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Masculinisme
Parentalité, version actualisée, chez Nombre7.
Par apifnielaubin Le 23/08/2024
Les féminicides.
Par apifnielaubin Le 16/08/2024
J'avais consacré une catégorie entière, aux violences faites aux femmes, et voilà, que j'en ouvre une, plus spécialement, sur les féminicides.
Il se trouve que nos sociétés évoluent de telle sorte que de plus en plus de femmes qui subissent des violences portent plainte, et que par voie de conséquence, de plus en plus, en paient de leur vie, plus spécialement, au moment où elles quittent le domicile conjugal, de façon définitive.
Il en résulte alors, un accroissement des féminicides.
On observe d'autre part, que si les féminicides signent de la façon la plus tragique, les violences faites aux femmes, ces derniers trahissent aussi la perversité, au sein du couple, perversité, qui trouve son apothéose, par le truchement de la médiatisation de certaines personnalités, qui elle même, se repercute sur les comportement, de certaines femmes, ou jeunes filles, par les réseaux sociaux, par une influence des plus toxiques, relativement à l'obsession du phénomène instagram, ou autres réseaux sociaux.
J'ai écrit, un livre, qui vient d'être actualisé, aux éditions nmbre 7, qui s'appelle "addictions, prendre le mal à la racine", que vous pouvez vous procurer ici:
https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin
Une partie de l'actualisation dénonce l'obsession de l'apparence physique, qui est une conséquence abusive de ce focus induite par les reseaux sociaux, parce que l'influence des technique utilisées par internet, sur les photos forment, comme un miroir déformant d'une réalité qui pourtant, devrait être acceptée...
Au regard de la loi, il ne fait aucun doute que beaucoup de choses doivent être améliorées, pour interdire techniquement, de telle manoeuvres, pour protéger, quiconque connait deja, à la base, des problèmes d'ordre psychologiques, liés à l'image de soi.
On pourrait me répondre, que les phénomène "Lolo Ferrari", à lui seul, n'est pas tres représentatif de ce phénomène, si l'on observe qu'il ait sévi quelque temps avant l'avenement, d'internet....
C'est vrai.
C'est la télévision, à elle seule, à l'époque, qui avait joué ce rôle toxique.
Mais il ne fait aucun doute, hélas, que cet exemple, ait généré à lui seul, bien des dérives encore aujourd'hui, chez certaines, et chez certains, quand on observe, leur entourage, professionnel, ou pas, qui instrumentalisent alors, par le truchement des reseaux sociaux, une telle derive, chez leurs compagnons, leurs epouses, ou leurs petites amies.
Enfin, si j'ai mis Lolo Ferrari dans cet article, c'est pour pointer le fait qu'à mes yeux, ça serait d'un féminicide, dont il serait question, même si la loi, elle, n'a pas jugé sa mort, comme devant en relever.
Il y a dans cette histoire, beaucoup d'éléments pourtant, qui demontrent un comportement plus qu'abusif de son mari, Eric Vigne, à l'époque, et qui trahissent, une veritable perversité de sa part, vis à vis d'elle.
Je dis bien, perversité, et pas uniquement, sur le plan sexuel.
Quand au sein d'un couple, l'un des deux va tres mal, et est en souffrance psychologique, en dernier recours, on fait hospitaliser la personne qu'on aime, en clinique psychiatrique, ne serait ce que pour forcer le ou la malade, à prendre conscience de son état.
Car oui, on peut faire internet, quelqu'un, "par amour"... Je sais de quoi je parle.
Les faits qui trahissent cette perversité sont si nombreux, qu'il serait illusoire, de prétendre les énumerer ici.
Je pense qu'il faut que cette mort fasse l'objet d'une réouverture du dossier, quand on observe que des chirurgiens, aient pu se sentir autorisés, à pratiquer ces opérations, par exemple, ça me revolte au plus haut point, quand à les voir pousser le cynisme, jusqu'à aller assister, à son enterrement.... Que dire ?
Il faudrait, que le dossier soit réouvert, pour que ce type d'individu, ne puisse plus sevir, avec comme fin de l'histoire, la mort d'une femme, quelque soit sont désir, à elle, et quelque soit son profil psychologique.
Egalité des salières.
Par apifnielaubin Le 06/11/2023
Pas facile d'être féministe, contrairement à ce que certains pensent, quelquefois, peut être, y compris chez certaines femmes, d'ailleurs, on est bien contraints (avec l'aide de certains aussi ), de leur ecarquiller les yeux.
Personnellement, j'ai écrit un ouvrage qui s'appelle "masculinisme", et ça n'est pas pour rien...
Pourquoi ?
Il y a bien des années, j'avais rédigé différents articles sur le féminisme.
Un jour, je m'etais dit "tiens, je vais relire, peut être que ça pourrait interesser quelqu'un"...
Mon travail me semblait d'un seul coup, complètement ors propos, ou plus précisément, upsolète...
Blessée sur le fait d'avoir le sentiment d'y avoir bossé pour rien ?
Non, ça ne risquait pas. pas une seule seconde.
Parce que quand on a l'aventage d'écrire facilement, (ce qui ne signifie pas necessairement que ce soit synonyme de talent, soit dit en passant), je veux parler de talent littéraire, quand on ecrit sur des sujets de société, au grand jamais, on n'écrit, "inutilement".
Il est bien rare, objectivement, que l'on ecrive, "inutilement", mais ceci, est un autre debat.
En effet, comme je l'explique, quand je fais des salons du livre ou autres manifesations, travailler en interne, que ce soit pou être posé sur internet, ou pour nourrir le projet d'un ouvrage, sur un sujet précis, le processus d'écriture nourrit un projet de toute façon, en nous obligeant à l'instrospection, sur soi, d'une part, mais aussi sur notre relation aux autres, et plus largement sur le phénomène de société dont il est question...
En ce sens, travailler sur un sujet de société qui ne relève aucunement de la fiction, mais plutôt, sous forme d'essai, quelque soit sa nature, constitue un travail interne qui est toujours profitable, parce qu'il prepare quelque part, dans un avenir plus ou moins proche, un autre projet d'ouvrage, par exemple...
Et oui, pour ceux qui l'ignoreraient, toujours, sans qu'on ne puisse le maitriser, n'importe quel sujet de société qui soit traité, induit toujours qu'il soit mêlé à un autre, ou à plusieurs autres.
En ce sens, j'ai mis ça de côté, et me suis dit, "on verra bien".
C'est un peu comme si vous vous étiez donné du mal, pour préparer une planche de votre potager, sans savoir encore, ce que vous allez y semer ou y planter, avec cette nuance cependant, que jusqu'à preuve du contraire, un texte qui est rangé, dans la section "document", de votre ordinateur, ne va pas voir la nature en train de se frotter les mains, et suggérer à toutes adventices, de venir coloniser une terre nettoyée, et laissée nue ! Parce que la nature, elle, a horreur du vide.
Bon, allez, si vous êtes un peu faignasse à l'automne, comme moi, au jardin, pour peu que vous y ayez bossé (ce qui hélas, n'est pas mon cas), vous êtes quitte pour y poser des cartons pour la fin de l'automne, afin d'eviter, que votre travail n'ait été vain.
Comme on dit che nous, alors, "gourez vous", parce qu'à cette epoque, il est encore posible, d'un installer quelque chose, y compris, dans une terre qui commnce à se refroidir.
Non, votre travail, dans l'ordinateur, ne va pas, vous donner à voir, des brindilles, des branches, ou des lianes, qui d'un seul coup, envahiraient votre bureau, puis votre logement.
Il est vrai que le féminisme inspire, et c'est là, un bienfait, mais, ayant la chance d'être suivie par certaines féministes, j'avais capté que le sujet qui demandait à être traité, c'était le masculinisme.
Et donc, je m'y suis collée. Ce fû mon premier livre édité.
Depuis, considérant qu'il était necessaire que je change le codes ISBN de mon ouvrage, suite à la liquidation de mon ancien éditeur, j'en ai profité pour actualiser, ce qui sera le cas des autres ouvrages, qui ont suivi, qui seront eux aussi actualisés à ctte occasion.
Vous pouvez vous le procurer, en suivant ce lien:
https://www.cultura.com/p-le-masculinisme-10184553.html
Je ne sais pas s'il est en magasin, par contre, mais vous pouvez l'y commander, comme vous pouvez le commander, dan une librairie.
Et si dans une librairie, on vous dit, qu'il ne peut être commandé, vous pissez par terre, et vous vous roulez dedans, en principe c'est assez efficace.
Il est d'autre part, disponible, en dépot, dans ma région, ou disponible, directement, chez moi, en prenant contact.
Petite précision, je suis une des rares personnes, à a voir travailler sur ce sujet, selon les dires du vendeur de la FNAC à Yvetôt, chez qui j'ai deja dédicacé, alors, qu'ils ont mes différents ouvrages en dépot.
Comment se fait il alors, que la masculinisme, soit "si peu inspirant"... En voilà, une belle question, ne touvez vous pas ?
Y compris, du côté des hommes, d'ailleurs, ce qui en dit plus long encore, que de ne pas l'être, du côté des femmes.
Quoi qu'il en soit, c'est le seul ouvrage, sur lequel j'ai décidé de ne pas peindre la couverture, à partir de cette réédition, "ceci explique celà".
Au sujet de "l'égalité des salières ", il existe une loi à présent, qui autorise, n'importe quelle femme travaillant dans une entreprise, à demander les salaires à la hierarchie, de ses homologues masculins, pour pouvoir le comparer au sien, à fonction égale, je précise.
Ma question alors, est la suivante: Comment se fait-il, que la question soit si rarement posée par les femmes, au sein des entreprises ?
Moi, je sais...
C'est parce que notre inconscient, nous mène la vie dure et que pour bien des femmes qui travaillent, sans qu'elles n'en soient conscientes, elles trouvent légitimes, qu'un homme, à travail égal, soit mieux remunéré qu'elles...
Oui, comme on dit, "c'est raide à entendre", mais je parle là d'inconscient, je vous le rappelle....
Et posez leur donc, la question, au sujet de leur couple, et bien c'est bien pire encore....
Moi, alors, je fais attention aux faits, et rien qu'aux faits, et je vous le dis bien fort, (bientôt en vidéo, quand on daignera me verser ma maigre retraite):
A BAS LE POIVRE ! VIVE L'EGALITE DES SALIERES !
Action, femme, éducation, en français.
Par apifnielaubin Le 15/10/2023
Homosexualité.
Par apifnielaubin Le 09/10/2023
https://www.amazon.fr/Parentalit%C3%A9-FRANCOISE-NIEL-AUBIN/dp/B097XB7VNL
Plusieurs années, avant l'elaboration de la loi, sur le mariage pour tous, on m'avait informée, que le gouvernement de François Hollande, dont Christiane Taubira, donc, suivait mon travail, sur internet.
Ce projet de loi, etait dans les tiroirs, et considerant le fait, que l'une de mes filles, est homosexuelle, j'ai eu l'occasion, à cette epoque, de travailler sur ce sujet.
A chaque fois, que les opposants à ce projet de loi, organisaient des manifesatations, sur ce sujet, je suis montée au creneau, sur mes sites internet, pour argumenter.
Au delà de cette loi en elle même, par cet ouvrage, eclairée, aussi, surtout, peut être, par mon propre parcours theraputique, et ma relation, à mon père, ainsi, qu'aux autres hommes, j'ai vecu dans mon coeur, en quoi, et comment, un geniteur, ou un père, en aucune façon (on pourrait le dire, aussi, d'une mère), n'a un contrat d'exclusivité, dans les indentifications, qui se pros duisent, dans la psychologie de l'enfant, des son plus jeune âge, "pour le pire", peuvent penser certains, ce qui est une grave erreur.
Car au contraire, un enfant qui jouit, d'une attention affective et bienveillante autour de lui, quelque soit le gene de la personne concernée, au contraire, parvient à se construire positivement, sans pour autant que le lien avec ses parents, ne risque en aucune façon, d'en souffrir.
Dans cet ouvrage, j'explore les à prioris, sur le sujet, qui trahissent d'ailleurs des travers peu reluisants, de notre société....
Par exemple, un homme seul, en mal d'enfant, qui souhaitrait adopter, et qui en fait la demande, aurait bien peu de chance, d'avoir, un agrement, parce qu'on trouverait ça suspect...
Pour un peu, il serait suspecté de pedophilie dissimulée....
Et pourquoi donc une femme seule, serait plus à même d'adopter un enfant seule, là où un homme ne le serait pas...
Faut il donc, obligatoirement, qu'il ait eu la caution morale, du ventre d'une femme, qu'il aurait "fécondée", pour l'autoriser, strictement, à devenir père ?
Je veux dire que la société demande aux pères, à juste titre, d'assumer leurs rôles de père, mais encore faut il pour celà, qu'on leur fasse confiance, au point de démontrer par les actes, qu'ils en sont capables, si l'on considère, qui plus est, "qu'il n'y a pas que les gènes qui font les familles", selon une chanson de Vianney, qui a bien raison sur ce point.
"Addictions, prendre le mal à la racine", relation avec le populisme.
Par apifnielaubin Le 27/02/2022
Je travaille, en ce moment, entre autre, sur un ouvrage, consacré à notre relation au temps.
Loin d'être dans la démarche de développer encore quoi que ce soit sur le sujet, parce que ça n'est ni l'endroit ni le moment, il ne me semble pas superflu, pourtant, de pointer du doigt le fait que mes ouvrages, toujours, sous différents aspects, se croisent littéralement par leurs sujets, ou par certains angles, selon lesquels je les appréhende.
Ainsi, dans l'ouvrage dont je vous parle, je prétends, que le l'addiction, est à la santé ce que le populisme est en politique.
Loin d'être une formule qui tendrait vers la facilité, on ne peut qu'observer, que les deux tentent de proposer des solutions simples et rapides, comme reponses à des questions ou des problèmatiques, qui sont complexes.
Car en matière d'addictions, que celle qui est observée, soit autorisée par la loi ou qu'elle ne le soit pas, en dehors de cas, où "on cherche uniquement, à faire comme les copains", il s'agit le plus souvent, de trouver un soulagement, à une forme de souffrance, souffrance dont on ne connait pas toujours l'origine, à moins que ça ne soit, qu'un stress bien actuel, et ça n'est certes pas, helas, la période post pandémique à laquelle vient de s'ajouter la guerre en Ukraine, qui risquent de me contredire.
Tous les populismes, en politiques, ont eux aussi, cette caracteritique, qui tend à tenter de faire passer, pour efficace, façon "coup de torchon", des solutions simples, et expeditives, face à des problèmatiques, qui, en réalité, sont effectivement, en realité fort complexes.
C'est pour cette raison que je me permets ce parallèle qui hélas, n'est pas une question de mode, ou de d'idée fixe...
le sindrome du bouc emissaire, alors, semble bien pratique, face à une polulation, qui adule les extrêmes droites, en un racisme, qui appuierait une politique s'y rapportant, alors, que dans les fait, la moindre de leurs théories, jamais, ne peuvent proposer, la moindre solution viable, et surtout, "dignes", au défits actuels.
Qui sont les figures de la "fachosphère" ?
Par apifnielaubin Le 09/12/2021
Le covid est masculiniste !
Par apifnielaubin Le 13/04/2021
https://www.facebook.com/francoise.nielaubin.921/videos/815485262683716/
Hier matin, sur france inter, le sujet du femnisme, etait abrdé, notamment, au sujet de sa regression, à cause des consequences sociales.
https://www.franceinter.fr/emissions/le-7-9/le-7-9-12-avril-2021
Une association pour défendre les pères.
Par apifnielaubin Le 10/04/2021
Un film vient de sortir, qui aborde la paternité. Il n'est pas le premier.
Je ne l'ai pas vu encore, mais je vais aller le voir. https://www.noecinemas.com/yvetot-arches-lumiere/film/574708/video/20605108/
J'ai écrit un livre sur le masculinisme, que vous allez bientôt pouvoir vous procurer de nouveau, actualisé, en suivant ce lien : https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin
Certains peuvent se demander alors, quelle relation il existerait, entre l'un et l'autre.
Il réside dans le fait qu'aujourd'hui, chez les masculinistes, alors qu'on peut observer que certains hommes ignorent purement et simplement que ce mouvement existe, et ce qu'il represente sur le plan sociétal et politique, la position, "bien plus qu'arque bouttée", vis à vis des femmes, n'a pour seule raison d'être, que d'avoir à régler des conflits intérieurs, qui sont propres à leurs histoires passées, et dont ils n'ont pas encore fait le deuil, ou qui sont restées conflictuelles.
Les conflits que j'évoque ici, d'ailleurs, ne relèvent pas toujours de leurs histoires personnelles, mais aussi potentiellement, de leurs parents ou grands parents, quelquefois, quand on sait, qu'un quelconque traumatisme, laisse des traces, dans l'ADN, sur trois générations.
Une constante est observable, selon le regard des psy sur le sujet, qui réside dans le fait que les masculinistes, dans la majorité des cas, ont souffert eux même d'avoir, un père absent, ou en tout cas, fortement ou tres fortement déficient....
Ceci, expliquerait celà.
Seulement voilà, jusqu'à preuve du contraire, ça n'est pas en s'en prenant aux femmes, et donc aux enfants, dans une relation aussi toxique qu'horizontale, dans les faits, qu'on peut compenser une déficience paternelle qui serait apparue dans l'arbre généralogique, et c'est donc parfaitement inutile, de prétendre régler ce problème purement généalogique, en attaquant de toute les façons possibles, et imaginables, les femmes dans leur ensemble....
Car si on ne nait pas mère "on le devient", on peut observer aussi, qu'on ne nait pas père, "on le devient", et qu'il appartient aux hommes, d'avoir une attitude respectable, vis à vis de leurs amies, compagnes, épouses, soeurs ou mères, pour inspirer la confiance, là, où trop de femmes, aujourd'hui, payent de leur vie, la lâcheté de certains hommes, pour ne pas avoir le courage de faire face à leurs resonsabilités, que ce soit vis à vis des femmes, ou que ce soit en tant que pères, vis à vis de leurs enfants.
Ca peut être difficile de devenir père, au delà d'être le père biologique, et ça l'est d'autant plus, qu'on n'ait pas reçu affectivement, les bagages necessaires, dans sa propre enfance, ceci ne fait aucun doute, et aucune femme féministe, digne de ce nom, n'est assez stupide, pour nier une telle evidence....
Nous les femmes, de notre côté, avons, nous aussi, ce même problème, sachez le...
Et si la nature est faite de telle sorte, qu'à la suite d'un acte sexuel, qui dans l'ideal, devrait s'appeler, "faire l'amour", ce qui, helas, n'est pas toujours le cas, pour les hommes, il existe un moyen, de diminuer de façon fort significative le risque d'avoir à cette occasion, fait, un enfant, ça s'appelle, UN PRESERVATIF....
Dans mon ouvrage, sur le masculinisme, j'aborde la relation hommes femmes, sous l'angle de la parntalité, et demontre, comment, un mascuniste, en aucune façon, ne peut être, que ce que j'appelle "un bon père"....
Dans mon ouvrage sur la parentalité, le sujet est aussi abordé, quand je pointe le fait qu'on aborde souvent le manque d'enfants, quand c'est la femmes qui ne parvient pas à procréer, mais que le manque d'enfants, dans la souffrance qui est induite, quand il s'agit du père n'est jamais abordée, ce qui me semble anormal...
On ne peut pas exiger des hommes qui soient toujours à la hauteur, quand ils deviennent pères, et ignorer la souffrance qui est induite, quand pour diverses raisons, ils ne peuvent le devenir, qu'il s'agisse de non fecondité au sens médical du mot, ou qu'il s'agisse des problèmes induits dans la paternité, lors des séparations, ou des divorces.
Qu'on soit homme, ou qu'on soit femmes, en tant que féministe, je revendique de voir les hommes respectés dans leur paternité, autant que les femmes, doivent l'être dans leur maternité.
"Masculinisme", mon livre.
Par apifnielaubin Le 20/02/2021
Relecture et correction des liens, le 21 août 2024.
Depuis quelques jours, mon livre est à la vente, vous pouvez les acheter, les commander, ou les trouver directement, dans les enseignes habituelles.
Si j'en reparle, ce matin, au delà du simple désir, de vous rappeller à quel point, je suis une femme talentueuse, belle, pour ne pas dire, "carrement canon", spirituelle, enfin, en somme, "qui gagne à être connue et reconnue"....
Hein, qu'est ce que tu dis ?
MODESTE, aussi, oui, c'est mon second prénom..... En fait, je suis bien guillerette ce matin, parce que j'ai achevé mon travail de relecture, au sujet du projet de livre, sur "la toxicité des livres sacrés"....
Il ne me reste plus qu'à raconter, comment, en Afghanistan, un Imam était bien dans la merde un jour, de voir arriver une famille, avec un gamin, et leur fille, de 14ans, qui voulaient absolument les marier, alors que lui, Imam, n'était absolument pas d'accord....
Il a alors, expliqué, devant camera, la chose suivante...
"OK, ben oui, moi, je refuse... Mais pour le coup, ils vont aller voir un autre imam, pour obtenir ce qu'ils veulent.... Et du coup, ils arriveront malgré tout à leurs fins".
Enfin, vous comprenez, il ne me reste plus que ça, et puis aussi, d'expliquer que certains prétendent que Dieu, serait le père des homme....
Seulement, voilà, avec la trops fameuse histoire, d'Abel et Caïn, comment dire, la paternel en question, en dehors, d'une belle engueulade, en temps que père, absolument indigne... Je vois pas trop ce qu'on peut en tirer.....
Enfin, comme vous pouvez le voir, je maitrise "pas trop mal mon sujet", et je crois avoir fait, du très bon travail....Enfin, aussi bon, que j'en suis capable, pour être plus précise.
Ceci, d'autant plus que ça ne risque pas de trop se bousculer au portillon pour s'y coller, voyez vous....
J'ai donc, envoyé mon manuscrit hier, à mon éditeur, et je me sens donc bien soulagée.
Bon, sinon, sur ce sujet, je suis retombée, hier, sur une petition, dont je suis l'autrice, qui, il y a quelques années, demandait, à ce que les ecoles maternelles, ne s'appellent plus ainsi, mais plutôt, "écoles de la petite enfance", donc, EPE, de telle sorte, que leur nom, de soit plus evocatrice, de la mère, uniquement, mais bien, de façon equittable, autant paternelle, que maternelle.
Vous pouvez retrouver cette petition, en suivant ce lien.
En tout cas, le moins qu'on puisse dire, c'est que quand j'ai une idée dans le tubino, je ne l'ai pas ailleurs.
Je persiste, et je signe, mon livre sur le masculinisme va de nouveau être edité, aux editions nombre 7.
Il sera rapidement disponible, en suivant ce lien: https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin
https://www.mesopinions.com/petition/social/changer-appelation-ecoles-maternelles-qu-appellent/88149
Pour ceux qui s'interessent à la parentalité, et donc, au rôle du père dans l'education du jeune enfant, un lien précieux, pour parfaire ses connaissances.
https://tpma.fr/eje-journal/product/512-eje-87-phd.html
Mon ouvrage sur la question, qui vient d'être actualisé, chez mon nouvel éditeur.
https://librairie.nombre7.fr/essai/7384-parentalite-9791042700836.html
Comme vous pouvez le voir, ils ont mis "auteure".
Si je dis, en ce qui me concerne "autrice", ça n'est pas un hasard.
C'est que je ne vois rien, qui justifierait que je fasse pas savoir, que si j'écris des livres, c'est aussi en tant que femme, ce qui justifie, que j'éprouve le besoin de le prétendre, pour qu'on l'entende oralement.
"Masculinisme" et "Addictions, prendre le mal à la racine". Et ça n'est qu'un début !
Par apifnielaubin Le 12/02/2021
Mon premier livre, est enfin sorti... Bon, ben... "y'a plus qu'à le vendre"! à votre bon coeur, messieurs dames....
"Alors, Françoise, quelle effet ça te fait"...
Pour être franche, je ne réalise pas encore vraiment... je suis juste.....
HYPER FIERE DE MOI !
https://editions-sydney-laurent.fr/brand/francoise-niel-aubin/
Ho, et en plus, ils ont mis le second... "addictions, prendre le mal à la racine".
Alors, pour plus d'infos, vous cliquez sur l'ouvrage, et mon editeur et moi, on vous fait le grand jeu...
Heu, c'est à dire, qu'on vous explique tout, en long en large, et en travers, version....
https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/KtbxLxgNMXsTGqNTmWRxCXPksjxKJSHNXB?projector=1
800 signalements, au sujet de la minute de silence demandée, pour le crime de Samuel Paty.
Par apifnielaubin Le 02/02/2021
Comme on dit vulgairement, « on nous balance le bébé », comme ça, sans nuances, et sans savoir si les profs concernés, ont commencé à bosser sur le sujet ou pas.
Il est bon de noter, que le problème s’est posé uniquement au niveau du collège, ce qui démontre alors, que selon l’âge concerné, et la capacité à penser, et à réfléchir pour élaborer une pensée qui serait vraiment personnelle, à eux seuls, suffit à résoudre le problème.
La question, que ça incite à me poser, serait la suivante….
Je ne suis pas prof, « tant mieux », diraient certains, peut être , qui sait ?
Au moins, ma position présente elle l’énorme avantage justement, de pouvoir tenir des propos, qui ne risquent pas de me nuire professionnellement, et par ce fait, de dire tout haut, ce que d’autres pensent tout bas, surtout s’ils sont profs.
La question, donc, qui me vient, serait de savoir si parmi les plus frondeurs, à avoir revendiqué de ne pas respecter cette minute de silence, se trouvent d’avantage d’élèves très éveillés intellectuellement, ou bien plutôt passifs, version « rebellions à deux balles », avec une évidente mauvaise volonté, à vouloir en débattre ?
Pour être plus précise, « je refuse, de respecter la minute de silence, beaucoup plus pour suivre mes potes, que par conviction personnelle ».
Ils revendiquent le fait que Samuel Paty, « n’aurait pas du »…..
Il faut veiller alors à prêter plus d’attention alors, à ceux qi se taisent et sont en vérité, les têtes de classe, car il est probable que déjà, ce phénomène soit observable, quelquefois.
Est-ce qu’il connaissent vraiment la religion qu’ils revendiquent, comme la leur , l’islam ?
Ne pas hésiter à leur rappeler, qu’ils en ont (ce qui n’est que la vérité), qu’une image parfaitement survolée….
Utiliser mon travail, sur la toxicité des livres sacrés.
Je sais, sous couvert de laïcité, les profs sont sensés à ce titre, ne pas parler de religion.
Mais on ne peut pas traiter d’un sujet, qui pose problème, sans aller jusqu’à appeler les choses par leur nom. Et quand les profs se retrouvent en face du problème, et que ce sont certains élèves, qui à ce titre, revendiquent l’islam, pour mépriser la liberté d’expression, il faut bien poser les choses sur la table., et je n’ai aucun doute, sur le fait que bien des profs le font, et ce que faisait Samuel Paty, justement.
Il faut ensuite, elargir le débat sur les religions en général, pour contourner la stigmatisation.
Car dans mon livre, aucune religion n’est épargnée.
Pourquoi, ne pas évoquer le fait, qu’ils n’ont pas choisi leur religion, eux, en temps que personne, et que quand ils croisent un gamin de leur âge, qui porte une kipa, ou un autre, d’un milieu, ou d’une religion autre que la leur, EUX NON PLUS N’ONT PAS CHOISI LEUR RELIGION…..
Leur demander, individuellement, s’ils trouvent normal qu’un juif, qui aurait envie de ne pas adhérer à son culte, et ne plus aller à synagogue, ou un chrétien, qui ne veut plus aller à la messe, est ce qu’ils trouvent normal, qu’on les autorise, ou pas ? qu’est-ce qu’ils en pensent ?
Si, d’ici quelques années, ils ont envie de faire telles études ou telles autres, est ce qu’ils vont trouver normal, qu’on leur déconseille et qu’on les entrave, au prétexte qu’ils sont musulmans , ou qu’ils viennent d’une cité ? Est-ce qu’ils ne sont pas en droit de revendiquer, d’avoir envie de faire tel métier ou tel autre ?
Ce qu’il faut parvenir à générer, c’est la prise de conscience, qu’ils doivent atteindre, relativement au fait que certains, voudraient penser à leur place, et qu’ils sont en droit aussi, eux d’élaborer leurs propres pensées, quelque soit le sujet.
Je suis une fervente défenseuse de la laïcité.
Mais une laïcité, qui ignore le fait religieux, est une laïcité qui va droit dans le mur. Parce qu’aborder le fait religieux des la primaire sous l’angle philosophique, est à mes yeux le seul moyen d’apprendre la tolérance.
En vérité, la vraie question que doivent se poser les parents, aujourd’hui, est la suivante :
« Est que la tolérance, vis-à-vis de ceux qui pensent autrement, ou qui pratiquent une autre religion que la leur, est une véritable valeur à leurs yeux, ou pas, et j’ose l’affirmer une valeur qui à mes yeux est républicaine » ?
Pourquoi, je pose cette question, parce qu’hier encore, j’entendais aux infos, l’augmentation des inscriptions, dans les écoles confessionnelles.
La question, que doivent se poser les parents, qui en sont là, aujourd’hui, doit être la suivante :
« Pour quelle raison, est ce que j’éprouve le besoin d’inscrire mon enfant dans une école confessionnelle, qu’est ce que j’ai à reprocher aux écoles publiques, du pays, que j’ai choisi pour venir y vivre ? »
Est-ce que c’est parce que je trouve salutaire de savoir qu’éventuellement, dans cette école confessionnelle, on va apprendre à mon enfant, le livre sacré qui y correspond, sachant d’autre part, qu’il s’y trouve, bien des choses qui sont parfaitement toxiques, pour mon enfant, mais que je suis trop lâche pour le reconnaitre ? (j’ai des preuves, si vous le voulez, ça va bientôt sortir en livres, sous le titres, ‘ « toxicité, des livres sacrés »)….
Est-ce que c’est pour une autre raison ? quelque chose, peut être, que ma religion, pourrait apporter à mon enfant, et que moi, en temps que parent, je suis incapable de lui inculquer, en temps que valeur morale, parce que je préfère m’en remettre à des chefs religieux pour combler mon incompétence, en temps que parent » ?
Conclusion…..
En me levant, ce matin, tôt, parce que je suis une lève tôt, ayant décidé, d’y bosser aujourd’hui, je me disais, que je devais penser aux profs… parce que ma fille ainée, est enseignante, elle aussi. Mais que les vrais personnes, à qui il faudrait poser la question, ça serait, aux parent, des enfants concernés, bien plus, encore, qu’aux élèves eux même.
Je vais vous raconter un truc….