à un prix qui soit suffisamment décent, pour qu’ils puissent racheter une autre maison, ailleurs, sans ne plus craindre le moins du monde, d’être de nouveau inondés.

Il faut, pour que ça puisse se faire, qu’une loi soit créée, de telle sorte, qu’une fois rachetées ces maisons, l’habitation, comme lieu de domicile permanent, soit rigoureusement interdite, de telle sorte qu’en cas d’inondation qui viendrait à se reproduire, les occupants potentiels, puissent avoir été évacués, ayant été prévenus lors du contrat de location, RBNB, par exemple, cette clause soit explicitement exposée, et ces logements locatifs étant régis eux aussi, par des conditions particulières,et draconiennes.

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