Françoise Niel Aubin, artiste.

"Not all men", voici la feuille de route.

https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/proces-des-viols-de-mazan-plus-de-200-hommes-signent-une-feuille-de-route-contre-la-domination-masculine-20240921_TXUFM4QHOVAD7BOALPIKBKD6HE/

https://collecter.fondationdesfemmes.org/projects/notallmen-mais-combien-d-allies-1744

https://www.france.tv/france-5/en-societe/6474560-emission-du-dimanche-22-septembre-2024.html

27 septembre 2024.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-billet-de-francois-morel/le-billet-de-francois-morel-du-vendredi-27-septembre-2024-8500384

 Le ministre de la justice fraichement nommé par notre nouveau premier ministre, s'est engagé à promouvoir de faire entrer le consentement dans la loi contre le viol...

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-8h20/l-invite-de-8h20-du-we-du-vendredi-27-septembre-2024-2449571

 Inutile de vous préciser qu'on l'attend au tournant.

 François Morel, nous aide à y voir plus clair.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-billet-de-francois-morel/le-billet-de-francois-morel-du-vendredi-27-septembre-2024-8500384

20 novembre 2024.

 Dernière ligne droite, pour ce procès, ors norme.

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/affaire-des-viols-de-mazan/direct-proces-des-viols-de-mazan-les-derniers-mots-de-gisele-pelicot-attendus-ce-mardi_6905201.html#at_medium=5&at_campaign_group=1&at_campaign=alerte_info&at_offre=3&at_variant=V3&at_send_date=20241119&at_recipient_id=459386-1649175068-6eaa1e7e&at_adid=DM1033948

"Soumettre une femme insoumise était mon fantasme, par pur égoïsme".

 Encore un, qui est trop con, pour maitriser la nuance, entre fantasme, et désir réel.

 Il serait bon, que cette nuance, fassse l'objet, d'une véritable introspection, y compris, chez les femmes, y compris, aussi, dans notre propre vie sexuelle, je veux dire, en dehors, d'un contexte d'agression sexuelle, ou de viol.

25 novembre 2024.

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/affaire-des-viols-de-mazan/recit-ce-n-est-pas-du-courage-c-est-de-la-determination-le-parcours-de-la-combattante-gisele-pelicot-au-proces-des-viols-de-mazan_6904682.html#at_medium=5&at_campaign_group=1&at_campaign=alerte_info&at_offre=3&at_variant=V3&at_send_date=20241124&at_recipient_id=459386-1649175068-6eaa1e7e&at_adid=DM1035898

"Je ne comprends pas comment il a pu en arriver là. Moi, j'ai toujours essayé de te tirer vers le haut, vers la lumière. Toi, tu as choisi les bas-fonds de l'âme humaine", lui lance Gisèle Pelicot, combative et décidée à ne pas sombrer".

 

"Ce n'est pas du courage, c'est de la détermination, pour faire avancer cette société."

Il ne reste qu'au politique, alors, d'être à la hauteur de son courage et de cette détermination.

Je trouve incroyable, que les avocats de l'accusé, aient reproché, à Gisele Pelicot de ne pas avoir pleuré...

Je serai tenté de rajouter, "c'est tout ce que vous avez à dire" ?

 Si le féminisme aujourd'hui, est un mouvement qui a pour ambition, d'apprendre aux femmes à se défendre pour se faire respecter, et qu'à ce titre, elles veillent en theorie au moins, à inviter les hommes à assumer leur sensibilité, au point d'assumer de pleurer quelquefois, qu'on soit hommes ou femmes, devrait induire de l'assumer, sans que jamais, le genre n'entre en ligne de compte.

 Pourtant, justement, que l'on soit homme ou femme, une fois admise cette necessité et apres l'avoir assumé, n'importe qui peut comprendre que ces épenchements de sensibilité, ne peuvent être simultannés au fait de combattre.

 S'il est cohérent, de voir un soldat craquer, en temps de guerre (c'est bien d'une guerre, dont il est question, là, non ?), on ne va pas à la charge en sanglots, le mouhoir en papier en main pour essuyer ses larmes...

 Il n'est pas anodin, d'autre part, de voir qu'ils se saisissent d'un tel argument, là où précisément, cette guerriere elle, contrairement à son mari a le sens de l'intime, et chacun que je sache, qui garde le sens de l'intime, aujourd'hui, est assez sage, pour ne pas donner à voir, les moments où il craque justement....

 Drôle de conception du metier d'avocat, qui donnerait pour un peu, le sentiment que nous serions, là, non pas dans un tribunal, mais plutot dans une cour d'école, à la recré, quand un vilain garçon serait venu la bousculer.

 On croit rêver... Pour un peu, je rajouterai, "et gna gna gna".....On peut jouer, à "t'es cap, ou t'es pas cap".... c'est peut être ce genre de motivation, qui a mené ces pervers, à aller jusque là, apres tout, non ?