https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/etcetera/etcetera-du-samedi-10-mai-2025-4057310
Alors que depuis l'avènement d'internet, on observe une augmentation exponentielle du nombre d'auteurs, dont seul un faible pourcentage, je le rappelle, parvient à en tirer quelques bénéfices, il arrive souvent que nous soyons sollicités sur ce sujet, dans les salon du livre.
Comment avez vous commencé ?
Qu'est ce que vousy trouvez ?
Enfin, bref, ils aimeraient bien pour certains ( c'est tout aussi vérifiable pour la peinture, ou n'importe quelle autre forme artistique), le public, donc, potentellement le lecteur, aimerait bien jetter un oeil dans le moteur, pour employer une métaphore mécanique.
Mais attention, "sans ressortir les mains pleines de camboui"...
Moi aussi, je les questionnais, quand je n'étais pas encore éditée, et une fois prodigué l'avetissement, "n'espérez pas en vivre, tout juste, ne pas perdre d'argent, ça doit être pour votre equilibre d'abord, qui justifie que vous ecriviez, et ce que ça vous apporte", ensuite, un peu arriver, que ça soit, plus positif encore...
C'est là l'essentiel, ensuite, chacun fait comme il le sent.
J'ignore, pour tout dire, si les auteurs sont tous sollicités à part égale sur ces questionnements, loin d'être anodins, pourtant...
Je le suis, personnellement, de façon quasiment systèmatique, ce qui ne me pose aucun problème, d'autant plus que je suis un ancien échec scolaire, je n'ai que le brevet des collèges, et que je suis dyslexique...
C'est la rencontre avec le public, qui motive notre présence dans les salons du livre, bien avant le nombre de livres, que potentiellement, nous vendrions... Enfin, ceci n'engage que moi.
Quoi qu'il en soit, qu'un auteur ou une autrice, ce soit penché sur ce processus, celui d'écrire, le semble bienvenu.
