Françoise Niel Aubin, artiste.

La finance internationale, n'a pas intérêt à la santé publique, et donc, à l'écologie.

apifnielaubin Par Le 22/02/2021 à 11:01

Dans BIEN ÊTRE, dont la santé, accessoirement.

Vous ne souçonnez pas, à quel point ça peut m'emmerder, ce matin encore, de devoir remettre l'ouvrage sur le métier.

 Pour ceux qui ne seraient pas encore au courant, je souffre, de lymphoedemes....

   Bref,  je fais comme tout le monde, je gère du mieux que je peux, et figurez vous, que fouillant sur internet, considerant d'autre part, l'épidemie de cancers, de toutes sortes, dont celui du sein, bon nombre de femmes, ayant subi une ablation du sein partielle ou totale, se retrouvent avec ce qu'on appelle, "des oedèmes", mais au bras, suite à l'opération, puisque le chirurgien quelquefois, se retrouve à devoir aller retirer certaines adhérences, ou pratiquer l'ablation des ganglions, ce qui donc, génére un oedèmes, au bras, du coté du sein, qui a été opéré....

   Comme le taux de guérison des cancers du sein augmente, ce dont bien évidemment, il faut se rejouir, la conséquence, c'est qu'observant des oedèmes, on commence à se pencher sur ce probleme, pour restaurer le systême lymphatique défaillant (les ganglions lymphatiques, qui aurait été retirés), au niveau du bras, afin d'embitionner de restaurer, ce qui a été abimé, par l'opération du sein....

 Vous me suivez toujours   ?

  Moi, de mon côté, mes oedèmes, dont on ne connait pas la cause, raison pour laquelle on les dit "idiopatiques", vocabulaire inhérent, à toute pathologie, où les médecins ne savent pas, ces derniers par contre, m'encouragent à aller fouiller précisément... "pensez donc"....

  J'ai donc pris RV, avec cette clinique privée, située, à Paris, non pas, dans la perspective de me faire opérer de quoi que ce soit, mais bien uniquement, d'avoir le point de vue, qu'ils ont, EUX, sur MES oedèmes....

  Puisque le systême lymphatique, ne fait l'objet d'une véritable introspection, que depuis que justement, l'oedème du bras, par sa fréquence, devient de plus en plus important, en chiffre....

  Désolée, si je vais être un peu langue de vipère sur le sujet, mais franchement, objectivement, comme ça vient du privé, et plus trivialement, je dirai "pour le coup, où "ils pourraient s'en foutre plein les poches", sait on jamais !

 BREF....

 On me dit que je devais passer un IRM des jambes, pour ensuite, reprendre RV,  avec les reéultats.

 Bien sûr, le seul endroit où je pouvais prendre RV pour l'IRM, à Becquerel, à Rouen, bizarrement injoignable, je me rabattais sur Paris, dans clinique privée...

   Pensez donc....

 Là, je voyais, Claire Chazal, et je ne sais plus qui,  en cadre photo, montrer à quel point, leur clinique était opérationnelle, pour vanter octobre Rose, au sujet du cancer du sein...

 Je me demande simplement, (désolée, d'être aussi terre à terre), si elle l'a fait gracieusement, ou si elle se fait payer....

 BREF... RV,  tant qu'à faire, un samedi en fin d'apres midi, afin de bien s'assurer que je serai tres inquiète, avec le retard des RV, de risquer de rater mon train pour le retour,  donc, bien sûr, taxi, direct, ensuite, pour pas rater le train...

 Vous suivez toujours ?

 Petite précision, qui n'est pas des moindres....

 Pendant que  j'attendais, les infirmières, secretaires, médecins, etc, discutaient entre elles, des conditions de travail, etc, etc, etc... Comme si, bien sûr, elles subissaient le même stress, que dans le public, je vous rappelle, qu'en milieu hospitalier, on subit le covid...

 Je ne mets pas en doute leurs postures, individuellement. Je ne dispose d'aucun donnée pour pouvoir en juger.

 Plusieurs femmes ou hommes, avant moi, apres moi, me passant sous le nez aussi, venaient passer eux aussi des IRM....

 C'est que ça côute tres cher, ce matériel là, n'est ce pas ?

 On sait, merci,... ON SAIT.... Puisque 'on vous dit qu'on le sait.

 Puis vint le moment de la douloureuse.

 On vous informe, bien sûr, en amont, que vous allez devoir sortir la carte bancaire, pour vous aquitter de la facture, ce que j'ai fait...

 Je me demande, si je n'aurai pas dû, à ce moment, m'enfuir en courant, en fait....

 J'en ai eu pour 170€.

 Ayant pris, une bonne mutuelle, APIVIA qui vous propose, de prendre en charge, "ce qui depasse", comme on dit.... j'ai cru, naïvement, qu'ils prendraient en charge, la facture, que je leur avais envoyée, ou au minimum, une partie...

 C'est amusant, non ?

 Pour plus de 90€ par mois, dites moi, c'est pas abuser, quand même, il me semble, non ?

 J'ai envoyé la facture, chez APIVIA, j'attends encore....

 Au delà, de mon cas personnel, au sujet duquel je trouve personnellement, particulièrement humiliant, de devoir en parler, ce que ça demontre, simplement, c'est que quelque soit votre problème de santé, les clinique privées, tout autant que les assurances, par l'intermediaire des mutuelles, n'ont absolument aucun intérêt, à ce que les écologistes, et tous ceux, qui tentent d'oeuvrer pour une meilleure santé publique, obtiennent politiquement, gain de cause...

 Parce que ces cliniques privées dont je parle là, font partie de grand groupes, ce sont des multinationales, qui se foutent éperdument de la santé des gens.. Nn, en verité, c'est pire que ça, ce qui fait, leurs affaire, c'est qu'il y ait le plus de malades possible. 

 Moi, c'est une chose......

 Mais le smicard (quelle chance, il a dites donc, deja, de vivre dans un pays, où le smic existe), il aurait fait comment, pour se permettre d'aller passer cet IRM ?

 Il aurait fait comment, pour payer le train  ?

 Il aurait fait comment, pour payer le taxi  ?

 Il aurait fait comment, putain de merde, pour ambitionner simplement, de chercher à comprendre, ce qui pourrait bien être fait, pour que sa satanée, putain, de maladie, soit observée par des gens, qui courrent apres le pognon, bien plus que d'oeuvrer, à vous aider, dans votre "errance therapeutique" ?

  Voilà, moi, la question, que je me pose !

 PUTAIN DE BORDEL DE MERDE  !

 PUISQUE SEUL LE POGNON A VERSER AUX ACTIONNAIRES N'A D'IMPORTANCE  !

#société, #psycho, #santé, #perturbateursendocriniens, #stérilité, #PMA,

 

La pauvreté sert la soupe à l’agroalimentaire, et à l’agriculture intensive.

Et soyez sans crainte, ça ne risque pas d’être pour le meilleurs, hélas.

 Les militants, (de la FNSEA,  soyez sans crainte, et la de Campagne Solidaire, pensez donc, je parle syndicats agricoles), aussi étrange, que ça puisse paraitre, prétendent, que « pour nourrir la planète », il est dune part, impossible, de produire, la quantité nécessaire de denrées alimentaire, mais que donc, pour cette raison, le BIO, sur le plan de l’alimentation mondiale, est inadapté.

 Ces faits, sont parfaitement battus en brèche, pour information, dans les faits, par les adeptes, du bio, qui démontrent, par les fait, que sur une surface donnée, la production, peut au contraire, produire suffisamment.

 Il y a bien des années, j’avais ouvert un chapitre pour ranger mes articles sur mon site internet de l’époque, que j’avais intitulé, « nous sommes ce que nous mangeons ».

 Alors, que de façon globale, il y a quelques années, la prise de conscience  de la nécessité de manger bio progressait de façon significative, on observe que cette tendance diminue désormais, pour revenir à une consommation moindre, au point que l’installation de fermes bio, serait remise en question.

 Il n’est évidemment pas question, dans mon esprit, de considérer que ces entrepreneurs agricoles, manqueraient de courage, ou d’initiative.

 Mais bien d’observer, quelle sont les raisons véritables, qui justifient hélas, le fait que les « consommacteurs », qui sont contraints en redevenant, consom’subissants »,  à cause de la précarité sociale, et de la pauvreté,  de ne plus pouvoir se permettre de choisir, de manger bio, ou pas.

 Quelles en sont les conséquences ?

 Une recrudescence de l’obèsité, pour certains, qui avaient commencé à s’en sortir, mais surtout, plus encore,  une recrudescence des maladies chroniques, de toute sortes.

 En politique, il est courant d’observer, qu’on aime faire croire que beaucoup se soucient assez peu,  de l’alimentaire….

 Qu’est ce qu’on ne ferait pas pour justifier le fait de cautionner l’agriculture intensive, et l’agroalimentaire, qui à eux deux représentent, la cause de tant de problèmes de santé publique.

 L’aide alimentaire, et les restos du cœur, comme révélateurs, de ce que j’affirme.

 Petite précision, il est bien spécifié sur un panneau et expliqué, aussi, que personne n’est contraint  de prendre, ce que l’on vous propose.

Il n’est évidemment pas question, dans mon esprit, de remettre en cause, ces organisations, qui sont autant sollicitées, aujourd’hui.

 Mais uniquement d’observer, face à leurs contraintes budgétaires, comment, elles doivent gérer « pour le mieux », ce qui est différent.

 Quand ces associations récupèrent des denrées alimentaires, ces denrées ne sont pas spécifiques, à certains problèmes de santé.

  Un pourcentage de plus en plus important de la population, a un vrai problème avec les laitages, et notamment, le lactose.

Plus un laitage est liquide, plus la lactose pose problème.

 Du lait « facile à digérer », sans lactose, on ne vous le propose pas,  le fromage, non plus, parce que c’est trop cher, et c’est coherent.

Encore une fois, je ne suis pas dans le reproche, évidemment.

 Je veux juste signifier que pauvre, on ne peux plus se permettre de choisir, et de diversifier, ce que l’on choisit de manger, ce qui est différent.

 Pour ce qui concerne les problèmes liés au gluten, intolérance, ou bien allergie vraie, même topo.

 Mais là, où ça devient franchement flippant, c’est quand on va se retrouver, dans la situation politique, où les lobbies agricoles et alimentaires, vont arguer du fait, que qu’il vaut mieux, s’alimenter mal, plutôt, que de s’alimenter bien, alors que parallèlement, ceux qui aimeraient, faire le choix de s’alimenter mieux, ne disposent plus du choix, de pouvoir le faire, parce que l’aide alimentaire que les assos, leur donnent, (et pas les allocs, ou le gouvernement),  sont plus dépendantes, que des lobbies agricoles, et agroalimentaires…

 Voilà, ce qui est plus grave, que certains ne le pensent.

 Bientôt, si ça n’est déjà fait, on va entendre le mec de la FNSEA, dire, au journal de 20h, à la télé, au sujet de la pauvreté, en France, la chose suivante : «Nous avons sollicité, la branche, maraichage, la branche (je ne sais quoi, ), de notre syndicat agricole, et heureusement, que nous sommes là, pour nourrir, la France, qui a faim ».

 Alors, que ceux qui avaient déjà, fait, le chemin de la conversion, quand ils n’étaient pas encore pauvres  ou précaires, quand ils récupèrent des denrées alimentaires, ou fruits et légumes, non bio, à la limite, ont le sentiment, simplement, d’aller à l’abattoir, parce qu’ils sont conscients, qu’il mangent des trucs, qui ne sont pas bons pour leur santé, et ceci, étant évidemment, d’autant plus vrai, qu’ils observent, sur le leur propre corps, la réapparition de symptôme qu’une alimentation bio, avait réussi à faire disparaitre…. 

 Mais attendez, il y a plus pervers, encore. Oui, j’ai bien dit pervers….

 L’agroalimentaire, qui fait des cadeaux, à la banque alimentaire et aux restos du cœur, pour refiler certains produits, qui se vendent mal, ou qu’ils ont voulu tester, et qui n’ont pas trouvé preneurs….

 Encore une fois, je ne remets pas en cause évidemment, ni l’un, ni l’autre….

 J’observe simplement, comment se comporte, d’industrie agroalimentaire, qui tente, aussi, par ce biais, de récupérer de potentiels clients, qui auraient été tentés, de ne plus consommer tel truc, ou tel autre, et qui se le voient proposé, là, maintenant qu’ils sont pauvres, et qui entretient, par ce fait, certaines addictions.

 

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