Françoise Niel Aubin, artiste.

HABITER.

 Alors, oui, je sais, ça peut sembler étrange que je passe du sujet de simplement habiter, j'en arrive à ne mettre que la Fondation Abbé Pierre....

 C'est que le mal logement, est un problème que je considère comme crucial, et qu'à ce titre, je trouve légitime de le mettre en avant.

"Je suis Charlie", est tombé dans le caniveau, à moins que ça ne soit "je suis Robinson" ?

Le 16/09/2025

Il y a quelques jours, un influenceur "charismatique", au sens premier du mot, c'est à dire, "qui sait se faire remarquer", a été abattu, pendant qu'il faisait un meeting, aux USA.

 J'aurai pu poser comme titre,  "qui sème le vent, récolte la tempête", quand on observe que son activité politique principale, n'ait été autre que de monter les communautés les unes contre les autres, et que de critiquer, mépriser, telle communauté ou telle autre, ne peut qu'entretenir la haine...Et pousser aux extrèmes.

 Je condamne évidemment, sans le moindre doute, le crime qui ait été commis, parce que si cet homme représentait tout ce que je déteste politiquement, attachée au debat politique  au sens large, le seul moyen de combatre une ideologie, ne residera jamais que dans la dialogue et la confrontation verbale.

 Quand un pays s'enorgueillit de porter le port d'arme, comme une valeur intrincèque de son identité, il ne faut pas s'etonner d'observer que les plus ultras, tous courants politiques confondus revendiquent à la moindre occasion, en cas de crise, de trouver légitime, de "tirer dans le tas", quand il s'agit de tueries de masse, ou de s'en prendre individuellement, à telle personnalité, ou telle autre.

 Et sur ce point, il n'y a pas un courant politique aux USA, qui soit en mesure de revendiquer de ne pas en avoir été victime.

Mais revenons en à Charlie Kirk.

 On apprenait, hier, que sur les réseaux sociaux sa communauté récupére le slogan français, "je suis Charlie", pour faire de lui, ce qu'on apppelle, "un martyre".

https://www.rfi.fr/fr/france/20250107-je-suis-charlie-histoire-du-voyage-en-absurdie-de-joachim-roncin-auteur-d-un-slogan-devenu-viral

 JE SUIS, JE SUIS, JE SUIS.....

 Tout et n'importe quoi, visiblement, si l'on observe à quel point, certains prénoms, ont ainsi devoyé, litteralement, l'image de ceux qui les ont précédés.

 Pour moi, Donald c'était la bande à Picsou, et le vieux grincheux, gripesou, et Donald son neveux, inconséquent, qui faisait des bêtises, et ses trois neveux, Riri, Fifi et Loulou, depuis que Donald Trump est arrivé dans la sphère politique américaine, le prénom Donald en à pris pour son grade au détriment, du heros du dessin animé.

 Ainsi, on observe qu'au moment où cet assassinat, ait été commis, le présumé coupable s'appellerait Robinson, alors qu'au même moment, Donald Trump, tressait des couronnes de laurier, à un autre Robinson, au Royaume Uni, il y a quelques jours, ce dernier etant, un politique, d'extrème droite....

 Personnellement, toujours, attachée visceralement, à la liberté d'expression, de dessiner et de caricaturer, je me contente d'être Françoise, ce qui me semble largement suffisant.

Le BIO, en agriculture.

Le 11/09/2025

Mon livre sur l'agriculture, qui va s'appeler, "sacré géranium", édité par nombre7, en est à la relecture. j'aborde le sujet du BIO, bien sûr, dans plusieurs de mes chapitres.

 Fouillant sur internet à ce sujet, je viens de découvrir un site tres bien fichu, qui permet de découvrir où en est le BIO, aujourd'hui, dans chaque departement ou chaque region, en ce qui concerne le nombre d'entreprises agricoles déclarées comme telles, ou les surfaces agricoles, qui sont concernées.

https://www.agencebio.org/observatoire-de-la-production-bio-sur-votre-territoire/

 Pour ce qui concerne leur viabilité, et leur chiffre d'affaire, par contre, c'est une autre affaire.

 C'est sur ce point précis, pourtant, que je cherche l'info ce matin, sachant qu'il faudrait se méfier de toute forme d'intox sur le sujet, sachant que d'autre part,  c'est ce qui est observé et vehiculé comme info, qui serait susceptible, d'encourager ou de decourager, untel ou une telle, de s'installer en BIO, aujourd'hui.

 Un indice pourtant, devrait permettre d'y voir plus clair, quand on voit l'organisation, "Prince de Bretagne BIO", faire une campagne de pub à la télévision, ce qui ne doit pas être au goût de tout le monde en Bretagne, quand on observe le côté mafieux, d'un certain syndicat agricole.   Oui, j'ai bien dit, et je le repète, "le côté mafieux d'un certain syndicat agricole".

https://www.bio-bretagne-ibb.fr/actualite/adherents/fruits-et-legumes-prince-de-bretagne-bio-bons-et-100-bretons/

https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin

La loi Duplomb dans l'aile.

Le 19/07/2025

https://www.franceinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/loi-duplomb-ce-que-peut-changer-la-petition_7385209.html#comments-embed

https://www.franceinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/loi-duplomb-la-petition-qui-demande-l-abrogation-du-texte-depasse-les-200-000-signatures_7384873.html

https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014

Cette loi, est une abbération politique.

   Par définiton, le politique est sensé légiférer, pour défendre le citoyen,  le plus possible, contre toute forme d'agression, quelle que soit sa nature.

 Nous, citoyens, comprenons mieux que personne, à quel point il peut être difficile, pour les politiques, de prendre les bonnes décisions.

   Mais un point demeure observable de plus en plus, qui révèle que les décisions, anti écologiques, servent toujours, uniquement et strictement le court terme, au détriment du moyen terme et du long terme.

 GOUVERNER C'EST PREVOIR.

   Cette position est parfaitement irresponsable de la part de politiques, qui d'autre part, subissent des pressions insoupçonnées, de la part des lobbistes, que ce soit sur le territoire français, ou que ce soit à l'echelon européen.

   Il ne serait pas superflu d'ailleurs,  d'exiger des députés, qu'il déclarent non pas, la preuve de leur travail ou des dossiers sur lesquels ils travaillent, car celà existe deja, sur le site de l'assemblée nationale, mais avec quels responsables, ils ont des demandes de RV, et lesquels de ces RV, ils choississent d'honorer, ou pas.

 Avec qui ils mangent, au resto, cadeaux, etc (quand il s'agit de travail, evidemment).

 Parce que ce que tout le monde ignore, réside dans le fait que le lobbing  qu'ils subissent, (et pas les députés, uniquement), est extrêmement virulent, et objectivement s'apparente infiniment plus, à une forme de harcèlement... Que ce soit, au niveau national, mais aussi, européen...

  Et pour ceux qui seraient en doute sur ce sujet, demandez vous donc, pour quelle raison les différents lobbing, ont leurs bureaux carrement, au parlement européen, je ne crois pas que ce soit, pour prendre des cours de macramé ou de peinture, mais bien pour faire pression, sur les décideurs politiques, tous pays confondus, dans le v  but, uniquement, de proteger des revenus financiers.

  Et quand on nous rétorque que la France, sans cette loi, se trouverait en compétition déloyale, vis à vis d'autres pays européens, pour commencer, qu'ils se demandent, pourquoi des agriculteurs BIO, eux, y parviennent, je ne crois pas qu'ils aient, jusqu'à preuve du contraire, de baguette  magique...

  Ensuite, il faut faire pression, aupres des autres pays européens, qui eux, doivent tendre vers un alignement, qui se rapproche, de nos normes écologiques, autrement dit, cette loi si elle etait adoptée, ne serait rien de moins, qu'un nivellement vers le bas, alors que c'est aux autres pays, de s'aligner sur nos normes, environnementales.

 Quel pays européen, aujourd'hui, se trouve légitime, à encourager, l'angmentation, du nombre de cancers les années, et decénnies à venir , voilà, la vraie question, qu'il faut désormais se poser.

  Soutenir cette loi, d'autre part, pourrait parfaitement avoir pour conséquence, des poursuites en justice,  (non assistance à personne en danger, et mise en danger de la vie d'autrui), si l'on observe à quel point les chercheurs font consensus, pour avoir dénoncé en amont, les risques sanitaires, qui sont en jeux aujourd'hui.

Dans Autrice.

Ruralité.

Le 24/03/2025

Les maisons familiales et rurales.

https://www.mfr.fr/

J'ai été invitée, il y a quelques jours, avec d'autres auteurs, à  participer à un salon du livre, Interne à leur maison, pour être plus précise, celle de Bernay, dans l'Eure.
Nous avons été fort bien reçus, et avons présenté nos ouvrages, par groupes de quatre à six, environ, devant des élèves allant de la quatrième, à la prépa BAC pro.

La "maison dont il est question, propose un contexte architectural de premier ordre, en pleine nature, avec espace vert, et arbres centenaires, bien que l'on ait pas pu avoir accès à leurs certificats de naissance.

Il m'avait déjà été donné de présenter mon travail d'artiste peintre, dans un établissement similaire, mais pas encore, côté écriture.

Ces maisons sont accréditées par l'état, qui, à ce titre, leur est redevable de subventions, sensées assurer un bon fonctionnement, sachant d'autre part qu'elles accompagnent et forment des ados, qui sont, pour certains, en difficultés scolaires, en les formant à des professions, telles que auxiliaires de vie, entre autre.

Le midi, nous avons été invité(e)s à partager leur repas, " home made", comme on dit, bien loin des plats tous préparés, version assiettes en plastique, etc, ce qui m'a beaucoup amusée, puisque ça m'a ramenée à la période où  j'étais moi même pensionnaire, au lycée Corneille, pendant que j'étais au collège Catherine Bernard, à Barentin.

Les cruches en inox, les grandes tablées, les grands plats qui circulent, c'est de là que doit me venir le goût des grandes tablées.

Chou rouge et carottes râpées, en entrée, et Chili con carne maison, une part de fromage, et une crème au citron.
L'après midi, rebelote, nous avons reçu chacun, une douzaine de groupes de cinq ou six, je n'ai pas compté, pour tout dire.

L'EHPAD de Bernay était aussi de la partie, et nous les avons reçus, pendant que le café bouquin proposait aussi, thé, café, et petits gâteaux maison.

J'ai remarqué que les élèves les plus âgés, étaient les plus hardis à poser des questions, somme toute, incontournables, version" vous gagnez combien, avec vos livres", parmi lesquelles, bien d'autres bien plus pertinentes.

Je m'attendais à voir certains visages plus fermés, pour aborder le sujet du masculinisme, et donc, du féminisme, et il n'en fut rien.

Un peu surprise d'observer que quasiment aucun garçon, ne connaissait le masculinisme, alors que bien des jeunes filles étaient plus averties sur le sujet.

La directrice m’a expliqué le fonctionnement, et insisté sur leur inquiétude qui résulte de la diminution du budget, qui remet en cause le fonctionnement de son établissement.

Sans cereseau de maisons, qui fait du bon travail, que deviendraient ces jeunes, qui ont frisé pour certains, le décrochage scolaire ? Voilà, la question que je me pose.