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 Depuis bien des années, j'ai milité comme j'ai pu, pour défendre l'idée selon laquelle, un café dans le village, comme tous les commerces de proximité, sont des éléments essentiels de la vie rurale.

 Cette prise de conscience n'est pas nouvelle, mais observée sous l'angle du covid, on a pu constater à quel point, cet élément etait plus fondmental encore, qu'on ne le suspectait auparavent.

 Certains petits commerces,  que ce soit dans les bourg, ou dans les villages, n'ont pas pu résister, et ont du fermer boutique, ou ont été repris par d'autres.

 On entend courament  prétendre qu'une prise de conscience s'opère, dans l'esprit des citoyens, mais on ne sait pas encore dans quelle proportion cette prise de conscience, va jusqu'à faire vivre véritablement les petit commerces dont il est question.

 Quoi qu'il en soit, l'arrivée d'internet, à tout chamboulé sur ce point, pour observer que les commandes sur internet, transforment certains petits commerces, en simples recepteurs de colis.. j'exagère à peine.

 Loin de moi l'idée de  condamner de façon systèmatique, la vente par correspondance, mais au delà de ce que tout ce systême basé sur internet, engendre, comme repercussions sur le droit du travail, qui le rend acteur du plus evident esclavagiste moderne, on ne peut qu'observer et se resigner, devant le fait que ces commerces, deviennent, "multicarte", comme jadis, l'était l'homme orchestre....

 Si l'homme orchestre en question, mange à sa faim, avec un droit du travail qui le respecte, en tant que citoyen, j'approuve,  sinon ......

 Sinon, je leur rentre dans le lard, et pas necessairement, quand il ne serait question que de charcuterie.