Françoise Niel Aubin, artiste.

artiste

Dans REUSSIR...

Lire ? Oui, mais quand ça ne veut pas.....

Par Le 30/03/2023

01 avril 2023.

Une maison d'edition, s'est fait une spécialité de ce problème, et c'est ici:https://www.facebook.com/profile.php?id=100007042488125

Avoir recours aux nouvelles....

Dans Autrice.

Nietzsche, la souffrance et la maladie.

Par Le 18/03/2022

 Je pose ici, un travail, dont je ne suis pas l'autrice, mais qui me semble ort precieux, qui emane, d'un certain Jean-Marc Dupuis.

 Comme je l'ai expliqué, il y a quelques jours, je termine, un travail, important, sur la soufrance.

 Dans le cadre de cet ouvrage, j'avais glané ce travail là, alors je le pose ici, parce qu'il me semble profitable d'y réfléchir.

Chère lectrice, cher lecteur,

A l’âge de 4 ans, le jeune Friedrich Nietzsche perd son père, qu’il adorait.

Peu après survient la mort de son petit frère, Joseph.

Etudiant, il attrape la syphilis, une maladie infectieuse mortelle et très douloureuse.

Il passera le reste de sa vie accablé de nausées, de terribles maux de tête, de vomissements. Il restera parfois des journées entières dans une cécité complète. Il est obligé d’abandonner la carrière universitaire brillante qui l’attendait, et se réfugie dans une chambre modeste qu’il loue à un fermier au plus profond de la Suisse, seul endroit où sa santé fragile lui permet de survivre.

En hiver 1880, il tombe dans le “trou noir de son existence”. Il est au fond de l’abîme, au bord du suicide. Il rencontre une jeune Russe, Lou Salomé, et semble trouver enfin le bonheur. Mais l’aventure tourne au fiasco. 

Elle laisse Nietzsche profondément blessé, en 1883 : 

«Je ne comprends plus du tout à quoi bon vivre, ne fût-ce que six mois de plus. Tout est ennuyeux, douloureux, dégoûtant !», écrit-il.

Il n’eut que des déceptions avec les femmes, qui étaient il est vrai effrayées par son énorme moustache. “Grâce à ta femme, tu es cent fois plus heureux que moi”, écrit-il à un ami.

Mais la syphilis, qui attaque le cerveau, gagne du terrain. Il perd la raison. Il est interné en hôpital psychiatrique puis meurt dans une misère noire.

Ses livres ne connaissent, durant sa vie, aucun succès, tant il est en décalage avec ses contemporains. Nietzsche vit dans une grande pauvreté, presque totalement incompris.
 

Nietzsche avait l’expérience de la souffrance, et voici ce qu’il recommandait de faire

Nous avons tous des zones sombres dans notre vie. Nous avons tous des difficultés qui paraissent insurmontables. Nous connaissons tous des échecs. 

La plupart des philosophes ont essayé de nous aider à réduire nos souffrances. Ils nous ont donné des conseils pour nous consoler, et nous aider à nous débarrasser de nos douleurs.

Friedrich Nietzsche ne voyait pas les choses ainsi.

Il pensait que toutes les sortes de souffrances et d’échecs sont en réalité la clé vers le bonheur, et devraient donc être accueillies avec joie.

Pour lui, il ne peut y avoir de joie que dans le fait de surmonter des défis.

Plus grands sont les défis, plus grande est la joie, comme l’alpiniste recherche des montagnes plus hautes et plus difficiles à vaincre. C’est du haut de ces montagnes que l’on peut contempler les vues les plus belles, respirer l’air le plus pur. Et les parois les plus vertigineuses sont aussi celles qui ont la plus fascinante beauté.
 

“A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire”

A l’inverse de tous les philosophes, Nietzsche pensait que c’était un avantage, que d’avoir de graves déconvenues dans sa vie !

Il écrivait :

“À tous ceux à qui je porte intérêt, je souhaite la souffrance, l’abandon, la maladie, les mauvais traitements, le déshonneur ; je souhaite que ne leur soient épargnés ni le profond mépris de soi, ni le martyr de la méfiance envers soi; je n’ai point pitié d’eux, car je leur souhaite la seule chose qui puisse montrer aujourd’hui si un homme a de la valeur ou non : de tenir bon…”

Pour atteindre quoi que ce soit de valable, estimait Nietzsche, il faut faire des efforts gigantesques.

Nietzsche avait une vie routinière. Il se levait à 5h du matin, écrivait jusqu’à midi, puis allait marcher sur les immenses montagnes qui entouraient son village. De sa fenêtre, il pouvait contempler de magnifiques paysages qui parlaient à son âme.

“ Ne venez surtout pas me parler de dons naturels, de talents innés ! On peut citer dans tous les domaines de grands hommes qui étaient peu doués. Mais la grandeur leur est venue, ils se sont faits « génie » (comme on dit)”, écrivait-il.

Et ils l’ont fait en surmontant les difficultés.

“Ce n’est pas par le génie, c’est par la souffrance, par elle seule, qu’on cesse d’être une marionnette”, écrira après lui le philosophe nietzschéen Emil Cioran.
 

La difficulté est la norme

La difficulté est la norme.

Nous éprouvons de la douleur à cause de la différence que nous constatons entre la personne que nous sommes, et celle que nous pourrions être.

Mais évidemment, souffrir ne suffit pas. Sinon, nous serions tous des génies ! Le défi, c’est de bien réagir à la souffrance.

Nietzsche pensait que nous devions considérer nos problèmes comme un jardinier regarde ses plantes. Le jardinier transforme des racines, des oignons, des tubercules, qui paraissent très laides, en de jolies plantes portant des fleurs et des fruits.

Dans nos vies, il s’agit de prendre des choses qui paraissent “moches”, et essayer d’en sortir quelque chose de beau.

L’envie peut nous conduire à nuire à notre voisin, mais aussi à une émulation nous conduisant à donner le meilleur de nous-même. L’anxiété peut nous paralyser, mais aussi nous conduire à une analyse précise de ce qui ne va pas dans notre vie, et ainsi à la sérénité. Les critiques sont douloureuses mais elles nous poussent, en général, à adapter notre conduite.

Concernant la maladie elle-même, Nietzsche a écrit ceci :

« Quant à la longue maladie qui me mine, ne lui dois-je pas infiniment plus qu'à ma bonne santé ? Je lui dois une santé supérieure, que fortifie tout ce qui ne tue pas ! Je lui dois ma philosophie. Seule la grande douleur affranchit tout à fait l'esprit. ”

Mais bien entendu, les choses se passent en plusieurs temps : la “joie”, le “sens” de la maladie ne surviennent pas au moment où vous êtes en train de souffrir. Cela n’apparaît que lentement, et après coup, lorsque la vie offre une forme de répit. C’est alors, seulement, qu’on peut se retourner et voir le côté positif de l’épreuve. 

“D’abord il y a la crucifixion ; ensuite seulement vient la résurrection”, me disait un ami. Mais au moment où l’on est cloué sur la croix, ce n’est jamais drôle, évidemment… Ce qui me fait penser que, au fond, ces réflexions de Nietzsche ne peuvent être comprises que par les personnes d’un certain âge, qui ont déjà vécu, eu le temps de cicatriser leurs épreuves, et de prendre du recul.

Tout le monde n’a pas cette chance, et Nietzsche qui est mort à 56 ans, un âge respectable pour l’époque, aurait sans doute pu insister un peu plus sur ce point...

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Dans CULTURE .

"Diriez vous que vous êtes un ou une artiste militant(e) ?".

Par Le 16/01/2022

Il fût un temps lointain, enfin, il me semble, où l'on osait cette question aux artistes....

 J'ai toujours, trouvé ça étrange...

 Certes, certains, ne font que du ludique, comme on dit, "métiers deservices", avancent même d'autres.

 Je peux comprendre, ça.... Et si "le métier de service", justement, dont on parle là, revendiquait, sans se l'avouer à soi même, une parfaite conscience,  de sa démarche, conscient que l'on est alors, d'ambitionner de vouloir bouger, mine de rien, certains curseurs ?

La raison pour laquelle précisément, cette question n'est plus posée à un artiste, tendrait à le démontrer, en tout cas.

 Est ce qu'au fond, revendiquer un côté ludique, ou simplement "beau", ne serait pas, sans quon se l'avoue, aussi une forme de militantisme, un militantisme plus subtil et detourné, peut être, mais militantisme, quand même. Enfin, c'est mon sentiment.

 Quand j'étais ado, je m'etais posé cette question, au sujet d'une chanson , ça n'était pas "bella Ciao", mais une autre, ça aurait pu être elle, version "no pasaran".

 J'etais outrée, de voir qu'on puisse ganer de l'argent, sur le dos de personnes qui souffrent, en s'accaparant des revendications, qui n'étaient pas celles de l'artiste, à la base.

 Ma conscience d'être une artiste alors, à cette époque, était si embryonnaire, que j'étais incapable, de juger de la psychologie de l'artiste, quand il crée, et que c'était d'être touché(e), par une cause, ou un problème, qui figurait l'étincelle, qui permettrait que la création advienne.

 Des lors, ça n'était pas d'appropriation dont il était question, ou dont il est question, aujourd'hui, et toujours, puisque  ce qui est créé ensuite, n'appartient qu'à son auteur, et à personne d'autre, et donc, par aux defensseurs de la cause en question.

 Ensuite, certains artistes peuvent revendiquer de façon délibérée, de s'investir ou pas, dans une cause, indépendamment de l'oeuvre en question, mais c'est alors autre chose.

  Il est des subtilités, qu'on ne peut intégrer, qu'en les vivant, au plus profond de son coeur, et pas extérieurement.

  Ainsi, semble t il déplacé, enfin, c'est mon sentiment, de poser la question à un artiste, "considérez vous, que vous êtes engagé" ?

  Desproges repodait, "non, je suis dégagé", lui, ce qui etait un moyen de dire, "question deplacée", et il bottait en touche.

En dehors d'une attitude absivement intrusive, dans le processus de creation, je crois, que c'est plus subtile, de faire remarquer, "vous parlez de tel sujet"... ?

 "Vous abordez tel thème".... En dehors de ça, je ne vois pas. C'est un peu comme si, vous disiez à un artiste, "la belle couronne de lauier, là, croyez vous, tout compte fait, qu'elle a bien sa place, sur le sommet de votre tête" ?

  Non, décidément, ça n'est pas sérieux.

https://www.france.tv/jeux-et-divertissements/divertissements/culturebox/2974371-gauvain-sers-mon-fils-est-parti-au-djihad.html

https://www.france.tv/france-5/c-a-vous-la-suite/c-a-vous-la-suite-saison-13/3027251-richard-kolinka-et-philippe-torreton-en-scene-c-a-vous-6-06-01-2022.html

Festival, moi, amateur.

Par Le 19/10/2021

 Il s'agit d'un festival, qui s'appelle, "moi, amateur", organisé par la ville de Barentin...

 Toutes les villes qui sont suffisamment importantes en population, devrait créer ce festival, en interne, je vous explique pour quelle raison.

 Aujourd'hui, c'est le sujet, dans "grand bien vous fasse", d'ailleurs, on parle de « transfuge de classe".

 Mais cette expression, sous entent, une forme de réussite sociale, "au sens conventionnel"...

 On pourrait parfaitement l'entendre, dans le clivage, "artistique ou pas"...

 En effet, venant, d'un milieu où ce qui est artistique, en aucune façon ne serait considéré comme respectable, recevable ou sérieux", il importe de noter, que précisément, briser ce tabou relève, d'une importance considérable.

Quelque soit l’âge, auquel on s’adonne à une passion, il existe toujours, une forme de malentendu, dans la perception, qu’en a l’entourage, qu’il soit amical, familial, pour citer que ceux là…

 Par ce festival, la singularité, d’une enfant, d’un ado, ou pourquoi pas, d’un adulte, làoù il n’existe aucun endroit, pour pouvoir y retendre, ou l’exprimer, ce festival, doit offrir l’opportunité, de faire, d’expliquer, sa démarche, et donc, en somme, de commencer, à échafauder, ce qui est nécessaire, pour parvenir, ne serait ce qu’en infime partie, à un debut de reconnaissance….

Tu veux être artiste ? Ok, mais sous quel régime ?

Par Le 03/09/2021

Depuis des années, je me bas pour revendiquer le droit d'être artiste professionnelle.

Juridiquement, alors que depuis des années les differents institutions que j'avais contactées, m'avaient affirmé qu'en aucune façon, ça me serait autorisé pour cause de mesure de protection, c'est à dire, tutelle les premières années, puis ensuite, jusqu'à présent, curatelle renforcée.

 Ayant rencontré la juge, il y a quelques mois, cette dernière m'a certifié que personne n'était autorisé à entraver qui que ce soit, à être à son compte, en tant que professionnelle.

  J'ai donc mené mon enquête, et effectivement, selon un verdict rendu en cour de casssation (je n'ai pas les références sous la main), elle a parfaitement raison...

  Sauf que ce verdict sensé restituer à la personne protégée, une forme de dignité, me semble difficilement applicable, et je dirai incompatible avec le fait de gérer une comptabilité, propre à une activité, sachant que d'autre part, les tuteurs et curateurs, sont généralment submergés de travail, et que j'ai de gros doutes sur le fait qu'ils consentiraient difficilement, à suivre une activité propre à cette activité professionnelle.

  Seule, éventuellement, dans le cas d'un curateur proche de la personne protégée, pourrait matériellement revendiquer de l'assumer.

  D'autre part, une personne mise sous protection,  juridiquement est considérée comme insolvable, parce que prétendue irresponsable quelquefois,  elle me donnait l'exemple d'un plombier....

 Qui, effectivement, ferait établir un devis (qui le signerait ? Le curateur, le tuteur ?), sachant que d'autre part,  sa responsabilité, ne saurait être engagée, en cas de malfaçon.. Personne, evidemment.

 En cas de fuite d'eau, je vous conseille le plombier de Pierre Perret, vous gagnerez votre temps.

 L'intention de cet arrêté est louable, mais rigoureusement inapplicable, et entièrement deconnectée de la réalité du terrain.

 En ce qui me concerne, je souhaite evidemment être autrice, artiste peintre et photographe professionnelle...

 Suite à ce courrier, que je leur ai envoyé, en mars, j'ai enfin reçu la reponse d'eux, au bout de 6 mois. 

 Vieux motard, que jamais.....

 J'étais ravie, pensez donc.... Mais c'était trop beau. Bien sûr, impossible de créer mon espace sur leur site.

 Mais on progresse !

 J'ai un mail, à présent.

 Avant d'entamer quoi que ce soit, pour être professionnelle, je compte bien savoir où je mets les pieds, pensez donc...

 Aussi, je m'engage à vous tenir au courant de la suite des événements. 

 Pour ce qui est artistique, c'est l'URSSAF du Limousin, située à Montreuil, qui s'y colle.

http://www.artiste-auteurs.urssaf.fr (c'est le site internet, qui me concerne.

 En ce qui concerne cette caisse, beaucoup d'artistes d'en plaignent.

 Le souci est le suivant, est ce que les plaintes sont dues uniquement à son type de fonctionnement, au calcul des cootisations qui sont demandées, ou bien au fait, qu'on ne puisse négocier, quoi que ce soit, en cas d'impossibilité de paiement, on ne sait pas. On sait juste, que du côté des artistes, ça gueule vraiment un max, et ça n'est pas présentement le covid, qui, il y a quelques années en était déja responsable.

 La question à présent, est la suivante: "est ce qu'il existe des artistes, qui sont satisfaits du systême actuel oui, u non ?

 Et pourquoi  ?

 On aimerait que je me penche sur le problème, visiblement, alors, que je n'en sais rien...

 Si jamais ils font passer leur "chat", pour un humain, un fonctionnaire qui connait vraiment son travail, là, où ça serait un robot, ou un serveur vocal, qui vous répond, (comme le fait, nickel), il est clair qu'il est normal que ça frotte et que ça gueule.

 Même jour,  à l'instant.

 copie du mail, que je viens de leur envoyer.

Bonjour.

  J'ai bien reçu votre courrier, ce matin, après 6 mois d'attente, mais malgré tout, je vous en remercie. Malheureusement, passé la joie, d'avoir enfin, de vos nouvelles, je constatais, que je n'arrive pas à créer mon espace, sur votre site...

  Je viens vers vous, pour vous poser différentes questions.

 Je souhaite, être, autrice (je le suis déjà), artiste peintre (je vends aussi des estampes, numérigraphiques, donc, "la maison des artiste" SEULE ne suffit pas, et photographe.

Est ce que l'ensemble de ces activités peuvent être couvertes, par un début d'activité, tel que vous me le suggérez ?

Ensuite....

 J'ai besoin, personnellement, de sa voir, où je mets les pieds.

 Entendez, par là, que je ne remets pas en cause, votre fonction, mais uniquement, que j'ai besoin, de savoir, comment fonctionne, vos prélèvements.

 Est ce que ces prélèvements sont trimestriels, ou autres ?

 Ensuite, le plus important, à mes yeux...

 Dans l'hypothèse où je commencerai, mon activité, disons, début octobre, 

 dans l'hypothèse d'un chiffre d'affaires, disons, au hasard, de 300€ par mois, quelles seront mes cotisations d'assurances maladie , assurances vieillesse, et imposition ? sur ces revenus uniquement, j'entends.

 Dans l'hypothèse, où sur cette même période, mon chiffre d'affaire, serait de 3000€, quelles seront mes cotisations d'assurances maladie , assurances vieillesse, et imposition ?

Merci de me tenir informée, afin que je puisse comprendre votre mode de fonctionnement afin d'optimiser mes chances, de trouver un véritable intérêt à  rendre mon activité reconnue professionnellement, ou plus précisément, de déterminer s'il est souhaitable ou pas, comme doivent désormais le faire, bon nombre d'artistes, d'avoir un travail alimentaire à côté, pour payer vos charges sociales.

 Cordialement.

 Françoise Niel Aubin.

 PS: peut être serait il possible d'envisager de se rencontrer par cam, pour pouvoir entendre(au sens comprendre) vos explications, et qu'elles soient un peu plus humaines.

 27 septembre 2021.

 A quelques jours près, ça fait un mois, je n'ai toujours aucune nouvelle de ma demande.

 Je viens de leur faire une piqure de rappel, comme le vaccin contre le covid.