Françoise Niel Aubin, artiste.

Les maisons d'éditions françaises sont elles à la page ?

  La question à se poser  alors, c'est qu'est ce qui a changé depuis ce reportage, et je n'ai pas la réponse.

  Mais je comprends mieux à présent à quel point effectivement, je n'ai plus rien à faire avec les éditions Sydney Laurent....

  Le souci réside dans le fait que j'ai encore deux ouvrages, pour lesquels j'ai signé, et versé la somme neessaire, "toxicité des livres sacrés", et "l'autorité", dont le premier sensé sortir fin novembre ne m'a toujours pas été livré.

  Quand à la promotion, "parlons en"... Sensés les avoir envoyés, au fur et à mesure, dans les médias, considérant que la confiance s'est envolée depuis bien longtemps, je ne crois pas une seule seconde, que ça ait été fait, et ce point concerne bien l'ensemble des éditeurs, qui mentent sur ce sujet comme des arracheurs de dents, comme ils taisent de façon outrancière les ventes, laissant l'auteur dans l'ignorance totale et absolue,  sur ce que génère son livre, que ce soit, dans ce qu'il vaut, intellectuellement, ou ce qu'il induit, sur le plan commercial....

 "Oui, mais enfin,  il vous a fait, une super video, sur l'un de vos livres ?"

  Effectivement, oui, ça m'a couté 500€, vous vous imaginez quoi ?

   Une pompe à fric, je vous dis.... Tout se monnaye, chez Sydney Laurent.

  Ceux qui sont mis en avant, sur leur site ont écrit moins de livres que moi, souvent, et jamais je n'ai été mise en avant sur le site, abslument jamais, ça n'est que du contractuel et du pognon qu'ils vous syphonnent.

  Pour ce qui concerne les infos sur vos ventes, la loi exige un minimum de tranparence sur ce sujet,  c'est à dire au minimum une fois, un an de passé, le mien, pour le dernier, "la poule aux oeufs ne dort que d'un oeil", est en retard, sur ce sujet (qui n'est pas lié au problème d'impression), d'un mois.

 Ca fait trois fois, que je réclame mes ventes, au minimum, trois fois, qu'ils me balladent sur ce sujet.

 "Oui, mais enfin, tu dois bien savoir à peu pres, si ton livre plait, ou pas".....

   Absolument pas.

   Considérant que je suis coachée par quelqu'un qui a le bras tellement long qu'il se croit autorisé moralement à bloquer, l'ensemble des commentaires, où que ce soit sur internet, ainsi que les ventes dans les librairies, où mes ouvrages sont déposés (la raison d'état, croyez moi, a le bras long, au delà de ce que vous souçonnez), il en résulte que je ne sais absolument rien, ni en vente, ni en commentaires de mes ouvrages, plus précisément, sur la totalité de mes ouvrages, et comment ils  sont perçus...

 Je n'ai eu les ventes, que des trois premiers.

 En somme, je ne sais rien, je n'ai jamais eu le moindre retour.

Ségrégation, entre auto édition, et les autres.

Message, envoyé à "Normandie, livres et lectures".

https://www.normandielivre.fr/

Bonjour.


 La question, mérite d'être posée.


 Je suis normande, "de souche", comme disent certains.


 Je suis autrice.


On entend, sur les salons, à quel point, il importe de de ne pas considérer avec mépris, les auteurs qui ont été contraints, de passer par l'auto édition, pour parvenir à être édités, mais il semble bien, si j'observe que je suis auto éditée, aux éditions Sydney Laurent, qui plus est, donc, observant que cet éditeur, n'est pas normand, que jamais, vous ne m'incluez, dans les auteurs à paraitre ou  étant parus....


   J'ai quand même à présent, 6 ouvrages, à mon actif, et si je peux comprendre que n’étant pas encore adhérente, je dois passer après ceux qui le sont, je me sens discriminée, d'observer qu'à vos yeux ce qui n'est pas normand,  n'existe simplement pas.


 Pourtant, pour votre information, je ne suis pas un hologramme, que je sache, je suis une femme, faite de chair et de sang, et peut être plus normande, que celui ou celle, qui lira ce message...


Que  les éditeurs  ou les médias normands, s’intéressent à mon travail, pour autre chose, que de promouvoir leurs activités propres, pourrait être un bon plan, il me semble, et "les vaches seront bien gardées".

"Cordialement".
 Françoise Niel Aubin.


 (PS, il me semble bien, qui plus est, que ça n'est pas la première fois, que je vous interpelle, sur ce sujet, non ?)

4 janvier 2023.

 Suite à ce message, on m'a répondu par mail, et je comprends mieux pourquoi.

"Re: Normandie livre & lecture "Ségregation, entre auto édition, et les autres ?".

"Bonjour Madame,

Votre message m'a été transmis car je suis en charge du secteur des auteurs.

Effectivement, les publications annoncées dans le "Parutions auteurs" sont uniquement les publications à compte d'éditeur.

Le compte d'éditeur reste, en effet,  un des critères nationaux instaurés notamment par le CNL. 

Mais les actions et services proposés par Normandie livre( ateliers, service juridique , agenda des manifestations littéraires, rdv personnel avec les auteurs, ets) sont à destination de tous les auteurs (auto-édition, compte d'auteur, compte d'éditeur).

Bien cordialement."

 Autrement dit, "Normandie Livre", s'aligne purement et simplement, sur la politique du CNL, centre national du livre.

https://centrenationaldulivre.fr/

 Petite précision, la discrimination  que je dénonce,  (et visiblement, il semble bien que je sois la seule)ici, n'est absolument pas perceptible, dans les petits salons littéraires, où au contraire, les éditeurs et les auteurs ont généralement à coeur de préciser qu'en aucune façon, le fait de n'avoir jamais eu à "séduire" un éditeur, si je puis m'exprimer ainsi,  serait un critaire discriminatoire.

 Le souci réside dans le fait, que de façon inconsciente, notamment, dans certaines librairies, qui ont des oeillères exatement parallèles à leurs rayonnages, il en va tout autrement....

 Dans les bibliothèques, c'est quasiment le même cas.

 De façon générale, ceux qui sont édités dans des maisons d'éditions qui n'ont pas pignon sur rue, y compris, s'il ne s'agit pas d'auto édition, sont eux aussi mal considérés.

 Le milieu de l'édition, est quand même, comme on dit vulgairement, assimilable à un sacré noeud de vipères....

 J'ai des amis autrices ou auteurs en Normandie, qui font du bon travail, et rares sont ceux, qui sont vraiment ravis de leur relation avec leur éditeur.

 Pourtant, il me semblerait plus qu'important, que la confiance règne, entre l'un et l'autre, et c'est assez rarement le cas....

 Pour en revenir, à ce problème de discrimination envers l'auto édition, je trouve cet à priori, profondement choquant, puisque par définition,  alors qu'on sait tous d'autre part, que les éditeurs, ont le plus grand mal, à  former, et surtout conserver des comités de lecture, simplement, parce qu'il refusent de les payer, ou plus précisément, ils ne le peuvent pas, alors, il les paient... En livres !

 Alors, littéralement noyés sout un flots, incroyablement important de manuscrits, inevittablement,  au bout de quelques mois, ou quelques années, l'autrice ou l'auteur, finit par prendre le mors aux dents, envoyer tout ballader, puisque personne jamais, ne daigne lui répondre quasiment, il ou elle se tourne vers l'auto édition...

 Et c'est cohérent, il me semble, non ?

 Je vais vous parler de mon cas.

  A plusieurs reprises, j'avais envoyé mes premiers ouvrages, à un éditeur, spécialisé, dans la psychologie....

 Il m'avait pourtant, paru avoir ciblé juste, et j'etais consciente, de la valeur de mon travail...

 Deux éditeurs spécialisés, au bout d'un laps de temps conséquent, plus de 6 mois, (pendant ce temps, on est tous là, à attendre, comme des cons, je vous le rappelle), je finis par apprendre, qu'il ont créé  telle nouvelle collection, ou telle autre, alors, que visiblement, cette idée  serait venue de MON TRAVAIL....

 Et je reçois alors un mail, des plus laconiques, qui me dit froidement, "madame, nous sommes désolés, mais votre projet n'entre pas, dans notre ligne éditoriale, ou n'entre dans aucune de nos collections"...

 Quand on vous fait le coup à plusieurs reprises, alors, que vous savez pertinament, que cette maison d'edition, est au contraire,  en parfaite adequation, avec le type d'ouvrages que vous écrivez, en ce qui me concerne, vulgarisation en psychologie, croyez moi, ça fait  un drôle d'effet...

  A chaque fois, je cesse d'ecrire, en fait, c'est coimplètement castrateur, et profondement injuste...

 Qu'il s'agisse de roman, ou d'autres genres litteraires, c'est un peu différent, parce que de juger de la valeur d'un ouvrage, peut être parfaitement subjectif...

 Mais quand il s'agit, de vulgarisation en psychologie, grand dieu,  "mais qu'est ce que c'est que ces tocards "....

Avant l'arrivée d'internet, les comités de lecteurs étaient incontournables, donc, ils devaient être payés...

 Merde, internet arrive, et fout une pagaille innommable, dans toute la chaine du livre...

 Et pour cause, pire qu'un éléphant, dans un magasin de porcelaine.

 En effet, jadis, si l'on envoyait un manuscrit à un éditeur, en dehos d'attendre un retour et éventuellement une critique, généralement négative pour etayer un refus, l'auteur, lui, à cette époque, était entièrement tributaire de ce jugement, mais bien pire, dans son cheminement personnel, relativement à l'image, qu'il avait de lui, ou d'elle, en tant qu'autrice, ou auteur tout autant....

 Et sur ce point, internet a joué un rôle incroyablement libérateur, puisque par le truchement des forums ou des blogs, plus besoin, d'attendre que ces professionnels, du livre, daignent se pencher sur notre cas, pour dans un premier temps parvenir, à une certaine assurance, en tant qu'auteur, m^me si au debut, on ne cherche pas à être édité !

  On ne veut pas de nous ?

 Pas de souci, si on nous refuse par la grande porte, nous entrons par la fenêtre...

 En ce qui me concerne, je précise, que je ne suis plus si souple qu'à quarante ans, alors, "ça commence à bien faire".

 Que je vous explique.

 Je suis ce qu'on appelle, "un ancien échec scolaire"...

 Des fautes à n'en plus finir, toute ma scolarité, les bulles, comme notes, au point d'en faire des colliers.

 Dysléxique, enfin, en somme, "la totale".

 J'ai en mémoire, mes premiers blog, à l'époque, il doit y avoir, environ une quinzaine d'années, sur "viabloga", plateforme de blog, payante, bon marché, mais avec un soutient technique veritable.

 J'avais compté un jour, je relisais mes articles avant de les publier, huit fois, vous imaginez ?

 Mine de rien, dans mon petit coin, sans l'approbation de qui que ce soit,  ni dans l'éducation nationale, et moins encore, dans les métiers du livre, je faisais mon apprentissage, et seul, Thomas Fersen, qui suivait mon travail, observait et jugeait, sans rien m'en dire, comment, je progressais.

 Jusqu'au jour, où, il y a bien longtemps, un reportage, parlait de quelqu'un qui avait fait éditer son premier livre, à cinquante ans.....

 Ce qui à cette époque, semblait une véritable prouesse, sou l'angle du fonctionnement de la chaine du livre, conforme à l'avant internet !

 Là, où précisément, aujourd'hui, au bout de vingt cinq ans d'internet environ, publier  son premier ouvrage, souvent en auto edition, semble, un acte d'une banalité déconcertante.....

 Alors, oui, pour foutre le boxon, dans le milieu de l'édition, internet à bien mis le boxon...

 Ha, attendez, on me dit dans l'oreillette, que certains grincheux, trouvent à y redire.. "Mais c'est bien sûr", mainquerait plus que les trouduc dan mon genre, qui sont aussi diplomés, qu'un candidat de télérealité, revendiquent  non seulement, d'avoir droit de cité, mais qu'en plus, QU'ILS VENDENT.....

 Et bien méfiez vous, dites donc, vous n'êtes pas à l'abri de quelques surprises....

 Désolée hein, pour les candidats de téléréalité, dont je serai sensée me sentir proche, au sujet de la quantité de leurs diplômes.

 Mais moi, les livres que j'ecris, c'est moi qui les ecris, et personne d'autre...

 Contrairement, à certaines ou certains, d'entre eux.

 Non, je ne suis pas en pétard contre ceux qui sont bardés de diplômes universitaires, je vous jure, j'en ai juste plus que ma claque, de toujours avoir à me défendre, et surtout, de toujours voir qu'on compte sur moi, pour défendre la veuve et l'orphelin, version littéraire, là où bien d'autres, pourraient parfaitement eux aussi, s'y coller.

 Alors, oui, je suis en pétard, franchement, oui, je suis en pétard.

 Au moins, autant qu'une "poule commune", une de mes poules, qui, jucchée sur le toit du bâtiment, hier apres midi, caquetait, pire que si elle avait pondu, 10 oeufs d'un coup !

 Sur le toit du bâtiment, vous dis je...

 Est ce que c'est un endroit, pour aller pondre ses oeufs , et ce que je vous le demande ?

  NON, et bien elle etait trop fière, pourtant, de m'en informer.

 Oui, je sais, ce qui se dit,  que cette hypertrophie de livres,  a quelque chose de saoulant, voir, tirerait vers le bas, en qualité, la production litteraire...

 Quoi vous dire ? En fin de compte, franchement.....

 Moi, si je n'ecris pas, ou ne peins pas, ou ne fais pas de chroniques, par intermittence, je suis déséquilibrée, mentalement, c'est comme ça....

 Un jour, au sujet de la légitimité à ecrire, Amélie Notong, avait expliqué ceci:

 "Si vous posez, ce type de question, reflechissez, à une seule chose, et posez vous cette question, simplement.

 "Est ce que cette journée, ou ce futur, est simplement envisageable, sans que vous ne vous soyez installé(e) à écrire", ou pas ? Ou disons, est ce qu'à vos yeux, cette activité, est absolument vitale, ou pas ?

 Si tel est le cas, si la reponse est OUI,  ce qui en sort,  c'est secondaire, parce que c'est là, et nulle part ailleurs, que se trouve votre véritable légitimité, en tant qu'autrice, ou en tant qu'auteur, et nulle par ailleurs.

 C'était à mon intention, qu'elle l'avait dit, c'est un fait, mais c'est valable, pour n'importe qui d'autre.

  Non seulement j'approuve complètement ce qu'elle affirmait là, mais en plus, ce qu'elle démontrait en tenant ce discours, est parfaitement vérifiable, pour n'importe quelle autre forme artistique....

 Parce qu'un artiste véritable, il ne choisit pas de l'être...  Il n'a pas le choix, son seul choix, ensuite, c'est de l'assumer ou de ne pas l'assumer, ce qui est différent.

 Et pendant qu je vide mon sac, aussi, j'aimerai bien avoir l'opportunité de voir mes livres proposés en librairie, sans être contrainte à chaque fois, d'en assumer moi seule, uniquement le dépot, parce que j'ai plus de chance que certains de mes copains, qui eux sont carrément interdits de simplement déposer.

 Mais ça n'est pas normal.....

 On est les premiers, à hurler pour défendre les librairies, et la vente directe de notre travail dans les salons du livre, mais de façon concrète, quiconque veux acheter mes livres, est obligé de les commander, et souvent, ne pense pas aux librairies indépendantes, chez qui ils peuvent aussi commander...

 Je serai toujours, "un indien", comme on dit, mais franchement, c'est usant, particulièrement usant, je vous jure.

3 novembre 2023.

 Au sujet des editions SydneyLaurent, une video est apparue dans les recherches, sur google, qui est ici:

 Les editions Sydneylaurent, renaissent de leurs cendres, visiblement,  avec une nouvelle  dirigeante, en la personne de Sophie DALOGLOU.

https://editions-actu.org/falcon-editions-editions-sydney-laurent/

  Ce "nouvel éditeur", c'est les éditions FALCON.

 Comme tout excroc qui se respecte, le site est plus qu'allechant,  au point, que je considère, que c'est le costume cravate, avec lequel tout bon VRP, quand la loi, les y autorisait, venait escroquer les vielles, dames, derriere la porte de leur domicile.

 Ne vous y trompez pas, c'est bien d'escroquerie là, dont il est de nouveau question, selon la même methodologie, qui sevissait, sous le nom de Sydney Laurent.

 C'est ici:

 Je considère que ça n'est pas à moi, de payer pour avoir les infos, sur cette nouvelle société.

 Certains, ont visiblement fait des recherches, pourtant, et pour ça, il faut suivre ce lien:

https://editions-actu.org/falcon-editions-editions-sydney-laurent/

  Pour ce qui me concerne, j'ai avec les editions Sydneylaurent, un gros souci, c'est que leur ai versé, la somme de 750€, pour faire editer mon ouvrage, sur l'autorité.

 J'ai envoyé tous les documents necessaires, contrats signés, etc, à qui de droit, comme tous les autres auteurs, sans jamais a voir eu, la moindre réponse.

  Si quelqu'un, peut faire des investigations, pour demontrer, en quoi, l'ancien PDG de Sydney Laurent, est lié, à Falcon edition, autre, je veux dire, qu'une simple similitude de voix au téléphone, il serit envisageable, que je tente quelque chose....

 Mais des lors, que rien n'est officiel, et qu'il ait tout interêt, à avancer masqué, aussi masqué soit dit en passant, qu'internet et les réseaux sociaux,  pour les simple pinioufs que nous sommes, peuvent le permettre....Je ne vois pas à quel titre, juridiquement, je pourrai esperer quoi que ce soit.

 La loi, est bien trop permissive, sur le sujet, et ça n'est pas une impression, mais bien, une certitude.

 J'en ai parlé à mon deputé, Gerard leseul, qui l'a fait remonté, au ministere de la Culture....

 Quand bien même, ils eviendraient vers moi, pour honorer son contrat,  ce qui ne risque pas d'arriver...

 Je préfere qu'il me soit redevable de 750€, et garder ma liberté de pensée et d'expression à son sujet, et hurler haut et fort que cet homme est un escroc en col blanc, même si le col blanc ne sévit jusqu'à preuve du contraire, que sur internet.

 

 

#sydneylaurent, #Falconéditions, #escrocs,

Date de dernière mise à jour : 03/11/2023