https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-zoom-de-la-redaction/le-zoom-de-la-redaction-du-jeudi-14-septembre-2023-1757147
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/affaires-sensibles/affaires-sensibles-du-jeudi-14-septembre-2023-1024504
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-question-qui-fache/la-question-qui-fache-du-jeudi-14-septembre-2023-8682272
https://www.radiofrance.fr/franceinter/qu-est-ce-que-l-apartheid-sexuel-que-des-avocats-iraniens-veulent-integrer-aux-conventions-internationales-8116702
Cette histoire d'apartheid sexuel, oui, je pense que c'est une bonne idée.
J'entendais hier, une auditrice commenter, en prétendant qu'elle trouvait incroyable de voir, une telle disparité, entre nous ici, qui faisons un foin, au sujet des abayas, là, où dans d'autres pays, les vêtements servent à avilir les femmes, et les faire disparaitre, helas, au propre, comme au figuré.
Il faut bien reconnaitre que ces histoires de voile, et d'abaya, et tout ce qui concerne le vêtement plus lagement, ressemble bien plus, à des gesticulations vestimentaires, qu'à autre chose, ici, en France.
Quand le maculinisme coranique, appelons les choses par leur nom, regarde le simple patriarcat, comme une bluette politique, il y a du souci à se faire....
Alors, que précisément, je le developpe dans mon ouvrage sur le maculinisme, le fait, pour les hommes, qu'ils le fassent en instrumentalisant le Coran, ou par un autre moyen revient au même, et ne traduit, en fin de compte, qu'une peur véritable, qui n'est que l'expression d'un profond sentiment d'infériorité....
Les psys, et les psychiatres qui travaillent sur ce sujet, je ne parle pas, au sujet des victimes, mais sur les agresseurs le confirment tous d'ailleurs, à chaque fois qu'un homme, souhaite s'en prendre à une femme, au point de l'écraser de toutes les façons possibles et imaginables, que ce soit en lui imposant une veture, qui cache la moindre de ses formes, au point de la confondre avec une tente KESHUA, qui lui interdit d'aller s'instruire, detravailler, qu'il lui interdit, la moindre liberté, d'aller et venir, et que lui, ne sait s'exprimer qu'un flingue à la main, ou de façon détournée par la loi, que ce soit individuellement, ou que ce soit sur le plan général, par une regime dictatorial, celà signe TOUJOURS, un aveu d'impuissance, aux antipodes soit dit en passant, d'une religion, quelle qu'elle soit, qui doit au contraire, élever l'âme humaine....
Car une religion digne de ce nom, quelle qu'elle soit, n'est ni l'ennemi de l'émancipation des femmes, et moins encore, un outil pour les écraser, mais pour celà, encore faut il considérer la religion, encore une fois, quelle qu'elle soit, comme autorisant la libre pensée, et non, comme un enfermement.