Cette idée, je l'avais entendue, de la bouche d'Agnes Buzin, quand elle etait ministre de la santé.
Visiblement, le concept existait deja, mais simplement, personne n'en parlait, et n'en parle encore, ou si peu.
Le principe est le suivant.
Quand les aidants qui vivent aupres d'un malade ou d'un handicapé, ont besoin de souffler, et donc d'avoir du répit, il existe (trop peu, j dirai m^me bien p trop peu), des structures, qui sont prevues, à cet effet.
Elle accueillent, en leur sein, l'aidant, avec la personne, qu'ils soutiennent, afin de souffler, et de trouver, une aide, autant physique, que psychologique.
ma question, alors, est la suivante:
"Pour quelle raison le soutien n'est il envisagé, que dans la presence, du malade, ou du handicapé concerné, là, où precisement, il doit arriver, que justement, ce repit, soit envisgé, sans la presence, du malade ou du handicapé ?
Je veux dire, par là, qu'il existe, tout particulierement, sous l'effet covid, bon nombre de citoyens, qui sont en situation difficile, psychologiquement, qui auraient besoin, de "repit", eux aussi, sans pour autant, qu'il aient à leur domicile, une prsonne malade, ou handicapée...