Voilà, elle a jeté l'éponge. "enfin", soupirent certains, qui ne voyaient en elle, qu'une candidature de trop, alors qu'on observait deja, et qu'on observe trop encore, une gauche, qu'on prétend divisée.
Les gens, qui brillent par leur intelligence, je coprends, d'une certaine façon, que ça fasse aussi peur.
S'ils ont raison avant tout le monde, c'est pire encore.
"superflue", qu'elle le soit est incontestable, qu'elle le soit dans les proportions annoncées par certains, reste à démontrer.
Et qu'on ne nous bassine pas avec les sondages, je vous prie, "un échantillonnage de personnes représentatives", c'est pour le moins glauque, comme méthode, parce qu'en vérité, cette méthodologie, ne vaut rien.
En effet, sans cet échantillonnage, dans la rue, 60% des sondés refusent le principe même du sondage. Autant dire, ils refusent de repondre, mais pourtant, ces gens là, votent bel et bien, non ?
D'autre part, c'est celui qui a payé le sondage, qui décide de la formulation du questionnaire du sondage, autant dire qu'il prédispose simplement, de la réponse qu'il souhaite entendre...
Demadez donc, à poutine à l'epoque de l'anexion de la Crimée, comment il procédait pour prétendre que tous ceux qui y vivaient, se considéraient comme russes !
Quand on voit où il en est aujourd'hui, on se dit que la notion même de sondage, vu sous l'angle, celui de la guerre en Ukraine, et des répercussions en Europe, le mot même "sondage", devient purement et simplement risible.
Mais revenons à la défection, de Christiane Taubira....
Cette histoire de parrainnage des maires, relève de l'escroquerie pure, et je prétends ceci, non pas relativement, à tel candidat, telle tendance, ou telle autre.
Non, objectivement, savoir, que certains maires, ont subi des pressions du département, ou de je ne sais quelle instance, de qui dépendent, telle subvention, ou telle autre, est un fait avéré, et scandaleux. Et pourtant, ce petit jeu a été parfaitement légal.
Et ça, ça n'est pas normal.
Qu'à cause de ça, Christiane Taubira se trouve éjectée de sa candidature présidentielle, me pose problème, pour une raison autre que liée à sa personne.
Son eviction traduit autre chose, de la part de ceux qui ont été manipulés, pour qu'elle se trouve évincée.
Elle dit une forme de véritable mépris vis à vis de ceux qui avaient adhéré (et dont je fais partie), à la PRIMAIRE POPULAIRE.
Que certains aient trouvé à redire, sur le methodologie, ça, je peux le comprendre, et apres tout, pourquoi pas ?
C'est en s'appuyant sur les critiques positives, que l'on progresse.
Non, mon vrai souci réside dans le fait que la raison d'être, de la primaire populaire, a été de donner l'oppotunité, à beaucoup de citoyens, qui ne se reconnaissaient pas, dans les partis classiques, de s'exprimer.
Donc, ils l'ont fait.
Et là, par l'eviction, de celle qui a fait le meilleur score, qu'elle se soit ainsi, trouvée intentionnellement évincée, constitue une forme d'insulte, vis à vis de ces citoyens là, dont je vous parle.
Voilà, ce qui moi, me dérange, et me blesse.
En somme, "les vueux de la vieilles", qui se présentent, là, ils vous disent, "écouter, les partis traditionnels, peut être, que vou n'y croyez plus, OK, mais on est là, et on vous emmerde".
D'accord, et bien ensuite, il ne faut pas aller pleurnicher si les citoyens ont du mal à aller s'inscrire sur les listes électorales, pour aller voter, voilà quel est mon sentiment.
Moi, j'irai voter, soyez sans crainte, mais je suis en colère.
Autre chose, pour terminer.
Tous ceux, qui ont ainsi, craché, sur la PRIMAIRE POPULAIRE, à l'époque, au prétexte qu'ils avaient leur candidat, et que ça leur faisait de l'ombre, parait il...
OK, les candidats, eux même, l'ont meprisée cette primaire, et l'ont refusée, d'emblée.. OK...
On va imaginer, un autre scénario, que celui qui s'est effectivement déroulé.
Imaginons par exemple, que jadot ou qu'un melanchon, ou Hidalgo, aient fait un excellent score, à cette primaire, est ce que vous pensez honnêtement, qu'il auraient persisté, pour condamner, cette PRMAIRE POPULAIRE ?
Certainement pas !
Alors, pour finir, juste une chanson, de Jacques Dutrionc, et nous serons quittes.