https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/envoye-special/video-le-succes-de-vinted-menace-le-modele-solidaire-d-emmaus_6224667.html
J'invite chacun, à aller lire les commentaires dessous, qui ne sont pas piqués des hannetons.
Entre ceux ou celles, qui se foutent comme de l'an quarante de la notion de solidarité, et qui "jettaient" leurs fringues à Emmaüs, parce que ça faisait moins loin, que de les porter à la poubelle, et qui sont tellement stupides, qu'elle ne se rendent même pas compte, que "offrant leurs vêtements, à plus démunis qu'elles ou eux, ça peut être humiliant pour l'autre de les accepter, et celles qui vendent à tour de bras sur Vinted, alors qu'elles sont devenues depensières compulsives, tout simplement mais qu'elles n'en ont aucunement conscience, le tableau de la solidarité côté textile, est bien loin d'être observable...
Je ne méprise pas le fait, de revendre sur internet certaines fringues, mais j'ai de gros doutes sur le fait qu'en fait de compte, ça serait si altruiste que celà.
Le phénomène dépensier compulsif relève de l'addiction, (addiction, prendre le mal à la racine, version actualisée, bientôt disponible, avec une nouvelle couverture chez Nombre7), et il serait temps que les premiers concernés prennent conscience du fait que c'est bien d'addiction véritable dont il est question.
Non, faire traverser la france entière ou l'europe entière à une paire de chaussette ou un vêtement, qui le plus souvent, a deja traversé la planète et à été fabriqué, par des gens réduits à l'esclavage n'est pas "responsable écologiquement", NON, CA N'EST PAS ALTRUISTE NON PLUS.....
Alors, que faire ?
Un équivalent au nutriscore, côté textile, est une bonne option, qui doit faire son chemin.
Moi, j'opterai aussi, peut être, pour une taxation des emballages.
L'idée qu'on détruise nos forêts, pour satisfaire la vente en ligne, et ignoer le bilan cabone d'un tel commerce prétendu écologique, me révolte, pendant que parallèlement, dans toutes les villes et les villages, non seulement tous les petits commerces ferment, mais aussi désormais, les franchises de prêt à porter uniquement, à cause de ces mafias du textile, me révolte absolument.
Oui, j'ai bien dit "MAFIA", puisque dans la quasi totalité des cas, il est quasiment impossible de remonter à l'origine du vêtement en question, pour pousuivre le commerçant, qui s'en rend coupable, en ligne .
Et pourquoi, on ne peut pas remonter, à lui ?
Pour qu'il ne puisse pas être poursuivi pour esclavage.
Et si ça n'est pas là des pratiques de mafieux, alors, qu'est ce que c'est ?
Sinon, à partir d'aujourd'hui, à Pavilly, arrivage massif de vêtements, au maillon normand, à Pavilly. (Croix Rouge Française).
https://www.facebook.com/lemaillonnormand/
Françoise Niel Aubin, artiste.
