Françoise Niel Aubin, artiste.

Campagne, problème de voisinage, comment gérer ?

Mesnil Panneville, hameau de Hardouville, une simple histoire de noisetier, qui a malencontreusement renconté... Une tronçonneuse !

Certaines règles de voisinage sont communes, que l’on vive à la ville, ou qu’on vive à la campagne.

   Si la particularité des végétaux, et notamment des arbres, induit nécessairement, la nécessité d’admettre, qu’il s’en suit, une croissance, dans l’espace aérien proche du sol, qu’on appelle, couramment croissance,  qui se manifeste toujours, par ce qu’on appelle des branches,  puis des feuilles, souvent, des fleurs, qui plus est, ont en plus, la geniale idée, de donner c qu’on appelle, des fruits….

 Sans vouloir donner ici un cours de botanique, ce même processus se produit n’importe où sur la planète,  des lors, que les humains, ont l’intelligence, de laisser ce produire,  un processus aussi naturel.

 Il est bon de préciser, que si les humains habitent souvent ailleurs, qu’en des endroits, qu’on appelle généralement campagne, personne, n’est à l’abri, en ville, d’un félé, ou d’un passionné, de pélargonium, qui aurait malencontreusement, trop arrosé, ses petites protégées, et qui vous procure alors, la satisfaction, de prendre une bonne douche, sur le balcon d’en dessous…

 Que le passionné ait eu la bonne idée, justement d’y ajouter du thé de compost, ou une bonne macération, version purin d’ortie, et vous voilà ragaillardi, pour les soirées d’été.

 J’ai appris, hier, figurez vous, que le noisetier, comportait des épines, et rayaient les voitures…

 Comme quoi, plusieurs décennies, de jardinage, ne m’ont pas encore tout appris.

 Donc, imaginons, que vous habitez la campagne, et que certains arbres, ou autres végétaux, vous dérangent.

 Ça peut arriver, quelles, qu’en soient les raisons.

 La loi, vous interdit formellement,  d’aller  abattre l’arbre, et votre problème reste entier.

 La vie à la campagne induit aussi certains devoirs, et  sans vouloir faire ce qu’on appelle « la fête des voisins »,   de la même façon, qu’on peut se dire bonjours, entre voisins, à la campagne, on peut parfaitement informer, son voisin, qu’on aimerait bien  que tel arbre soit élagué, pour telle raison ou telle autre.

 On appelle ça, « être civilisé », tout simplement.

 L’autre propriétaire de l’arbre, s’il entretient des relations saines, avec le voisinage, est parfaitement apte, à comprendre, et fait  d’autant preuve, d’une réelle bonne volonté, pour satisfaire, le voisin, importuné….

 Je sais de quoi, je parle, puisque moi-même, avec mon voisin, ai eu ce problème…

 On se dit bonjours, et s’il y a un souci, on se parle, et on agit….

 Seulement, voilà….

 Est-ce que le fait de venir vivre à la campagne, rend nécessairement plus aimable et plus sociable, certainement pas, hélas.

 Il arrive souvent, que certains décident même de venir vivre à la campagne, uniquement, parce que précisément, ils sont trop cons, pour supporter le moindre voisinage…

Si le voisin chez qui l’arbr pousse, ne veut rien entendre, alors, que faire ?

 Dans un premier temps, lui mettre un mot, dans la boite aux lettres.

 S’il n’ya pas de réponse,  le faire en recommandé.

 S’il n’y a pas de réponse, passer en mairie, pour signaler le problème.

 Lui envoyer, un pli recommandé, pour expliquer le problème.

 Il peut arriver, que l’on soit contraint, d faire intervenir, une entreprise, et que la facture soit présentée, au propriétaire, du jardin, à qui en amont, le problème ait été expliqué.

 Si vous prenez, un connard des villes, par exemple, et que vous le transposez par téléportation,  dans un cadre idyllique, avec de l’air pur par exemple, je puis vous assurer, que même s’il réalise, qu’il peut jouir d’un tel paysage, ou  d’un tel cadre, il y a tout à parier, que son niveau de connerie, hélas, restera exactement le même…..

Date de dernière mise à jour : 27/07/2024