Françoise Niel Aubin, artiste.

Amazon business, et la jungle des éditeurs, ici, en France.....

Edition, liquidation judiciaire, sydneylaurent,

Je continue à ecrire, et mon nouvel ouvrage, sur le racisme, je l'espère, sortira bientôt.

 Depuis que mon éditeur/distributeur, Sydney Laurent est en liquidation judiciaire, je n'ai de cesse que de chercher à comprendre, quelle serait le meilleure stratégie, pour défendre mon travail.

 J'apprends ici et là, les différents rouages de l'édition, enfin, un peu, petit à petit, mai aussi, ce qui se produit, quand il y a liquidation judiciaire.

 Ainsi, dernierement, à Vinnemerville,  dans un petit salon du livre, on est venu me donner des infos, qui sont les suivantes :

 "Tant que vos differents ouvrages édités et distribués par Sydney Laurent, sont porteurs de ses ISBN, le liquidateur judiciaire est en droit, d'en faire ce qu'il veut.

 Lui, son souci, c'est de trouver des liquidités.

  Il est probable, que tous les efforts que vous faites, pour  tenter de vivre de votre plume, soient vains, pour la simple raison, que tout ce que vend amazon, chez cet editeur, de votre plume, sert desormais à combler le déficit qui a été creusé, par l'éditeur, et qui ait justifié, qu'il ait été mis en liquidation judiciaire.

 Il faut donc absolument, que vous trouviez, un nouvel éditeur qui vous fournira, de nouveaux ISBN, qui est l'identité numérique de chaque ouvrage, et ce nouvel ISBN, interdit alors, juridiquement, au liquidateur, de pouvoir recuperer quoi, que ce soit.

 J'ai eu la chance, aussi, dejouir, d'une consultation juridique gratuite, d'u avocat, specialisé dans la propriété intellectuelle, dans le milieu de l'edition, chez "Normandie livre et lecture" (je les en remercie),  et il m'a lui aussi, tenu ce discours.

 "Et pour amazon, comment, expliquez vous, qu'il les sortent, et les vendent" ?

 Pour eux, c'est illégal....

 Je viens donc de tenter d'entrer en relation avec eux, sur "amazon business", je vous fais un copié collé, du robot chat.

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 15h45, suite de notre histoire.

 je sortais, mon plus beau bloc de papaier à lettre, à l'intant. un pli (et pas une lettre recommandée), mais un pli recommandé, il vous faut bien, au minimum, une adresse postale, non ?

 Bien, je cherche donc, l'adresse postale, et là, je vois qu'on me propose un numero de téléphone.

 J'appelle, à l'instant....

  Il me donne un mail, dites donc, incroyable, non ?  Merde... La communication a été coupée, dites donc.

 

Un fond d'indemnisation, pour les auteurs victimes de la liquidation judiciaire de leur editeur.

Je réponds à une question, sur ce sujet, ici: https://gowork.fr/sydney-laurent-editions-paris,1/review/7b30254c-aa63-4867-9661-9d96a9249c89?utm_medium=email&utm_source=subscription&utm_campaign=subscription-new-review&utm_content=review-link&from=see-thread&selected=7b30254c-aa63-4867-9661-9d96a9249c89#selected

Je fais partie aussi de la charrette, comme on dit, et j'ai travaillé sur le sujet pour défendre mes droits.

 Pour commencer, suite à une consultation téléphonique (le seconde), avec un avocat spécialisé dans les métiers de l’édition, qui travaille avec "livre et lecture Normandie", et contrairement à ce que je croyais,  les deux mois qui nous ont été donnés, ne représentent pas le délai pendant lequel la liquidation se fait, ça n'est que le délai qui nous est aparti, pour faire valoir nos droit, en tant qu'auteurs,  ou autres créanciers.

 En réalité, la liquidation judiciaire dure quelquefois plusieurs années.

Pendant cette période, le liquidateur agit, pour rassembler des fonds, pour que le plus de créanciers soient payés, avec hélas, semble t il, les auteurs, nous, qui passons en dernier.

 Quoi qu’il en soit, des lors que la liquidation judiciaire est prononcée, l’éditeur a rompu son contrat vis-à-vis de l’auteur, il n’est donc, plus en mesure d’honorer ce contrat, et pour cette raison, nous auteurs, serions, en doit, de négocier de nouveau, avec un nouvel éditeur.

 Personnellement, c’est ce que j’ai fait, pour mon ouvrage, sur le masculinisme.

 Néanmoins, je ne sais pas, dans quelle mesure, nous allons, être avertis, ou pas, de l’évolution de cette liquidation, puisque nous savons, désormais que cette liquidation est loin d’être terminée.

 Ainsi, des le début, on m’a informée, qu’il etait possible, que les éditions Sydney Laurent, pourraient être rachetées,  par un autre éditeur.

 Je suppose, que dans une telle hypothèse, alors, le repreneur, prendrait contact avec les auteurs, que nous sommes, pour nous proposer, un nouveau contrat. Mais c’est une éventualité, que j’ai lue sur internet, et je ne sais pas ce qu’elle vaut.

 Sinon, j’ai appris, un truc, de la plus haute importance, ce matin, pendant cette visio conférence,  c’est qu’au  ministère de la culture, aujourd’hui, un projet est en train de voir le jour,  qui consisterait, en un fond de solidarité, qui serait  financé, je suppose, par les auteurs, les plus « rentables », je suppose, qui servirait, à indemniser les auteurs, qui sont victimes des editeurs, qui sont en liquidation judiciaire.

 Je ne sais pas où en est le projet, si la loi, est en préparation, ni à quel stade, ça en est.

 Parce que le PDG,  au prétexte qu’il est en SARL, qui est en liquidation judiciaire, pendant que moi mes livres sont en vente sur AMAZON, pendant que moi, je crève littéralement de faim, et que lui, a les orteils, en éventail, aux Seychelles, il arrive un moment où ça devient franchement, insupportable.

https://www.normandielivre.fr/

 Si j'arrive à récupérer le lien de la formation (gratuite) de ce matin, je la poserai ici.

28 septembre 2023.

 Pour ce qui concerne le fond d'indemnisation, reservé, aux auteurs, qui sont victimes de la liquidation judiciaire de leur éditeur, c'est ici:

https://www.sgdl.org/sgdl-accueil/services-de-la-sgdl/le-conseil-juridique/procedure-collective/fonds-d-indemnisation-pour-les-auteurs

 

 

Date de dernière mise à jour : 28/09/2023