Françoise Niel Aubin, artiste.

parentalité

447471944 433904919404503 2439063649303585163 n

"Addictions, prendre le mal à la racine", relation avec le populisme.

Par Le 27/02/2022

 Je travaille, en ce moment, entre autre, sur un ouvrage, consacré à notre relation au temps.

   Loin d'être dans la démarche de développer encore quoi que ce soit sur le sujet, parce que ça n'est ni l'endroit ni le moment, il ne me semble pas superflu, pourtant, de pointer du doigt le fait que mes ouvrages, toujours, sous différents aspects, se croisent littéralement par leurs sujets, ou par certains angles, selon lesquels je les appréhende.

 Ainsi, dans l'ouvrage dont je vous parle, je prétends, que le l'addiction, est à la santé ce que le populisme est en politique.

  Loin d'être une formule qui tendrait vers la facilité, on ne peut qu'observer, que les deux tentent de proposer des solutions simples et rapides, comme reponses à des questions ou des problèmatiques, qui sont complexes.

  Car en matière d'addictions, que celle qui est observée, soit autorisée par la loi ou qu'elle ne le soit pas, en dehors de cas, où "on cherche uniquement, à faire comme les copains", il s'agit le plus souvent, de trouver un soulagement, à une forme de souffrance, souffrance dont on ne connait pas toujours l'origine, à moins que ça ne soit, qu'un stress bien actuel, et ça n'est certes pas, helas, la période post pandémique à laquelle vient de s'ajouter la guerre en Ukraine, qui risquent de me contredire.

 Tous les populismes, en politiques, ont eux aussi, cette caracteritique, qui tend à tenter de faire passer, pour efficace, façon "coup de torchon", des solutions  simples, et expeditives, face à des problèmatiques, qui, en réalité, sont effectivement, en realité fort complexes.

 C'est pour cette raison que je me permets ce parallèle qui hélas, n'est pas une question de mode, ou de d'idée fixe...

 le sindrome du bouc emissaire, alors, semble bien pratique, face à une polulation, qui adule les extrêmes droites, en un racisme, qui appuierait une politique s'y rapportant, alors, que dans les fait, la moindre de leurs théories, jamais, ne peuvent proposer, la moindre solution viable, et surtout, "dignes", au défits actuels.

https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin

"Faîtes des pères"(éventuellement).

Par Le 06/04/2021

   Il y a quelques année, ayant travaillé sur la famille et ses diverses mutations ces dernières décennies, j'avais mis en évidence, la necessité d'oeuvrer pour soutenir les pères, afin que lors des divorces, ces derniers ne se voient spoliés de leur paternité, "pour de mauvaises raisons".

   D'autre part, j'avais entendu parler il y a quelques années, d'une association qui s'appelle "SOS papa", dont je vous donne le lien.

http://www.sospapa.net/2019/01/urgent-votez-pour-la-coparentalite-avec-le-conseil-economique-et-social/

  Ayant parcouru à l'instant leur site, je constate  à quel point, en dehors, qu'on ait affaire à un sérieux repaires de masculinistes, les questions existentielles, sur le sujet, semblent bien parfaitement éludées, ce qui en dit long sur la necessité qui fait jour, de créer cette association, dont je m'en vais rédiger "la raison d'être".

  Certes,  on me dira que je devrai peut être observer le verre, à moitié plein, plutôt qu'à moitié vide.

  Je suis féministe, c'est vrai, mais le fait de l'être, en aucune façon n'empêche la prise de conscience, quand à la necessité pour un enfant, d'avoir un père, et ceci bien au delà, d'en avoir, de la façon la plus conventionnelle, été le géniteur.

  J'ai écrit deux ouvrages, qui traitent de ce sujet.

  L'un sur l'autorité, que je vais traiter, par podcast, et le second, qui s'appelle MASCULINISME, qui est disponible en livre papier et téléchargeable, sur internet.

https://editions-sydney-laurent.fr/livre/le-masculinisme/

  Certains doivent se dire que de parler de paternité, en commençant par les observer comme masculinistes, ne serait pas un bon angle...

  Et bien, vous savez quoi ?

  Je suis tout à fait d'accord...

  Sauf que....

  C'est précisément pendant l'une de leurs prestations télévisuelles, il y a quelques années, que m'est venue l'idée de travailler sur ce sujet...

   En somme, qui de la poule et de l'oeuf, est donc arrivé le premier ?

  J'aborde ce sujet, "en partie", dans mon ouvrage, qui parle du masculinisme en général, et pas uniquement, sous l'angle de la paternité.