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Rien à redire, sur le totalité du projet, bien evidemment.
Mais je me pose une question existentielle, alors, que nous assistons au rechauffement climatique, et au delà du fait, qu'il est fondamental d'observer, que ce qui importe, réside bien dans le fait de se soucier du fait, que la profession d'agriculteur est tellement mise à mal, qu'il faille prêter la plus grande attention à leur revenu....
J'aimerai connaitre la position, des acteurs syndicaux, sur le projet, qu'en pense la FNSEA ?
Qu'en pense Campagne Solidaire ?
Est ce que cette stucture propose un accompagnement des agriculteurs, pour faire évoluer le type de production même, comme le fait de choisir de muter, vers du caprin ou ovins, c'est à dire, produire du lait de chèvre ou de brebis, sachant qu'objectivement, c'est ce vers quoi il va falloir tendre, pour faire face au dérèglement climatique, que nous observons.
Oui, cet été, nous sommes revenus, à des été "normaux", en surface, en Normandie, et c'est anecdotique.
Il importe de ne pas se voiler la face, en profondeur, les nappes phreatiques sont au plus bas, et ce rechauffement climatique est bel et bien présent de façon constante, et chaque année, de plus en plus, les vaches, grandes consommatrice d'herbe et d'herbe tendre, au pré, sont un choix d'elevage, de plus en plus inadapté, là où ovins et caprins, tendent à la supplanter...
Est ce que ces investissements là, dont il est question, techniquement, sont prévus pour pouvoir évoluer en ce sens, dans l'hypothèse d'une necessité, de la part du producteur laitier, de faie évoluer le type d'animaux élevés, et donc, le type de lait ?
Pour dire les choses plus directement, est ce que de produire du lait de vache, et les produits, qui en decoulent, est different s'il s'agit de lait de chèvre, ou de lait de brebis ?
Ou est ce que cette filière, demeure dans le deni le plus complet, face au réchauffement climatique ?
Parce que j'observe ce qui se passe, moi, sur les marché, et les producteurs de lait de chèvre ou de brebis progressent de plus en plus en nombre, quand il s'agit d'installation....
En ce qui concerne d'autre part, la production laitière en particulier, il faut noter d'autre part, qu'il est effectivement plus qu'inquietant, d'observer que la France est une grande consommatrice de beurre, notamment, dans la patisserie artisanale ou industrielle, alors, que sur le plan européen, il existe une concurrence déloyale sur le prix du lait, entre les fermes industrielles, du nord de l'europe, et la france.....
En effet, chez eux, les fermes industrielles sont parfaitement autorisées, là, où elles sont interdites, en France, à juste titre.
Je ne prétends évidemment pas qu'elles, doivent être utorisées, en France sous ce pretexte, c'est chez eux, qu'elles devraient être interdites aussi, afin d'empêcher, sur le plan européen, une conscurrence déloyale, que subissent les éleveurs français, et c'est à l'Europe d'y mettre bon ordre.
Françoise Niel Aubin, artiste.
